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La punition de Cécile (2)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 02

            Le moment du repas du soir apporte lui aussi sa dose d'avanies, oh combien ! Il m'est amené par les deux jeunes femmes que je connais, la Blonde et la Noire. On me détache du lit, on me remet la barre entre les chevilles, on me conduit devant deux écuelles posées à même le sol, l'une contenant de l'eau, l'autre une espèce de patée peu ragoùtante et elles m'expliquent que dorénavant, je prendrai mes repas à quatre pattes, comme un animal domestique !!! Elles m'aident à me mettre à genoux et relient mes poignets dans mon dos : en effet, dans cette position humiliante, je ne peux, si je veux boire ou manger, que plonger mon visage dans l'une ou l'autre des deux écuelles... Au début, je m'y refuse par un sursaut de ma fierté malmenée, mais j'ai faim et surtout très soif et je cède, lappant de l'eau et avalant de la patée au goùt indéfinissable et pas vraiment agréable... Les deux filles se moquent de moi, dans le style "Mais c'est qu'elle a faim, la petite chienne !", l'une me caresse même mes fesses relevées et écartées par la position, comme on le ferait pour un animal.
            Quand j'ai fini de me nourrir, elles me disent de rester dans cette position pour me donner un lavement. Décidément, dans cette clinique, rien ne me sera épargné !!! L'une élève le bock qu'elle vient de remplir d'eau tiède, l'autre se penche entre mes fesses et enfonce la canule fine mais longue dans mon anus que bien sùr je ne peux soustraire à la pénétration. Tout de suite je sens l'eau s'engouffrer dans mon intestin. Puis la canule est retirée de mon derrière et je suis laissée ainsi un moment, jusqu'à ce qu'elles m'autorisent à aller me soulager sur la cuvette à la turque, sur laquelle, toujours entravée, je m'accroupis maladroitement. Ma pudeur est violée, de devoir ainsi satisfaire mes besoins les plus intimes devant elles, mais je ne peux faire autrement que de me vider longuement et bruyamment en leur présence. Quand c'est terminé, je dois m'asseoir sur le bidet, car ici non plus il n'y a pas de papier hygiénique, et c'est la blonde qui me prodigue une toilette intime insistante, à ma grande honte. On ne me laisse aucune initiative, me maintenant dans une dépendance totale, me traitant comme un bébé ou un animal : par exemple, on me lave le visage et on me fait ouvrir la bouche pour que la noire me brosse vigoureusement les dents!!!
            Mes deux infirmières attitrées, jugeant qu'elles ont un peu de temps, décident de prendre du bon temps avant de m'abondonner pour la nuit : elles exigent que je les caresse toutes les deux en même temps. Pour celà, elle me font coucher sur le ventre et délient mes poignets ; chacune déboutonne entièrement sa blouse blanche et retire sa culotte avant de se placer de part et d'autre de la tête du lit, de saisir une de mes mains et la fourrer entre ses cuisses écartées. Toutes les deux ont la vulve trempée de mouille, sans doute excitées par ce qu'elles viennent de me faire subir. Je les masturbe avec application, voulant éviter une punition, et aussi me débarrasser de la corvée.             Ce qui ne les empêche nullement de me donner des fessées, à vrai dire pas très violentes, tout le temps que je les branle, abattant leurs mains sur mes fesses, le haut de mes cuisses ou le bas de mes reins. Parfois une main s'égare entre mes cuisses ou entre mes fesses, titillant ma chatte ou mon petit trou du cul.  Elles jouissent presque en même temps, en gémissant, accélérant du même coup l'avalanche de claques crépitant sur mes fesses, emprisonnant mes mains entre leurs cuisses ressérées par l'orgasme que je vient de leur procurer. Puis elles se rajustent et me laissent seule pour la nuit, laissant seulement une veilleuse allumée.
            J'ai beaucoup de mal à m'endormir après cette journée mouvementée, et quand j'y parviens c'est pour sombrer dans un sommeil agité. On ne m'a pas attachée au lit, j'ai la barre d'écartement entre les chevilles et mes poignets sont liés dans mon dos : ainsi, si besoin est, je peux aller aux toilettes ou boire dans l'écuelle d'eau toujours par terre, voire me retourner péniblement sur mon lit. De toute façon, je ne peux aller très loin : j'ai entendu nettement la clef tourner dans la serrure de la porte, la fenêtre est fermée, munie de glace épaisse dépolie en guise de vitres, à travers laquelle je peux voir des barreaux très serrés...        
            C'est Nora qui m'apporte le petit déjeuner : une grande écuelle de café au lait contenant des céréales, qu'elle pose naturellement par terre, me laissant me débrouiller toute seule. Comme la veille, je dois manger à quatre pattes, le cul en l'air. Je suis mortifiée, mais j'ai très faim et ce matin, c'est bon. Je lappe l'écuelle jusqu'au fond, finissant le visage tout barbouillé...
            Quand elle revient, elle me félicite d'avoir tout mangé, me débarbouille le visage, puis me fait asseoir sur le bidet et glisse ses doigts dans mes replis les plus secrets pour procéder à ma toilette intime. Ensuite, comme je suis toujours toute nue et entravée, elle n'a plus qu'à accrocher la laisse à mon collier et m'emmene ainsi en me disant :

- Allez, en route pour la visite médicale d'admission.   

            À sa suite, marchant en canard, je suis introduite dans une grande salle à l'aspect très médical : plusieurs tables d'examen, des armoires vitrées remplies de matériel chromé dont j'ignore l'usage, de grandes paillasses d'éviers, etc... Dans un angle, une femme portant des lunettes est assise devant un ordinateur et c'est près d'elle que me tire Nora. Elle attache ma laisse à un crochet fixé dans le mur, me laissant ainsi debout à côté de la femme au clavier. Celle-ci m'explique d'emblée qu'elle va remplir mon dossier médical et que j'ai intérêt à répondre franchement aux différentes questions qu'elle va me poser. En effet, elle me pose tout un tas de questions ausquelles je m'éfforce de répondre sincèrement. Tout y passe, depuis ma naissance jusqu'à aujourd'hui : maladies infantiles, médecins consultés, examens subis, interventions chirurgicale, etc, etc.
            Puis l'interrogatoire devient plus précis, beaucoup plus intime et génant aussi : il tourne autour de ma sphère uro génitale. Sous la précision des questions, je me sens rougir comme une tomate. Là aussi, tout y passe : mes règles, depuis quand, abondance, douleurs ; s'il m'arrive de faire pipi dans ma culotte ou si j'ai fait de l'énurésie (pipi au lit, me traduit-elle) quand j'étais petite ; ma sexualité passée au crible, éveil, masturbation : où, comment, combien... ; pratiques sexuelles : rappports bucaux, perversions, partouze... À la question :

- As-tu été souvent sodomisée ?

            je réponds :

- Non madame, je n'ai jamais été pénétrée par là...

            Elle ôta ses lunettes me regarde fixement dans les yeux et insiste :

- Comment, une petite garce aussi chaude que toi ne s'est jamais faite enculer ?

- Non, madame, je vous le jure...

- De toute façon, on aura la preuve au cours de l'examen clinique que tu vas subir tout à l'heure : ton petit trou parlera pour toi...

- On va... m'examiner cet endroit ?

- Mais oui, petite sotte, et pas que l'anus, crois-moi !!!

            L'interrogatoire se poursuit encore un moment, à ma grande confusion, puis la femme se lève et avant de quitter la salle, me dit simplement :

- Tu vas attendre un peu qu'on vienne s'occuper de toi. Reste tranquille.

            Les deux infirmières arrivent, me libèrent de tout mon harnachement de cuir, puis je suis pesée, mesurée dans tous les sens : taille, mais aussi tour du cou, épaules, poitrine, taille, tour de cuisses, de mollets, hanches, etc. La femme qui a repris sa place devant son ordinateur note les chiffres qui lui sont indiqués ceependant que sept ou huit personnes, dont le Docteur MORIN, hommes et femmes, entrent dans la salle. Dire que je suis très intimidée de me retrouver toute nue en présence de tous ces gens en blouse blanche, est un euphémisme. On me fait étendre sur une table d'examen et ils font cercle autour de moi et un homme assez jeune commence l'examen en prenant ma tension puis m'ausculte longuement la poitrine et le dos, après m'avoir fait asseoir, avec son sthétoscope. Il examine mon coeur, mes poumons, me demandant de respirer ou de tousser, dictant les chiffres à la secrétaire. Il demande alors aux infirmières qui s'occupent de moi:

- A-t'elle de la fièvre ?

- Je ne sais pas, Docteur. répond l'une d'elle.

- Eh bien prenez sa température !

            Je suis retournée sur le ventre, deux mains se posent sur mes fesses et les écartent au maximum et je sens le thermomètre pénétrer mon anus. Je dois rester ainsi deux ou trois minutes, alors qu'ils discutent entre eux. Me sentant complètement ridicule. Mais tout celà ne fait que commencer...
            Remise sur le dos, le jeune toubib me palpe longuement le cou, les aisselles, le ventre, les aines, les jambes, il fait jouer toutes les articulations de mes membres, puis me fait mettre à plat ventre pour me palper longuement le dos et les fesses. Tout en m'examinant, il dicte ses observations à la secrétaire. En terminant son examen, il me demande de me remettre sur le dos.
            Sa collègue gynécologue prend le relais : une femme brune d'une quarantaine d'année, qui d'emblée, s'attaque à mes seins, dictant elle aussi. Elle les palpe, les presse, pince les mamelons, tire dessus, les tord dans tous les sens : pour elle, visiblement, je ne suis qu'un objet sans importance et ses commentaires me le prouvent : "Les seins sont petits, très fermes, solides... aréoles larges, mamelons d'un centimètre et demie, bien érectiles... lui faire une mamographie..." Elle palpe également le bas de mon ventre avant de m'inviter à changer de table pour le suite de l'exmen. Les infirmières m'aident à prende la position honteuse : fesses au bord de la table, cuisses fortement repliées sur la poitrine, genoux écartés au maximum, mollets reposant sur des sortes de goutières. Jamais je ne m'étais sentie si ouverte, offerte, ainsi écartelée face au cercle des assistants aux yeux braqués sur mon intimité secrète. Une autre femme s'est approchée et regarde l'autre m'examiner la vulve de très près, disant :

- Il faudra me l'épiler entièrement...

            Je saurais par la suite que c'est la spécialiste d'urologie. Au début, la gynécologue m'exmine de façon assez classique : elle ouvre mon sexe de la main gauche et indroduit deux doigts gantés de la droite très profondément dans mon vagin, qu'elle fouille soigneusement pendant un bon moment, m'appuyant sur bas-ventre de son autre main. Puis mise en place du spéculum, ouvert en grand, et qui outre la honte de tous ses regards plongeant en moi, me fait assez mal. "Vulve étroite, vagin souple, assez serré, utérus en bonne position, pas de pathologies visibles... faire une hystérographie de contrôle..." Elle enchaîne en introduisant un doigt bien profond dans mon anus "trou du cul étroit, trop serré : prévoir une dilatation anale..." Quand elle retire son index d'entre mes fesses, je pense qu'elle a terminé ...naïvement !
            Gants retirés, elle entreprend un examen de tout mon entrecuisse, millimètre par millimètre, dictant ses commentaires:

- Clitoris facile à décapuchonner, assez développé, très sensible et érectible, gland bien dégagé... meat urinaire d'apparence normale, petites lèvres assez fines, grandes lèvres longues et charnues, glandes de bartholin de taille normale, bien lubrifiée, sans doute aussi vaginale que clitoridienne : on va voir ça tout de suite. Top chrono !

Elle posse alors son doigt sur mon clitoris et se met à me masturber à toute vitesse ! Me faire branler par cette femme, complètement écartelée et en public, est profondément humiliant et je n'ai certes pas la tête à ça dans l'état physique et psychologique ou je me trouve en ce moment, mais son doigt tournant follement autour de mon petit bouton, en haut de ma fente sexuelle finit par m'émouvoir bien malgré moi ! Je sens ma fente s'humecter de plus en plus et inexorablement, le plaisir monte dans mon ventre, jusque dans mes reins. Je ne peux m'empêcher de gémir, de bouger les fesses et assez rapidement, comble de la honte, j'éprouve un fantastique orgasme, sentant ma vulve se contracter, s'ouvrir et se refermer de façon spasmodique malgré la présence de tous ces gens... La gynécologue dicte le temps écoulé et dit :

- Passez moi une tige de 25 / 4 s'il vous plaît : nous allons tester les réaction vaginale de cette petite salope.

            Une des infirmière lui met l'objet demandé dans la main : il s'agit d'une tige de caoutchouc noir assez longue, du diamètre d'une verge moyenne, au bout arrondi. Aussitôt, la gynécologue entreprend de me l'introduire dans le vagin : au début j'ai un peu mal, car quoique trempée, ma chatte s'est ressérée au moment de ma jouissance, mais elle s'adapte rapidement à cet intrus. La doctoresse relance alors le chronomètre et entreprend un large mouvement de va et vient de la tige dans mon ventre : là aussi, je ne peux m'enpêcher de réagir, d'autant qu'elle s'y prend vraiment bien pour me baiser longuement et puissamment. De cette façon, mon deuxième orgasme public tarde un peu à venir, mais finit par me submerger, me laissant pantelante.             Profitant que ma chatte est trempée, la gynécologue pour terminer, entreprend de la dilater au maximum, m'enfonçant ses doigts, les tournant, les écartant pour m'élargir, sans s'occuper de mes gémissements de douleurs que j'essaie en vain de retenir. Toutefois, elle arrive à introduire quatre doigts dans mon vagin.
            On m'annoce que l'examen est terminé pour aujourd'hui et que les autres seront pratiqués les jours qui viennent. Tout le monde quitte la salle sauf les deux infirmières qui me reprennent en charge. Brisée, atone, je me laisse docilement harnacher de cuir, sous les plaisanteries du genre : "Tu en as de la chance de faire branler par le Docteur GODEFROY" "J'aurais bien aimé être à ta place : j'en ai la culotte à tordre !" etc... Tenue en laisse, je me rend compte tout de suite que nous ne dirigeons pas vers ma chambre et j'ose demander timidement :

- Où m'emenez-vous, s'il vous plaît ?

- À l'institut de beauté. Me répond Nora en se marrant.

            Je n'ose en demander plus mais c'est bien à une jeune et jolie esthéticienne brune qu'elles me conduisent et restent tout le temps que dure la séance, pour aider Lucienne à l'occasion.
            Pour commencer, je dois m'asseoir sur une espèce de fauteuil sans dossier, les jambes allongées à l'horizontale devant moi, immobilisée aux poignets et aux chevilles. La fille commence par nettoyer les ongles de mes mains et ceux de mes pieds de toute trace de vernis à l'aide de dissolvant avant de me les couper très court. Ensuite, munie d'une tondeuse électrique, elle s'attaque carrément à ma magnifique chevelure longue dont je suis si fière pour la transformer en une brosse très courte comme certains adolescents aiment se coiffer. Mes prières de m'épargner sont acceuillies par des rires et ja dois subir la tonte de ma belle crinière en blonde et ondulée naturellement en pleurant doucement, chaque boucle qui tombe me pinçant cruellement le coeur... Quand j'ai "la boule à raz", on me présente un miroir et l'image qu'il me renvoie redouble mes pleurs.
            Pour la suite, je suis installée dans une position pas particulièrement confortable : couchée sur le dos sur une table assez courte, dont la tête est à quelque distance d'un mur, et sur laquelle je repose de la tête au haut de mes fesses ; mes bras sont tirés dans le prolongement de mon corps et fixés au mur en extension ; la barre d'écartement m'est otée et mes jambes sont repliées, remontées vers le haut, et également attachées au mur par deux chaînettes reliant mes chevillères à deux crochets très espacés l'un de l'autre, ce qui m'oblige à un grand écart douloureux. Une large sangle très serrée finit de m'immobiliser sur la table, au niveau de la poitrine, sous les seins et le haut de mon ventre. Ainsi, je ne peux rien bouger d'autre que la tête, ouverte au maximum. Les trois garces en profitent d'ailleurs pour me tripoter l'entrecuisse, mettant leurs doigts dans ma chatte et même mon anus, me branlant un peu le clitoris, racontant les détails les plus choquants de l'examen médical que je viens de subir, ajoutant même : "Tu sais, elle ne suce vraiment pas mal cette peitite vicieuse : tu devrais l'essayer !"
            Mais elles arrêtent rapidement de jouer avec moi pour passer aux choses sérieuses : Lucienne étale la cire qu'elle a mise précédemment à chauffer sur un petit réchaud, sur toute la surface de mon aisselle droite. Elle attend patiement que la cire durcisse en refroidisssant puis arrache brusquement le cataplasme ainsi formé ...et tous mes poils axilaires avec !!! Sous l'atroce douleur, je hurle à plein poumons ce qui me fait traiter de "chochotte un peu douillette" !!! L'épilation de l'aisselle gauche est tout aussi horrible...
            Mais ces douleurs me paraissent bien anodines quand elle entreprend, par la même technique de la cire chaude de me débarasser entièrement de ma toison intime ! Tout poil doit disparaître de cette zone : pubis, aines, haut des cuisses, grandes lèvres, périnée, pourtour de l'anus et l'intérieur des fesses. Elle procède par petite touches et je hurle sans discontinuer, sous les douleurs horribles, et malgré les menaces, tout le temps que dure cette barbare épilation d'une région aussi sensible et fragile, et qui me paraît durer un siècle...  
            Ensuite La fille peaufine et arrache à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire, m'examinant avec une grosse loupe, me faisant hurler à chaque fois. Elle termine sa prestation en forme de supplice chinois en enduisant et massant longuement toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante. De même que pour l'ablation de ma chevelure, j'ai droit au miroir placé entre mes cuisses écartées avant d'être détachée de cette table de torture. C'est vrai que mon sexe a changé totalement d'aspect : ma fente me paraît plus longue, remonter plus haut sur le pubis, mes lèvres intimes plus renflées, toutes lisses... À part sa béance due à ma position, ma chatte ressemble tout à fait à celle d'une petite fille avec son aspect bombé et charnu très émouvant.
            Comme il reste un peu de temps avant l'heure du déjeùner et qu'apparemment il n'y a plus rien de prévu pour ce matin, je dois faire jouir successivement mes trois tortionnaires en me servant de ma bouche et de mes doigts laissés libres pour la circonstance. Chacune son tour se déculotte, monte sur la table sur laquelle je viens de tant souffrir et je dois plonger ma bouche entre ses cuisses largement écartées et la lécher du clitoris à l'anus, la caressant en même temps avec mes mains, lui mettant à sa demande mes doigts dans la chatte ou le cul. Lucienne, qui passe en premier et décharge abondamment dans ma bouche servile, reconnait que je l'ai bien faite jouir, ce qui est une bien mince consolation. Pendant que je m'occupe de l'une, les deux autres en profitent pour me peloter outrageusement, me pinçant les seins ou me mettant un doigt entre les fesses... Dès que j'aborde leur chatte, je la trouve dégoulinante : la séance que je viens d'endurer semble les avoir bien excitées ces trois garces sadiques.

perverpeper@perverpeper.com

 

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