La matheuse matée (3) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre 3
Fabienne, qui avait envie de faire pipi depuis un moment, ne fit pas d'objection. En route elle put s'isoler dans un W-C pour soulager sa vessie : son slip était trempé et pas d'urine ! Sa chatte aussi était dégoulinante. Un instant elle eut l'idée de se branler vite fait bien fait, mais elle y renonça : les deux autres l'attendaient dans le couloir. Pendant que la prof évacuait son trop-plein, Sylvie posa son index sur le bout du nez de Sandrine, ce qui fit loucher celle-ci comiquement et demanda à voix basse :
- Dis-moi petite cochonne, tu ne m'as emprunté que les bas ?
Sandrine fit non de la tête, prenant un air penaud qu'elle était bien loin d'éprouver, ce qui fit éclater l'infirmière d'un grand rire. Elle murmura encore :
- C'est très vilain !
Elle n'en pensait pas un mot, flattée de savoir que la bande de tissus qu'elle avait hier contre sa chatte était maintenant collée à celle de sa jeune amie.
Elles mangèrent toutes les trois rapidement à une table un peu à l'écart et l'adolescente fut très fière d'être vue par toutes ses copines en blouse blanche en compagnie de la trop jolie infirmière qui ravageait les coeurs de ces donzelles ! Elle savait aussi qu'on allait lui poser pleins de questions auxquelles elle ne répondrait que de façon très évasive : sa discrétion était une des qualités que Sylvie apréciait le plus chez elle. Elle ne dit pas grand-chose durant le repas, perdue dans ses pensées, laissant les deux jeunes femmes échanger des banalités. Connaissant SA Sylvie sur le bout du doigt (et de la langue), elle sentait bien qu'elle jouait au chat et à la souris avec sa future prof et était très curieuse de voir la suite, puisqu'elle était libre cet après-midi à cause de la maladie d'une prof et qu'apparemment, son amie souhaitait sa présence...
Pour retourner à l'infirmerie, Sylvie entraîna ses compagnes par un chemin différent. À un moment, elle s'arrêta devant une porte qu'elle ouvrit avec son passe avant d'allumer la lumière. Alors elle s'effaça devant Fabienne et l'invita à entrer. La jeune femme fut intriguée par l'usage qu'on pouvait bien faire de cette petite pièce sans fenêtre, entièrement carrelée de blanc et violemment éclairée par quatre tubes de néon. L'ameublement était réduit : une table sur laquelle étaient soigneusement rangés toute sorte d'objets parmi lesquels elle reconnut cravache, fouet, martinet, godes de toute forme, matière, taille ; des poires à lavement ainsi qu'un grand bock et plein de choses plutôt effrayantes ; un tabouret et bien au centre, une sorte de cheval d'arçon sans poignées, bardé de sangles de cuir, une large poutre de moins d'un mètre de long posée sur quatre pieds, rembourrée et recouverte de skaï noir. Sylvie posa sa main sur le chevalet et expliqua à Fabienne qui serra très fort ses cuisses et ses fesses :
- La fautive nue, les yeux bandés, est installée et immobilisée sur le ventre sur la
poutre, dans le sens longitudinal. Comme vous pouvez l'imaginer, son postérieur et son entrecuisse sont très faciles d'accès dans cette position, car la largeur de la poutre l'empêche de refermer ses cuisses et ses fesses, et vous n'avez pas idée de tout ce qu'on peut faire subir aux parties intimes et fragiles des punies, à leur vagin, leur clitoris ou leur trou du cul ! Tenez...
Elle avait saisi une fine tige d'une vingtaine de centimètres se terminant par une poignée : sans méfiance, l'autre la prit et fit un bond énorme et poussa un grand cri sous la décharge électrique qui lui traversa la main. Sylvie reprit :
- N'ayez aucune crainte, ce n'est pas dangereux, mais imaginez ce que cela peut donner à l'intérieur du vagin ou du rectum, ou bien sur un clitoris bien décapuchonné ? La sonde est assez fine pour être introduite dans l'urètre : l'effet dans la vessie n'est pas triste non plus ! Après quelques décharges, en général la fille reste quelques jours incontinente et se pisse dessus sans même s'en rendre compte !
Fabienne tremblait, les yeux écarquillés, une main plaquée sur sa bouche Mais déjà l'infirmière éteignait et refermait la porte. La jeune prof la suivit à l'état de zombie.
Sylvie referma la porte de l'infirmerie derrière elles et accrocha le panneau indiquant le numéro où la joindre en cas d'urgence contre la vitre. En entrant dans la salle de consultation, elle désigna le coin au porte-manteau à Fabienne en lui disant :
- Mettez-vous en sous-vêtements, nous allons commencer.
Fabienne portait un ensemble en lin écru orné de fines bandes de cuir marron, veste longue cintrée, jupe assez ample couvrant juste le genou. Elle posa son sac à main sur la chaise, déboutonna sa veste, la retira et la suspendit, puis s'attaqua à la fermeture de sa jupe, baissa la glissière sur sa hanche gauche, se pencha pour la retirer et l'accrocha aussi. Elle défit son collier de perles et le posa près de son sac avant de se débarrasser de son chemisier marron. Elle arborait une très belle culotte de couleur crème en dentelle élastique qui la moulait étroitement, en forme de short avec de courtes jambes dont le bas n'était séparé du haut de ses dim-ups tête-de-nègre que par une mince bande de peau nue et dont le haut remontait à deux ou trois doigts de son nombril. Bien que très couvrante, cette culotte était le contraire de chaste : elle dessinait parfaitement ses grandes lèvres qu'une couture séparait, mettait en valeur le renflement de son pubis, et par transparence, on distinguait la tache sombre de sa toison intime. De même, par un jeu astucieux de coutures et d'élastique, elle mettait bien en valeur son large postérieur, pénétrant profondément dans la raie médiane, relevant et séparant ses fesses. Son soutien-gorge assorti était parfaitement rempli par une paire de seins généreux. Sur un signe, elle s'assit dans un fauteuil bas face au bureau de l'infirmière, gardant les jambes serrées, se retenant de les croiser de peur de révéler la tache humide sur l'entrejambe de sa culotte, pas vraiment à l'aise de se trouver dans cet état d'excitation et à demi-nue devant les deux autres vêtues de leur blouse blanche.
Sylvie attaqua :
- Bon. Nous allons faire un bilan aussi complet que possible, avec divers prélèvents, examen gynécologique et rectal...
Fabienne la coupa furieuse :
- Je ne vois vraiment pas l'intérêt d'un examen gynécologique pour une simple embauche !
- Eh bien moi si ! Je tiens à m'assurer que vous n'êtes porteuse d'aucune infection urinaire ou génitale. Malgré l'interdiction, ici le sexe règne en maître et je n'ai aucune envie d'avoir à faire face à une épidémie de cystites, vulvites ou autres vaginites, sans parler de pire !
- Mais je suis parfaitement saine de ce côté-là, et de plus je ne suis absolument pas lesbienne !
- Je serai ravie de vous trouver en excellente santé, je vous l'assure ! Quant-au reste, nous en reparlerons quand lassée de vous branler toute seule dans votre coin, vous finirez par accepter des doigts ou une bouche compatissante pour vous faire jouir !
L'autre bougonna :
- Ça m'étonnerait beaucoup !
- Bon, vous acceptez tout l'examen, ou vous vous rhabillez ?
Fabienne était ébranlée, troublée. Elle crut trouver la parade :
- Vous... n'allez tout de même pas... m'examiner en présence d'une... future élève ?
- Oubliez un peu Sandrine : elle est là pour apprendre et elle en a vu déjà bien d'autre ! À part votre départ, trois voies s'ouvrent à moi : un, je vous accepte sans réserve après m'être assurée que vous êtes parfaitement saine ; deux : je vous déclare inapte, avec ou sans examen ; trois, je vous accepte sous réserve si vous me posez des problèmes, et alors vous serez punie devant vos collègues avant même d'avoir donné votre premier cours. Que choisissez-vous ?
Ce disant, elle fixa son regard bleu qui avait pris un aspect minéral dans celui de sa vis-à-vis qui le soutint un moment puis s'abaissa. Fabienne qui avait ébauché le mouvement pour se lever, se rassit, baissa la tête et ses épaules se voûtèrent. Elle dit à voix presque inaudible :
- Je suis d'accord...
- D'accord pour quoi, veuillez préciser clairement ?
Fabienne était effondrée : comment pouvait-elle se laisser ainsi manoeuvrer ? Que lui arrivait-il ? Toujours est-il qu'elle capitula à mi-voix :
- Je suis d'accord pour me laisser examiner comme vous le jugerez utile.
- Eh bien, c'est parfait !
Sandrine s'installa devant le clavier de l'ordinateur et l'infirmière commença l'interrogatoire de la candidate prof. État civil, antécédents : cela fut vite expédié, car Fabienne était en excellente santé, à part les maladies infantiles qu'elle avait presque toutes attrapées du temps où elle était interne. Ensuite, Sylvie précisa son questionnaire, le rendant plus intime, interrogeant Fabienne avec précision sur ses règles, à quelle époque les premières, si elles étaient régulières, abondantes, douleureuses, à quand remontaient les dernières, les protections qu'elle utilisait, tampons ou serviettes, etc. Et elle répondait de son mieux, tout de même très gênée par la présence de l'adolescente, qui pourtant, ne semblait ne lui accorder aucune attention, piannotant à toute vitesse sur son clavier, et qui lança l'impression d'une série d'étiquettes dès qu'elle eut fini de saisir son état civil.
Puis Sylvie entreprit de décortiquer sa vie sexuelle, lui demandant l'âge de ses premières masturbations, celui de son dépucelage, le nombre d'amants qu'elle avait eu, à combien de temps remontait son dernier rapport sexuel, si elle se masturbait, et comme elle l'avait admis, de quelle façon et à quelle fréquence. Là aussi, honteuse, elle répondit de son mieux, édulcorant, passant en particulier sous silence la fameuse séance remontant à quelques jours et qui lui avait laissé l'anus dans un triste état, espérant contre toute logique que l'autre n'y verrait que du feu. Sylvie, connaissant la femme en général, fit mine de se contenter de ce que Fabienne lui avouait, soit : deux ou trois petites masturbations par semaine, un doigt sur le clitoris, à la rigueur deux dans le vagin, et rarement une ou deux phalanges dans l'anus ! Cependant, quand l'autre eut terminé, elle ne put s'empêcher de lui dire d'une voix ironique :
- Mais vous êtes très chaste, chère amie ! en tout cas, ce n'est pas ces quelques branlettes de collégienne qui risquent de vous rendre sourde ! Allez, debout !
Et Fabienne fut pesée, mesurée : taille mais aussi tour de poitrine, de hanches, de cuisse, de mollet, etc. Elle avait l'impression d'être manipulée comme une simple marionnette, sans pouvoir s'empêcher de trouver très agréables les mains de l'infirmière sur son corps pour la guider. Sa vue fut testée, Sylvie lui examina la bouche et la gorge, lui demanda de marcher, de s'accroupir, de se pencher en avant et de saisir ses chevilles dans ses mains : à ce stade, l'infirmière n'ignorait plus rien de la tache humide qui auréolait le fond de la culotte de la jeune femme.
Sylvie fit ensuite étendre sa patiente sur une table d'examen, lui enfila le brassard du tensiomètre qu'elle gonfla, sthétoscope dans les oreilles et elle lança les chiffres à Sandrine qui les nota au clavier. Puis, regardant sa montre, elle lui prit le pouls avant d'ausculter son coeur et ses poumons au sthétoscope, d'abord devant sur le haut des seins, puis dans le dos après l’avoir fait asseoir. Elle lui palpa longuement le ventre au travers de sa culotte, le trouvant assez dur et ballonné : la jeune femme devait être constipée, on verrait ça plus tard. Puis elle lui palpa soigneusement les jambes des chevilles jusqu'à l'aine, glissant pour ce faire ses doigts sous les jambes de la culotte, apparemment pas gênée par les bas. Elle annonça calmement :
- Maintenant, petite prise de sang : vous n'avez pas peur des piqûres, au moins ?
Oh si, Fabienne détestait ça, mais ne tenait pas à l'avouer : aussi elle garda le silence. Déjà l'infirmière nouait le garrot autour de son bras pour faire gonfler ses veinne, lui passait un coton alcoolisé au pli du coude, cherchait la veine et y enfonçait l'aiguille. Elle préleva quelques échantillons que Sandrine étiqueta et rangea au fur et à mesure, puis retira lentement l'aiguille et son assistante occasionnelle posa rapidement le petit pansement qu'elle avait préparé sur le minuscule trou.
Sur la demande de Sylvie, sans discuter, Fabienne se redressa un peu, passa ses mains dans son dos, dégraffa son soutien-gorge et l'enleva : Sandrine l'en débarrassa pour aller le poser sur la chaise. Les seins de la jeune femme étaient assez gros, ronds et fermes, avec de larges aréoles et des bouts pointant fièrement : l'infirmière les saisit à pleines mains, les palpant dans tous les sens, puis elle demanda à Sandrine d'en faire autant. Ces quatre mains habiles sur sa poitrine firent défaillir Fabienne qui sentit un nouveau flot de mouille inonder sa culotte. Cependant, elle ne jouit pas : l'infirmière y veillait et fit cesser le jeu dès qu'elle sentit que l'autre arrivait au point de non-retour. La jeune femme retint un gémissement de frustration : elle sentait ses nichons gonflés comme des ballons, prêts à éclater, les bouts douloureux à force d'être tendus. Sylvie, satisfaite de la frustration qu'elle lui imposait, lui dit :
- Allez poser votre culotte avec vos affaires, nous allons passer à l'examen gynécologique !
Fabienne descendit de la table, et se dirigeant naturellement vers le cabinet de toilette attenant, elle dit presque timidement :
- D'accord... Je vais me rafraîchir un peu...
Sylvie la stoppa net dans son élan en lui disant sèchement :
- Je suppose que vous avez fait votre toilette intime ce matin ?
L'autre, se retourna interloquée :
- Mais bien sûr, voyons !
- Alors, ça ira très bien comme ça : contentez-vous de vous déculotter !
La jeune femme ne trouva rien à répondre et se dirigea vers le coin, tête basse. Comme on se jette à l'eau, elle empoigna l'élastique de sa culotte et la baissa rapidement le long de ses cuisses puis de ses jambes avant de lever un pied puis l'autre pour la retirer et la poser sur la chaise. Alors, se sentant plus que nue, n'ayant plus sur elle que ses bas qui montaient très haut sur ses cuisses et ses chaussures à talons assez hauts, elle se dirigea vers la table indiquée. Ses talons l'obligeaient à se cambrer au maximum, projetant son cul, qui n'avait pourtant pas besoin de ça pour affirmer son volume, en arrière. Elle ne prit pas la peine de masquer de sa main le buisson bouclé et bien taillé au bas de son ventre.
Cette table, extrèmement sophistiquée, Sylvie l'avait fait racheter d'occasion à son ancien employeur : en fait il s'agissait d'une table d'opération gynécologique munie de sangles permettant le cas échéant d'immobiliser l'opérée dans la position souhaitée. Elle pouvait prendre diverses positions et comportait, outre les étriers habituels, une paire de gouttières qui pouvaient se retrouver parallèles au plan de la table mais plus haut et dans lesquelles la femme qui accouchait posait ses mollets. Ces mêmes gouttières pouvaient aussi être placées dans le prolongement de la table, au-dessous : ainsi disposées, la femme était placée à genou, le buste sur le plan de la table pour subir une intervention chirurgicale de son anus ou de son rectum. Entre parenthèse, Sylvie qui avait eu l'occasion d'installer beaucoup de femmes sur cette même table et assister à l'intervention, s'étonnait toujours de la dilatation qu'on pouvait imposer à un anus sous anesthésie générale. Le tout réglable en tous sens évidemment.
Mais pour l'instant, la table ressemblait ni plus ni moins qu'à celle d'un cabinet de gynécologie classique. Sylvie aida la jeune femme à y prendre place, les fesses à ras du bord, cuisses largement ouvertes, les talons de ses chaussures coincés dans les étriers qu'elle régla assez haut et très écartés. Elle braqua une puissante lampe sur l'entrecuisse largement exposé. Fabienne était malade de honte d'être ainsi écartelée : elle sentait sa vulve gonflée, mouillée, entr'ouverte ! Bien sûr, l'infirmière et l'adolescente ne pourraient ne pas voir qu'elle était excitée comme une puce et mouillait comme une vraie salope ! D'ailleurs Sylvie lui dit avec un grand sourire :
- Vous lubrifiez toujours autant ? Tant mieux : on va pouvoir se passer de vaseline, au prix que ça coûte, vu le cours du pétrole ! Tu as déjà vu quelqu'un mouiller comme ça, Sandrine ?
La gamine assura que non et la pauvre prof aurait bien aimé se glisser dans un trou de souris ! Du premier coup d'oeil, à part la chatte bien baveuse, Sylvie vit le trou du cul tuméfié entre les fesses que l'autre essayait en vain de serrer. Elle ne fit aucun commentaire : on verrait plus tard. Elle enfila une paire de gant en latex en disant à Sandrine d'en faire autant et d'approcher, fit monter la table afin qu'elles n'aient pas trop à se pencher et leurs deux visages se retrouvèrent tout proches face à l'entrecuisse qui exhalait une odeur puissante et excitante de femelle en rut, odeur qui monta d'un cran quand l'infirmière sépara les grandes lèvres pour un premier examen externe. Elle désigna à son apprentie les différentes parties de la vulve en les nommant : petites lèvres gonflées et luisantes d'excitation, clitoris à moitié sorti de son capuchon, la fourchette d'où les abondantes sécrétions vaginales coulaient vers l'anus, en un mince filet brillant, le poinçon du meat urinaire, l'emplacement des glandes de Bartholin. Saississant un cylindre de coton compressé ressemblant à un tampon hygiènique, elle en glissa une partie à l'entrée du vagin avant de le déposer dans le sachet de plastique transparent que lui tendait Sandrine et que celle-ci referma avant de l'étiqueter. Ses deux doigts accollés entrèrent sans difficultées et elle commença explorer l'intérieur du vagin de Fabienne, ne trouvant rien d'anormal si ce n'est sur la face postérieure, gonflée, sensible : elle sentait parfaitement le rectum plein à travers la mince paroi qui le séparait du vagin. Elle retira ses doigts et invita Sandrine à les remplacer par les siens, la guidant, lui expliquant ce qu'elle devait rechercher : les doigts plus fins de l'adolescente nageaient littéralement dans cette chatte trempée et dilatée par le désir. La patiente ne pouvait que difficilement retenir ses soupirs et de petits gémissement qui ne devaient rien à la douleur !
Sylvie expliqua alors posément :
- Pour l'analyse, j'ai besoin d'urine non souillée : je vais donc vous sonder pour pouvoir la prélever à l'intérieur-même de votre vessie. Pour ce genre de test, pas question de vous demander de faire pipi dans un verre. Détendez-vous, ce sera vite fait !
L'autre, éberluée et craintive ne sut que dire.
L'infirmière demanda à Sandrine de maintenir largement ouverte la vulve de la patiente en tirant sur ses grandes lèvres et en faisant remonter la peau de son pubis, ce que l'adolescente fit immédiatement. Alors Sylvie passa plusieurs fois un coton imprégné d'un antiseptique doux sur la zone du méat urinaire, puis elle déchira un sachet de papier d'où elle sortit un kit stérile de prélèvement en plastique transparent : une fine sonde pré-lubrifiée reliée à une poche par un mince tuyau long d'une vingtaine de centimètres. D'un geste vif et précis, elle présenta la pointe légèrement ovoïde au centre du méat bien dégagé et poussa doucement mais fermement la sonde à l'intérieur de la vessie ce qui arracha un petit cri à la sondée dont l'urine dorée coulait déjà dans la tubulure, gonflant la poche. Elle attendit que le flot de pipi cesse, tenant la sonde en place, puis elle retira celle-ci, la coiffa du capuchon fourni puis repassa un coton humide entre les petites lèvres. La poche dûment étiquettée rejoignit les autres échantillons.
Ensuite Sylvie prit un spéculum métallique assez large et montra à sa protégée comment le mettre en place, joignant le geste à la parole :
- Tout d'abord, tu choisis un spéculum correspondant à la morphologie intime de la patiente. Tu vérifies que les lames sont resserrées au maximum ; de ta main gauche tu écartes la vulve pour faire apparaître l'entrée du vagin, tu vois, comme ceci ; pour l'introduction, les lames doivent être verticales, la poignée horizontale du côté de la fesse gauche de la femme ; présente ensuite le bout à l'entrée, au bas de la vulve, côté anus puis tu pousses franchement mais en douceur le spéculum jusqu'au fond du vagin ; attention : tu ne dois surtout pas dilater dans cette position car cela serait douloureux pour la femme et peu efficace ; la femme érpouve une sensation un peu déségrable de froid métallique ; voilà : l'écarteur est bien introduit dans le vagin ; tu dois lui faire opérer un quart de tour, comme pour visser : les lames sont maintenant horizontales à l'intérieur, et la poignée parallèle à la raie des fesses ; tu vérifies que l'instrument est bien placé, et alors tu tournes la molette pour ouvrir le vagin. Tu as vu ? Allez, à ton tour de montrer ce que tu sais faire !
L'infirmière referma le spéculum, le retira du vagin de Fabienne et le tendit à son élève qui ne s'y prit pas trop mal pour le remettre en place, s'appliquant de son mieux. Sylvie l'incita seulement à l'introduire plus profondément, puis de l'ouvrir davantage. Elles n'eurent que le temps de jeter un bref coup d'oeil à l'intérieur de l'instrument, quand on sona à la porte donnant sur le parc : Sylvie, agacée, dit à Sandrine d'aller voir ce qui se passait, et celle-ci revint presque aussitôt en compagnie de la directrice qui s'excusa brièvement, posa un classeur ouvert sur le bureau et invita Sylvie à y jeter un oeil. Pendant quelques minutes, les deux femmes s'entretinrent à voix basse.
Fabienne ne s'était jamais sentie aussi humiliée de sa vie, presque nue, écartelée à un mètre cinquante du sol, avec cet horrible engin planté dans la chatte, qui la gênait et lui faisait un peu mal, étalée comme un vulgaire quartier de viande, ouverte de façon obscène. Son excitation avait baissé de quelques crans ! La directrice mit un comble à la honte qu'elle éprouvait en lui demandant gentiment au moment de quitter enfin la pièce :
- Tout se passe bien, Fabienne ?
Sur le point de se mettre à chialer comme une môme, elle ne put que bégayer :
- Oui... je... euh... très ...bien,Madame la Directrice...
Pendant qu'elle la raccompagnait, la patronne dit à la jeune fille :
- Sacrée Sylvie, tu ne penses pas ?
- Oh si Madame !
Elles échangèrent un sourire entendu, Sandrine referma la porte et rejoignit son amie entre les cuisses de Fabienne et elles terminèrent l'examen de l'intérieur de son ventre. Sylvie exécuta un frottis à l'aide d'un gros coton-tige introduit dans la lumière de l'écarteur, incita Sandrine à en faire autant, rangea les deux objets dans un sachet, et, au grand soulagement de la patiente, referma le spéculum et le lui retira, avant de faire descendre le plateau de la table et l'autoriser àla quitter.
La jeune femme ne se fit pas prier et se précipita vers ses vêtements : L'infirmière, sadiquement lui laissa le temps d'enfiler sa culotte, avant de la rappeler sévèrement à l'ordre :
- Qui vous a autorisée à vous rhabiller ? Vous tenez vraiment à ce que je vous colle une mauvaise note qui vous vaudra une punition ? Enlevez-moi cette culotte et plus vite que ça !
Penaude, Fabienne s'exécuta pendant que l'infirmière changeait la forme de la table d'examen à l'aide de sa télé-commande : les étriers s'escamotèrent, les deux gouttières s'abaissèrent et glissèrent vers l'arrière, rapprochées et parallèles : la prof résignée s'y agenouilla et posa sont buste sur le plateau, les fesses plus hautes que la tête. Elle protesta mollement et en pure perte quand l'infirmière lui annonça calmement :
- Pour votre propre sécurité, je vais vous immobiliser : l'examen de votre rectum risque d'être un peu désagréable et je ne voudrais pas que vous vous blessiez par des mouvements inconsidérés.
Les sangles à fixation velcro se refermèrent autour de ses poignets au bord de la table au niveau de sa tête, autour de ses chevilles, de ses mollets, de ses cuisses. Une large ceinture fut serrée autour de sa taille, plaquant étroitement son ventre à la table, faisant saillir un peu plus son postérieur : elle ne risquait pas de se sauver ! Sylvie pianota sur sa télécommande : le plateau s'abaissa un peu, la partie sur laquelle reposait le pubis remonta, poussant celui-ci vers le haut, les gouttières s'écartèrent largement, un peu plus au niveau des chevilles qu'à celui des genoux, le tout dans un ronronnement discret de moteurs électriques, ravalant la patiente à une croupe outrageusement ouverte et violemment éclairée, sans aucune possiblité de serrer les fesses ! Les moindres détails étaient visibles : les tendons saillants à l'intérieur des cuisses, le renflement ovoïde de la vulve entrouverte et trempée, mais surtout l'anus tuméfié, montrant des échimoses, de nombreuses déchirures en voie de cicatrisation : ça sautait aux yeux qu'il avait été récemment forcé, défoncé avec violence. Sandrine effrayée retint un cri et mit sa main devant sa bouche, quant à Sylvie, elle dit froidement :
- Bon Fabienne, vous cessez de me prendre pour une conne et vous m'expliquez dans les moindres détails qui ou quoi à pu vous mettre le trou du cul dans un tel état, sinon j'appelle la directrice avant de faire défiler tout le pensionnat pour leur montrer comment on peu s'éclater le fion en y fourrant seulement l'auriculaire ! ! Car c'est bien cela que vous m'avait dit, non ?
- Non, non, je vous en supplie !
- Alors je vous écoute et ne cherchez pas vos mots !
La jeune femme hésita encore un peu puis se lança, morte de honte :
- Un après-midi de la semaine dernière, j'étais seule chez moi et m'ennuyais un peu. Alors j'ai regardé une vidéo X en me caressant d'une main négligeante glissée sous ma jupe, car je n'étais pas très excitée, jusqu'à ce qu'une scène attire mon attention : une femme nue se masturbait sur son lit, puis elle attrappa une bouteille vide et s'enfila le goulot dans le vagin. Elle se baisa un moment avec cet objet qui allait et venait dans sa chatte, ce qui semblait beaucoup lui plaire. Ensuite elle fit ressortir complètement la bouteille de son con et tâtonna un peu plus bas pour se la planter entre les fesses : elle eut du mal à parvenir à ses fins et la douleur se lisait sur son visage alors qu'elle tentait d'introduire le goulot dans son anus ! Elle finit par y arriver, son petit trou atrocement dilaté par le verre. Au bout d'un certain temps, sans doute pour s'accoutumer à l'intrus, elle entreprit de se sodomiser !
Tout en écoutant le récit de sa patiente, Sylvie enfila une nouvelle paire de gants et lui enfonça son index dans l'anus de toute sa longueur, la faisant gémir, et se mit à la fouiller, butant tout de suite sur une masse compacte de matière fécale. Elle demanda :
- Et alors ?
- J'ai honte de l'avouer, mais celà m'a beaucoup excitée et j'ai eu envie d'en faire autant : justement, la veille j'avais invité deux amies et j'avais encore la bouteille vide de vin d'Alsace. J'ai été la chercher, j'ai retiré ma culotte, puis j'ai eu beaucoup de mal à m'enfoncer le goulot dans le vagin : le verre était froid et dur et je ne mouillais pas énormément. Je finis cependant par y arriver et l'objet put coulisser en moi...
Fabienne s'interrompit et poussa un cri de douleur quand l'infirmière lui introduisit un petit spéculum dans l'anus. Sylvie ouvrit un peu l'écarteur, jeta un coup d'oeil, mais l'horizon était plutôt bouché de ce côté-là ! Elle dit simplement :
- Continuez !
- Je... je me suis branlée un moment avec la bouteille qui glissait maintenant facilement dans ma chatte, et je voulus changer de trou comme la fille dans le film : avachie dans mon fauteuil, je tentais en vain de m'enfoncer le goulot dans le derrière. J'insistai, mais ne réussis qu'à me faire mal : rien à faire, ça ne voulait pas rentrer. La difficulté, au lieu de me rebuter, me stimula : puisque j'avais vu la fille s'enculer avec la bouteille, je devais pouvoir en faire autant, me demandant ce qu'on pouvait éprouver avec ce machin planté dans le cul... Alors je me suis mise nue et j'ai emporté la bouteille dans la salle de bains, et là, à force de vaseline autour du goulot ainsi qu'entre mes fesses, j'ai pu m'accroupir au-dessus et à m'empaler, non sans mal ! Au début la sensation fut plutôt pénible, mais peu à peu je m'habituai à cette dure présence dans mon rectum, au point d'essayer d'en avaler davantage avec mon petit trou et d'ailleurs la forme conique se prêtait bien à une dilatation, très progressive si elle n'était pas indolore !
La jeune femme poussa un nouveau cri quand l'infirmière retira le spéculum de son anus mais elle était lancée et reprit son récit :
- Mes sensations étaient étranges et très fortes, mêlant le plaisir à la douleur. Alors je me mis à monter et à descendre sur la bouteille, me défonçant de plus en plus, une main pétrissant mes seins, l'autre entre mes cuisses s'occuppant activement de ma chatte et de mon clitoris... L'accident s'est produit au moment de mon orgasme qui fut très fort ! Eh mais... qu'êtes-vous en train de me faire ?
Tout en écoutant la confession de sa patiente, Sylvie avait rempli d'eau chaude une poire à lavement de caoutchouc rouge dont elle lui enfila doucement la fine canule blanche dans l'anus : l'autre avait réagi en sentant le premier jet quand elle avait pressé la poire. Sylvie ne se faisait pas trop d'illusion : ce n'etait pas comme ça qu'elle aller pouvoir lui dégager l'intestin ! En effet, après deux ou trois retraits et réinsertion de la canule, celle-ci se boucha : inutile d'insister, il faudrait employer des moyens plus adaptés. Elle demanda :
- Alors, que s'est-il passé ?
-Je ne sais pas trop... J'ai dû glisser, je me suis retrouvée affalée sur le carrelage, avec une douleur atroce entre mes fesses et l'impression d'avoir l'anus complêtement éclaté par la bouteille qui y était plantée de plus de la moitié : une chance qu'elle ne se soit pas cassée !
- Parce qu'elle était consignée ? demanda l'infirmière. Fabienne ne releva pas et poursuivit :
- Extraire cette foutue bouteille de mon cul n'as pas été facile... Je saignais et j'avais très mal. Je me suis soignée comme j'ai pu.
- Vous n'avez pas consulté un médecin ?
- Oh non, je n'ai pas osé ! Je n'ai pas pu m'asseoir pendant plusieurs jours, je saignais un peu, tachais ma lingerie, aller à la selle était une véritable torture. Dites... vous voulez bien me détacher ? Je... j'ai très envie...
Sylvie était ravie d'être venue si rapidement à bout de cette fière et belle jeune femme, avec laquelle elle n'en avait d'ailleurs pas terminé : elle n'avait pas perdu la main ! Elle était là, pantelante à la prier, sa large croupe impudiquement étalée et béante, montrant, outre sa vulve entrouverte et baveuse, son petit trou qui se contractait comiquement pour retenir le mini-lavement, leur racontant par le menu une expérience très intime, humiliée, sa pudeur bafouée. Le visage de Sandrine était un peu rouge et l'infirmière pensa qu'elle devait serrer très fort ses jolies petites fesses rondes dans sa culotte d'emprunt en imaginant la fameuse bouteille dans son propre postérieur. En libérant la jeune femme, elle lui dit :
- Moralité, comme depuis vous n'avez quasiment pas été à la selle, il va falloir vider votre intestin : vous êtes au bord de l'occlusion !
Sitôt libre, Fabienne se précipita vers le cabinet de toilette attenant et toute honte bue, s'accroupit sur la cuvette à la turque. Certes la quantité d'eau qu'avait reçu son rectum était minime, mais ajoutée au reste, sans parler du toucher rectal et du spéculum qu'elle avait subi, le besoin était pressant ! Elle poussa pour se vider, mais le résultat fut assez pitoyable, mettant un comble à son humiliation de faire cela en public : elle ne réussit à expulser de son corps qu'un chapelet de pets sonores et odorants, un peu d'eau et d'urine, et pratiquement pas de matières, un petit caca de bébé tout au plus. Elle en aurait pleuré ! Ne voyant pas la moindre feuille de papier hygiénique pour s'essuyer, elle compris qu'elle devait passer sur le bidet que l'infirmière venait de remplir d'eau chaude, honteuse elle dut bien se soumettre et s'asseoir sur le meuble de toilette, navrée de voir Sylvie verser du savon liquide dans le creux de sa main gantée : ainsi on ne la laissait même pas se laver toute seule ! Résignée, elle se pencha en avant sous la douce pression d'une main dans son dos, et sentit l'aute main prendre possession de sa raie culière très évasée par la position. Les doigts étaient d'une douceur exceptionnelle entre ses fesses et elle se surprit, malgré une gêne tenace, à aimer ça, à souhaiter que cela dure, sentant remonter son excitation en flêche ! Instinctivement, elle cambra ses reins au maximum, s'ouvrit encore plus, s'offrit à la main indiscrète, ne pouvant retenir de petits soupirs de plaisir. Puis on la fit se redresser et tremper son cul dans l'eau en appuyant sur ses épaules, avant de la faire émerger et se pencher de nouveau en avant. Alors elle sentit à nouveau les doigts savonneux l'explorer dans ses recoins les plus intimes : elle avait l'impression qu'il y en avait une multitude, ils étaient partout comme chez eux, effleurant son clitoris, s'enfonçant dans sa chatte ou dans son cul, menant une sarabande effrenée. La respiration de la jeune femme s'accéléra, devint sacadée, elle s'entendit gémir, prier, ne sachant plus où elle en était, faisant onduler lascivement sa croupe. Elle ne put s'empêcher de crier son plaisir au moment de l'orgasme et Sylvie adressa un sourire satisfait à Sandrine.
Après un dernier rinçage, Fabienne se retrouva debout, penchée, mains posées sur le bord du bidet, jambes très écartées, et l'infirmière lui tamponna tout l'entrecuisse avec des serviettes en papier, cependant que la jeune fille lui écartait les fesses à deux mains. Elle se laissa faire, ayant abondonné toute volonté.
Sylvie lui annonça :
- Maintenant, nous allons nous rendre en salle d'hydrothérapie pour vous administrer un lavement évacuateur : vous ne pouvez rester ainsi ! Venez, suivez-moi !
- Co... comme ça ?
- Mais oui, et arrêtez de jouer les prudes !
Fabienne n'insista pas et suivit l'infirmière dans un assez long couloir, offrant le spectacle sensuel du balancement de sa belle et large croupe à Sandrine qui fermait la marche.
Quand elle avait pris ses fonctions d'infirmière, elle avait été surprise par le manque total d'hygiène qui régnait au pensionnat : les élèves n'avaient droit qu'à une douche par semaine, se lavaient plus ou moins, changeaient de culotte quand elles y pensaient. Au matin, les dortoirs exhalaient une puissante odeur fauve, mélange de pieds sales, d'entrecuisses mal lavées, de sueur et d'urine car il arrivait à certaine de pisser au lit ; les enseignantes et le reste du personnel, qui auraient dû donner l'exemple, n'étaient guère plus propres ! Elle s'était attaquée au problème en usant de la persuasion, de l'information, des punitions même : au minimum trois douches surveillées par semaine, inspections impromptues de propreté, etc.
Par ailleurs, dès son entretien d'embauche, elle avait exigé et obtenu l'aménagement d'une salle d'hydrothérapie moderne équipée d'un appareillage très sophistiqué pour assurer la propreté interne de ces dames et demoiselles, douche vaginale à la fin de leurs règles dont chacune se devait d'indiquer le début à l'ordinateur de l'infirmerie depuis un des nombreux terminaux, et aussi au minimum un grand lavement évacuateur une fois par mois pour lutter contre la constipation endémique. Évidemment, vu le nombre de patientes, les traitements étaient en général collectifs, ce qui au début avait provoqué pas mal de résistance que l'infirmière avec l'appui de la directrice avait rapidement maté. Seule concession, le personnel et les élèves formaient des groupes distincts.