Les révelations d'Ariella 09 |
Par Donatella
Les révélations d'Ariella – poèmes vécus
Vous n’avez pas idée à quel point la petite Ariella est mignonne. A raconter avec tant de précision comment elle a découvert ses propres fantasmes, comment ils l’ont transportée dans des terres inconnues, elle n’en est que plus véridique et séduisante de jour en jour. Ses 23 ans ne cachent rien de sa jeunesse, au contraire. C’est en toute décontraction qu’elle se remémore ses instants d’adolescence où les sens éclosent en toute situation. Je ne me lasse pas de l’écouter.
Donatella
Maîtresse Iris, Maîtresse de rêves
Je me suis laissé envahir par la maîtresse de mes rêves. Comme elle me l’avait demandé en me chuchotant à l’oreille de sa voix à la fois impérieuse et tendre, dès la dernière bouchée du dessert, laissant la bonne débarrasser la table, je me précipitais dans ma chambre pour la retrouver et suivre ses instructions. Invisible et pourtant de plus en plus réelle, elle me murmurait des mots doux qui allaient au fur et à mesure de la soirée et parfois tard dans le nuit se faire de plus en plus déterminée, voire méchamment autoritaire. Et j’aimais ça. Elle me dictait le moindre geste et je lui obéissais.
Ce jeu où l’imaginaire se substitue au réel pour pénétrer toute chose me fascinait et j’y abondais de délice en délice, de petit supplice en petit supplice. Oh, je sais que je n’étais pas la seule adolescente à troquer ses ours et ses poupées contre des êtres au propos pleins de vices naissants, je sais que d’autres que moi ont goûté aux premiers élixirs de leur jeune ventre au fin fond de leur couette dans cette période de la puberté où les seins se forment et se font plus saillants et où le duvet de nos petits abricots de gamines laisse la place aux mèches bouclées de notre toison d’or !
Mais quand on s’empourpre à la moindre sensation d’une présence féminine, dès qu’on s’est réfugiée seule dans sa chambre et que loin de tout bruit profane on est entrée dans le temple de nos découvertes, on ne peut que ressentir cette impression de liberté secrète où tout ce qui apparaîtrait condamnable se change en succulents moments de félicité sexuelle. Les interdits sont pour les autres, pas pour nous.
- Bonsoir, ma petite coquine.
- Bonsoir, Maîtresse Iris
- tu en as mis du temps pour quitter la table
- Oh non, Maîtresse, je me suis dépêchée au contraire
- apprends qu’on ne dit jamais non à sa Maitresse. Elle seule sait ce qu’elle dit et elle ne dit que ce qui est vrai. Tu es en retard. Pas la peine de te morfondre. On voit bien que tu es toute novice dans l’art de l’obéissance. Avec moi ça va changer.
- (penaude et intimidée) pardon, Maîtresse Iris. Je suis en retard, pardonnez-moi.
- ça va pour cette fois. Déshabille-toi, garde ta culotte. J’aime les petites comme toi seins nus aux capsules encore bien visibles qui frémissent dans leur culotte. Nous ne sommes pas pressées. Allez, toute nue et vite.
- je n’ai pas de soutien-gorge, Maîtresse
- je vois bien, mais rassure-toi ce n’est pas pour me déplaire. On va procéder à la formation de tes petites mamelles
- Oh…… des mamelles ?
- Oui oui, j’ai bien dit des mamelles, « tes » mamelles de petite chienne prête à obéir à sa maîtresse. Tu t’achèteras un collier de chien dans un supermarché et tu le cacheras sous ton matelas, à moins que ta tante en possède plusieurs. Tu le prendras en cuir et tu le mettras dès la porte fermée, c’est compris.
- Oh voui Maîtresse, c’est promis.
- J’espère bien. Pour ce soir commence par te mettre à quatre pattes et marche dans ta chambre, je veux te voir sous toutes les coutures. Dis donc, il est joli ce petit derrière, il tend parfaitement ta culotte, jolie taille, petite fille. Allez tourne que je vois tes mamelles pendre un peu sous toi. En effet, il va falloir les aider à pousser, mais elles promettent
- …….
- Bien, petite chienne, bien. Viens plus près de moi que je caresse ta tête de petite femelle.
- Oh, Oh, Maîtresse.
- tu vas arrêter de répondre systématiquement par des Oh ? Tu ne sais pas parler ? Qu’est-ce qu’il y a ?
- ça me fait peur d’être traitée de femelle
- il va falloir t’y faire, car avant d’être une jeune fille de bonne famille tu es une femelle comme toutes les femmes de la terre, comme moi, comme ta tante, comme ta mère….
- ne parlez pas de ma mère, Maîtresse s’il vous plaît. Ne la mêlez pas à nos jeux, je vous en prie.
- d’accord, si tu y tiens, mais il n’empêche qu’elle n’échappe pas aux lois profondes de la nature.
- snif
- ne pleure pas. Tu pleureras de honte toute à l’heure. Ce n’est pas le moment. Je n’aime pas les larmes sentimentales, j’aime les larmes de peur et d’abandon. Retiens bien ça.
- Oui, Maîtresse Iris, je ne pleure plus. Je suis à vous et rien qu’à vous.
- Ah, et bien voila qui est mieux. Viens à mes pieds et tu vas les lécher. Un jour tu rencontreras de vraies maîtresses et tu devras t’appliquer à nettoyer leurs chaussures et sucer leurs orteils. D’ailleurs tu vas prendre la pair que tu portais aujourd’hui et tu vas cirer le cuir avec ta langue. Allez petite chienne, je te regarde.
- comme ça ; Maîtresse ?
- oui comme ça, en lapant bien avec ta langue bien large. C’est bon ?
- ben… euh… pas très….
- je ne te demande pas quel goût ça a, mais qu’est-ce que tu ressens, Ariella.
- je me sens humiliée de faire ça, à quatre pattes en train de lécher mes chaussures, mais en même temps je le fais pour vous obéir et j’ai tellement envie de vous obéir.
- voilà qui est bien. Maintenant, imagine que tu ôtes mes chaussures, et tu vas poser ta langue de petite salope que tu es en train de devenir, sur le nylon de mes bas. Tu sens l’odeur musquée de mes pieds ?
- oui, Maîtresse, ça sent la corne et la transpiration. Je n’avais jamais humé de telles odeurs.
- il va falloir que tu apprennes à aimer les odeurs de femmes. Il y en a de toutes sortes. Demain tu porteras des bas et tu sentiras devant moi l’odeur de tes pieds, puis je t’apprendrai à sentir l’odeur de tes aisselles, l’odeur de ta chatte bien sûr, mais aussi l’odeur de ton petit trou, ne t’inquiète pas c’est beaucoup moins sale que tu crois. Mais pour l’instant reste entre les jambes de ta maîtresse, viens sous ma jupe.
- oui, c’est parfait, mets ta jupe sur ta tête et tire ta langue.
- oui Maîtresse, je le fais, je le fais et ce sont vos cuisses au-dessus de vos bas que j’ose lécher.
- Ose, ma chérie, ose lécher la peau fraîche de ta maitresse, mais il est interdit de pointer ta langue sur ma culotte. Tu peux y approcher ton nez, t’enivrer de mes parfums de femelle toute chaude mais en aucun cas me toucher. Tu aimerais bien, hein, et bien non, tu ne le mérite pas encore.
- mamm… mada….. maîtresseee, s’il vous plait…..
- Ne triche pas, sinon je disparais instantanément et tu ne me reverras jamais plus. Tu auras l’air ridicule de te promener à quatre pattes sans pouvoir retrouver ma présence. Je suis là pour que tu obéisses et c’est ce que tu veux, non ?
- Oh vvouiiii, je le veux plus que tout Maîtresse Iris, je vous aime déjà très fort
- ……. (silence)
- Dans ce cas, on va passer à des jeux plus excitants. Tu vas sortir de ta chambre, mets ta nuisette au cas où tu croises ta tante, ou plutôt ta robe de chambre, elle cachera mieux ce que je vais te demander. Vas chercher des pinces à linge dans la buanderie, prend trois bougies, si tu en trouves torsadées c’est mieux, et ramasse dans la panière à linge la culotte qu’Edwige a portée aujourd’hui. Mets tous ça dans la grande poche de ta robe de chambre et reviens vite
- mais… Maîtresse….
- c’est ça où je disparais comme une fée et tout est fini entre nous…
- j’y vais, Maîtresse, j’y vais ; je reviens tout de suite avec tout ;
- je t’attends, tu te dépêches. Plus tard je te demanderai de prendre de la ficelle. Il faudra que tu achètes un martinet dans un bazar, ça se vend encore. Mais pour ce soir, pinces à linge, bougies et culotte sale suffiront.
- (trois minutes après) voilà Maitresse. Edwige était dans sa chambre. Il m’a semblé avoir entendu comme des râles, elle devait se caresser…
- pose tout ça sur ton lit, étale bien la culotte de ta tante, les pinces et les trois bougies. Enlève cette robe de chambre. Il est temps d’enlever ta culotte. Viens vers moi, c’est moi qui vais te déculotter.
- pouvez-vous redire ce mot « déculotter » Maîtresse. C’est un des mots qui me fait fondre, je l’adore.
- je vais te DECULOTTER, petite Ariella…. Il y a d’autres mots qui te troublent comme celui-là ?
- Voui ; j’ose pas les dire
- tu n’as pas le droit de ne pas me répondre, tu le sais, alors vas-y
- J’aime bien le mot servir pour dire qu’une fille n’a pas encore servi, que rien de son corps n’a servi au plaisir de quelqu’un. J’aime bien aussi le verbe « prendre » pour die qu’un cul prend bien, et encore le verbe « recevoir » pour dire qu’une chatte ou qu’un cul reçoit bien. Et enfin le « laisse-toi faire » susurré dans l’oreille par une voix chaude et très vicieuse…
- tu es un régale, ma petite salope. Si jeune et déjà si perverse. Où as-tu appris tout ça ?
- c’est à l’école, c’est ma copine Mylène qui me disait « déculotte-toi, je vais te prendre le cul, je suis sûre que tu reçois bien, viens, laisse-toi faire, elle va se laisser faire la petite Ari, n’est-ce pas ? »
- bien, alors approche, face à moi. Tiens-toi droite, ouvre légèrement les jambes, à peine, que je puisse faire glisser ta culotte. Tu sens mes doigts sur tes belles hanches d’adolescente ? je tire sur l’élastique tout doucement, très lentement. Je t’effeuille, ma chatte. Ta peau est très douce. Je la fais rouler sur tes fesses que je peux caresser. Tu me rends dingue, petite chérie. Des fesses toutes neuves, qui n’ont pas servi….
- oh Maîtresse, je sens l’air sur la peau de mes fesses et même un peu dans ma raie.
- une jolie raie profonde et bien droite que mes doigts suivent parfaitement. La culotte est maintenant au ras de tes fesses, là où elles sont le plus charnues. Je tire sur les côtés, et juste à la hauteur de mes yeux, ton petit ventre et maintenant ton pubis apparaît, je continue insensiblement la descente du tissu et j’accède aux mèches courbes de ta toison dorées, encore clairsemée. La peau du bas de ton pubis est à la hauteur de mon nez. Hummm, quelle jolie odeur de petite fille. (ça mouille ma culotte). Puis je te dégage le sexe et vois la fentine avec ces deux petites babines. Visiblement elles n’ont pas servi non plus. Je fais courir ta culotte le long de tes cuisses et le tissu résiste, pris entre tes lèvres qui le retiennent, dernier bastion avant ta nudité de bébé. J’adore la tension d’une culotte dont le fond est encore prisonnier de la fente refermée sur lui et qui cède quand on te déculotte. Voilà, tu es nue, mais je garde le tissu de ta culotte au-dessus de tes genoux. Je l’examine et y découvre une tache grisâtre provoquée par une petite flaque de cyprine. Alors, comme ça, porter un collier de chienne, lécher des chaussures à quatre pattes et aller subtiliser des objets pour la suite des opérations, ça te fait mouiller ? Pour le vérifier je passe mon majeur dans ta fente. Ton soubresaut me plaît, tu es sensible et humiliée à la fois… En effet tu es déjà très humide. C’est parfait. Reste debout.
- Ma Maîtresse, ma maîtresse…. Maîtresse Iris… je ne me suis jamais sentie aussi nue…
- Donne-moi les pinces à linge dans leur petit panier d’osier. Elles sont en bois, c’est parfait. Tu vas obéir, n’est-ce pas. Je ne veux pas t’entendre. Tire sur la peau élastique de ta mamelle gauche, mieux que ça, n’aies pas peur elle ne va pas se déchirer !! puis ouvre cette première pince, approche-la de la peau tendue et fait la mordre ta mamelle fragile.
- A.. Aïeeee, Ouille…..
- Pas un mot, sinon c’est une gifle. Si tu veux être une bonne soumise tu dois apprendre à souffrir en silence. Une autre à côté de la première en tirant de la même façon sur ta molle mamelle. Oui, c’est bien. Tu en remets deux autres de l’autre côté de ce sein qui prend un bel aspect. Voila, regarde comme tu es belle. C’est quoi cette grimace ?
- ça fait mal, Maîtresse
- ce n’est rien, tu verras ça fait beaucoup plus mal quand on les enlève. Maintenant que tu sais faire tu vas le faire sur ta mamelle droite. Allez, je regarde.
- HUUmm Anhh…
- oui retiens toi de te plaindre…. Et bien tu vois ce n’est pas si terrible. Maintenant c’est moi qui vais porter l’estocade. Je vais étirer tes pointes de fille, ces deux tétons arrogants. Si tu es sage je te les travaillerai pour que tes futures maîtresses en profitent à l’envi. Je suis sûre qu’on peut tirer un bon parti de tes petits pis de génisse. Je vais prendre le téton droit et y poser une pince en pastique, la morsure est plus douloureuse. Tu as le droit d’hurler. Oh, comme tu es charmante comme ça ! Je finis le chef d’œuvre par une seconde pince sur le téton gauche. Regarde-toi dans la glace.
- AAAAAAAAHHHHHieeeeeeeeeeeeeeee ; OOUUUillleeeeeeeee !!!!!
- Calme-toi, p’tite puce. Tu vas vite d’y habituer.
- snifffff
- tu pleures ? Oui pleure, mon ange, Tu es si attendrissante. Si jeune, si neuve et ornée de dix pinces…. Tu me fais craquer. Je mouille ma culotte, je la quitte et essuie mes coulées toutes visqueuses avec la culotte d’Edwige que j’ai sentie avant de l’utiliser. Elle sent le caramel ta tantine, tu le savais ? Hummm, ces petites amantes doivent se régaler
- sniff sniff, sniff
- arrête de renifler comme ça. Mets tes mains dans le dos et sautille sur place. Fais bouger ces mamelles de jeunette. Allez, sinon c’est une fessée pour t’apprendre à sauter, une fessée avec un doigt dans ton cul. Oui bien sûr ça fait un peu mal, mais c’est ça la vie de petite soumise. Je suis contente de toi.
- maitresseee
- quoi ?
- …. Je crois bien que je vous aime
- … (nouveau silence de Maîtresse Iris)
- Arrête-toi de sauter. Tiens, je passe la culotte de ta tante sous ton nez, tu sens ce parfum exquis, maintenant sors ta langue et lèche ma mouille toute neuve. Applique-toi bien. Mais toi aussi tu mouilles, alors je vais aussi enduire ce tissu de nos mouilles mêlées. J’enfonce le tissu le plus profondément en en profitant pour goûter aux plaisirs de tes chairs si tendres. Et dire que je t’inaugure, ni ta chatte, ni ton cul, même pas tes mamelles non plus, n’ont encore servi. Vierges
Je me vois dans la glace, les seins alourdis par les pinces, le visage rougi par les larmes, les traits tirés d’avoir crié et grimacé et la chatte d’où pend la culotte de Tantine imbibée des sécrétions de Maîtresse Iris. Je ne sais pas si j’ai honte ou si je suis fière. Ni l’un ni l’autre, je suis moi dans les mains de mon imagination plus que débordante. J’ai fait naître ma maîtresse qui maintenant me domine entièrement. Ce qu’elle me fait, je me le fais, ce qu’elle m’ordonne je l’exécute.
- Allonge-toi, écarte tes jambes, relève les genoux bien ouverts, replie-les sur ta poitrine. Non, garde tes pinces jusqu'à ce que je te les enlève. Avec tes mains ouvre au maximum tes deux trous. Je vois quelques poils blonds près de ton joli petit cul tout neuf. C’est émouvant. Tu aimes être dans cette position indécente. Tu l’as déjà fait, j’en suis sûre. Exposée à tout.
- vi madame, je l’ai déjà fait
- Tiens prends une première bougie - tu n’en as pas trouvé de torsadée, ce n’est pas grave. Cherche ta chatte que tu ne peux pas voir dans ta position allongée, genoux repliés. Tu es tellement gluante que sans le moindre effort tu glisses cette bite de cire dans ton trou de fille. C’est parfait ; je ne te demande pas si tu aimes, tes yeux mi-clos et ta bouche entrouverte le disent pour toi. Ne l’enfonce pas trop loin, je ne veux pas que tu te déflores toi-même, je laisse ce privilège à Edwige.
- c’est une révélation importante, Maîtresse, que vous me faites-là. C’est vrai que j’aimerais tant que ce soit Edwige qui me dépucèle. J’espère qu’elle le fera bientôt.
- tais-toi, vise maintenant ton petit trou et perfore-le avec la bougie, Enfonce-la doucement, mais ça glisse assez bien parce que tu es une petite mouilleuse du cul. Allez fait la glisser encore, Je vois que tu la sens, elle a pris le conduit intérieur. Encore, encore. Je ne veux voir qu’un petit bout dépasser de ton cul. Tu sens, elle finit par butter au fond de ta caverne brûlante. Tu vas la garder longtemps et quand tu la ressortiras tu verras qu’elle aura pris la forme courbe de l’intérieur de ton trou du cul tout chaud. Ce n’est pas fini, Ariella. Il te reste une troisième bougie. Tu vas la mettre dans ta chatte baveuse qui est tellement gluante qu’elle n’arrive pas à maintenir la première bougie. Comme ça, avec celle-là, tu la coinceras. Pour une prochaine fois, tu achèteras des bougies plus grosses car pour ton âge tu as une chatte facilement dilatable. Ce n’est pas un défaut, au contraire tu as de la chance, tes maitresses pourront te fister aisément.
- Maîtresse, j’y suis arrivée. Je transpire, est ce que peux m’étendre ?
- Oui pas de problème. Quand tu seras bien allongée la bougie de ton cul va remonter un peu plus haut. Les jambes serrées celles de ta vulve resteront en place. C’est joli de voir tes pinces se dresser comme des petites bites sur tes mamelles. Avec ta respiration elles bougent un peu en rythme régulier. Tu es en sueur, mon ange. Pendant que tu te reposes, regarde ma chatte toute trempée au milieu de ma toison un peu grisonnante. Elle te plaît ? Et mon cul ? Qu’est-ce que tu penses de mon cul.
- vous êtes magnifique Maîtresse Iris, j’aime vos formes, j’ai l’impression d’être votre petite fille et que vous êtes ma maman. Je vous garderai toujours dans ma chambre. Est-ce que peux toucher votre cul, s’il vous plaît.
- fais mon petit, fais
- je mouille mon index, ouvrez bien vos fesses, Maîtresse, s’il vous plaît. Oui, comme ça. Je fixe l’œil de votre cul, votre troisième œil qui me regarde à la fois sombre et goguenard. Je pointe mon index et moi, la gamine de quinze ans, je touche pour la première fois les stries étoilées de votre anus, et m’approche avec l’ongle du point focal qui est la porte d’entrée de votre caverne d’Alibaba. Je touche, oui je touche. C’est chaud. Puis j’appuie et sans grande difficulté je glisse entre les parois circulaires de cette porte secrète, je la force et ma première phalange est passée et éprouve la chaleur humide de cette grande et belle salle obscure. La deuxième phalange ne se fait pas attendre. Je crochète alors votre anus …. Quand je pense que toutes les femmes que je croise dans la rue ou dans le métro ont toutes un petit trou à prendre, à sucer, à ouvrir… je deviens folle.
- caresse-toi petit chou, c’est le moment. Branle bien ce clitoris, c’est lui qui va te faire accéder à l’orgasme que tu mérites, Deux petites secondes encore, attends que je te délivre de tes pinces. Reste couchée et sois bien courageuse, ça fait très mal mais ça ne dure pas très longtemps. Et d’une-------- AAââââhhhh . Et de deux ---------- HIn hin hin. Et de trois…, et de 4, de 5, de 6, de 7, de 8, de 9 et de10. Tes mamelles sont couvertes de morsures blanches, mais le sang va revenir. Sans difficulté je retire les deux bougies de ton con crémeux, Ouvre tes jambes que je retire la bougie de ton cul. Voilà. Regarde ce que la chaleur de ton cul en a fait. Tu souris…. Maintenant fais-toi jouir, ça va venir très vite
Je me suis caressée mais aux premiers pincements de mon clitoris, j’ai explosé dans un orgasme qui n’en finissait pas. Je me tordais dans tous les sens, me cambrais, retombais pour mieux m’arquer ensuite. Ce fut un vrai combat avec moi-même, une danse folle, puis je suis tombée toute molle, Instantanément, le sommeil m’a enseveli ; ma maîtresse s’était évanouie dans les airs. Je la retrouverai tous les soirs et parfois en ville. Mais il fallait que j’aille au lycée, et un jour en rentrant plus tôt du lycée, il m’est arrivé une drôle d’aventure.