suviant
Les révelations d'Ariella 18 bis
précédant

Par Donatella

 

 

Les révélations d'Ariella – poèmes vécus

En effet, cette Estelle n’en était pas à un excès près. Non seulement, mais elle trouvait probablement chez la jeune Ariella l’occasion rêvée de bousculer toutes ses limites et de jour en jour se passionner pour cultiver en les expulsant de son ventre les fantasmes et les tabous que toute morale réprouve. La petite s’y prit comme si ses jupes restaient accrochées dans les ronces des sous-bois vénéneux où les vipères inspirent les femmes aux pensées et aux plaisirs interdits. Mais une curieuse alchimie lia la petite à cette dame et c’est dans une complicité indistincte et indéfinissable qu’elles caracolèrent dans les vices le plus farouches.

Donatella.

 

Les délires d’Estelle

« Introniser » c’est installer sur le trône. Mais dans l’esprit et le langage de celle qui allait devenir très vite la maîtresse de mon imagination la plus obscure, cela signifiait concrètement poser le cul sur un siège. Le cul n’est pas les fesses. C’est ce petit trou qui fascinait Estelle et qui revenait sans cesse dans ses dialogues endiablés : elle avait une passion infinie pour cet endroit qui si on le traite bien peut procurer des sensations d’un raffinement supérieur à celui généralement titanesque que provoque le traitement des chairs tendres de la vulve, surtout quand elle n’a pas encore beaucoup servi. Ce que m’aura appris Madame Estelle, c’est très certainement le fait que nous avons toutes entre les fesses un orifice plissé dont la pénétration subtile ou violente représente une part de plaisirs égale à celui des mamelons ou du clitoris. C’est un plaisir assez intense pour qu’il ne soit pas considéré comme un supplément – ce qu’il est souvent. Non on peut jouir uniquement des caresses et intromissions anales car, comme une chatte est la porte de coulées sirupeuses, le cul est lui aussi alimenté par une source claire qui peut provoquer de sublimes impressions. Madame Estelle, très experte en la matière, m’a dit que toutes les filles n’ont pas forcément la même habilité à dispenser des eaux au fond de ce passage. En revanche certaines petites peuvent mouiller du cul comme elles mouillent de la chatte. Par chance, elle m’a dit que j’étais  de celles-là. Car l’avantage de se concentrer, comme elle aimait le faire, sur cet endroit de mon anatomie, c’est que je pouvais l’éprouver en direct. Quand elle l’exigeait dans ses messages, je m’avançais sur mon siège, de dégageais mon cul et je me doigtais, mais le plus souvent elle m’y faisait entrer un ou plusieurs crayons, comme ça je dispensais de mes deux mains pour le clavier. Il est vrai que j’en ai retenu la leçon et que j’ai depuis consacré à mon anus un soin tout particulier. Je savais déjà que cet endroit était particulièrement réceptif aux touchers. Jennifer m’aidait déjà à distance à me dilater au point, comme je l’ai dit, qu’elle pouvait introduire sa main entière (elle me demandait de le faire moi-même, ce qui n’était pas facile parce que l’os du pouce a de la peine à se frayer un passage et rejoindre ses quatre petits frères déjà très à l’aise dans la grotte tendrement chaude et divinement gluante). Donc le cul n’était pas nouveau lorsque je connus Madame Estelle, mais je n’y avais pas consacré autant d’attention, surtout que ma nouvelle maîtresse m’apprit aussi à empaler toute sorte de femelles, de tout âge, et d’apprécier les facilités des unes et les difficultés des autres à accueillir en elles des mandrins de diverses tailles et de divers diamètres.

Ce qui était inquiétant chez Madame Estelle, c’est qu’elle me répétait souvent que c’est dans les tout jeunes culs que l’intromission doit être commencée. Pour que le cul prenne bien, il fallait qu’il ait connu très tôt ses premières pénétrations. Combien de culs je l’ai vue ainsi doigter, en amenant des gamines à jouer avec elle soit disant au docteur mais en fait, comme Yvette l’avait fait sur moi,  pour assouvir ses instincts de femme vicieuse. Je n’ai jamais su comment elle faisait pour ne ressentir aucune culpabilité. Pourtant je rechignais à déculotter par exemple les filles de l’une de ses amies qui les lui avaient confiées un week-end entier, à les caresser longuement, à les écarter progressivement sans qu’elles s’en aperçoivent vraiment afin de toucher du bout du doigt leur toute petite rondelle. Je le faisais très peu. Elle, elle ne se gênait pas.

Ses fantasmes condamnables, même s’il ne s’agissait que de fantasmes, ne sont jamais arrivés à me retenir. Je l’en détournais le plus possible. Certes, elle y revenait comme un ressort,  une forme d’addiction à ce type de plaisirs dangereux. Mais, parce que pour mille raisons je ne me résignerais pour rien au monde à la quitter, j’ai tenté de surmonter la loi et la morale pour comprendre ce qu’il y a d’excitant à ouvrir des petites fesses et d’en examiner avec un certain appétit les deux petits trous voisins aux odeurs typiques du jeune âge. Je trouvais une once de réponse dans mon propre souvenir d’avoir vu une de mes petites amies fessée par sa maman ou par une de ses grande sœur. Rarement évidemment la maman en colère avait des pensées impures, tout au plus elle ne détestait pas caresser tendrement les fesses qu’elle venait de rougir sérieusement, d’autant que ces petites fesses déjà tendres de nature devenaient encore plus douces sous l’effet de la fessée. En revanche les grandes sœurs, plus ou moins troublées selon leur âge par la découverte de leurs premiers émois sexuels, profitaient parfois de la fessée de leur jeune cadette pour examiner l’état d’une intimité autre que la leur. Elles fessaient souvent à la demande de leur mère trop occupée par les tâches ménagères ou trop excédée par les sottises de sa progéniture, risquant pour cette raison de perdre le sens de la mesure et de corriger de trop ces pauvres petites fesses. Les filles allaient dans leur chambre et c’est là qu’elles déculottaient leur sœurette, généralement obéissante sous peine de doubler le nombre des claques sur son petit derrière - elle savait que la plus grande le ferait à coup sûr. Une fois la culotte complètement ôtée, la petite punie devait se positionner le ventre sur les genoux de la fesseuse assise sur le bord du lit ou sur une chaise. Les fesses plus ou moins dodues offraient leurs formes bien rebondies et la couleur claire d’une peau jamais exposée au soleil. A l’abri de tout regard, les mains claquaient en cadence de façon suffisamment sonore car il était probable que la maman tende l’oreille pour s’assurer que la correction méritée était bel et bien administrée dans les règles de l’art. En fait je l’ai vue cesser toute activité et tendre l’oreille, me faisant chut avec le doigt et un sourire bien trouble. Elle ne pouvait pas résister. Elle percevait ainsi, non sans une certaine sensation malsaine, les cris et les hurlements de la petite punie, et les insultes de la grande. En fait elle la fouettait par procuration. Vicieuse maman. Elle entendait clairement les claques pleuvoir sur ces deux petites mappemondes toute neuves. J’ai appris un peu plus tard qu’avant d’en finir, il n’était pas rare que la fesseuse ne passe sa main entre les deux fesses rougies et ne glisse un ou deux doigts dans la raie couverte de la sueur provoquée par le feu des gifles. Même que parfois le petit trou était visité jusqu’à ce qu’il mouille le méchant doigt de la vicieuse grande sœur. Le visage trempé de larmes, mais contente de ce répit, la petite se laissait faire, attendant avec une curiosité suspecte que sa grande sœur trouve son plaisir, jouisse pour de bon de cette vilaine pénétration et arrête alors ces violences contre nature. Elle écartait, elle-même, insensiblement les cuisses pour faciliter cette perverse caresse. « Tu te rappelles quand on jouait au docteur ? » La petite répondait en reniflant d’un petit « viii » en hochant de la tête. Et aussitôt la grande d’enfoncer en guise de thermomètre la première phalange de l’index au fond de ce petit cul tout neuf ou presque. Elle l’avait porté à sa bouche pour l’humecter, et une fois positionné il pouvait forcer cette entrée et s’aventurer plus avant. Quand la grande sentait que la deuxième phalange pouvait entrer, le doigt s’avançait davantage jusqu’à ce qu’il entre en entier dans le petit trou tout doux. Contrairement à la violence de la fessée, le doigt commençait par se faire doux et souple, élargissant peu a peu par des petits cercles l’anneau élastique, ce qui assurément suscitait des petits gémissements d’animal blessé, puis de légers sifflements qui trahissaient un certain plaisir. Parfois, selon l’évolution de sa libido, la grande profitait de son autre main pour se doigter elle-même. Loin d’inquiéter la mère, les râles l’excitaient sérieusement. Le premier doigt rejoint par un second quittait son fourreau juteux pour subitement recommencer à travailler avec une violence décuplée l’élargissement des chairs déjà écarlates de la cadette qui tentait à nouveau de se débattre, mais vaincue ne pouvait que pleurer. Quand de toutes ses forces la petite criait  « Nonnn, nonnn Pas ça, nonnnn, pas ça… » la mère était prise de tremblements, mais ce n’était pas des secousses de compassion mais d’explosion sexuelle. La main dans sa culotte elle s’était martyrisé les chairs en grimaçant et en se contorsionnant.. Elle jouissait comme une folle. Dans la montée de ses orgasmes volés elle imaginait des tas de choses plus excitantes encore. L’idée de confectionner des tabourets spéciaux où empaler ses filles à la moindre faute la fit exploser, tout en serrant les dents pour ne pas être entendue. Quand elle eut jouit, elle considéra que cette vision était parfaite. Ces tabourets dotés de manchons de jolis diamètres seraient présentés seulement comme une menace pour dissuader les petites femelles de la maison de faire des bêtises. En réalité elle entendait s’en servir au plus tôt, tellement elle avait joui rien qu’à l’imaginer. Le sentiment de culpabilité des gamines ruisselantes de leurs jeux pervers n’existait pas ; elles savaient de leur côté que leur maman avait connu au même âge des humiliations identiques et les plaisirs cochons qui vont avec. Sans rien laisser paraître évidemment, la mère de famille qui avait encore mal à son con trempé et à son petit cul maltraité, les appela à table. Toutes les filles firent comme si de rien n’était ; seule la petite avait les yeux rougis. Elle eut du mal à s’assoir. Cette passion pour la dilatation et les jeux internes des petits culs à l’honneur dans cette famille particulière, le comportement de Madame Estelle m’y faisait penser et réveilla en moi ce bizarre souvenir.

Telle était ma première explication des obsessions de Madame Estelle. Peut-être avait-elle vécu de telles situations équivoques, en gardait un souvenir, mélange de culpabilité et de plaisir intense ? Ce sont peut-être aussi pour ces mêmes raisons inconscientes qu’elle éleva tout autrement sa fille Louise (qu’on appelait Louison) dans un très profond respect de son intimité, qu’elle soit sentimentale ou sexuelle. Leur relation est toujours restée très belle. Mais n’est-ce pas aussi parce que Madame pouvait vivre ses fantasmes les plus vivaces en compagnie d’une jeune fille telle que moi, du même âge que sa fille ?

J’ai toujours senti que ce professeur de français dans un lycée chic de la banlieue riche de Paris, mère d’une fille « bien », était digne de respect. J’avais une grande confiance en elle. Le fait qu’elle soit maman, je me constituais un peu comme sa progéniture en compensation de l’absence de maman. D’ailleurs n’est-ce pas ce que j’ai toujours recherché ? Edwige, Maitresse Iris, Madame Graslin, Jennifer, même Mylène et Yvette mes aînées, et maintenant Estelle – plus tard la presque totalité de mes réelles maîtresses – ont été des substituts de maman et de l’autorité qu’une mère a naturellement sur sa fille nécessaire pour la bonne éducation de son intimité depuis la fillette jusqu’à la jeune femme. C’est pour ça que je dois tant à ma Tante, à sa compréhension, voire à ses encouragements à vivre ce qui était bon pour moi. « Peu importe que ce soit bien ou mal, pourvu que tu saches ce qui est bon pour toi et ce qui est mauvais pour toi » me disait-elle souvent. Toutefois, Madame Estelle n’aimait pas que je l’appelle maman ; et je  comprenais bien pourquoi. Elle ne voulait aucune équivoque avec sa réelle fille, j’étais le bébé de ses obscurités, la petite femelle de ses fantasmes, la complice de ses vices, sa soumise implicite et c’est ce qu’elle me demandait. Je dois dire que ça me satisfaisait grandement ; à moi d’apprécier dans son langage une forme de tendresse qui parfois affleurait. Car en fait, si nous sommes restées très longtemps ensemble malgré de longs mois sans communiquer, si nous avions le même plaisir de nous retrouver telles que nous nous étions laissées, c’est qu’elle a toujours eu plus qu’un petit faible pour moi. Au début elle ne supportait pas mes fautes d’orthographe, elle me corrigeait sans cesse. Puis je me suis appliquée, c’était une façon de lui obéir – elle aimait ça. Je sais bien que j’en fais encore, je le regrette toujours et je pense à elle.

Bien. Revenons au déroulement de notre histoire. Après que je fus, on peut le dire, torturée par Estelle et que mes entrailles furent cicatrisées, nous avons mieux fait connaissance. Je lui parlais du domaine de Villandry et de Grand-mère Jeanne, mère entre autres de Gisèle et d’Adèle, toutes deux par nature femelles vouées au Saint Anus, et l’informais des us et coutumes de cette communauté plus ou mois semblable à une congrégation de religieuses, même si ici le dieu vénéré était en fait l’Anus Solaire avec ses rayons dont la figuration que est nos anus étoilé de femelles semblable au Roi Soleil sucé, léché et doigté par notre non moins vénérable ancêtre, la Grande Marguerite, lécheuse émérite du cul du Roi de France. Pour l’introduire auprès de Grand-mère Jeanne, je dus obtenir l’autorisation qu’une autre femme, extérieure à la Communauté, participe à la cérémonie du baptême des plus jeunes ouvertes et dépucelées par leurs mamans elles-mêmes – dépucelage du petit trou seulement. Ce ne fut pas si facile de faire accepter ce privilège de la part de Jeanne, car les seules femmes extérieures admises et fortement encadrées étaient les villageoises curieuses à qui on faisait subir toute sorte de traitements qui les marqueraient à vie - elles découvraient que le plaisir anal a ses lettres de noblesse et vaut bien toute autre sorte de délices. Elles découvraient en même temps que c’est entre femmes que ces plaisirs sont les meilleurs, à elles de convertir (d’autres disent pervertir) leurs amies, collègues, cousines plus ou moins proches. Or, cela était une pratique parfaitement réglée. On ouvrait les jours de pleine lune une porte masquée du mur d’enceinte ; on acceptait une demi-douzaine de grosses mamans et quelques trentenaires travaillées par la curiosité et on les troussait. Elles devaient sous peine d’être fouettées faire glisser leur culotte et nous la remettre. Puis en se pencnant elles devaient exhibe leur petit trou en écartant bien leurs fesses à deux mains. Jeanne exposait les grands principes qui gouvernent langues et doigts féminins exclusivement. E Le domaine est un gynécée où le plaisir anal est haussé au rang d’une pratique religieuse. Ici toutes les femelles peuvent travailler les jeunes filles, les fillettes même et obtenir de toutes de savantes caresses et performances de dilatation. Nous sommes nées pour jouir de nos corps,  et de nos corps la partie dite honteuse hors de nos murs est ici la plus subtile, le plus prisée pour ne pas dire adorée. Mesdames, vous ne ressortirez d’ici qu’après avoir été bien dilatées à la suite de quoi vous serez longuement empaléess, puis pénétrées avec art jusqu’à ce que vos rectum de cochonnes s’inondent de vos eaux intimes - je dis bien du rectum et non de vos grosses chattes qui sont pour nous méprisables. Vous découvrirez ici que ce que l’on obtient avec le cul est mille fois supérieur à ce que l’on obtient avec le con. Par conséquent lorsque vous sortirez de ce Gynécée, vos maris qui vous prendront dans la chatte ne vous feront guère d’effet, et même si vous vous faites souvent sodomisées – nous le constaterons quand nous vous examinerons – vous découvrirez que la langue et les doigts d’une femme détrônent de très loin la queue du plus membré des mâles. Vous avez été curieuses n’est-ce pas ? Vous avez pris un risque. Maintenant assumez. Vous simulerez désormais l’orgasme. En revanche vos échanges de langues et l’attirance irrépressible pour le derrière et le cul des autres femmes vous rendront votre jeunesse. Vous ne pourrez plus voir un derrière plantureux sans avoir envie de l’ouvrir et d’en explorer de vos doigts et de vos lèvres le trésor. Votre passion des fesses ne pourra que s’accroître. Vous devrez vous résoudre : vous êtes une lesbienne pour toujours. Ne divorcez pas. Nous ne voulons pas attirer l’attention. Simulez, simulez et jouissez entre vous – d’autant plus que vous progresserez sans cesse. Occuper vous des jeunettes, mais attention à l’âge légal. Surtout, surtout, léchez-vous le cul les unes les autres. D’autres femmes sont venues, vous ne le savez pas mais elles se rencontrent et se travaillent leurs anus respectifs et jouissent comme des folles. Mais ne croyez pas pour autant que vous êtes nos égales. Jamais vous ne serez baptisées dans le temple du Saint-Anus, jamais vous n’aurez de jeunette attitrée. Ni tant d’autres privilèges dont vous ne pouvez pas avoir idée. Maintenant plus de discours. Remettez vos culottes portées à Maîtresse Mélanie. Passez à la toilette, intimité parfaite, sinon c’est une toilette forcée dont vous vous rappellerez toute votre vie. Suivez Maîtresse Elizabeth, elle va vous distribuer à diverses maîtresses toutes expertes, il va sans dire. Pas de cris, pas de résistance. Vous pouvez pleurer. On va vous ouvrir, laissez-vous faire. Les culs trop étroits seront forcés, laissez-vous faire. On peut s’occuper éventuellement de vos mamelles et étirer peut-être vos pis de grosses villageoises, laissez-vous faire.  Je vous examinerai personnellement en detail ce soir, j’éprouverai à ma manière la transformation  de votre sensibilité anale. De mes ongles j’aurai accès direct à vos chattes aussi. » .

En revanche recevoir une personne plus observatrice posait de nombreux problèmes. Grand-Mère me posa toute une série de questions, je lui racontai en détail les circonstances très particulières de notre rencontre (au passage je lui ai parlé de la débauche extravagante de Gisèle. Elle sera répudiée peu de temps après par la Haute Assemblée des Femelles du Saint-Anus.). Mon souci était d’avoir gain de cause. Je l’emportai lorsque j’arrivai à démonter qu’Estelle était une très grande spécialiste de l’empalement anal féminin, qu’elle n’avait jamais été mariée, même si elle est mère d’une jeune fille de mon âge. Je précisai que j’avais pu deviner grâce à son pantalon en cuir hyper-moulant qu’elle-même avait une margelle du cul absolument parfaite et visiblement amplement travaillée. Je crois que c’est ce détail qui fit le déclic : Jeanne s’empourpra, et après avoir repris sa salive, me dit d’un ton sans appel « C’est OUI ». J’étais folle et fière, fière et folle. Cette victoire me rendit Estelle cent fois plus proche. J’avais du me battre pour elle, j’avais gagné, je serais à elle et cela chaque jour. Je ne la quitterai pas d’une semelle. C’est ainsi que fonctionne cette société ; les jeunes sont choisies par les matures pour une certaine période ; elles sont dans un certain état de servage. Elles doivent être toujours disponibles pour toute sorte de tâches, notamment la toilette, la toilette intime, les rapports sexuels ce qui ici suppose léchage, suçage, intromission, le tout exclusivement anal et mammaire. L’usage de la chatte est réservé à Grand-mère Jeanne qui peut à tout instant s’en servir à loisir, la prêter à ses dames préférées, et lui faire subir toute sorte de traitements, des plus soft aux plus hard. De la même façon, c’est Grand-mère qui élit une des gamines, le jour de ses dix-huit ans et la mène au dépucelage dans la forêt, dépucelage assuré par Maître Maréchal comme je l’ai déjà raconté.

Donc être comme l’ombre d’Estelle était pour moi le comble du bonheur. Nous le serions dans toute l’évolution de notre scénario commun et par conséquent, aussi enfiévrée l’une que l’autre, nous pouvions construire de magnifiques situations. Certes, vu son expérience, c’est moi qui la suivait ; mais elle fut si spontanément conquise par ce monde de rêves où le Cul féminin est le centre de l’Univers qu’elle m’accorda toute sa confiance. Je devins autant sa complice ou disons son assistante que sa soumise, lui devant fidélité, docilité et obéissance. Je devais à tout instant être prête à satisfaire une de ses envies pressantes. Il est vrai que les situations dans lesquelles elle nous mettait étaient de nature à lui provoquer de telles chaleurs que seules ma langue et ma bouche entière pouvaient la soulager. Madame mouillait énormément. Je décrirai dans ma prochaine lettre combien et comment j’ai bu des litres entiers de sa cyprine…

A noter que j’ai de la peine à parler de « Maitresse Estelle », je préfère l’appeler « Madame Estelle » parce qu’elle ne me considérait pas seulement comme une petite soumise mais en effet comme son assistante. Ce ne l’a pas empêché de me livrer quand l’occasion se présentait à ses amies comme Dame Laurence qui fut sa maitresse puis son initiatrice, ces deux plus vieilles amies de classe à Saint-Gilles, à un groupe de femmes lors d’une réunion discrète qu’elle organisa chez sa mère, et en d’autres circonstances, que je sois empalée sur des tabourets ou que l’on m’oblige à m’assoir sur de volumineux cônes jusqu’à ce qu’ils emplissent le plus souvent mon cul, moins souvent mon con. Parce que maintenue en permanence bien dilatée j’ai reçu des avant-bras entiers pour le plus grand plaisir de femmes qui n’appartenaient pas spécialement à ces milieux de SM féminin. Je fus même un jour utilisée par deux mères au foyer, catholiques pratiquantes qu’Estelle avait su plonger peu à peu dans un état trouble en me demandant, alors que j’étais assise dans le fauteuil qui leur faisait face, de décroiser mes jambes, d’ouvrir lentement mes genoux, et de peu à peu laisser voir ma culotte blanche petit bateau. Elle tenait de tels propos qu’elle savait pertinemment qu’ils provoqueraient en moi une excitation évidente afin que je mouille ma culotte et que ses invitées puissent voir s’étendre une tache grise grandissante sur le fondement de mon slip de petite fille. Je devais baisser la tête. « Arielle, qu’est-ce que je vois ? » Je resserrai mes cuisses. « Non, non, ouvre-moi ces cuisses. Fais-voir ce qui t’arrive ». S’adressant à ses amies « Avez-vous vu ? Non ? Regardez, regardez comme cette petite salope a mouillé sa culotte. » Les yeux de l’une, plutôt verts, me transpercèrent comme une vipère, l’autre au regard bleu avait les yeux embrumés mais n’en perdait pas une goutte (c’est le cas de le dire !).  « Vous pouvez toucher. Vous verrez qu’elle est trempée, ma petite catin. Vous verrez même que ce n’est pas du pipi mais que c’est bien sa crème de petite vicieuse ». Je fus palpée par des mains maladroites qui n’avaient jamais touché une autre femme qu’elle-même, et encore ?. Mais, comme s’il y avait dans chaque femme un vice lesbien essentiel qui très vite en fait des expertes d’attouchements plutôt vicieux, elles m’ont fait vibrer. Très étrangement troublant que de voir des femmes soudain sortir de ma morale qui semblait justifier tous leurs faits et gestes. Elles sont toutes autres. C’est vertigineux. Les doigts de l’une se mire à frotter à un rythme insoutenable mon clitoris me mettant dans tous mes états, pendant que l’autre passait son ongle longitudinalement sur le tissu le long de ma fente allant de mon clitoris jusqu’à mon petit trou. Estelle les encourageaient subtilement. Elles semblaient se stimuler l’une l’autre, le faire ensemble semblait les excuser. L’une était l’excuse de l’autre.  Je fus déculottée, léchée, sucée au début maladroitement et très vite délicieusement. Parties dans ce délire et correspondant parfaitement aux intentions très vicieuses d’Estelle, elles se sont fait sucer l’une après l’autre par ma petite langue. Derrière elles, Estelle me faisait signe de surtout lécher leur anus et de bien les mouiller en les enduisant de salive. Je le fis par obéissance. Après avoir sorti leurs mamelles, elle leur demanda de se mettre le torse contre le mur et de présenter, jambes écartées, leurs deux beaux culs. Elle les doigta en même temps l’une et l’autre, les pistonnant et estimant si elle pouvait les installer sur les deux cônes, de dimensions respectables, qu’elle avait préparés discrètement et enduits d’un gel lubrifiant. Elle les retira du mur et les plaça l’une face à l’autre, je dus me mettre entre elle accroupie pour lécher a nouveau leurs babines inondées. Devenues folles elles se pétrissaient elles-mêmes leurs mamelles de bonne mère de famille bourgeoise. Elles fermaient les yeux de plaisir, la bouche entrouverte prête à se donner leur premier baiser de gouines. Estelle me demanda de me relever afin que ce soit ces deux amies qui me lèchent, l’une le pubis et les lèvres, l’autre les fesses et le cul. Elles ne se firent pas prier, mais lorsque leurs culs furent assez bas, ils rencontrèrent exactement en même temps la pointe de leur cône respectif. « Ohh !!! » - Ahhhh !!! » Estelle fit « Chuutttt…. On se laisse descendre, oui…touuut doucement … c’est ça… ça glisse bien.  On continue…. Doucement…. On laisse la chose entrer dans son joli gros cul de maman…. Vous êtes belles…. Encore un peu... oui. c’est presque ça….. on continue à lécher Ariella, ne l’oubliez pas, ça vous aidera à vous finir sur ce trône…. Voila, voila, c’est absolument parfait. Faites-voir que je vois bien l’élasticité de vos babines tendues comme une membrane du caoutchouc… Très beau cette dilation, regarde Ariella. En plus toutes les deux elles ont le trou du cul parfaitement épilé, des vrais trous de gamine. Je mouille comme une folle ma chérie… Tu devras me terminer… Relevez-vous lentement à présent  et vous va recommer en échangeant les cônes, mes chéries, la mouille de l’une fera glisser la chatte de l’autre…. C’est bon, n’est-ce pas ?» On entendit successivement des bruits de succion et simultanément des gémissements profonds. L’une d’elle pleurait de honte, mais toutes les deux avaient huilé leur cône, c’était deux mouilleuses du cul qui s’ignoraient, ça c’est sûr. Estelle les fit se pencher en avant pour voir leurs trous encore bien ouverts. « Je ne vous conseille pas de vous faire sodomiser ce soir par vos maris, vous avez toujours refusé, ils ne comprendraient pas pourquoi ils rentrent comme dans du beurre dans vos culs de grenouille de bénitier, alors doucement, faites-le progressivement. Par contre les concombres ne sont pas faits que pour la salade, ni les grosses carottes…. Continuez à vous dilater le plus possible maintenant que vous n’êtes plus seulement des mères de famille catholiques, mais aussi deux belles salopes qui prennent et quii reçoivent exceptionnellement bien. Oui enculez-vous l’une l’autre, passez de bons après-midi. Et entraîner une ou deux amies a découvrir l’élasticité insoupçonné du trou qui se trouvent entre leurs jolies grosses fesses. Vous en trouverez peut-être une qui se doigte le cul en secret depuis l’adolescence, ou une autre qui prendra une crise de nerf avant d’admettre qu’elle a joui comme jamais, une déflagration sublime. Enculez-vous mais léchez-vous, sucez-vous, il y a plein de choses à faire. Vous avez-vu comment ma petite Ariella chérie vous a mis le feu .. Jolie, n’est-ce pas, cette tache foncée au fond de sa culotte. Et sa langue ? Hein ? …. »  J’étais très fière et toute dégoulinante. Je savais que je devais terminer Maîtresse, je jouirais quand je la nettoierai.

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