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Les révelations d'Ariella 19
précédant

Par Donatella

 

 

Les révélations d'Ariella – poèmes vécus

L’intarissable enfant grandit. Elle prend chaque jour plus de plaisir à replonger dans son histoire personnelle. Elle en mouille parfois sa culotte et les adorables pointes de ses seins ne débandent pratiquement jamais tellement elle vit autant dans ses souvenirs que dans le présent. Mais en délivrant ces épisodes successifs avec autant de fidélité, elle connaît une véritable délivrance, non qu’elle s’en sentait prisonnière mais de trouver une oreille plus que bienveillante elle se trouve plus légère. Alors je l’écoute tendrement et trouve dans cette tendresse ce que je n’attendais pas, la contraction permanente de mon propre ventre de femme mûre. Je dois toujours reprendre mes esprits avant de retranscrire ici les frasques si charmantes de cette coquine particulièrement précoce.

Donatella.

 

Estelle, la Cérémonie

J’ai dit hier comment Madame Estelle était entièrement possédée par un goût (je devrais dire une folle passion) pour les petits culs. Je crois qu’elle prenait un plaisir à déculotter ses petites victimes plus pour leurs fesses et l’œillet dont elle vérifiait toujours la souplesse que pour leur fente pourtant avenante. Venait ensuite dans sa hiérarchie des plaisirs le jeu avec les jeunes ou moins jeunes mamelles. Visiblement avant moi elle en avait connu un nombre incalculable si bien qu’elle savait en apprécier la tonicité, la sensibilité et la fragilité comme personne. D’ailleurs lorsqu’elle s’intéressa aux miennes j’ai fait un bond inouï. Elle avait quelque chose d’électrique qui à chaque fois  me rappelait les piques des pontes de son méchant soutien-gorge. Je dois avouer que plus je vivais à ses côtés, plus je m’éloignais dans le temps de cette première séance diabolique et plus j’étais tiraillée par une irrésistible envie de revivre ce moment. Etait-ce parce que la deuxième fois je saurais changer en plaisir abyssal la douleur atroce ressentie la première fois ? Connaissant désormais les talents de dame Estelle et la servant quotidiennement, c’est avec joie que je vivrais pour elle les abîmes de la soumission physique. Mais elle faisait la sourde oreille. Elle ne pouvait pas avoir oublié mes cris, mes pleurs et ma rage quand elle me transperça littéralement le sexe et le ventre, mais elle avait peut-être d’autres projets. Je crois qu’elle ne voulait pas en rester là et ne considérer cette mise en scène que comme le point de départ hautement réussi d’une longue ballade dans ses fantasmes.

Je n’étais plus la jeune vierge à dépuceler par de terribles outrages, j’étais sa jeune compagne avec qui elle réaliserait, ne serait-ce que de façon littéraire, ses fantasmes les plus délirants. Je ne devrais jamais oublier que dans la vie elle était professeur de lettres et qu’elle disposait d’une grande culture de la littérature et probablement des textes les plus sulfureux écrits autant par des femmes que par des écrivains qui en marge de leur œuvre connu composaient des textes de grande obscénité. Elle citait parfois des auteurs femmes qui ouvraient avec volupté ou violence (ou bien avec une voluptueuse violence)  les ventres de leurs personnages féminins avec un brio inconcevable, faisant jaillir des fontaines d’eaux sirupeuses et odorantes. Les mamelles, les cuisses, les langues, les vulves explosaient de toute part. Mais nulle on ne trouvait un tel culte du petit anneau tant prisé par Madame Estelle.

Comme je l’ai dit, notre vie commune s’est d’abord déroulée dans le cercle bouillonnant du domaine de Villandry. Nous avons assisté à des scènes d’une grande perversité, puis nous y avons participé. Estelle se distingua par la confection de cônes de toutes tailles, elle organisa même des concours par classe d’âge de la plus belle empalée. Les trois gagnantes des petites, des jeunes et des matures devaient ensuite rivaliser de souplesse et démontrer à l’assistance de toute la Communauté jusqu’où elle pouvait prendre. La victorieuse serait présentée à Maîtresse Jeanne. Je me souviens parfaitement (c’est fou comme les images peuvent s’incruster en nous !) de la cérémonie d’Intronisation Magistrale de celle qui remporta ce concours. Je vous jure que la mise en scène, réglée par Estelle, s’est déroulée telle que je vais la décrire. Certes, tout ça était des mots et des images mais la puissance imaginative de Madame n’omettait aucun détail, et je vivais avec une sensibilité à fleur de peau le moindre mouvement de cils de toutes les personnes de l’assemblée.

La scène se passait dans une sorte de chapelle ou salle d’assemblée des Sages, entièrement recouverte de lambris vernis de style gothique. Des sortes de gargouilles sculptées dans le bois ciré, de personnages goguenards, la plupart étant des femmes en habits médiévaux avec coiffes traditionnelles qui montraient leur cul en soulevant leurs épaisses robes et jupons. A la façon dont sont ornées les façades des temples hindous de bas reliefs érotiques, toute sorte de scènes détaillées exaltait les qualités et les positions possibles dédiées à la célébration du cul. Toutes sortes de fesses sculptées finissaient les accoudoirs de chaque stèle. Agréables au toucher, elles étaient toutes différentes, des plus rondelettes aux plus petites, diversement ouvertes (la raie avait fait l’objet d’un traitement très soigné de la part de celle qui l’avait sculptée – car il faut dire que tout ce décor était l’œuvre de femmes de la Communauté qui disposaient d’une très grande pratique des fesses de femmes jeunes ou vieilles. Un véritable chef d’œuvre. De part et d’autre d’une assez large allée centrale se faisaient face des gradins du même bois sombre que les lambris. Alternaient deux types de sièges les uns en dessous des autres, les uns étaient réservés aux mamans, les autres aux enfants. Devant chaque siège pour adulte se trouvait un siège pour jeunettes. Au centre de chaque siège un phallus de bois vernis, hauts et larges pour les mamans, fins et plus petits pour les petites. Ainsi toutes les femelles de toute l’assistance devaient assister à la cérémonie parfaitement empalées.

Au début de la cérémonie, entraient par ordre d’âge, les plus âgées suivies par  les autres rangées par ordre décroisant, toutes tenant à la main une petite. Quand une maman avait eu deux, trois, quatre progénitures ou bien plus, celles-ci étaient confiées aux douairières dont les filles étaient précisément devenues des mamans. Toutes ces femelles étaient vêtues de toges blanches de la plus élémentaire facture. Un drap percé d’un trou par où on passait la tête, une attache à la hauteur de la taille, et le tout d’une longueur qui venait en dessous des genoux. Toutes étaient nues en dessous, diversifiant ainsi les silhouettes, les unes plates, poitrine tombante ou carrément tombée,  les autres opulentes aux formes bien enveloppées avec des seins volumineux et des fesses plus que généreuses (comme je les aime et les ai toujours aimées, oh mon dieu, comme elles me manquent !). On avançait à pas lents dans l’allée. Puis une fois toute la colonie entrée, on se  tenait debout au centre de l’édifice face aux deux côtés de gradins, Au signal donné par une officiante, le premier couple venait se placer devant ses deux sièges, les grands-mères d’abord accompagnées d’une jeune fille, et ainsi de suite. Quand toutes avaient regagné leur siège, on procéda à l’empalement de chacune d’elle. A tour de rôle, elles écartaient leurs genoux et après avoir bien ajusté leur anus à l’aplomb de l’engin, elles fléchissaient leurs jambes et méthodiquement se laissaient doucement glisser sur ce piquet de bois non préparé. Bien dilatées et bien remplies, elles devaient se tenir immobiles. La mère commençait, puis après que ses fesses aient totalement englouti ce manche d’un bon diamètre, la fille faisait de même et ainsi de suite jusqu’à ce que toutes soient ainsi fichées sur leurs mandrins. Elles se tenaient parfaitement droites. Les plus chaudes d’entre elles contractaient rythmiquement en secret leur petit anneau autour de ces pieux et se donnaient ainsi un plaisir sournois à l’insu de toutes. Seuls lorsque les yeux d’une vicieuse s’embrumaient au point qu’une petite larme se forme à la commissure de l’œil, les signes du vice pouvaient être repérés, mais l’art de la dissimulation n’est-il pas celui des grandes vicieuses ?

On devait attendre longtemps avant que s’ouvre vraiment la liturgie officielle et que prenne place Dame Jeanne sur le trône situé dans l’axe de la salle à l’extrémité opposée à l’entrée. Cette attente avait un but : on attendrait le temps qu’il faudrait jusqu’à ce que plus aucune femelle de la salle, fille ou maman, ne ressente la présence du mandrin qui comblait leur cul. Plus aucune douleur, plus aucun plaisir, plus rien du tout – comme si elles étaient vides alors qu’elles étaient pleines. Cela signifiait que ces dards de bois avaient provoqué leur effet. Englués dans les chairs abondamment baveuses de chaque ventre ainsi mis à l’épreuve, ils se perdaient dans le manteau crémeux des sécrétions intérieures.et investissaient parfaitement chaque cul au point de se faire oublier. Mais aucune des belles empalées ne doutait de sa profonde condition de soumise à la grande prêtresse de la Communauté, la Garante de la Mémoire de sainte Marguerite, notre aïeule à toutes. Les catholiques se mettent à genoux sur des prie-Dieu en bois, les Femmes de Villandry s’empalaient d’un manchon dans le cul. Quand on ne ressentait plus la présence de cette tige, on devait baisser la tête. Une fois que toutes aient enfin baissé la tête, un profond recueillement envahissait cette curieuse chapelle. Au claquement de mains de l’officiante, les têtes devaient se relever toutes ensemble comme une armée bien disciplinée. Alors, et alors seulement, Dame Jeanne pouvait apparaître. Somptueusement vêtue, elle seule ne serait pas empalée. Elle savourait le pouvoir qu’elle avait sur toute cette assemblée dont elle n’avait aucune peine à imaginer les culs perforés sous ces toge blanches. Les yeux clos, la tête droite, sa coiffe sertie de perles d’opale, elle s’apprêtait à recevoir l’une après l’autre les trois gagnantes du concours du Cul le plus Méritant, à savoir le cul qui prend le mieux, le cul le plus gourmand. Elles recevront de la main de Mère Jeanne en personne, assistée de deux Officiantes entièrement nues parées l’une et l’autre d’un plug à diamant, le bâton de Maréchal (du nom du Loup de la Forêt !) qui leur sera fourré dans le cul devant toute l’auguste Assemblée complètement médusée. Elles devront d’abord le prendre en bouche pour bien l’humecter, présenter leur cul en se penchant bien en avant, comme une offrande faite à la Mère Supérieure. La grande gagnante aura un honneur supplémentaire. Une assistante nue mais sans diamant, cadrera une caméra sur les fesses d’abord puis, en zoomant sur l’anus de la gagnante, une femme âgée de 52 ans qui gagnait pour la troisième fois - il faut dire qu’elle est certainement celle qui a pris le plus de toutes et ceci depuis toujours. Jeunette, elle avait déjà un fessier des plus parfaits. Ses aînées se la déchiraient, allant parfois aux limites du viol. Quand elle devint une femme mure, son anus frétillant aimait consommer plusieurs adolescentes en même temps. D’où son succès, même si aujourd’hui elle n’a plus guère d’amies ; on n’aime pas celles qu’on a admirées… Alors elle se rattrape en toute occasion. Le concours d’Estelle était pour elle la plus belle occasion de faire la démonstration de la souplesse de son petit trou malgré son âge. Sa grande récompense allait d’être filmée en gros plan en train de recevoir le Bâton de Maîtresse et que toutes, faute de l’admirer, la jalousaient. Sur un écran géant disposé au dessus du portail de l’Entrée, donc face au Trône de Mère Jeanne en train de sodomiser le cul bien ouvert de la primée, écartée par les deux officiantes, on pouvait voir l’anus étoilé le plus souple de toute la Communauté. On applaudit quand même puis on chanta un psaume au saint-Anus dont les paroles rendaient grâce à Marguerite et au Grand Roi et à son Cul Royal. Jeanne prit ensuite  la parole dans un micro et sans même mentionner l’exploit de la gagnante demanda qu’on fasse une ovation à Madame Estelle, la grande ordonnatrice  de cette somptueuse cérémonie qui désormais aurait lieu régulièrement deux fois dans l’année. Puis elle demanda qu’on applaudisse – sans excès pour respecter son rang de novice (non encore baptisée) – le petite Ariella qui a permis à Madame Estelle de nous rejoindre pour notre plus grand bonheur et nos plus vicieux plaisirs. « Maintenant vous pouvez vous adonner à la grande orgie des jours de fesses. Attention à vos jolis culs, mes chéries; au cas où vous l’auriez oublié, vous êtes toutes empalées. Soyez prudentes pour vous libérer de vos sièges, et ne trainez pas. La fête d’en sera que meilleure » Puis elle rajouta avec un petit sourire « les petites vicieuses qui tentent d’en profiter risquent une bonne fessée de ma part, chatte ouverte ! » Dans la foule, Estelle me rejoignit et fondit en larmes dans mes bras. « C’est le plus beau jour de ma vie ». .Je l’embrassai sur le bouche et nos langues ont serpenté entre elles un très très long moment. J’étais très heureuse. Nous étions en réel très heureuses de nous être rencontrées. Cela ne durerait pas, car certaines matrones se liguèrent contre Estelle qui recevait les honneurs de Jeanne alors qu’elle n’était pas une Villandry, qu’elle n’avait jamais été baptisée selon le rite des filles de l’Anus et que personne n’avait put voir et encore moins toucher ses fesses et son trou du cul. On lui attribua les pires intentions ; elle m’aurait dévoyée pour s’infiltrer auprès de Jeanne et flétrir les secrets qui entourent les filles de Villandry. « Si le domaine exerce un grand pouvoir de fascination sur les femmes du village le plus proche, c’est que  nous savons les recevoir et les sevrer de plaisirs qu’elles ne soupçonnaient pas. Nous les gavons de cochonneries féminines ? C’est comme ça que nous les gouvernons et que nous nous préservons depuis plusieurs siècles, nous n’allons pas nous laisser tromper par une étrangère. Chassons-la, chassons-la » 

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