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Élodie chez la gynéco (1)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

F/f F+/f F+/f+ exhibition uro humiliation réticence médical.

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 1

 

J'ai 32 ans, mariée et... fidèle. Pour des lourdeurs dans le bas-ventre, mon généraliste m'avait conseillé de consulter un spécialiste. Par timidité et par pudeur, j'avais choisi une femme comme gynécologue. Le jour de la consultation, je fus reçue par l'assistante de la doctoresse, une jeune fille de guère plus de 20 ans. Comme c'était la première fois que je venais, elle commença par remplir mon dossier administratif avant de me diriger vers une cabine de déshabillage en me disant :

- Entrez là, déshabillez-vous entièrement et enfilez le peignoir.

- Dois-je tout retirer ?

Elle répondit avec un peu d'agacement :

- Oui, je vous l'ai dit. Mettez-vous complètement à poil ! Attendez ensuite que je vienne vous chercher...

Et elle referma la porte de la cabine. Je me mis nue et enfilai le peignoir éponge bleu, pas très ample, et qui m'arrivait à mi-cuisse. C'est dans cette tenue pour le moins génante, que l'assistante m'introduisit quelques minutes plus tard auprès de sa patronne. La gynéco était une belle blonde d'une quarantaine d'années, à l'air sévère. Elle me fit signe de m'asseoir et me soumit à un feu roulant de questions, plus intimes les unes que les autres. Après mes antécédents médicaux, elle aborda ma vie sexuelle : tout y passa ! Je devais être très rouge, et ma gène visible semblait beaucoup l'amuser. Enfin, elle me dit :

- Installez-vous sur la table, je vais maintenant vous examiner...

L'assistante m'aida à me mettre en position : jambes relevées et très écartées. La doctoresse comença par l'examen de mes seins : elle les tata, les pétrit, pinça les pointes pour les faire dresser... Cela dura un certain temps avant qu'elle décide de passer à autre chose. À ma grande honte, ce pelottage mammaire ne m'avait pas laissée aussi indiférente que je l'aurais souhaité. Elle braqua alors une puissante lampe sur mon entrejambe, enfila une paire de gant en latex et s'assit face à mes cuisses largement écartées. Elle prit tout son temps pour examiner mon intimité, explorant toute cette zone millimètre par millimètre, du clitoris à l'anus, en passant par la vulve.
Malgré-moi, ses manoeuvres commençaient à m'exciter sérieusement et j'avais honte de me sentir mouiller ainsi... Puis elle ouvrit ma vulve et pénétra mon vagin avec ses doigts, les enfonçant, les retirant, les tournant comme pour m'élargir. Je me rendais bien compte qu'elle sortait là du cadre strictement médical, mais, d'une part je n'osais rien dire, et de plus, malgré ma gène, je commençais à prendre plaisir à ses attouchements pervers. Elle me fit remarquer :

- Je vois que vous ête très sensible de ce côté. C'est très bien : laissez-vous bien aller. Je vais vous mettre le spéculum...

Elle dut le choisir de grande taille et l'ouvrir au maximum ! Jamais je ne m'étais sentie aussi béante : je sentais mon vagin et ma vulve distendus, à la limite de la douleur. Quand elle le retira, je fus un peu déçue. Quand elle enfonça doucement un doigt de toute sa longueur dans mon anus, je crus bien que j'allais jouir... Mais elle se contenta d'un aller-retour avant de sortir son doigt d'entre mes fesses, retira ses gants, les jeta dans une poubelle, se redressa et me dit :

- Bon je commence à cerner le problème : apparemment, rien de bien méchant. J'aurais aimé pousser l'examen du côté rectal pour être bien sûre de ne pas passer à côté de quelque chose d'important. Mais comme visiblement vous me semblez constipée, ce n'est pas évident... Quoique...
Elle fit mine de réfléchir, consulta sa montre, alla jetter un coup d'oeil à son agenda, revint vers moi et me demanda :

- Vous êtes très pressée, aujourd'hui ? À ma grande confusion, je m'entendis lui répondre :

- Euh... je... non, pas tellement...

- Et bien c'est parfait. Éliane va vous donner un lavement évacuateur, vous préparer et je vous reprends ensuite. Ok ?

- Un lavement, mais c'est horrible !

Elle me caressa gentiment la joue en me disant, souriante :

- Mais non, petite fille, ce n'est pas si terrible ! D'ailleurs avec votre nature généreuse, ça ne m'étonnerait qu'à moitié, que vous y preniez un certain plaisir...

- Ça m'étonnerait...

Sans tenir compte de mon interruption, elle poursuivit :

- Très bien. Allez avec Éliane et faites tout ce qu'elle vous dira. Je vous reverrai ensuite...

Je suivis la jeune fille dans une pièce voisine. Elle me fit retirer mon peignoir, et toute nue me demanda de m'allonger sur une table d'examen, sur le côté gauche, en chien de fusil... Elle me laissa ainsi, le temps de remplir un grand bock d'eau chaude qu'elle suspendit en hauteur. Elle se pencha alors sur mon derrière et je sentis une de ses mains écarter mes fesses, alors que de l'autre, elle me massait doucement l'anus avec une crème lubrifiante. Puis ce fut l'introduction de la canule, qui me parut assez grosse, mais surtout très longue : j'avais l'impression qu'elle n'en finissait pas de remonter dans mon intestin. Je dois avouer, qu'à part la honte, ce n'était pas si désagréable que ça, car la jeune infirmière agissait fermement mais avec une grande douceur.
Quand la canule m'eût entièrement pénétrée, elle ouvrit le robinet et je sentis l'eau chaude s'engouffrer en moi. Je sentais mon ventre se gonfler, et pendant toute la durée du lavement, la jeune fille laissa ses doigts tenant la canule, entre mes fesses, tout contre mon anus et la base de ma vulve, ce qui n'arrrangea pas mon excitation ! Quand le bock fut vidé, elle retira doucement la canule et me demanda d'attendre un quart d'heure. Celui-ci me parut bien long! Enfin, elle revint, et me conduisit, toujours nue, aux toilettes, des WC à la turque. Comme je lui demandai de me laisser seule, elle me dit fermement:

- Pas question : je dois m'assurer que vous évacuez bien. Et puis, vous savez, j'en ai vu d'autre, et puis nous sommes entre femmes...

Je n'étais pas en état de discuter, et morte de honte, je me soulageais bruyamment et longuement sous son regard intéressé, éprouvant en même temps un soulagement bestial à vider mon intestin distendu... J'abdiquais toute pudeur, toute retenue, et ne résistai même pas quand j'eus fini et qu'elle m'enmmena vers la table, sans me laisser m'essuyer. De nouveau sur le côté, elle me pratiqua une minutieuse toilette de l'anus et de l'entre-fesses, sans toucher à mon sexe, ce que j'attendais et redoutais en même temps... Quand elle me demanda :

- Alors, était-ce si terrible ?

Je m'entendis lui répondre "non". Elle me fit renfiler mon peignoir et me conduisit pour quelques minutes dans la salle d'attente, où se trouvaient deux autres femmes. Je me sentais plutot godiche... Et ce fut la seconde partie de la consultation. D'entrée de jeu, la doctoresse m'annonça :

- Je vais maintenant examiner votre rectum avec l'anuscope que voici. Mettez-vous en position...

Je frissonai : l'engin qu'elle me montrait était un long tube nickelé, d'une trentaine de centimètres de long, d'un diamètre assez important. Aidée par l'assistante, je me retrouvai donc à quattre pattes, ou plutôt prosternée, le buste sur la table et le derrière bien plus haut que la tête, genoux écartés montrant absolument toute mon intimité. Je sentis Éliane m'écarter les fesses à deux mains, pendant que la doctoresse me massait l'anus avec un lubrifiant. Elle entreprit ensuite de m'introduire l'anuscope. Cela dura, dura... Je sentais la tige dure pénétrer mon ventre, de plus en plus loin, me demandant où elle allait finir par s'arrêter. De temps en temps, elle arrêtait la progression de l'engin, revenait un peu en arrière, avant de repartir plus avant... Je dois avouer que cette sodomisation mécanique était plutôt agréable : je sentais que ma chatte mouillait de plus en plus. Enfin, mon rectum finit d'avaler les trente centimètres de l'anuscope. Et là, morte de honte, j'eus droit à l'examen des profondeurs de mon ventre, et des commentaires humiliants de la doctoresse à l'intention de son assistante, du style :

- Tu vois comme elle a bien pris l'anuscope ! Mais tu aurais pu lui donner un autre lavement : elle n'est pas impeccable, loin s'en faut ! À part du caca, je ne vois pas grand-chose...

Le bouquet fut quand elle s'exclama brutalement :

- Mais ma parole, elle aime ça, trente centimètres dans le cul ! Tu as vu comme elle mouille ?

- En effet, oui. Elle semble apprécier !

J'aurais voulu me glisser dans un trou de souris... La doctoresse s'adressa à moi :

- Avouez que vous aimez ce que je vous fais en ce moment.

Je n'avouai rien, bien entendu, mais elle prit sans doute mon silence pour un acquiescement, car elle se mit à me sodomiser franchement avec l'anuscope, le faisant aller et venir dans mon anus. Moi qui avais toujours refusé de me laisser enculer par mon mari, je commençai à prendre plaisir à cette pénétration : bientot je ne pus plus retenir mes gémissements de plaisir, allant même jusqu'à pousser mes fesses pour aller au-devant de cette pénétration anale... Et moi qui me croyais exclusivement clitoridienne, je me mis à jouir violemment, uniquement par le cul, en poussant de petits cris plaintifs, ce que je n'aurais jamais osé imaginer...
La doctoresse s'exclama triomphalement, n'attendant même pas ma réponse :

- Voyez, je l'avais bien dit...

Elle retira délicatement l'anuscope d'entre mes fesses, me disant :

- Voilà. C'est tout pour aujourd'hui. Venez vous asseoir.

Elle reprit place derrière son bureau et je m'assis nue en face d'elle, n'osant remettre mon peignoir.

- Dans l'ensemble, me dit-elle, tout va bien. Revenez dans une semaine : Éliane va vous donner un nouveau rendez-vous.

À bientôt ! Elle signifiait ainsi la fin de l'entretien. La jeune assistante me reconduisit à la cabine et me regarda me rhabiller, mais je ne dis rien : au point ou j'en étais arrivée... Puis, consultant son agenda, elle me fixa un rendez-vous auquel je n'avais pas du tout l'intention de me rendre. Au moment où j'allais prendre congé, après avoir payé ma consultation, elle me dit :

- Retirez votre petite culotte et donnez-la moi !

- Que... je... - Vous avez parfaitement entendu ! Ne vous inquiettez pas, je vous la rendrai à la prochaine consultation. -

Mais, et pour rentrer chez moi... C'est pas possible !

- Mais si, mais si... Allons, décidez-vous !

Je ne sais qu'elle force inconnue m'obligea à glisser mes mains sous ma jupe, enpoigner l'élastique de mon slip, le baisser, puis le retirer complètement et le tendre à la jeune fille qui me sourit gentiment.

- Eh bien, à la semaine prochaine... Voici votre ordonnance pour la prochaine fois : respectez-la scrupuleusement...

J'étais toute chose en rentrant chez moi, encore sous le coup de cette ardente jouissance anale que je n'aurais jamais crue possible, horriblement gènée, mais aussi excitée, de sentir ma chatte et mes fesses nues sous ma jupe, ce qui ne m'était non plus jamais arrivé... Je me hatais vers mon domicile, redoutant le moindre coup de vent qui, troussant mes jupes, aurait montré à tout le monde que je me balladais le cul à l'air...
J'étais bien décidée à ne jamais revoir cette horrible doctoresse et son aussi horrible assistante. Chez moi, je me fis couler un bain chaud pour me laver de toutes ces humiliations, mais dans la baignoire, revivant la séance qui venait de se dérouler, je m'excitai à nouveau et me masturbai deux fois... Je me rhabillais et eut la curiosité de lire la fameuse ordonnance.
En voici le texte : " Mettre matin et soir un suppositoire à la glycérine (adulte) ; Ne pas avoir de rapports sexuels les trois jours précédant la prochaine consultation, non plus que de masturbation; Habillement pour la consultation : - robe ou jupe ample et courte. Pas de pantalon, short, ou bermuda. - Ne pas mettre de soutien-gorge. - dessous autorisés : porte-jarettelles et bas, à l'exclusion des culottes, slips, gaines ou collants, quelqu'en soit la forme ou la matière." Je haussai les épaules : pour qui me prenaient-elles ? Néanmoins, je ne sais pourquoi, je rangeai l'ordonnance dans le fond de mon sac, et le soir, quand mon mari rentra et me demanda si ma consultation s'était bien passée, je lui répondis "oui" sans autre commentaire... Avant de me coucher, je mis le suppo, me disant que ça ne pouvait me faire de mal : j'ai un tempéramment assez constipé... Les jours suivants furent affreux. Je me refusais à retourner voir la doctoresse, mais chaque fois que j'évoquais la "consultation", je sentais mon sexe s'humecter et j'éprouvais le besoin irrépressible de me branler. Je naviguais entre la honte et l'excitation permanentes... Je ne voulais pas y retourner, mais je prenais mes supposssitoires matin et soir... Bien plus, dans mes masturbations, je ne me contentais plus de caresser ma vulve et mon clitoris : je m'intéressais maintenant au petit trou entre mes fesses, le massant, le pénétrant d'un ou deux doigts mouillés de salive ou des sécrétions continuelles de mon sexe...
De même, quand j'étais à la maison, je retirais systématiquement ma petite culotte ; j'osais même m'aventurer à aller acheter le journal ainsi, pour voir... Mon mari s'en rendit d'ailleurs compte un jour en passant sa main sous ma jupe : Je vous laise imaginer son excitation ! Il m'entraina aussitôt dans la chambre pour me baiser sauvagement. Je lui expliquai de façon fumeuse mon absence de sous-vêtement intime et par la suite, je pris la précaution de me reculotter avant son retour. Je ne voulais absolument pas renouveler cette expérience "médicale" ; n'empêche qu'une volonté plus forte que la mienne devait diriger tous mes actes : non seulement je mis tous les suppositoires, mais j'observai strictement les trois jours imposés de chasteté absolue ; avec mon mari, ce fut assez facile ; je trouvai des prétextes dont les femmes ont l'habitude : migraine, fatigue... Le plus dur, ce fut de ne pas me donner moi-même du plaisir ! Aussi, le jour "J", j'étais dans un état de fébrilité pas possible. Je refusais toujours l'évidence, mais je pris un long bain, me récurant partout. À l'heure dite, très intimidée, je sonnais chez la doctoresse, dans la tenue stipulée : chemisier blanc sans rien desous, jupe plissée noire découvrant mes genoux, porte- jarettelles et bas noirs, moi qui n'en portais jamais, et, bien entendu, pas le moindre cache-sexe...
La jeune assistante eut un sourire de triomphe quand elle m'ouvrit la porte. Je frissonnais.

-Entrez, me dit-elle le Docteur va s'occuper de vous. Avez-vous bien suivi la prescription ?

- Oui mademoiselle, dis-je, me sentant rougir jusqu'aux oreilles.

Elle insista : - Vous avez bien mis les suppositoires ?

- Oui, oui... je les ai tous mis...

- Et depuis trois jours, rien, côté sexuel ?

- Non, rien...

- Très bien.

Elle m'introduisit dans la salle d'attente, ou les deux femmes déja présentes me regardèrent avec insistance : je devais avoir l'air bizarre. Pas étonnant, d'ailleurs ! J'éprouvais des sentiments contradictoires. Je me sentais humiliée et excitée en même temps. Elle ne m'avait même pas demandé si j'avais mis une culotte, tellement elle était sûre d'elle... J'avais la certitude de m'être jetée tête baissée dans un piège. Je redoutais et espérais la suite... Dans un sens, je ne fus pas déçue du voyage! Éliane revint chercher une des femmes, puis, quelques minutes plus tard me fit signe de la suivre. Elle laissa la porte de la cabine ouverte et assista à mon rapide déshabillage : mon chemisier et ma jupe furent vite retirés et je me retrouvai seulement vêtue de mes bas devant la jeune fille en blouse blanche. Elle me dit :

- Vous pouvez garder vos bas. Venez avec moi, je vais vous préparer pour la consultation...

Ladite préparation consista à m'administrer un copieux lavement au bock, que je dus restituer devant elle. Puis elle m'en donna plusieurs à l'aide d'une poire : le va et vient de la canule dans mon anus, car elle la retirait souvent pour chasser l'air, me rendait folle, de même que ses attouchements entre mes fesses et près de mon sexe. Elle me fit remarquer :

- Voyez que vous commencez à y prendre goût : vous êtes toute trempée...

Je ne répondis rien : elle avait raison ! Elle glissa ses doigts dans ma chatte, me branlant quelques instants, mais n'insista pas : visiblement elle ne voulait pas que je jouisse, se contentant d'accroitre mon excitation... Pour finir, elle me fit prosterner sur la table, me demanda d'écarter mes fesses au maximum avec mes deux mains, et me rasa soigneusement toute la raie des fesses et le pourtour de l'anus. Là aussi, malgré la honte et la brûlure du rasoir, je faillis jouir. Dernière évacuation, suivie d'une toilette intime pratiquée par la jeune assistante. Quand elle me conduisit près de sa patronne, seulement vêtue de mon porte-jaretelles et de mes bas, j'étais horriblement génée, mais aussi très excitée : ma chatte était complètement liquide, à cause des manoeuvres de la jeune assistante, mais aussi de mon abstinence de ces derniers jours...

- Ah, voilà notre amie, dit la doctoresse, comment ça va depuis l'autre fois ? Vous avez bien suivi mes indications ?

- Oui, docteur...

perverpeper@perverpeper.com

 

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