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La punition de Cécile (1)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 01

            Je m'appelle Cécile, j'ai 25 ans. Mariée à un homme de 45ans, sans profession, j'ai commis la faute de le tromper, et surtout de me faire prendre en flagrant délit. Depuis j'ai largement eu le loisir de m'en repentir !
            Mariée très jeune à un mari très pris par ses affaires, je menais une vie riche et oisive, et c'est sans doute cette oisiveté qui me poussa à prendre des amants, plus que des besoins sexuels que d'ailleurs mon mari satisfaisait assez bien. Jolie blonde aux yeux bleus, mince, je n'avais aucun mal à me faire draguer et en abusais en toute insouciance. Ce que j'ignorais, c'est que mon époux se méfiait de moi et avait chargé un détective privé de me surveiller.
            Ce jour-là, j'étais chez mon amant du moment, Bruno, un beau brun ténébreux qui me baisait divinement. Il était en train de me sauter en levrette, moi à quatre pattes, seulement vêtue, si j'ose dire, de mon porte-jarretelles et de mes bas, allant et venant puissament dans mon vagin, quand tout à coup la porte s'ouvrit avec fracas sous un violent coup d'épaule, et mon mari apparut tenant un révolver à la main ! J'eus alors l'impression que mon sang se glaçait dans mes veines, cependant que je sentais la verge de Bruno débander rapidement dans mon sexe. Je crus ma dernière heure arrivée, j'étais épouvantée. Mon mari ne tira pas, mais dit d'une voix glaciale en nous menaçant de son arme :

- Allez, la séance est terminée. Cécile, rhabille-toi en vitesse, je te ramène à la maison.

            Honteuse, plus morte que vive, j'enfilai rapidement mes vêtements, la chatte encore gluante du sperme de l'assaut précédent, me sentant sale, humiliée, terrorisée. Redevenue décente, je suivis mon époux, tête basse. Une fois dans la voiture, il m'ordonna de déposer tous mes bijoux dans la boîte à gants : je n'osai protester et lui obéis. Durant tout le trajet jusqu'à notre grande maison en banlieue chic, il ne me dit plus un seul mot, me laissant le prier, le supplier, pleurer toutes les larmes de mon corps, lui demander humblement pardon. C'est seulement de retour chez nous qu'il ouvrit la bouche pour m'ordonner de venir avec lui en me prenant fermement par le bras, me faisant mal ; les jambes flageolantes, je le suivis donc et il me conduisit dans les sous-sols de la villa et ouvrit une porte de cave et me poussa à l'intérieur, me disant :

- Ta conduite inqualifiable mérite une punition. Le temps que j'avise de ton sort, tu vas vivre ici, dans cette cave. Le confort en est largement suffisant pour une petite salope comme toi. Un conseil, économise l'eau : cela peut durer un certain temps !

            La-dessus, il rabattit la porte et j'entendis la clef tourner sinistrement dans la serrure : j'étais prisonnière. Secouée de sanglots, j'observai le réduit d'environ deux mètres sur trois dans lequel j'étais enfermée. Il ne comportait aucune fenêtre ou soupirail, et était faiblement éclairé par une petite ampoule pendue par un fil au plafond. Comme me l'avait laissé entendre sarcastiquement mon époux, le confort était réduit : un mauvais matelas étroit posé par terre, dans un coin un seau hygiénique à côté d'un tabouret sur lequel etait posé un gros pain et à côté duquel s'alignaient quelques bouteilles en plastique d'eau minérale. Pour l'inventaire, c'était tout !
            Folle d'angoisse, je m'éffondrais sur le matelas et pleurais tout mon saoul : qu'allait-il m'arriver ? Mon époux, bien que m'ayant fort bien traitée jusqu'ici, était d'une jalousie féroce,
et je redoutais sa colère. Son calme actuel ne présageait rien de bon : il aurait pu nous tuer tous les deux avec Bruno, il ne m'avait même pas frappée ! De plus, visiblement, cette cave avait été prévue pour me recevoir : il devait connaître mon inconduite depuis un certain temps, de même qu'il n'avait pas pu arriver par hazard chez mon amant... Toutes ces reflexions n'auguraient rien de bon pour moi...
            Et le temps se mit à couler, monotone. Je ne savais absolument pas quelle heure il pouvait être, puisque je n'avais plus ma montre. Je ne pouvais non plus me baser sur la lumière du jour, car mon cachot n'était éclairé chichement que par l'électricité. Je suis absolument incapable de dire le temps que dura ma réclusion : plusieurs jours en tout cas. Aucun bruit ne me parvenait et je me mis à vivre aux rythme de mes besoins naturels et de ma faim ou de ma soif : je mangeais un peu de pain, buvais quelques gorgée d'eau ou me soulageais sur le seau hygiénique qui sentait de plus en plus mauvais. Moi aussi, je devais puer : pas moyen de se laver, même pas de papier
hygiénique pour m'essuyer la vulve ou l'anus. Je dormais par moments, un sommeil lourd peuplé de cauchemards horribles qui me réveillaient en sursaut baignée de sueur.
            Ma déchéance s'amplifiait avec le temps qui passait : je me sentais sale, pas coiffée, mon maquillage avait coulé depuis longtemps, mes vêtements étaient sales et froissés, en particulier ma petite culotte, mes bas déchirés. De plus le seau hygiénique, malgré son couvercle, répandait une odeur pestilentielle.
            J'étais dans un état lamentable de crasse et d'abattement quand la porte de mon cachot s'ouvrit alors que je ne l'attendais plus. A ce moment, j'étais debout dans ma cellule et je n'eus pas le temps de réagir : deux hommes bâtis en armoire à glace et vêtus de blouses blanche se jetèrent sur moi et m'enfilèrent rapidement une camisole de force par dessus mes vêtements, emprisonnant mes bras croisés devant moi. Je protestai violemment, en pure perte. Je fus jetée sur le matelas et pendant que l'un des hommes me maintenait, l'autre glissa ses mains sous ma jupe ample pour me retirer ma culotte. Je ruais, hurlais en vain et même, profitant que j'avais la bouche grande ouverte, l'homme en profita pour y fourrer mon slip souillé qu'il tassa dans ma bouche en guise de baillon. Pour compléter mon mutisme, il me colla une large bande de sparadrap sur les lèvres. On coiffa ma tête d'une cagoule de tissu noir, on relia mes chevilles entre elles par une paire de menottes, je fus enroulée dans un drap, empoignée et posée sur une civière sur laquelle je fus sanglée au niveau de la poitrine, du ventre, des cuisses et des jambes. 
            Je sentis qu'on emportait le brancard jusque dans une voiture, sans doute une ambulance, où il fut glissé. Le trajet dura un certain temps. Je ne voyais rien, ne pouvais m'exprimer, ma petite culotte emplissant ma bouche, sans compter le sparadrap. Puis on me déchargea de la voiture et on me posa quelque part.
            Au bout d'un moment d'attente, je sentis qu'on s'affairait autour de moi, une voix féminine s'exclamant dégoùtée :

- Qu'est-ce qu'elle peut sentir mauvais !

            On me désangla, me déballa de mon drap et on me retira ma cagoule. Ma civière était possé sur le sol d'une grande pièce entièrement carelée, et deux jeunes femmes en blouses blanches étaient accroupies près de moi, dont une de race Noire. Plus loin, deux types massifs, également en blouses blanches, debout, tenant chacun un long fouet à la main. Les deux filles
commencèrent à me libérer : chevilles, camisole de force, sparadrap sur ma bouche de laquelle l'une d'elle retira ma culotte sale qui l'emplissait, me disant gentiment :

- Ici, tu peux gueuler tant que tu voudras : personne ne t'entendra !

            On m'ordonna de me mettre debout et de me déshabiller entièrement. Debout, ankylosée, afaiblie, je refusai avec énergie de quitter mes vêtements : mal m'en prit ! Les deux hommes brandirent leurs fouets et les abattirent sur moi, me frappant le dos, le ventre, les cuisses... Je cédai rapidement sous cette avalanche cinglante et très douloureuse en pleurant je retirai tous mes vêtements bien défraîchis : d'abord la veste de mon tailleur, puis mon chemisier, ma jupe je roulai ce qui restait de mes bas, dégraffai mon soutien-gorge et mon porte-jarettelles ; quant-à mes escarpins vernis, ils étaient restés dans la cave de notre maison. Je me retrouvai toute nue et honteuse devant les quatre personnes qui me détaillaient d'un air goguenard.
            La civière sur laquelle j'avais été amenée fut évacuée, on me poussa dans un angle de la pièce et une des jeunes femmes saisit un tuyau terminé par une lance, ouvrit un robinet et braqua sur moi le jet tiède. Elle m'arrosait partout, manquant me faire suffoquer par la roideur du jet sur le visage, la poitrine ou le ventre, me demandant de tourner sur moi-même pour mouiller tout mon corps. La menace des fouets me rendait obéissante : je suis assez douillette par nature, détestant la douleur physique. De même, quand elle me demanda de me prosterner en lui tournant le dos, j'obéis après un semblant d'hésitation, exposant mes parties les plus intimes à leurs regards, ainsi qu'à la violence du jet d'eau qui me frappait durement la vulve et l'anus, arrivant même à pénétrer ces deux orifices, surtout le vagin.
            Le jet d'eau fut coupé et l'autre femme s'approcha de moi, un gros morceau de savon à la main, et entrepris de me savonner de la tête aux pieds, y compris les cheveux, me faisant accroupir pour savonner vigoureusement mon entrecuisse, n'épargnant aucun recoin le plus secret de mon anatomie... Après ce savonnage, de nouveau le jet pour me rincer. La fille qui le manipulait s'approcha tout près de moi, baissa la puissance, me demanda d'écarter largement les jambes puis fit remonter l'embout verticalement entre mes cuisses jusqu'à pénétrer mon vagin mais aussi mon anus ! Le plaisir de me sentir propre était loin de compenser l'humiliation ressentie d'être ainsi traitée en public. On me laissa m'égoutter un moment, toujours nue, avant de me passer une serviette assez rêche pour finir de me sécher.
            Toujours amenée au calme par la présence des fouet, je dus me laisser harnacher, morte de honte : collier en cuir autour du cou, bracelets en cuir également, aux poignets et aux chevilles. Chacun de ces accessoires muni d'un mousqueton. Mes poignets furent reliés entre eux dans mon dos, une barre rigide de métal fut accrochée entre mes chevilles, les maintenant écartées en permanence. La jeune femme noire accrocha une laisse au mousqueton de mon collier et tira dessus pour m'inviter à la suivre. Je dus m'exécuter, tenue en laisse comme une chienne, de plus la barre d'écartement entre mes cheville m'obligeait à marcher grotesquement à petits pas, les jambes très écartées... Elle me conduisit ainsi dans une chambre ressemblant à celle d'une clinique, avec un lit blanc étroit, comportant uniquement un drap de dessous et un traversin. Elle détacha mes poignets, juste le temps de m'allonger sur le dos et de les fixer aux barreaux de la tête du lit. De même elle retira la barre d'espacement et attacha mes chevilles au pied du lit.
            Je me retrouvai ainsi nue, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés et jetai un coup d'oeil autour de moi. L'ameublement était réduit au minimum : coin toilette avec WC à la turque, lavabo et bidet ; sur une table des poires et un bock, ainsi, ce qui me glaça, des intruments de punition : martinet, cravache, fouet... J'osai interroger la Noire :

- Où suis-je ?

- Dans une clinique très spéciale et où tu as intérêt à obéir si tu veux éviter d'être punie encore plus durement !

            Elle me détaillait tranquillement de la tête aux pieds, regardant surtout entre mes cuisses que je ne pouvait bien sûr pas resserrer pour échapper à cet examen gênant pour ma pudeur. Elle vint tout près du lit, posa ses mains sur moi et se mit à me parcourir tout le corps, pinçant le bout de mes seins, me palpant les cuisses, glissant même une main entre elles, titillant mon clitoris, enfonçant ses doigt dans ma chatte, me tâtant l'anus. Je protestai, évidemment, mais elle s'en moquait éperdument et je ne pouvais me soustraire à ses attouchements vicieux. Au contraire, elle insistait lourdement sur mes parties les plus intimes, me masturbant littéralement.
            Ce contact me dégoûtait, m'humiliait, mais, aussi, à ma grande honte, m'excitait et me faisait mouiller. Il faut dire que sur le plan sexuel, je me mettais la ceinture depuis mon coït interrompu avec Bruno, et dans la profondeur de la cave, je n'avais certes pas eu envie de me masturber : j'étais loin d'avoir le coeur à ça ! Et l'autre continuait à me caresser, ne pouvant ignorer l'état dans lequel elle me mettait. Mais elle cessa et j'en fut déçue. Je la vis avec surprise trousser sa blouse blanche et retirer sa culotte blanche également. Elle me dit alors :

- Tu es mignonne, tu sais ? Tu veux bien me sucer la chatte ?

- Il n'en est absolument pas question !!!

            Elle dit simplement "Bon", et dix secondes plus tard elle avait le martinet en main et me flagellait tout le devant du corps. Les lanières s'abattaient sur mon ventre, mes cuisses, mes seins, et même atteignaient parfois des points extrèmement sensibles entre mes cuisses, me faisant un mal de chien. Rapidement, je hurlai, pleurai, la suppliai d'arrêter en pure perte. La correction dura longtemps. Enfin, elle cessa, et me demanda sans élever la voix :

- C'est toujours non ? Veux-tu que je continue à la cravache?

- Oh non, par pitié, bégayai-je entre mes sanglots, ne me battez plus, je ferai tout ce que vous voudrez !

            Sans un mot, mais avec un sourire triomphant, elle monta sur le lit, retroussa sa blouse et s'accroupit sur mon visage. Sa fente, de couleur sombre était couverte de poils courts et crépus, très odorante. Je n'avais jamais sucé une femme, mais de peur des représailles je m'y mis bravement et avançai ma bouche vers sa vulve. Contrairement à ce que j'imaginais, le goût n'en
était pas désagérable du tout, bien au contraire ! Elle me guidait de la voix, bougeant son cul sur mon visage. Sur ses indications, j'aspirais son clitoris très gros, enfonçais ma langue le plus loin possible dans sa chatte ou dans son anus. Elle me tournait le dos et je sentis ses doigts m'ouvrir la chatte puis la pénétration de mon vagin par un objet dur : c'était le manche du martinet qu'elle avait toujours en main et qu'elle fit aller et venir entre mes cuisses.
            Notre pose dura un moment, moi lui bouffant le cul, elle me pistonant la chatte. J'étais sur le point de jouir quand son orgasme se déclencha : je sentis les contractions de sa vulve qui coula abondamment dans ma bouche. Aussitôt, elle arrêta de me branler, me bloquant brutalement dans la montée du plaisir, descendit de mon lit; renfila sa culotte et quitta la pièce sans dire un mot, me laissant le manche du martinet enfoncé jusqu'au fond de mon vagin. J'en aurais pleuré de frustration. J'essayai bien de me tortiller pour essayer de me faire jouir, mais n'y parvins pas et restai ainsi, excitée, le manche de bois planté entre mes cuisses.
            Un peu plus tard, c'est l'autre fille qui m'avait acceuillie qui vint me voir, une jolie blonde, celle-ci. Elle vint près du lit, saisit le manche qui dépassait de ma chatte et lui imprima un mouvement de va et vient en me disant :

            - Nora m'a dit que tu lui avais sucé la chatte. Tu veux bien m'en faire autant ? Ou bien si tu préfères, je te cravache les nichons...

            - Non, non... implorai-je, ne me battez pas, par pitié : je vais vous sucer...

            Et la scène se répéta : elle excamota son slip et vint s'accroupir sur mon visage : son odeur était différente et sa chatte faisait un grand contraste avec celle de sa collègue, des muqueuses rose clair au lieu du bistre, un fin duvet blond à la place des poils noirs et crépus... Elle aussi déchargea sa cyprine dans ma bouche, elle aussi me laissa en plan. Avant de me quitter, elle retira le manche de ma chatte et m'ordonna de le lécher pour le nettoyer : il était mouillé de mes sécrétions intimes et comme elle tenait la cravache dans son autre main, je ne fis aucune difficulté pour obéir et retrouver sur ma langue le goùt de mon propre sexe...
            Un homme grand, en blouse blanche, aux tempes grisonnantes, âgé d'une cinquantaine d'année entra dans ma chambre et se présenta :

- Je suis le Docteur MORIN, cette clinique m'appartient et je t'y souhaite la bienvenue.

- Oh, docteur, je vous supplie, libérez-moi !

- C'est hors de question. Ton mari t'a placée chez moi pour te punir de ton inconduite...

- Mais... qu'allez-vous me faire, Docteur ?

- Tu vas le découvrir au fur et à mesure, mais voici les grandes lignes de ton séjour ici : tu vas subir une série d'examens médicaux, une sorte de bilan ; des traitements te seront également administrés...

- Mais... Docteur, je ne suis pas malade !

- Eh bien nous verrons. En plus de la partie purement médicale, bien sùr il y aura les punitions inscrites au programme pour sanctionner la faute lourde que tu as commise, et une éducation dont tu as un grand besoin. Autant te prévenir tout de suite, tu n'es pas dans cette clinique pour ton plaisir mais pour expier. Aussi, si j'ai un conseil à te donner, c'est de filer doux, de te montrer docile et très soumise si tu ne veux pas aggraver ton cas ; ce n'est pas la peine de rajouter, par ton
manque de coopération, des sévices au programme envisagé... Ton traitement commence demain, mais tout de suite, je vais faire un ou deux tests : tu dois te laisser faire sans dire un mot.

            Il pose alors ses mains sur mes petits seins et commence à les malaxer sans douceur, me faisant assez mal. Puis il saisit mes tétons et les pince, les tire, les tourne durement : la douleur irradie dans ma poitrine, je n'ose rien dire, mais, malgré moi mes yeux s'emplissent de larmes et comme il instiste, je ne peux pas retenir mes gémissements. Ses mains abandonnent mes nichons endoloris pour faire subir un sort semblable à mon clitoris qu'il pince et tord entre deux doigts : là je ne peux m'empêcher de crier, ce qui me vaut un regard sévère qui me fait taire.
            Puis il enfile un gant de latex tiré de sa poche et introduit deux doigts porfondément dans mon vagin qu'il fouille longuement. Ses doigts ressortent de mon ventre, descendent plus bas entre mes fesses et je sens le bout de son index se poser sur mon anus. Instinctivement, je me crispe, mais poussant brutalement, il l'enfonce de toute sa longueur, le bouge un peu me disant cruement :

            - Dis-moi, pour une petite salope de ton genre, tu as le trou du cul drôlement serré ! On va t'arranger ça...

            Quand il ressort son doigt de mon cul, c'est, dernière humiliation,  pour mettre ses doigts gantés et souillés dans ma bouche pour me les faire lécher. Térrorisée je m'acquitte de mon mieux de cette tâche... Il s'en va me laissant rien moins que rassurée sur mon sort dans le futur proche ! Je suis effondrée et en même temps, je me  sens lâche de me soumettre ainsi à des exigences obcènes sans résister, simplement par la peur de la douleur.

perverpeper@perverpeper.com

 

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