La matheuse matée (2) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre 2
L'infirmière était ravie du trouble qu'elle avait pu constater sur Fabienne, et qu'en fait elle avait tout fait pour provoquer : dès qu'elle avait vu la jeune femme elle avait décidé d'en faire sa chose, démolir sa belle assurance, l'avoir à sa botte ! Elle allait s'arranger pour réaliser son désir, et que l'autre soit intelligente, cultivée, ait une forte personnalité ne ferait que corser le jeu. Sans amabilité excessive, elle lui expliqua :
- Sandrine est une élève exceptionnelle, sans histoire sinon qu'elle est toujours la première de sa classe. L'année prochaine elle entrera en première année de médecine à la fac : alors, en attendant, je la dégrossis de mon mieux et la forme dans ce but en plus de ses cours.
- Mais ce n'est pas possible, elle est si jeune...
- En juin prochain, on fêtera son anniversaire sans mention et son bac avec, la seule question étant : laquelle ? Au fait, elle est géniale en maths : vous avez intêret à vous accrocher !
- Pensez-vous qu'elle sera un problème ?
- Mais non, rassurez-vous : elle est bien dans sa peau et n'a nul besoin de croire qu'elle existe. Bon, ce n'est pas le tout, on cause, on cause et le boulot attend...
Elle se leva et alla ouvrir la porte qui donnait sur la salle d'attente qui avait vu arriver de nouvelles consultantes et s'écria joyeusement :
- Mais c'est cette gourde de Coralie que voilà ! Laisse-moi deviner, gros bébé : tu as encore pissé au lit ? Dégueulassé ta culotte ?
Des rires fusèrent. L'intéressée s'était levée, ne riait pas, baissait la tête honteuse. La jeune fille était la risée et le souffre-douleur de tout le pensionnat. Boulotte avec un gros cul et des nichons énormes, toujours atiffée comme l'as de pique, avec cependant un joli petit visage de poupée, de longues nattes blondes, deux yeux bleu de porcelaine et de mignons et tout petits pieds qui détonnaient avec le reste. Sans attendre de réponse, Sylvie reprit sêchement :
- Allez, à poil, et que ça saute !
Sous l'oeil goguenard de ses camarades, la nigaude, des larmes plein les yeux commença à se déshabniller maladroitement. Elle n'hésita qu'une seconde avant de faire sauter l'attache de son soutien-gorge, faisant jaillir une paire de mamelles qui ranimèrent les quolibets de ses condisciples. Quand elle commença à faire glisser sa culotte de gamine en coton côtelé, les autres l'applaudirent et furent tout de même surprises de découvrir son pubis qui saillait sous son ventre rond, d'autant plus prohéminant qu'il était entièrement épilé, laissant voir les grandes lèvres charnues et la fente sexuelle qui remontait très haut ! En outre, l'ensemble de son corps était strié de lignes rouges qui ressortaient bien sur sa peau très blanche, et qui prouvaient sans équivoque qu'elle avait été récemment fouettée sévèrement, en particulier sur ses gros seins et l'intérieur de ses cuisses, sans parler d'une multidude d'écchimoses un peu partout. Dès qu'elle eut fini de se déculotter, Sylvie l'empoigna fermement par l'une de ses nattes et l'obligea à montrer le fond de son slip à chacune de ses camarades qui redoublèrent de moqueries à l'encontre de la nigaude, qui, toute rouge et la tête baissée était au bord des larmes. Intérieurement, Sylvie se marrait : ces connes n'avaient rien compris ! Coralie était profondément masochiste, et plus on lui en faisait baver, plus sa chatte vavait aussi ! L'infirmière l'avait percée à jour dès son examen d'entrée (voir "Une gourde bien remplie") et l'avait collée dans les pattes d'une surveillante dont les goûts convergeaient avec les siens. Quant-à elle, elle ne se sentait pas de s'encombrer d'une telle maso : certes elle était quelque peu sadique, et justement ! Elle adorait humilier celles qui détestaient ça, pas celles que ça faisait mouiller. Tiens, un exemple pris tout-à-fait au hasard : cette prof de maths... Elle en avait le slip à tordre, rien que d'y penser et cela lui donna une idée : quand elle eut fini de faire faire son tour d'honneur à Coralie, la traînant toujours par sa natte, elle l'amena devant Fabienne et dit à cette dernière :
- Tenez, soyez gentille : flanquez-moi une bonne fessée à cette lourdaude, rougissez-lui le popotin ! Cela me fera gagner du temps et vous vous ferez la main ! Merci !
Fabienne resta une seconde interdite devant cette grosse fille nue qui la regardait d'un air bovin : elle n'avait jamais donné de fessée à personne, mais se dit aussi que ça ferait partie de son travail et elle s'encouragea mentalement, se reprochant d'obéir aussi facilement à cette trop jolie infirmière. Alors, elle bascula Coralie en travers de ses cuisses, sans que l'autre ne lui oppose la moindre résistance, se laissant docilement disposer comme l'entendait sa correctrice, sa culotte sale toujours à la main, étalant son derrière bien haut, les pointes des pieds touchant à peine le sol, ses seins gonflés pendant sous sa poitrine. Ceinturant la fille de son bras gauche, la jeune prof leva haut sa main droite et l'abatit sur la fesse droite de la gourde qui ne broncha pas, releva le bras et frappa la fesse gauche. Mais déjà Sylvie la reprenait :
- J'ai dit une fessée, pas des caresses ! Allez-y elle a le cuir solide et si elle gueule trop fort, faites-lui bouffer sa culotte !
Alors, la jeune femme accentua ses claques, les répartissant équitablement entre les fesses et le haut des cuisses, trouvant peu à peu son rythme, se grisant de ce fessier qui rebondissait sous sa main, se colorait de rose puis de rouge. Le résultat ne se fit pas attendre : la punie commença à pousser de petits couinements, à supplier qu'elle arrête, à se trémousser, à tortiller du cul, à serrer et écarter ses cuisses, donnant des vues intéressantes sur sa vulve imberbe et même son anus. Comme les cris augmentaient, Fabienne fit preuve d'autorité, et sans cesser de claquer la croupe à sa poretée, elle ordonna :
- Enfonce ta culotte dans ta bouche !
Et l'autre obéit instantanément ! Et Fabienne continua à fesser la gourde, cependant que Sylvie passait plusieurs élèves en revue de détail.
Sandrine se rendit au vestiaire de l'infirmerie qu'elles n'étaient que trois à utiliser : Sylvie, évidemment, elle-même et une autre élève plus âgée, Marion. Le lieu n'était pas très vaste, mais offrait le confort minimum : une table, deux chaises, des armoires métalliques, un grand miroir, une cafetière électrique. Un cabinet de toilette complet y était annexé, douche, lavabo, bidet et cuvette à la turque. Sandrine ouvrit successivement les trois placards en service : le sien et celui de Marion qui ne contenaient qu'une blouse blanche et une paire de ballerines blanches également, puis celui de l'infirmière : deux blouses et un peignoir bleu étaient suspendus aux cintres, ce qui indiquait que Sylvie était venue à l'infirmerie en sous-vêtements avec ce simple désabillé. Sur la planche du haut, de la lingerie propre et blanche ainsi qu'une boite de tampons périodiques ; en bas, une paire d'escarpins bleus à hauts talons, et surtout le sac en toile dans lequel elle rangeait ses dessous déjà portés, en attente de lavage. L'adolescente l'ouvrit et regarda à l'intérieur : il y avait pas mal de pièces et la lessive devait être pour bientôt. Sur le dessus, elle dénicha un amour de petit slip blanc tout en dentelle, sans doute celui que son amour avait porté la veille. Elle le porta à ses narines, regrettant qu'il ait conservé si peu de l'odeur adorée, mais elle savait que la jeune femme était d'une propreté impeccable, pas le genre à porter la même culotte plusieurs jours de suite ! Elle trouva également une paire de bas blancs déjà portés et posa le tout sur la table. Alors, elle retira rapidement sa jupe et son chemisier, les suspendit dans son placard, enleva ses chaussures et les posa en bas, puis elle roula soigneusement ses bas et retira sa culotte. Les bas de l'infirmière étaient un peu trop longs pour elle et elle dut en retourner une partie des revers avant de les pincer avec les jarretelles. Le slip aussi était un peu grand : mais le plaisir de le porter compensait largement. Sandrine se regarda un moment dans le grand miroir, passa sa main entre ses cuisses pour plaquer le fond de la culotte contre sa chatte, mais n'insista pas : Sylvie l'attendait ! Elle enfila sa blouse et ses ballerines, et après avoir attaché ses cheveux, elle retourna à la salle de consultation. Fabienne était toujours là, un peu nerveuse sembla-t'il à la jeune fille, ainsi que la grosse Coralie, à genoux dans un angle de la pièce, nez au mur, coiffée de sa culotte. Une fille était écartelée sur la table d'examen et Sylvie finissait de l'examiner intimement, puis la libéra et demanda à Sandrine de faire entrer la suivante : une gamine de 6ème qui s'était couronné les deux genoux en tombant sur le gravier de la cour. Sylvie lui releva un peu sa jupe d'uniforme, nettoya le genoux droit, le badigeonna de mercurochrome puis lui posa un pansement observée attentivement par Sandrine qui en fit de même à l'autre genou, alors que l'infirmière préparait une seringue sous le regard anxieux de la fille : elle la rassura :
- N'aie pas peur, ma chérie, juste une petite piqûre anti-tétanique !
Une fois la fille à plat ventre, Sylvie lui troussa largement sa jupe, faisant aparaître une culotte toute simple de coton blanc qu'elle entreprit de baisser juste au-dessous des fesses. Déjà Sandrine lui tendait un coton imprégné d'alcool qu'elle passa sur la fesse découverte. Ensuite, elle donna une petite tape sèche qui fit contracter les muscles de la patiente qui se relâchèrent tout de suite et d'un geste sur, elle enfonça fermement l'aiguille dans la chair et poussa sur le piston. L'adolescente poussa un petit cri, mais déjà l'infirmière retirait l'aiguille, alors que Sandrine pressait le coton sur le minuscule trou. Ce fut elle qui reculotta sa camarade et lui baissa sa jupe.
La dernière patiente du moment était Joëlle, une blondinette de terminale qui se plaignait de maux de gorge. Sylvie lui fit ouvrir la bouche en grand, l'examina avec un abaisse-langue et une lampe frontale, puis elle présenta la caméra devant la bouche béante, et diagnostica une belle angine. Elle demanda :
- As-tu de la fièvre, Joëlle ?
- Euh... je ne sais pas...
- eh bien, nous allons voir cela tout de suite ! Relève ta jupe, baisse ta culotte et viens t'allonger sur mes genoux !
La jeune fille rougit violemment, comme savent le faire les vrais blondes, mais obéit, se retrouvant le postérieur nu et bien plus haut que la tête, fesses et cuisses serrées. Sylvie lui dit gentiment :
- Ecarte un peu les jambes et arrête de serrer les fesses, ma grande ! A moins que tu préfère que je te donne d'abord une bonne fessée, tu es dans la bonne position pour la recevoir ?
Comme l'autre se relâchait un peu, elle dit à Sandrine :
- Veux-tu préparer un thermomètre, s'il te plaît ?
L'adolescente obéit aussitôt : elle sortit l'instrument, en trempa la pointe effilée et même un peu plus dans un pot de vaseline blanche et l'apporta à l'infirmière qui, posant une main sur chaque fesse de sa patiente lui écarta largement la raie culière dit :
- Mets-le lui maintenant !
Fabienne était aux premières loges, placée juste dans l'axe du derrière exposé, ne voyant que ça, cette fille haut troussée, la culotte tendue entre ses cuisses, un peu au-dessous du revers des bas auto-fixant de couleur chair. Fascinée, elle vit Sandrine poser la pointe de verre au centre de l'anus parfaitement dégagé et autour duquel frisottaient quelques poils blonds, puis l'y enfoncer doucement. Sur un échange de regard avec l'infirmière, elle modifia l'angle de pénétration et continua à pousser, jusqu'à ce que le thermomètre eût presque complètement
disparu dans le rectum de sa camarade, et qu'il ne reste plus qu'un ou deux centimètres visibles. Alors la scène se figea pendant trois minutes qui parurent durer une éternité, aussi bien à Joëlle qu'à Fabienne qui ne pouvait
détacher son regard de la croupe perforée, de la vulve qui palpitait doucement sans doute à cause de l'émotion de la patiente. Sylvie profita de ce temps mort pour congédier Coralie qui alla se rhabiller dans la salle d'attente. Enfin elle fit un signe à Sandrine qui entreprit de retirer lentement le tube de verre de l'anus de Joëlle qui fit entendre un petit bruit de succion. Sandrine annonça "38.5". Joëlle voulut se relever, mais Sylvie la retint :
- Un peu de patience, voyons : c'est presque fini !
Puis elle demanda à son assistante :
- Prépare deux amydo-rectol !
Sandrine s'empressa de préparer le necessaire sur un plateau émaillé qu'elle apporta à l'infirmière. Celle-ci pris un gant de latex, l'enfila, trempa son index dans le pot de vaseline, puis elle écarta d'une main les deux globes charnus et se mit à masser le petit trou de sa patiente qui en gémit de honte, son doigt pénétrant même un peu la petite bouche ridée. Alors elle prit le premier suppositoire que Sandrine avait déballé, en posa la pointe au centre de sa cible et le poussa à l'intérieur, son index suivant et s'enfonçant jusqu'à la garde dans le fondement de la jeune fille. Elle attendit quelques secondes, puis ressortit son doigt et fit disparaître le deuxième petit cône, le poussant le plus loin qu'elle put. Elle prit ensuite un petit flacon sur le plateau, le déboucha, versa un peu du liquide qu'il contenait sur un coton avec lequel elle frotta la rosette offerte : la jeune fille étalée en travers de ses cuisses poussa un cri et Fabienne vit la peau de l'intérieur de ses cuisses se couvrir de chair de poule. Sylvie daigna expliquer à la prof :
- Juste un peu d'éther dont le froid va obliger son anus à bien se fermer : pas la peine qu'elle rejette les suppositoires en ne pouvant pas contrôler une envie d'aller à la selle !
Elle libéra sa patiente d'une gentille claque sur ses fesses, en lui disant :
- Garde bien les suppos, et repasse ce soir, je t'en remettrai une paire !
La jeune fille humiliée ne se le fit pas répéter, remonta sa culotte, baissa sa jupe et se sauva toute rouge et la tête basse.
L'infirmière regarda sa montre, s'étira et dit :
- Bon, ça suffit pour ce matin : allons déjeûner !