suviant
Les révelations d'Ariella 13 bis
précédant

Par Donatella

 

 

Les révélations d'Ariella – poèmes vécus

Notre insatiable petit amour ne sait plus s’arrêter. Elle le voudrait qu’elle ne le pourrait pas, c’est son ventre qui décide et c’est de sa petite voix douce qu’elle chante ses souvenirs. Elle a un peu la voix de Vanessa Paradis, elle en a la fragilité, la blondeur avec dans les yeux quelque chose de plus pervers. Telle est Ariella, nue dans la salle de bain, car maintenant elle n’attend pas le soir pour me faire part de ses chaleurs de jeunesse. Je l’enregistre puis écris à sa place.

Donatella.

 

Jennifer mystérieuse

Edwige m’avait donc autorisé de devancer l’âge légal d’accès aux sites de rencontres un peu spéciales. Pas de beaucoup mais suffisamment pour que je commence à me sentir grande. Elle-même avait recours à ces sites de chat où il lui arrivait d’entretenir de longues relations de plus en plus chaudes, ce qui expliquait que parfois, après un long moment devant l’ordinateur, elle en ressortait échevelée, transpirante et débraillée. Il lui arrivait de sortir de la pièce sans avoir reboutonné son pantalon, laissant voir sa culotte remontée à la hâte d’où émergeaient quelques poils luisants qui avaient échappé à sa vigilance. Oh tantine ! Autant elle était classe, élégante, chignon parfait ou cheveux au carré impeccable, tailleur très bien coupé, autant elle pouvait apparaître sous les formes d’une femme dépravée mais repue de caresses interminables sous ses doigts si mouillés qu’ils en étaient tout fripés.

Je savais donc qu’internet pouvait être enivrant. Déjà le minitel restait allumé tard le soir, parfois même dans la nuit, le visage d’Edwige éclairé de la pâleur de l’écran, ses doigts alternant entre le clavier et sa culotte ou les lèvres de son ventre. Pour éviter d’être surprise elle avait installé l’ordinateur dans un petit réduit de l’appartement qu’elle refermait sur elle par discrétion. Ce qu’elle ne savait pas c’est que lorsqu’on fait quelque chose en cachette on excite la curiosité, et j’étais très curieuse. Encore une fois, j’étais suffisamment délurée pour me douter de ce que faisait ma tante à longueur de temps les soirs où elle ne recevait une ou deux amies accompagnées d’une ou deux étudiantes plus jolies les unes que les autres. Je rêvais de pouvoir m’enfermer dans ce petit espace et offrir ma petite chatte à une dame..

J’ai appris un peu plus tard qu’Edwige ne se contentait pas d’échanger ses fantasmes avec d’autres femmes ; elle se servait d’internet pour conquérir quelques filles, elles-mêmes excitées par la possible réalisation en toute discrétion de leurs désirs inavouables. En les exprimant, elles les assumaient davantage et acceptaient d’être ce qu’elles étaient, des petites salopes comme moi. Les vices des unes et des autres s’exposaient assez librement. Edwige y pêchait de nouvelles rencontres. Elle était experte. Elle savait s’assurer que son interlocutrice ne fût pas un homme déguisé (mais, ce n’était pas si difficile que ça, les hommes se trahissent assez vite par un détail qui leur échappe et les condamne). Ensuite, elle travaillait les fantasmes et vérifiait par un ensemble de questions et de réponses, l’âge annoncé par sa partenaire. Elle les aimait espiègles, chaudes et prêtes a expérimenter des relations que leur milieu familial réprimerait sévèrement. Beaucoup souhaitaient accoster sur l’île de Lesbos – Edwige les y accueillerait, quitte à les éduquer à sa manière.

Trouverai-je à mon tour des femmes avec qui entretenir une relation telle que j’en rêvais, femmes mûres dominatrices aimant exclusivement les petites jeunes filles pour en faire des soumises, vicieuses de préférences ? Cette idée m’obsédait. Lorsque Tantine eut l’idée que la solution à mes problèmes d’imaginaire était dans les sites où abondaient des femmes en quête de petites soumises à dresser, j’exultais en moi-même. S’ouvrirait la porte du réduit, la porte de tous mes fantasmes et celle de ces dames que j’imaginais se battre pour me posséder. Bien sûr, ce ne fut pas aussi simple. Tout d’abord il fallait que je sache me connecter. Edwige allait m’expliquer. Mais comme pour bien manipuler le clavier et la lumière de l’écran il faut bien se mettre dans l’axe, tantine se plaqua derrière moi. Il se trouve que ce soir là, elle s’apprêtait à aller prendre un bain et que c’est en culotte et sans soutien gorge que derrière moi, debout et penchée sur l’écran, elle chercha le site de rencontre. Elle en connaissait plusieurs. Instinctivement elle tapa Dress.com et cliqua, mais elle se ravisa car si c’était le site qu’elle fréquentait le plus elle estimait que j’étais trop jeune pour ce site. Elle tapa fantasmez.com et apparut une page d’inscription. On dut attendre. Je sentais les gros seins de tantine sur ma tête, sa peau parfois touchant mes épaules nues. Ces seins ne sont pas si gros mais ils pesaient de tout leur poids dans la position penchée de mon… « Professeur de chat » !

Décidément tantine est affreusement sexy. Et avec son air d’indifférence, elle semblait pouvoir se comporter nue le plus naturellement du monde devant sa petite nièce… Grave erreur. Plus je grandissais et plus ma libido augmentait. J’ai toujours été curieuse avec un certain attrait pour le voyeurisme, j’aimais intercepter les interstices de chair de Tantine, maintenant je la désirais vraiment, j’aurais voulu la manger. Elle me rendait toute chaude. Alors une telle proximité avec son corps nu, le bas de son ventre contre mon dos, ses seins glissant sur mon visage, m’affolait complètement. Puis la fenêtre s’ouvrit ; Edwige m’inscrivit : ‘’pseudo ? On va garder ton nom, ma chérie. Il est beau, original et attirera les femmes raffinées.  Ta recherche ? « jf cherche une dame pour lui obéir ». Cela te va, Ariella ? – oui, c’est bien. – J’avais envie d’écrire «jf docile», mais tu te montreras obéissante et c’est ta maitresse qui fera de toi une jeune fille docile.’’

Il faisait chaud dans ce réduit, j’enlevai mon haut, libérant mes jeunes mamelles comme disait Maitresse Iris, je quittai mon pantalon. Edwige me dit «  Je te laisse mon amour. Bonne chance. Si tu as un problème je suis là. Tu sais, ça peut mettre du temps avant qu’une dame te réponde. Ne crois pas qu’elles t’ont attendue !! Mais si à force de faire défiler la liste tu en vois une qui vient d’arriver et si son âge ou sa recherche te plaisent, envoie-lui un petit mot simple comme « Bonjour Madame, je m’appelle Ariella ». Elle te répondra ou ne te répondra pas. La suite est à toi… Tu la relances ou non. Mais tu peux être appelée par une dame qui a lu ta recherche. Réponds à toutes ses questions. Elle te demandera de te décrire. Tu devras être très franche, mais comme tu es jolie, pas de problème. Il se peut qu’elle te demande si tu es expérimentée – elle te dira « est-ce que tu as déjà servi ? », et rien que cette formulation te fera chavirer, ça percutera ton caractère de vicieuse et tu en mouilleras un peu ta culotte encore propre. Mais c’est à toi de savoir retenir une femme, tu devras développer tes qualités de petite fille encore timide mais pas trop.  Ecris comme tu parles, emploie même des jolis mots. C’est l’antidote de la  vulgarité qui malheureusement règne en maîtresse sur ces sites. Malgré ta recherche, des hommes lourds et grossiers t’interpelleront comme des charretiers. Ignore-les. Allez bonne chance. » Je me retournai pour lui faire un sourire et je vis que ces tétons dardaient, très durs, magnifiques. Une légère tache avait grisé sa culotte blanche. Elle sortit me laissant voir malgré elle ses fesses splendides qui tendaient à merveille sa culotte blanche.  Oh, le divin cul de Tantine, je l’adorais au vrai sens du mot. Il a inspiré tous mes fantasmes comme ceux que j’ai vécus avec une dame du net. Rien de plus excitant qu’un cul mais rien de plus excitant que le cul d’Edwige.

Je dois dire que mon désir croissant d’Edwige avait éclipsé un instant l’envie de trouver une dame à qui me livrer. J’avais vraiment de la peine à reprendre mes esprits. Oh Tantine chérie. Tantine ça rime avec tétine, c’est pour ça qu’elle a les plus belles du monde !!! Au bout d’un moment, je me suis mise à lui en vouloir ; elle m’avait charmée et je ne comprenais plus ce que je faisais là en culotte, devant une liste d’internautes. Je la faisais défiler en évitant tous les hommes, il y en avait bien plus que des femmes. L’âge était inscrit – le mien avait été travesti par ma tante, apparaissait 18 ; mais je m’en approchais –  j’excluais les jeunes filles, je voulais vraiment trouver une femme de l’âge de ma vraie maman, 44 ans, ou comme Edwige 46. J’sais pas pourquoi mais toutes les maitresses que j’ai eues avaient à peu près cet âge-là. Moi qui croyais qu’il suffisait d’ouvrir l’ordinateur pour être assaillie de demandes de dialogues, je déchantais un peu. D’un autre côté tous ces prénoms féminins signifiaient que je n’étais pas la seule à me préoccuper de mon sexe, autant de femmes travaillées comme moi par leurs mamelles, leur chatte et leur cul. Tous les pseudos de femmes montraient des désirs très forts, mais pour la plupart, envers d’autres femmes et parfois, mais plus rarement pour trouver des hommes. Puis soudain, tout s’illumina, ou plus exactement tout se brouilla – en fait, les deux à la fois. J’avais cliqué sur le pseudo d’une dame de 40 ans appelée Jennifer. Là où on pouvait se présenter et exprimer une recherche il était simplement écrit « Pour jf et f seulement »

Mon sang n’a fait qu’un tour. J’ai tapé « Bonjour Madame, je suis Ariella » comme avait dit Edwige. Toute fébrile, j’ai attendu et dans l’espace de dialogue je reçus au bout d’un long moment ces mots magiques ‘Bonjour Ariella’. Montée d’adrénaline…tournis…. Excitation nerveuse. Que répondre ?
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- je suis nouvelle Madame

- quel âge as-tu, tu es d’où ?

- j’ai 18 ans, j’habite en région parisienne ; Et vous Madame ?

- Tout à côté d’Arles. Es-tu lesbienne ?

- (toute hésitante – on ne m’avait jamais posé si directement la question) Euhhhh…

- Et bien réponds, si tu ne l’es pas, passe ton chemin

- si si Madame, je suis lesbienne, je l’ai découvert quand j’étais petite, puis au lycée..

- je veux bien te croire, mais il va falloir me le prouver parce que je n’attends aucune autre soumise ; j’en ai plusieurs ici et je n’ai pas besoin d’une autre gamine incertaine…

- (ouh, je voyais que ce n’était pas si facile.)  voui Madame, j’comprends

- décris-toi Ariella

- (elle m’avait appelé par mon prénom….)   Je mesure 1m52, je pèse 50 kg, mon tour de poitrine est  85C, je suis blonde, taille fine, yeux bleus, articulations fines. Ce que je préfère dans mon corps, ce sont mes fesses, Madame. Puis-je vous demander de vous décrire, s’il vous plaît ?

- 1,73 m, 56 kg, TP 95B, abondante chevelure roux foncé, 

(puis on passa l’une et l’autre par nos descriptions vestimentaires. Elle s’intéressait beaucoup à mes dessous)
Je me sentais très inexpérimentée, donc j’avais toujours peur de faire des galles. Elle au contraire semblait très à l’aise.

- je ne suis pas sûr de t’accueillir dans mon royaume avec mes autres protégées qui viennent sur ce site, mais sache, petite fille, que je suis amoureuse d’une seule femme, elle est bien  réelle. Elle ne vit pas avec moi, mais dans une autre ville du sud où elle est enseignante, Elle vient presque tous les week-ends et toutes les vacances. J’ai un très beau chien….

- elle est jolie ?

- ça ne te regarde pas. De quoi tu te mêles ? Tu es une petite fille arrogante et je n’aime pas arrogantes.

- je vous demande pardon, Madame Jennifer. Je ne sais pas encore bien parler ici. Ne m’en veuillez pas, je vous en prie. Je serais très honorée de devenir une de vos soumises les plus dévouées, je suis sincère.

- et pourquoi ça ? Tu ne m’as pas dit si tu avais de l’expérience, petite fille…

- parce que vous m’attirez, Madame, c’est vrai.  J’ai eu des expériences Madame,

-  lesquelles ? Résume

- ce serait long, Madame. Dans un grenier la première fois avec une copine plutôt vicieuse, dans les toilettes de l’école et avec ma professeur d’anglais, puis avec une maîtresse imaginaire, je passais des soirées à me sentir soumise à elle. Enfin je vis seule avec ma tente. Elle est lesbienne et m’a appris bcp de choses.

- Tu me plais, petite fille. Mais je dois réfléchir. Une fille de plus ça prend beaucoup de temps, car si je t’accepte je m’occuperai bien de toi. Donc ça se mérite…

- est-ce que je peux tenter ma chance, je vous en supplie, j’ai l’impression de vous attendre, Madame ?

- reviens demain entre midi et une heure trente, et on verra. Bises

Elle disparut ainsi, me laissant toute bizarre. Et pourtant, je ne le savais pas encore, Maîtresse Jennifer  s’est réellement occupé de moi. Cela a duré presque deux ans, pas tout à fait. Je l’aimais vraiment. Elle se servait si bien de moi. Je raconterai bientôt comment s’est développée notre relation. Elle m’emmenait souvent à Aix-en-Provence où elle avait un mas et là elle se servait de son vaste hall d’entrée pour me dresser. Je crois qu’elle m’aimait un peu. Qu’est ce qu’elle était belle et impressionnante ! Elle se tenait bien droite faisant ressortir en permanence ses seins bien ronds. Vêtue de rouge et de noir, Madame ne quittait jamais sa cravache qu’elle portait avec sa dragonne. Elle savait se faire craindre, mais c’est ce que j’aimais. Elle était attendrie pas mes efforts pour lui obéir et finit par laisser transparaître l’attirance et la tendresse qu’elle avait toujours eues envers moi, me l’exprimant soit en m’accueillant dans son lit, soit en me cinglant avec un art exceptionnel et en me travaillant régulièrement le cul.  J’ai vraiment connu m’humiliation mais j’aimais en même temps mon état de petite salope qui augmentait d’un cran chaque jour. Je jure que c’est vrai. J’aimais autant partager son lit où elle se montrait extraordinairement sensuelle, suçant ma chatte, mes seins et mon cul sans que je ne puisse rien dire sinon m’abandonner sans aucune résistance, je devais lui rendre la pareille,  que l’autre abandon sous le fouet, la cravache que je recevais aussi bien sur la pointe de mes seins que sur les petites lèvres de ma vulve. Un jour si je suis sage, m’avait-elle dit, elle me fera monter par son chien ; je devrai le sucer et quand elle m’estimera prête à me faire saillir, elle l’aidera à poser ses pattes de devant sur mon dos couvert d’une couverture et à bien enfiler la boule rouge de sa bite allongée et fine, dans ma vulve en feu, atrocement impatiente de recevoir en moi le seul mâle de maa vie sous la conduite de Maîtresse. Je le ferai plus pour elle que pour moi.

J’allais découvrir que le net nous fait accomplir en rêve des choses inconcevables, mais à la différence de la seule rêverie solitaire, les plaisirs qu’on en retire sont partagés avec une autre personne, une dame entièrement complice et qui occupe une grande place dans notre vie.…..

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