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Élodie chez la gynéco (2)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

F/f F+/f F+/f+ exhibition uro humiliation réticence médical.

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 2

 

- Parfait. Mettez-vous à quatre pattes sur la table : aujourd'hui je vais m'occuper plus particulièrement de votre rectum.

La jeune fille m'aida à prendre la position obscène : genoux écartés, buste appuyé sur la table, les fesses plus hautes que la tête... Tout de suite, je ressentis une sensation de fraîcheur sur ma rosette : la doctoresse préparait le terrain. Un doigt pénétra mon anus sans difficulté. Je le sentais aller-et-venir en moi, touner pour m'élargir. Pendant de temps, du coin de l'oeil je voyais la jeune assistante préparer toute une série de tiges en caoutchouc noir, de longueur et de diamètres très divers. La doctoresse, tout en me fouillant l'anus m'exortait :

- Allons, détendez-vous complètement. Ouvrez-vous le plus possible... Allez, plus que ça !

La jeune fille vint se placer à côté de moi, tenant un plateau sur lequel elle avait aligné au moins une dizaine des tiges que je l'avais vu préparer. Elle en tendit une, assez petite à la doctoresse. Je sentis le doigt ressortir de mon derrière, tout de suite remplacé par la tige qu'elle m'enfonça jusqu'au bout. Puis elle la fit aller-et-venir entre mes fesses. Je dois avouer que je trouvai cela plutôt agréable. Mais rapidement la tige fut échangée pour une plus grosse et plus longue. Même manège : des aller-retours dans mon fondement qui commençaient à me rendre folle... Bien que de plus en plus grosses, mais bien lubrifiées, les premières canules entraient facilement dans mon cul. Je commençai à souffrir un peu à l'introduction de la cinquième, qui devait bien mesurer une vingtaine de centimètres de long, pour un diamètre de deux ou trois doigts accolés. Je me sentais m'ouvrir, devenir béante, cependant que ma chatte n'arrêtait pas de couler. La doctoresse m'en fit d'ailleurs la remarque, toujours sur un ton humiliant :

- Mais ma parole ! Vous aimez ça, qu'on vous ouvre le fion ! Vous n'avez pas honte de mouiller comme ça ?

Je ne répondis rien bien sûr... Les tiges suivantes furent de plus en plus difficiles à absorber par mon petit trou. Plus si petit que ça, d'ailleurs : quand une canule était retirée pour être remplacée par le modèle au-dessus, je le sentais rester ouvert, attendant impatiamment d'être à nouveau pénétré... J'avais de plus en plus mal, mais en même temps j'étais de plus en plus excitée. Je m'entendais gémir, comme s'il s'agissait d'une autre, sans trop savoir si c'était de douleur ou de plaisir, et aussi, instinctivement, je poussai mes fesses pour augmenter la pénétration... Vint enfin le tour de la plus grosse, celle-ci vraiment énorme : son diamètre devait être voisin de celui de mon poignet, quant à sa longueur, elle me parut démesurée, au moins trente-cinq centimètres ! La doctoresse en présenta le bout à mon anus maintenant bien élargi par les précédentes intromissions. Je sentis la pression sur ma colerette anale et la doctoresse me dit :

- Celle-ci, vous allez vous l'introduire vous-même. Je la maintiens, et vous poussez. Allez, petite salope, emmanchez-vous !

Malgré ma honte, la douleur, les larmes coulant au coin de mes yeux, je fis ce qu'elle me demandait : je poussais mon cul vers l'arrière, m'empalant moi-même peu à peu, me demandant quelle force surnaturelle m'obligeait à agir ainsi... Centimètre par centimètre, j'absorbais la monstrueuse tige dans mon rectum. Jamais je n'avais été ainsi distendue, aussi remplie, l'anus prêt d'éclater. La tige se frayait un chemin dans mes intestins, inexorablement. Enfin, je sentis la main de ma tourmenteuse entre mes fesses écartées, comprenant que j'en étais venue à bout... La pénétration était horrible, j'imaginais mon pauvre petit trou complètement ouvert, et je me demandais jusqu'où, à l'intérieur de mon ventre remontait cette maudite canule. En même temps, je sentais ma chatte écrasée vers le bas, par son volume... Je saluais la fin de l'empalement par un sanglot convulsif et marquai un temps d'arrêt. Repos de courte durée, interrompu par l'ordre qui claque :

- Vous comptez rester longtemps comme ça ? Allons, bougez un peu votre cul ! Désenfilez-vous, vicieuse !

Là encore, j'obéis. Peu à peu la tige se retirait de moi, n'en finissant plus... Quand je fus presque dégagée, la doctoresse me dit :

- Maintenant, renculez-vous !

...Et je repoussai mes fesses en arrière. Chaque fois que j'étais empalée jusqu'à la garde, je devais déculer la canule. Quand celle-ci était presque ressortie, je devais à nouveau m'empaler dessus... Puis, malgré moi, je pris le rythme toute seule, sans que la doctoresse n'ait besoin de me donner d'ordre. J'allais et venais sur la tige, m'enculant moi-même dessus, malgré ses dimensions respectables... Peu à peu, j'accélérai le mouvement, sous les sarcasmes de mon bourreau :

- Tu vois Éliane, elle aime ça, se faire enculer, la salope ! Tu as vu, elle s'en met plein le cul elle-même. Je pense qu'on aurait pu choisir une tige encore plus grosse : elle l'aurait avalée tout aussi bien...

Même les insultes m'excitaient, et c'est frénétiquement que je terminai ma masturbation anale, enchaînant une série d'orgasme d'une intensité incroyable, jouissant uniquement par le cul, sans que mon clitoris n'est même été effleuré ; tremblante je me retrouvai à plat ventre sur la table, l'énorme tige toujours plantée dans mon cul. Doucement, la doctoresse me la retira, me donna une tape amicale sur le fessier et me dit :

- Allez, c'est tout pour aujourd'hui ! Éliane va vous donner un rendez-vous pour la semaine prochaine...

Je suivis la jeune fille. J'étais prise au piège : cette fois, j'atais sûre que je reviendrais subir les sévices de la doctoresse. Elle assista à mon rhabillage rapide : chemisier, jupe... Au moment de me quitter, avec une ordonnance, elle me tendit la culotte qu'elle m'avait confisquée à ma précédente consultation. La regardant droit dans les yeux, j'enfouis le tout dans mon sac. Elle me sourit... En rentrant chez moi, j'avais les jambes flageolantes. Sur l'ordonnance, il était écrit : " Continuer les supositoires à la glycérine matin midi et soir. - ne pas porter de culotte dans la journée. - La masturbation doit être précédée d'une demande d'autorisation par téléphone. Sans accord préalable, elle est formellement interdite, ainsi que le coït. - Tenue vestimentaire pour la prochaine consultation : idem." J'étais dans un état second. Après la séance que je venais de subir, j'avais une envie folle de me caresser. Mais je n'osais pas. Je n'osais pas non plus téléphoner pour en demander la permission... J'étais fébrile, énervée... Bien sûr, si je m'étais branlée, la docterresse n'en aurait jamais rien su, mais c'est ainsi, je commençai à être totalement soumise à cette femme. Les jours s'écoulaient lentement. Cent fois, j'avais eu l'intention de téléphoner, cent fois je racrochai, le numéro à moitié composé.
Quant-à mon mari, je lui faisais une tête pas possible : il ne comprenait pas ce qui m'arrivait. J'obéissais scrupuleusement à la doctoresse : je ne mettais un slip que juste avant l'arrivée de mon mari, même quand je devais sortir, je m'introduisais trois supositoires par jour... J'avais rendez-vous le vendredi, et le mardi précédent, je craquais : je composai le numéro en entier. Au bout du fil, j'entendis la voix mélodieuse d'Éliane. Je me nommai et elle me dit :

- Ah, bonjour ! Quel bon vent vous amène ?

Je bafouillai lamentablement :

- Je... je...

- Mais enfin, que voulez-vous ?

Je m'emberlificotais :

- Ben, euh... Voilà... puis je lƒchai tout à trac :

- Je voudrais la permission de me... caresser...

- Bien. Attendez un instant, je vais voir si c'est possible. Ne quittez pas...

Peu après elle revint en ligne pour m'annoncer :

- Ecoutez, je suis vraiment désolée, mais le docteur ne veux pas vous accorder la permission de vous masturber.

J'eus un sanglot étouffé... Elle reprit :

- Par contre, si vous pouvez tenir jusqu'à demain, j'ai un creux. Nous pourrions vous voir à 15 heures. Cela vous convient-il ?

- Oh oui, oui... d'accord !

- Et bien c'est entendu. À demain trois heures.

Après avoir raccroché, je me jetai à plat ventre sur mon lit et pleurai un bon moment, convulsivement, tant j'étais frustrée... Inutile de dire que je lendemain j'étais pile à l'heure ! La jeune assistante ne fit pas attendre : dès que j'entrai, elle m'entraina dans une pièce, me disant : - Venez, je vais vous préparer... La préparation consista, après m'être mise nue, à l'exception de mes bas, à subir une série de lavements : bock, poire, bock... Tous devant être restitués devant la jeune fille... Ultime toilette intime, subie passivement de ma part et la jeune assistante m'emmena dans une petite pièce dont l'unique meuble était un drôle de fauteuil en bois, avec accoudoirs, dont le siège n'était pas vraiment plat, à part une bande rectangulaire tout autour ! Le centre était occupé par une sorte de cône en bois, pointe vers le haut, luisant de matière grasse. D'une hauteur d'une vingtaine de centimètres, si son sommet arrondi était gros comme un doigt, il s'élargissait rapidement vers le bas et atteignait alors un diamètre très important. Ce fauteuil bizarre ne pouvait pas avoir trente-six usages ! En même temps que la jeune fille me disait :

- Vous allez vous asseoir là-dessus.

Je pensais : Je ne vais jamais pouvoir ! mon petit trou ne pourra jamais avaler une chose pareille !
Elle m'aida à m'installer, me guidant afin que mon anus entre en contact avec la pointe du cône et soit légèrement pénétré. La fille me dit simplement :

- Maintemant, vous allez vous asseoir complètement, jusqu'à ce que vos fesses touchent le siège... Vous ne devez pas poser vos mains sur les accoudoirs : mettez-les derrière la nuque. J'obéis et elle me laissa ainsi, en déséquilibre, en appui sur mes jambes demi-fléchies, qui commençèrent rapidement à me faire mal... La seule façon de les soulager était de m'empaler à fond, ce qui n'allait pas sans difficultés... Le cône était bien lubrifié, ne demandant qu'à me pénétrer, ouvrant de plus en plus mon anus... Au fur et à mesure que mes jambes me lachaient, je m'empalais inexorablement. J'étais loin d'être au bout que je pleurais déjà de mon cul défoncé, ouvert au possible... Quand la jeune fille revint me chercher, j'étais en larmes mais, je ne sais trop comment, mon derrière avait réussi à absorber le diabolique cône. J'avais mal au cul, qui n'avait jamais été aussi dilaté ! Elle me complimenta : - C'est très bien ! Vous pouvez poser vos bras sur les accoudoirs maintenant. Celà mérite une récompense... Ce disant, elle glissa sa main fine entre mes cuisses écartées et se mit à me caresser rapidement le clitoris. J'avais beau protester :

- Non... non...

Elle n'en continuait pas moins de me branler. Evidemment, je ne tardai pas à jouir, mélangeant intimement le plaisir et la douleur de mon anus essayant de se refermer spasmodiquement sur le pal qui l'emplissait. Je gémissais, pleurais, suppliais... Elle me laissa cuver mon plaisir quelques minutes, complètement abatue, avant de revenir me chercher pour me conduire à la doctoresse. Elle m'aida à me désempaler, me laissant l'anus béant. La gynéco m'acceuillit gentiment :

- Installez-vous à quatre pattes...

Je repris la pose infamamante, tandis qu'elle enfilait ostensiblement une paire de gants en latex. Quand elle se posta face à mes fesses écartelées, elle dit :

- Ah, parfait ! Je vois qu'Éliane vous a bien préparée. Vous êtes bien ouverte, ma chère ! Je vais maintenant introduire ma main dans votre rectum. Détendez-vous bien, poussez même...

À ce stade, je n'étais même plus capable de rougir. J'étais là, la rosette équarquillée, attendant qu'elle mette sa menace à exécution. Elle le fit, oh combien ! Je sentis ses doigts s'introduirent les uns après les autres, allant et venant, tournant, élargissant encore mon trou. J'avais mal, bien sur, mais en même temps ses manoeuvres m'excitaient ! Je devenais complètement maso ! Elle força en moment et parvint à ses fins. Elle s'exclama :

- Et voilà, chère Madame, ma main est entrée toute entière ! Si vous voulez bien vérifier, passez votre main entre vos fesses...

Je le fis, et fut épouvantée : c'était bien le poignet de cette femme, avec son bracelet que je touchai, sortant grotesquement de mon pauvre petit trou... Je la sentis fermer le poing à l'intérieur de mes entrailles. Je ne m'étais jamais sentie aussi remplie ! Alors elle commença les mouvements d'une monstrueuse sodomie. Son poignet allait et venait dans mon anus horriblement dilaté, elle frappait l'intérieur de mon ventre de son poing fermé... De temps en temps, elle retirait sa main d'entre mes fesses, remettait un peu de lubrifiant, et la renfonçait aussitôt. Je ne sais combien dura mon supplice... Je pleurais, craiai, suppliai ...et finis par ressentir un monstrueux orgasme qui me laissa anéantie. Ma rondelle anale s'était refermée en partie sur la main de la doctoresse. Elle me fit encore mal en la retirant de mon cul. En repartant, je sentais mon anus encore dilaté entre mes fesses, avec la sensation qu'il ne se refermerait jamais... Depuis ce jour, je suis devenue leur chose, totalement soumise à tous leurs désirs, leur exclave sexuelle... Je ne me demande même plus si je vais aller au prochain rendez-vous : cela va de soi ! Je suis convoquée au cabinet presque tous les jours, j'accours. Et je prends un plaisir malsain à être continuellement humiliée de la sorte. Car elles ne manquent certes pas d'imagination ! Voici quelle est maintenant ma vie, à leur service :
Les seules culottes que je suis parfois autorisée à porter sont en caoutchouc et comportent deux gods à l'entre-jambe, l'un pour le vagin, l'autre pour l'anus.
La doctoresse m'oblige, "pour payer mon traitement" à lui servir de bonne à tout faire. Non seulement je dois faire le ménage du cabinet, le plus souvent nue ou en petite tenue, quand ce n'est pas avec un plumeau dans le derrière, mais de plus, Éliane m'apporte à nettoyer les instruments qu'utilise sa patronne : je dois ainsi lécher très soigneusement, jusqu'à ce qu'ils soient bien propres, les spéculums et autre anuscopes, encore tièdes de leur séjour dans le vagin ou le rectum des patientes du cabinet...
De même, quand l'une ou l'autre éprouve un besoin naturel, je dois l'accompagner aux cabinets, la trousser, lui retirer délicatement sa culotte et me tenir à genoux entre ses cuisses écartées, le nez sur son pubis pendant qu'elle se soulage. Quand elle a terminé, je dois lui nettoyer la vulve ou l'anus, ou les deux à l'aide seulement de ma langue : je leur sers de papier hygiénique en quelque sorte... Quand son intimité est redevenue bien propre, je suis autorisée à la reculotter avec respect... Il leur arrive aussi de pisser dans ma bouche, dans ce cas j'ai intérêt à tout avaler sans faire de manière, et gare à mes fesses si j'en laisse perdre une seule goutte !
Je suis très souvent "examinée" très intimement, avec introduction d'objets divers et variés dans ma chatte ou dans mon cul, parfois attachée, parfois devant témoins... C'est fou ce qu'elles arrivent maintenant à faire avaler à mes orifices !
Bien sûr, tout manquement, réel ou inventé, à la discipline de fer à laquelle je suis soumise, donne lieu à punition. Il y a la fessée, le martinet, la cravache... Le plus horrible étant sans doute d'être fouettée entre les cuisses, attachée en position gynécologique. Encore que le remplissage de la vulve, dans la même position d'orties fraîches ne soit pas triste non plus.
Je suis aussi à leur disposition pour leur donner du plaisir avec mes doigts et ma langue... A part ça, je ne manque pas de lavements, administrés dans toutes les positions et à l'aide d'instruments variés, ni de sodomies monstrueuses, qui sont la seule façon qui m'est autorisée pour jouir : mes seins, ma vulve, mon clitoris ne sont jamais touché autrement que par le fouet...
Je ne sais pas où tout ça va me mener, mais je suis heureuse ainsi, vivant dans l'exclavage le plus abject. Maitresse a décidé que je devais divorcer pour être 24 heures par jour à sa disposition. J'ai accepté ! Je dormirai nue, par terre dans une cave aménagée. Je serai enchaînée, fouettée, battue, le cul dilaté en permanence, ainsi que la chatte, mal nourrie, abreuvée de leur urine... Je suis d'accord...

perverpeper@perverpeper.com

 

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