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Les révelations d'Ariella 13
précédant

Par Donatella

 

 

Les révélations d'Ariella – poèmes vécus

A force de libérer de son ventre tous ses souvenirs et de les revivre avec une intensité émouvante, la puce devient elle-même accroc de cette façon de se livrer à moi. Il fait très chaud, nous vivons toute la journée en maillot de bain au bord de la piscine, prenons des douches et c’est bien souvent que son joli corps me transporte. Mais je suis là pour l’écouter. Elle chantonne et m’a soufflé qu’elle voudrait tenir un journal de ses souvenirs. Elle a envie que chaque jour, je la prenne sur mes genoux et qu’elle me raconte la suite.

Donatella.

 

La forêt et le temple des Villandry
  
J’ai divagué hier, mais aujourd’hui je suis plus sereine. Est-ce parce qu’aucune petite mouche n’est passée par la fenêtre - que j’ai pourtant laissé ouverte pour que ces « orgies particulières » recommencent. Mais rien. Alors cela me donne l’occasion de reprendre cette épopée qui si souvent m’a aidé à trouver le sommeil, l’entrejambes huilé par les images excitantes parcourues dans le domaine des de Villandry. J’ai dit pourquoi et comment a été créé ce domaine et son château, cadeau secret du Grand Roi de Versailles à notre ancêtre Marguerite, la lécheuse de cul attitrée du Roi Soleil - aux rayons innombrables (le cul ou le soleil ?)

Nous n’y  reviendrons pas. Mais si passionnée à décrire dans le détail le fruit de mon imagination du soir nourrie en fait de mes fantasmes grandissants, je me suis arrêtée en cours de route.Comme je l’ai annoncé il me fallait maintenant décrire le temple du Saint Anus construit sur ordre du Roi pour qu’à tout jamais une communauté de femmes vienne y pratiquer le culte solaire et maintenir en vie le feu dont les flammes sortaient de l’anus de Louis XIV quand la langue et les doigts agiles de notre aïeule butinaient de la plus experte façon la pastille du bon roi.

Le temple a été conçu par un architecte célèbre, auteur de Versailles, Jules-Hardouin Mansart. Mais à la fin du XVIIIème siècle il fut profondément transformé par un architecte un peu fou, du nom de Lequeu  dont les dessins n’hésitaient pas à figurer de façon obscène des bâtiments très suggestifs. Ne pas oublier qu’il vivait en même temps que le grand marquis de Sade. Bref, après ces quelques mots d’érudition inutile, décrivons cet étrange édifice, clé de voûte de la fidélité de la congrégation saphique de Villandry.

Avec les loups, le temple est situé au creux d’une très vaste forêt.On y lâche parfois les jeunes filles pénitentes et on organise des battues. Celles qui les ramènent aux pieds de Jeanne, ont droit à s’en servir tout d’abord en public puis ensuite en privé pour une durée que la dame Supérieure aura décidée. Pourquoi dire avec les loups ? Parce que ce loup de Russie, au pelage royal, au regard franc et puissant, à la queue magistrale, répondant au nom de Maréchal et régnant sur une tribu de louves et de jeunes loups, est devenu le Maître de la forêt. Il est en quelque sorte l’homologue de la Grande Prêtresse, Jeanne de Villandry qui règne, elle, sur toutes les femelles de la communauté. Ils sont complices et tenus par un contrat tacite : il arrive à Jeanne d’avoir pour une jeune enfant une sorte d’affection aussi immense que perverse. Quand on peut l’apercevoir par une douce soirée d’été descendre le près en direction de la forêt, accompagnée de sa protégée du moment, on peut se douter qu’elle la mène au loup. L’enfant encore innocente, elle, ne se doute de rien. Mais quand à l’orée du bois, la dame s’arrête tenant par la main la petite insouciante, elle appelle et du feuillage des buissons arrive nonchalamment le Maître de séant. Son pas est lent. La dame le regarde comme on regarde un amant ou une maitresse, avec un sourire de complicité. Elle lui amène un cadeau de choix. Il le sait.

Avec une assurance sans faille, il s’approche de la fillette. Mi-confiante, mi-craintive, la petite qui aime les animaux ne se doute de rien. Très délicatement, la dame la fait avancer un peu dans l’ombre de la forêt pour ne pas se donner en spectacle. Le loup se met à tourner souplement  autour de l’enfant sous le regard brûlant de la Grande Maîtresse. « Elle va relever un peu sa tunique, ma petite chérie, n’est-ce pas ? ». L’enfant est déchirée entre la honte et l’obéissance. Honte de montrer sa culotte à un loup ? Est-ce bien raisonnable ? Mais c’est parce que le regard de Maître Maréchal est plus perçant que celui de tous les mâles de la création qu'elle va s'executer comme un petit automte. Les yeux de la Dame se froncent : l’obéissance est exigée, mâtinée d'une tendresse quasi maternelle car la Maîtresse nourrit pour cette jeunette un grand destin et un grand honneur.

Tremblante, la petite poupée prend timidement le revers de sa tunique blanche et le relève sur ses jambettes de fillette. C’est l’été, elle n’a pas les bas assortis à l’uniforme de rigueur. Sans aucune précipitation, le loup approche son museau des mollets de ce petit chaperon rouge. Il sent les odeurs d’enfant à la peau toute fraîche. Il relève légèrement la tête entraînant avec lui le tissu de l’habit et la culotte est maintenant bien visible. La Dame se ravit à merveille de ce spectacle. « Retiens ta tunique, mon amour, que Maître Maréchal apprécie la beauté de ton petit ventre et tes parfums de pette vierge » En effet le loup pointe son museau aiguisé le long des cuisses toutes neuves. Puis c’est sur le tissu de la culotte blanche qu’il s'attarde maintenant, là où le pubis imberbe bombe légèrement. La gamine frémit. Elle a déjà été touchée par les grandes ou par les dames, même une fois par la doyène de la communauté. Mais là, la situation est bien différente.

Effectivement, le museau humide de l’animal au contact de sa fentinette, même protégée, a quelque chose de troublant. « Baisse ta culotte, mon ange, puis tourne toi, que mon Ami goûte à tes petites fesses et profite de tes odeurs frémissantes. ». Elle s’exécute tout en laissant perler sur sa joue deux grosses larmes. Le loup a tôt fait de contempler cet adorable fessier et de sa langue lape la douceur de ce tendre derrière. La petite pousse un petit cri de surprise, mais visiblement elle n’a pas trouvé ça si désagréable ; Evidemment, le loup non plus, qui lèche à nouveau la raie bien dessinée de la protégée de Mère Jeanne.  nLorsque la langue caressa le creux du cul de la pucelle, elle sursauta, elle rougit de hone, la honte de ressentr comme un plaisir sournois. « Montre-toi, maintenant, face à moi, et desserre tes jambes, tu vois que Maître Maréchal n’est pas méchant… » C’est donc nue que la jeune fille se montre, sa tunique défaite on peut voir les protubérances de ses seins de pubère. A 18 ans, cette petite à la pilosité très éparse a conservé toutes ses qualités d’adolescente et c’est probablement pour cette raison que Maîtresse Jeanne en a fait sa favorite. Le triangle lisse du pubis que sa maîtresse a fait épilé le mos dernier par Mathilde sa secrétaire, renforce son aspect juvénile. Le Loup, lui, n’en a que faire. Il veut la croqer.

Les troubles que ce jeune corps lui procure commencent à s’accélérer en lui. La dame, qui le connaît bien, (si bien d’ailleurs qu’on peut deviner qu’entre Maîtres elle s’est plus d’une fois entièrement livrée à lui), sent que sa bite animale ne demande qu’à quitter son fourreau de fourrure. Elle retire sa main qu’elle avait glissée sous sa longue toge, dénudant ses jambes de quinquagénaire ainsi que les poils grisonnants de sa toison vieillissante – il faut dire que le spectacle et le rythme avec lequel il se déroule sont devenus si envoûtants qu’elle ne se sentait pas en faute. Jeanne s’approche alors de la jeunette debout, immobile, offerte au museau et à la langue qui passe entre ses fesses. Elle pusseun eu le loup qui se mit ausstôt à laper la jolie chatte en sueur. Puis elle passe dans le dos de la gamine en profitant de saisir par derrière ses seins pour estimer l’excitation de ses tétines  et les faire pointer entre sn pouce et son index., Se plaquant davantage encore à elle, elle glisse de long de l’arbre en l’entrainant pour s’assoir jambes ouvertes sur la mousse, tenant devant elle et entre ses cuisses la petite toute nue. Elle lui écarte le compas de ses cuisses. En face d’elles, Maréchal, le souffle saccadé, la langue fumante et la bite de plus en plus sortie. Dans l’oreille de la gamine, Jeanne murmure : « Elle va se laisser faire, la petite fille, hein ? Elle va se laisser faire. Maman est là et Monsieur Maréchal ne te fera aucun mal. » Après toute une série de caresses de tendresse pour éviter au mieux le stress naturel de la jeune fille, Madame la pousse un peu, se redresse demandant à la fillette de se mettre à quatre pattes face à l’arbre et de bien tenir ses genoux écartés. Surtout sans poser aucune question. "Remonte bien ton petit cul." Lui ôtant ses chaussures, elle posa sur cet oeillet un doux baiser.

Pleurant à chaudes larmes, tremblante, la jeune fille prend position. La dame s’accroupit près du visage apeuré de sa chérie. Même si cette position était quelque peu indécente puisqu’ayant quitté sa culotte elle laissait voir sous les lèvres épaisses qui après ses masturbations s’entouraient d’odeurs chavirantes, Jeanne aiderait sa petite à ne pas souffrir ; car cette fois, la jeunette le savait : elle allait perdre d’une minute à l’autre sa virginité. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que Jeanne attendait de Maréchal qu’il la dépucelle tout autant  du cul que du con. Elle allait être déflorée de ses deux orifices le même jour et les deux fois non pas par sa maîtresse ou une autre femme de la congrégation mais par le Loup de là forêt, l’Amant royal de Madame Jeanne.

Maître Maréchal se positionna derrière la petite victime. Renifla son intimité. Répandit du bas des reins au sommet de son triangle les sécrétions émises par la jeune fille. Les yeux de  Madame allaient du visage de la petite à la bite de son maître. Soudain le silence se fit étouffant comme si tous les oiseaux, tous les animaux de la forêt, toute la faune et toute la flore se retenaient de respirer. Comme si tous s’étaient rassemblés en cercle autour de ce point central, le cul bien dressé à la peau claire de celle qui allait devenir doublement femme et femelle. L'attente se fait souffrance. Elle dure.

D’un coup le mâle bien dardé bondit sur le dos de l’enfant. Maîtresse eut juste le temps d’attraper ses pattes avant pour qu’il ne griffe pas sa petite chose si précieuse. C’est donc en appui sur les mains de Jeanne et sur les pattes arrière que Maréchal put faire entrer dans la fente bien ouverte de la puce son membre particulièrement long, écarlate, prolongé d’une boule qui pénétra la première les lèvres de la petite. Avec un art que personne ne peut soupçonner de la part d’un animal, il stoppa son élan entre les lèvres de sa jeune amante pour ne pas l’effrayer et lui laisser apprécier le plaisir d’être ouverte. La dame put lire sur le visage de la jeunette l’expression d’un ravissement total mêlé à une grimace de douleur. Elle n’aurait jamais imaginé que sa vulve pouvait lui donner autant de plaisir, même si très souvent déjà les diverses femelles de la Communauté s’étaient ingéniées à la pétrir pour lui attirer les plus forts plaisirs. Puis la dame, d’une voix bizarre, mi-femme, mi louve, déclara  « …maintenant ! »  Et d’un coup bref, précis et sans hésitation, Maréchal franchit le rideau virginal. Un soubresaut et un cri aigu, plus animal qu’humain. Une grimace et un sourire d’extase. Un baiser de sa maitresse. La bite qui se retire avec lenteur.Un vaet vient un peu brutal. Puis l'union absolue. L'explosion et l'inondation. Lz première. Puis le retrait plein de gratitude. Le regret d’être si vite abandonnée. Les traces de sang tant sur la bite que sur les lèvres. Un sentiment d’amour, d’amour fou pour son amant pas comme les autres, mais tellement mieux que les autres. Puis les caresses de Madame qui la nettoya, essuyant les traces de ce premier coït. On se donna quelques minutes de repos, le loup couché au pied de sa nouvelle conquête sous le regard attendri et comblé de la Grande Jeanne. Jamais la mousse au pied de l'arbre n'avait été aussi douce.

Mais chose promise chose due. Il fallait maintenant déflorer le cul de la jeune fille. Ce serait plus facile car elle avait déjà perdu sa sainte virginité anal lors de son baptême au temple du Saint-Anus. La dame debout, les jambes de part et d'autre des épaules de sa petite chérie, penchée sur les fesses de la petite, la tête toute proche de ses deux petits globes, les lui écarta de ses deux mains, fixant de façon plus médicale que sentimentale l’orifice imberbe de ce cul béni à tant de reprise par le ciboire qu’on introduisait dans le cul des jeunes filles pour les introniser. Elle saliva et de deux doigts elle humidifia cette ouverture, la pénétra facilement, faisant à l’intérieur des petits mouvements circulaires pour assouplir l’anneau que devait franchir le dard de Maître Maréchal. Une fois que Jeanne eut estimé que le cul était prêt à bien recevoir (humm), il allait pouvoir bien prendre (humm). La dame prit la bite du Loup dans sa main (elle adorait ça…), le branla et l’attira tout près du cul. Elle lâcha sa prise et en mouvements d’une rare rapidité et d’une rare violence le loup encula la jeune fille pour, une nouvelle fois, l’inonder de giclées interminables. Même si la petite balançait la tête dans tous les sens, le loup la maintenait de son poids et entendait se vider entièrement en elle. Elle deviendrait mi-femme mi-louve, c’était là le projet de Jeanne. Ainsi sa protégée deviendrait selon elle un ange parmi les anges, un démon parmi les démons, en un mot une chimère. D’essence divine, elle serait vénérée. Elle pourrait désormais siéger aux côtés de la Maîtresse des lieux lors des Cérémonies du temple du saint-Anus. Elle était plus qu'une fille, plus qu'une femme, elle était et serait désormais une femelle, une femelle parfaite

Je vous demande pardon. J’ai tellement vécu de l’intérieur ce conte que sous mes caresses folles que je me donnais toute seule dans mon lit je me suis identifiée à cette jeune fille qui fut plus ou moins forcée à perdre sa virginité de la façon la plus romanesque qui soit. Combien de fois ai-je eu la sensation intime de prendre cette bite si particulière ? Avoir eu la satisfaction profonde que moi aussi je pouvais prendre et bien recevoir aussi bien. Les parois intérieur de mes trous de fille palpitaient de longues minutes et je m'endormais un doigt dans ma chatte, un autre dans mon cul. Plus tard lorsque Maîtresse Isabelle me dépucela en réel, j’ai eu pendant un millième de seconde le souvenir fugitif de la bite de Monsieur Le Loup.

Je finirai bien par vous parler de ce temple… En un mot : il est en forme de cône, ou plus exactement d’un double cône, l’un s’élève du sol, l’autre le pénètre. Tout autour de la circonférence, des gradins et dans l’axe principal, face à l’entrée le trône de Maîtresse et un autre trône à ses côtés, celui de sa protégée, soit de celle qui fut dépucelée par le Grand Maître de la Forêt.  Sur les gradins, principalement les mères et leur fille. Une femme proclame le nom de la première qui recevra le baptême. Les âges sont assez différents, c’est maitresse Jeanne qui en décide. La novice qui a été appelée est prise par la main ; elle va devoir s’enfoncer dans le cratère qui occupe pratiquement toute la surface du temple. On aura compris que ce cratère est l’expression architecturale du Saint Anus. Il est la cavité du monde. Il est assez effrayant. Plus la novice descend et plus les boues se font épaisses, les torches vacillent, les sons deviennent des bruits assez monstrueux. On attend de la novice qu’elle surmonte ses peurs et qu’elle finisse par prendre un certain plaisir à ne pas pouvoir échapper à sa destinée, celle d’être une inconditionnelle de l’analité féminine, en hommage à Princesse Marguerite. Tant qu’elle ne se sent pas prête à devenir une experte du léchage de cul elle doit s’enfoncer, mais dès lors qu’elle trouve en elle  enfin sa  véritable vocation de lécheuse, elle peut remonter.

C'est là qu'elle rencontrera la déesse romaine Tellus, celle des tremblements de terre et des passion infernales, gardienne du feu qu'elle transmet aux petites perverses de Villandry.ant que de fasciElle avait quelque chose d"effrayant au, etant que de fascinant. Elle vit au creux de la Terre tout comm l'anus est au creux de nos fesses. Elle est la déesse des puissances anales. C'est pour ça qu'on ne la connaît pas bien. Les Romains la respectaient. Lors de l'initiation des petites disciples du domaine de Villandry elle tenait une place abslument centrale/ Après avor examiné les qualités de l'initiée, après l'avoir pénétrée de ses doigts et dilatée de sa main, puis éprové ses coups de langues en lui présentant ss intimités  à lapper et à lécher, elle la renvoyait à la lumière. "Tu devras te protéger de la lumière en te glissant sous les toges des mamans, Tu devras ouvrir leu larges cuisses toute chaudes et chercher de la langue la fleur qui pousse entre leurs fesses et dont l'anus est le calice. Tu boiras délicatement ou goulumment selon le désir de chacune des dames visitées." Puis elle la confia à celle qui lui servait de guide initiatique. Placée derrière la petite, elle la pousse par les fesses qu’elle doigte très habilement pour lui signifier que désormais elle fera partie de la grande famille des Villandry.

Une fois à la surface, toutes les femmes l’acclament, elles applaudissent et poussent des cris comme le font les femmes arabes. Maitresse Jeanne lui demande alors de venir à elle et, sous le regard appuyé et de sa protégée et d’elle-même, d’exhiber son petit trou, de bien l’ouvrir et de se doigter elle-même. Ensuite en signe de vénération elle devra devant toute l’assistance, relever les jupes de la Sainte-protégée, de baisser sa culotte et de s’enfouir le visage dans son Cul divin avec évidemment l’interdiction formelle de frôler de sa langue les babines charnues de celle qui désormais, pour être devenue l’amante soumise du Grand Loup, est à considérer comme une nouvelle déesse. Enfin la Grande Prêtresse se saisit du ciboire d’argent et de vermeille, le trempe dans une huile parfumée et doit l’enfoncer profondément dans le Cul de la Nouvelle Femelle de Villandry. Mais cette année-là, Jeanne se tourna vers sa favorite, lui remit, devant l’auditoire médusé, le dard d’argent (d’un bon diamètre) lui faisant l’honneur de procéder elle-même à la consécration de ce nouveau trou du Cul féminin réservé à toutes les femelles de Villandry. Avec un art consommé, le ciboire s’engouffra avec lenteur dans le fondement de la première novice.Comme une pure membrane les peaux de ce trou dilaté au maximum se tendirent à la limite de la déchirure, ventouse passionnément qui fait du cul une bouche baillônnée, signe d'une sodomie réussie. Ce jour-là six jeunes filles descendirent au centre de la Terre pour en revenir avec un appétit sexuel centuplé.

Voila, j’en ai fini avec ce rêve étrange en espérant qu’il trouvera grâce à vos yeux. Perdue dans de tels songes j’ai beaucoup travaillé mon trou des fesses et comme je le raconterai plus tard, toutes mes maitresses m’ont félicitée pour la souplesse de mes sphincters et ont toutes tenté de me mettre leur main entière dans ce fourreau merveilleux. Je jure que c’est vrai. Il faut dire que sous les ordres et les fantasmagories de Jennifer, via internet, je fus encouragée à me dilater. Donc, à  bientôt avec la belle dame de Provence, Madame Jennifer.   

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