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Les révelations d'Ariella 06
précédant

Par Donatella

 

 

Les révélations d'Ariella – poèmes vécus

Envahie de trop forts sentiments, la petite Ariella n’avait pas pu continuer son récit. D’épuisement, elle s’était endormie. Je l’ai prise dans mes bras pour la conduire dans son lit. Comme elle était belle, vêtue seulement d’un boléro, le ventre et les jambes nus ! Je viens d’aller la réveiller, impatiente de connaître la suite de ce jeu que sa tante appelait « Douleurs délicieuses. » Encore dans son lit et moi à côté d’elle, elle poursuivit avec plaisir.

Donatella

Edwige Edwige, le soir

Edwige : Douleurs délicieuses 2

« La nuit m’a fait beaucoup de bien et les vapeurs trop fortes de mes émotions d’hier ont disparu. Je peux reprendre mon récit, quitte à replonger dans des souvenirs qui risquent bien de me faire regretter de ne pas porter de culotte et risquer de maculer les draps de mon lit.

Ce jour-là, Edwige n’avait pas de cours. Maintenant qu’elle savait où j’en étais de mes découvertes successives venues à moi dans une cascade de vérités qui deviendront le ferment de ma vie, ou mieux les raisons de ma vie de petite soumise. Comme je l’ai déjà dit, tantine le savait depuis longtemps que j’étais une lesbienne vicieuse et soumise (tout était là déjà dans le grenier), mais elle a beaucoup apprécié que je le lui dise moi-même.et que je reconnaisse que, bien qu’encore toute jeune, je suis une « petite lesbienne vicieuse et soumise ».

« -  Tu as encore beaucoup de choses à apprendre, ma chérie. Tu as perdu connaissance avec les amies de Madame Graslin et tu as préféré faire une petite chute d’amnésie. Je peux le comprendre et c’est mieux ainsi. Tu n’étais pas préparée. Le jeu éducatif d’aujourd’hui va se faire en deux temps : un cours de théorie-discussion, et ensuite un exercice physique pour voir tes aptitudes à la souffrance.
- À la souffrance, tantine ?
- Oui, mon ange, j’ai bien dit à la souffrance, mais je n’ai pas dit à la cruauté, ni à une certaine forme dégradante d’esclavage.
- Oh, pourquoi parles-tu d’esclavage ?
- Parce que parfois certaines maîtresses confondent soumission et esclavage.
- Tu sais, tantine, je sais maintenant qu’il y a une petite soumise en moi, mais je n’ai eu comme expérience que la docilité qu’a exigée Madame Graslin de moi, et en plus je devais jouer le rôle de sa petite fille qu’elle examinait sur la table de la cuisine.
- Oui, oui, c’est bien pour ça que tu n’as pas supporté la badine et la cravache de ces malades. Comment ont-elles pu abuser ainsi de ton si joli corps, si frêle, si frais. Il faut que tu apprennes que certaines femmes mûres sont jalouses de leur soumise et que si elles sont dominatrices et perverses ce n’est que parce qu’elles voudraient être encore jeunes et asservies.
- Oh ! mais des bonnes maîtresses, ça n’existe pas ?
- Comment imagines-tu une « bonne maîtresse » comme tu dis ?
- Ben, une dame expérimentée qui a envie de posséder une fille pour s’en servir autant avec tendresse qu’avec perversité. J’sais pas. Je ne peux pas vraiment dire, mais un mélange de directives pour m’apprendre à obéir à ses caprices…
- Oui, je peux t’assurer que ces maitresses existent, mais tu dois savoir que pour te faire obéir à des exigences dont tu n’as pas encore idée, elles n’hésiteront pas à te punir assez durement ; d’ailleurs c’est ce qu’elles aiment.
- Il faut toujours être toutes nues avec ces dames ?
- Évidemment mon cœur. Certaines peuvent te proposer des vêtements qui te mettront en valeur, ou qu’elles se plairont à faire bailler pour le plaisir d’y infiltrer leurs mains. Tu sais, il n’y a rien de plus excitant que de glisser une main sous l’élastique d’une petite culotte dont on a caressé un très long moment le fin tissu. Toucher une peau moite et chauffée par le frottement  prédispose une maîtresse à intervenir avec autorité sur sa petite victime.
- Mais je ne suis pas une victime, tantine, je veux pas
- Si, ma puce, si si, tu le seras et aimera l’être… J’imagine que Madame Graslin en faisant de toi sa petite fille et se faisant elle-même ta maman, a cherché avant tout à satisfaire ses désirs de mère vicieuse, mais ne s’est pas intéressée à ton éducation. C’est un cas assez courant chez les maitresses.
- Je ne comprends pas ;
- En fait tu étais prise dans un jeu de rôle, ma chérie. Ce n’était pas toi qui souffrait, c’était ton double, à savoir la petite fille de maman Claudine
- Pourtant c’est bien dans mes fesses qu’elle mettait ses doigts
- Ne te fais pas plus sotte que tu es, tu m’as parfaitement comprise, Ariella
- ….
- Il faut que tu saches que toute soumise est humiliée et souvent fessée, ouverte, peut-être fouettée, mais aussi prêtée ou simplement exhibée. Toujours engodée.
- Mais Tantine, c’est affreux !
- Pas du tout mon poussin, pas du tout, car si tu tombes sur une excellente maîtresse, elle te fera tout ça à la fois autant pour ton plaisir que pour le sien
- On aura le même plaisir ?
- Non, pas du tout. Elle aura un sentiment de puissance, elle aimera faire de toi tout ce qu’elle voudra, et toi tu jouiras de l’honneur qu’elle te fait de vouloir te pousser toujours plus loin
- Ah ?!  mais…. Comment elle fera, qu’est-ce que je devrai faire ?
- D’abord elle te testera
- Comme un petit animal ?
- Oui exactement, et tu ne devras pas sourciller
- …
- En fait, une excellente maîtresse a pour but de te faire entrer dans son cheptel et faire de toi une non moins excellente femelle qu’elle sera fière de montrer en club ou à ses amies proches.
- Oh, mais ... je ne te verrai plus ?
- Calme-toi on y est pas encore.
- C’est donc ça la souffrance, c’est intérieur, c’est se sentir humiliée ?
- À la fois oui et pas seulement. Tu as raison l’humiliation est le meilleur moyen d’asservir une jeune fille que l’on veut conserver, mais les séances de fessée ou de maltraitance des seins, l’usage de tout ce que la pudeur cache à tous, en fait tes trois orifices ne t’appartiendront plus en propre. Ton intimité toute entière sera à la disposition de ta maîtresse.
- Oh non, j’ n’y arriverai jamais, Edwige, j’pourrai pas !
- Les meilleures soumises sont celles qui ne veulent pas l’être. C’est tout le plaisir du dressage de la Maîtresse, elle te retiendra avec des armes que tu ne connais pas
- Comment ça, des armes ?
- En te procurant des plaisirs immenses, mais parfaitement contrôlés. Elle saura te faire progresser. Tu ne crois pas que tu vas être fouettée le premier jour. Tu devras commencer par lécher ses chaussures, sucer ses pieds, et rien que ça et tu abdiqueras de toute résistance.
- Des fois j’aimerais sucer tes jolis pieds, tante Edwige
- C’est gentil, petite coquine
-…
- Il faut que tu saches que les maitresses dignes de ce nom ne te prendront jamais à demeure, mais te feront venir pour des séances ou éventuellement des séjours.
- Oh j’préfère
- Oui, mais au bout d’un moment tu auras envie de rompre les amarres et ne vivre que pour une de ces déesses. Il te faudra l’avoir formidablement séduite. Mais tu sais, rares sont les maîtresses qui acceptent de tomber amoureuses de leur soumise
- En fait j’aimerais bien…
- Ne rêve pas, Ariella. En plus l’amour ne se commande pas.
- Pourtant j’ai bien cru que je suis tombée amoureuse d’Yvette, de Mylène (la fille des cabinets de l’école) et de Madame Graslin…
- Mais non, mais non, c’est des fesses d’Yvette, de celles de Mylène et de son con trempé, des doigts et des baisers de Madame Graslin dont tu es tombée amoureuse, en d’autres termes  de toutes les femmes et d’aucune
- Pourquoi dis-tu ça ?
- …. J’ai connu ça avant toi, mais ne pose pas de question, d’accord ?
- Pardon Tantine. Continue s’il te plaît
- Non. Lève-toi et déshabille-toi, en un mot je te veux toute NUE.

Elle me sortait d’une sorte de rêve provoqué par ses paroles, de sa voix assez douce pour me faire approcher les douleurs que doit endurer une petite soumise. Je dois dire que mon attention était totale, parce qu’il y avait l’attention mue par la peur et l’attention mue par l’excitation. Tout ça, ça grondait dans ma tête et aussi un peu dans mon ventre. En plus j’étais surprise d’apprendre comment ma tante, la sœur de maman, était à ce point experte en la matière. J’étais très impressionnée. Ce n’est pas dans les livres qu’on apprend tout ça, c’est avec nos petites fesses, non ? Je fus très vite nue, entièrement nue. Elle, elle avait revêtu un pantalon que je ne lui connaissais pas, un pantalon d’un cuir extrêmement fin, verni et extraordinairement moulant. On aurait dit du latex, mais c’était du cuir. Avec les reflets de lumière, on voyait par instants les moindres renflements que ce soit de ses cuisses, de ses fesses, de son pubis ou de ses lèvres gonflées, mais aussi les moindres ombres et les creux de la raie de ses fesses et de la fente de sa chatte. Ses seins étaient nus. Elle portait des escarpins.

- Mon petit chéri, ma petite chatte adorée, nous allons passer aux exercices. Tu es prête ?
- Oh oui, Tantine.
- Va lentement, en te déhanchant un peu, chercher la cravache.
-….
- Mets-toi à quatre pattes et apporte-là moi dans la bouche.
Je lui tendis comme une petite chienne obéissante ; elle prit sur une étagère près d’elle un bâillon.
- Relève-toi. … Tu vois, ceci est un bâillon. Les maîtresses l’utilisent quand elles savent de la petite fille va hurler.  Ce n’est pas un instrument de torture mais rien qu’à le présenter il suppose des cris, des hurlements, donc des douleurs cuisantes. Nous l’utiliserons peut-être toute à l’heure
- Oh non Tantine, tu ne vas pas me faire mal, dis !
- Mais il faut que tu apprennes la douleur, mon ange. C’est ta destinée. Un jour tu me remercieras de t’avoir préparée à souffrir. D’ailleurs si tu te montres un peu moins craintive, ta maitresse y sera très sensible, ou bien elle estimera qu’elle peut obtenir de toi plus qu’elle imaginait, ou bien elle se montrera douce et maternelle te manifestant sa satisfaction.
- D’accord, tantine. Je suis d’accord.
- Je ne crois pas t’avoir demandé ton avis. Tu ne dois jamais dire ça à une maitresse. Tu dois être silencieuse, muette, et surtout pas pour dire si tu acceptes ou si tu refuses.
- Vi, pardon
- Bien : alors on va pouvoir commencer. Tu as compris j’espère qu’une soumise c’est fait pour être humiliée (traitée comme une chienne) – plus rarement, mais ça peut arriver, pour être méprisée (moi je n’aime pas ça, tu dois le refuser quitte à changer de maîtresse, d’accord ?
Tu sais, il y a une éthique des maitresses fondée sur le respect, d’ailleurs on trouve beaucoup plus de respect dans ce monde que dans celui de tous les jours… Et que c’est fait pour connaître la douleur et de progresser dans la douleur.
- Pourquoi Edwige ?
- Et bien précisément c’est dans la douleur que le plaisir est le plus intense. La douleur atteint un point culminant où convergent d’une part l’adresse passionnée de la maîtresse, son profond plaisir et son extrême satisfaction que lui procure les souffrances qu’elle inflige, d’autre part les gémissements, les cris, les pleurs et les zébrures expressives de la petite soumise, de plus en plus fragilisée. Au moment où la maitresse se garde d’être cruelle et de tomber dans le délire mais se sent étonnamment puissante et possessive, quand ses seins semblent plus pleins que jamais et que son sexe se charge de sucs étrangement abondant, la petite sombre entièrement. Mais elle ne sombre pas dans la douleur, mais dans le plaisir. Le plaisir de sombrer. Rien n’est plus fort que le plaisir de sombrer dans l’abandon absolu. Je peux te dire qu’il n’y a rien au monde de plus beau qu’une petite femelle qui naît de la rencontre entre les supplices et les délices.
- Oh oui je le veux, je le veux, mais est-ce que je le mérite, Maîtresse ?
- Tu sais bien amour que je ne suis ni ne serai jamais ta maîtresse, mais je trouve émouvant que ce mot t’aies échappé. Ceci dit, avec des exercices de préparation tu atteindras les cimes du royaume des femelles divines.
- Mets tes mains sur le dessus de la cheminée, écarte tes pieds – beaucoup plus que ça, recule, garde les mains sur la cheminée mais tend ton cul en arrière. Cambre-toi. Oh comme tu es indécente comme ça, mon bébé ! Une vraie salope, ma foi !
- ….
- Te voir dans cette position, c’est déjà terriblement craquant, je dois dire. Tu as un si joli derrière, surtout quand tes fesses sont détachées l’une de l’autre et que ta raie s’est élargie dans cette position. Tu es aussi belle qu’un papillon épinglé…. Ta petite vulve, elle aussi, est ouverte, je vois que tes muqueuses suintent déjà, petite cochonne ; Tu aimes ça, petite fille vicieuse.
- Viiiii, hummm mmm m
- Ne bouge pas, je vais passer ma main en dessous de toi pour tirer sur quelques uns de tes poils. Chut….. Ça ne fait pas si mal que ça… Je m’accroupis pour voir de près tes deux orifices jumeaux. Je souffle dessus, Tu as encore des odeurs de petite fille, dis donc… ? Si ce n’étais pas toi, ou si tu n’étais pas ma nièce, je t’aurais sodomisée avec un, deux ou trois doigts car je t’informe que ton petit cul est tout mouillé. Tu mouilles du cul, ma petite. Je suis fière de toi ! Tu as toutes les qualités, sale petite charmeuse
-…..
- Ouvre bien la bouche, et garde les mains sur la cheminée, je vais te passer le bâillon dans la bouche, le fixer par la lanière de cuir derrière ta nuque. Oui voilà, comme ça.
- HumggrrrhummmggGgGGrrr
- Ne bouge pas. Beaucoup, sinon toutes, de maîtresses te fixeront des pinces à seins, j’en ai choisi pour commencer des pas trop meurtrières. En même temps, je te préviens, le plus douloureux dans les pinces ce n’est pas tant de la mettre, mais c’est de les enlever ; le sang afflue d’un coup.
- Hiiiifffiiiihhhhiii
- Chut, ce n’est pas si terrible. Et encore je ne t’ai pas mis des  poids supplémentaires.
- …
Clac…. Clac….. Vlan…Clac…… Clac….   Humm ces fesses, Vlan Vlan, Clac Clac Clac….
Tu es bien résistance, c’est encore un bon point pour toi. Je m’accroupis à nouveau pour. Te caresser les fesses ; elles sont toutes lisses et toutes chaudes. Que vois-je ? Tu es toute trempée, absolument trempé ; tes cuisses ruissellent de ta mouille abondante. Tu as joui, mon ange, tu as joui comme une folle. Tu peux changer de position. Je défais ton bâillon. Tes cheveux se collent sur ton visage en sueur, ton cul est rouge, ta bouche encore baveuse d’avoir été remplie. Tu te laisse tomber par terre et tu viens me lécher les pieds. Tu cires de ta langue mes escarpins. Heureusement que je ne perds rien des limites que je me suis toujours imposées à ton égard, sinon…..

- Tantine adorée, je t’aime à la folie, tantine je  te remercie mille fois. Oui, j’ai compris qu’il existe des Douleurs délicieuses.
- Va te reposer, à plat ventre sur le lit, je vais te mettre de la crème sur tes craquantes petites pommes. Je mettrai dans ton petit trou du cul un plug à la fois comme récompense et pour que tu commences dès maintenant à bien prendre, car tes maîtresses te travailleront ta petite caverne.
-Snif !
- Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
- J’sais pas.
- Tu vas dormir un moment.  Tu as été superbe. Je vais vraiment faire de toi une soumise d’excellence.  Repose-toi, tu retournes au lycée lundi ou mardi prochain. Mardi, je rentrerai tard, sois sage. – C’était sans savoir que sur le chemin du retour je trouverai l’interdit…

 

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