Armande chez le Kiné (8) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Le lendemain, nous l'attendions avec Maryse, toujours dans l'appartement de sa soeur, et à l'heure dite, elle arriva avec sa petite soeur, qui semblait rien moins que rassurée : Je dirais même qu'elle était terrorisée ! Audrey était habillée comme toutes les gamines de son âge : Souliers plats, chaussettes, courte jupe plissée, chemisier sage et blazer. Elle dût subir d'abord une inspection de propreté : Oreilles, dents, cou, aisselles, pieds : cette fois, elle était propre comme un sou neuf... Puis nous lui donnâmes chacune une fessée, même sa sœur : Nous étions assises sur des chaises et la fillette devait venir vers l'une de nous, se coucher en travers de ses cuisses, être troussée, sa petite culotte de coton baissée, puis recevoir la fessée cul nu. Sa fesseuse la reculottait, et ça recommençait avec une autre... On lui fit faire plusieur fois le tour, juste pour le plaisir de la déculotter puis de la reculotter. Les fessées étaient modérées.
Ensuite, cependant que Frances se tenait à l'écart, nous décidâmes, Maryse et moi de "jouer au docteur" avec la petite fille, qui bien sûr avait le rôle de "la malade" : On l'examina alors sous toutes les coutures ! Nous la mîmes nue, puis l'explorâmes : On lui écarta les jambes pour voir son petit abricot fendu, on lui ouvrit les fesses, la faisant mettre dans tout un tas de positions plus humiliantes les unes que les autres. On lui mit aussi les doigts dans son anus très étroit. Nous décidâmes enfin de la sodomiser avec la bougie, ce qui, malgré une préparation minitieuse de son petit trou et une bonne lubrification de la bougie, la fit bien pleurer. Pour conclure, on l'obligea à nous sucer la chatte, l'une après l'autre, sous les yeux de sa soeur : je passai en premier, déshabillée du bas, cuisses écartées et pendant que la petite apeurée me lêchait, Maryse lui agitait la bougie dans le derrière. Ensuite, nous échangeâmes de rôle...
Avant de les laisser repartir, la gamine rhabillée, j'eus une idée amusante : Je l'obligeai à donner une fessée à sa grande soeur. Elle dût la prendre sur ses genoux, en position disciplinaire, relever sa jupe sur son dos, lui baisser le slip à mi-cuisse et lui claquer les fesses, suffisamment fort pour ne pas être punie à nouveau elle-même...
Je rendis sa culotte de la veille à Frances, qui me dit timidement :
- Tu sais, tu peux la garder si elle te plait : je te la donne... On se reverra ?
- Si tu veux. On s'appelle...
Il y eut d'autres rencontres, à deux, à trois ou à quatre, de plus en plus vicieuses. Maryse avait trouvé des cassettes porno chez sa soeur, et parfois, elle, Frances et moi, nous les regardions, assise côte à côte sur le canapé, petite culotte baissée, jupe troussée, une main entre les cuisses. Nous mélions aussi Audrey à nos jeux : Elle nous servait de poupée et nous lui faisions faire plein de cochonneries, comme faire pipi dans sa culotte, et même caca. Elle promettait ! Nous jouions aussi à des jeux oubliés, comme le jeu du docteur, où chacune son tout était examinée en détail, surtout entre les jambes... Je rencontrai aussi Yolande, à qui je ne cachais rien de ce que je faisais avec ses filles : Comme pour le reste, ça l'humilait et l'excitait, ce qui ne l'empêchait nullement de les élever strictement et de les punir à l'occasion, souvent en ma présence.
Frances n'avait rien à envier à Maryse ou à moi sur le plan du vice : Nous formions un trio d'amies très intimes. Bien sûr, je l'amenai chez le kiné, qui lui fit subir quelques "traitements" de choix et l'initia à la sodomie. Avec Maryse, nous lui posions mille questions sur sa vie à l'école privée, qui pratiquait couramment les châtiments corporels, ce qui nous paraissait anachronique, barbare mais nous excitait au plus au point : Nous ne nous lassions pas de lui faire décrire les punitions qu'elle ou ses camarades subissaient régulièrement, lui faisant préciser les moindres détails.
Suivant la gravité de la faute, il y avait plusieurs niveaux de punition. Dans les cas les plus simples, la fautive devait monter sur l'estrade du professeur qui disposait sa chaisse de profil, la couchait sur ses genoux, les fesses tournées vers la classe, avant de trousser sa jupe et de lui administrer une fessée retentissante sur le fond de sa culotte.
Pour le cran au dessus, la fille était déculottée pour la fessée, avec des variantes : Soit le prof glissait ses mains sous sa jupe pour lui retirer son sous-vêtement, soit elle devait se déculotter elle-même, montrant ses fesses à toute la classe.
Souvent, l'adolescente était ensuite mise au piquet : Face au mur, mains sur la tête, jupes épinglées dans le dos, culotte baissée à mi-cuisse.
Pour les fautes plus graves, la correction était toujours appliquée cul nu, au martinet, à la règle plate ou même à la cravache ! Ensuite la punie devait se prosterner dans un coin de la salle de classe, jupes troussées, fesses à l'air, montrant toute son intimité...
Mais ce que Frances redoutait le plus, ainsi d'ailleurs que ses camarades, c'était le "Cheval d'arçon". Elle y était passée deux ou trois fois, en gardait un souvenir horrifiée, et rien que d'en parler, elle en tremblait encore, malgré nos câlineries pendant son récit. Je nous revois encore, toutes les trois assises sur le canapé dans l'appartement de la soeur de Maryse, Frances au milieu. On avait déboutonné son corsage et on avait chacune une main sous sa jupe, lui caressant les seins et les cuisses, et elle nous racontait un fois de plus une séance mémorable, toujours aussi émue :
- Imaginez une espèce de chevalet, comme en gymnastique. Il se trouve dans la salle du réfectoire, sur une estrade, et la punition à lieu devant toutes les élèves. Il ne se passse pas une
semaine sans que l'une ou l'autre y passe ! La punie est amenée sur l'estrade par deux surveillantes et doit se mettre toute nue. Si elle ne va pas assez vite, elle encouragée à la cravache. Une fois nue, on doit enjamber l'intrument et s'y allonger sur le ventre. Tout de suite on est attachée, les chevilles aux pieds arrières, les poignets le longs des pieds avant...
La position est très humiliante : On a les fesses plus hautes que la tête, et l'épaisseur de la poutre empêche de resserer les cuisses, les maintenant très écartées... On montre absolument tout : Sa fente, et aussi son anus ! Quand on se retrouve dans cette position, et qu'on y a vu des camarades, on sait très bien qu"absolument rien de nos parties les plus intimes n'est dans l'ombre !
À ce stade de la mise en condition, ce qui domine, c'est la honte, l'humiliation de tout montrer ainsi. La douleur vient ensuite. La punition dure tout le repas, parfois plusieurs de suite en cas de récidive. Elle commence toujours, après qu'on ait lu le motif et l'importance de la punition, par une violente fessée à la main, appliquée par les deux surveillantes, puis se poursuit au martinet. À ce moment, les fesses de la punie sont déjà bien rouges, mais ce n'est encore rien ! Le martinet est le plus dur, avec le fouet, car la ou les lanières ne demandent qu'à s'égarer entre les cuisses et les fesses, atteignant les zones les plus sensibles...
Quand l'anus ou le clitoris sont touchés de plein fouet, je te dis pas la douleur ! La fille peut pleurer, crier, supplier, rien n'y fait : elle devra subir jusqu'au bout !
Après le martinet, le fouet à chien, et enfin, la cravache... On est alors marquée des épaules aux genoux et ça fait très mal, je vous assure ! Certaines s'évanouissent même sous cette torture : On leur fait alor respirer de l'amoniaque, elles toussent et la correction peut reprendre... J'en ai vu aussi se relâcher brusquement sous la soufrance, et se mettre à pisser, sans pouvoir se retenir, ce qui amuse les autres ! Bien entendu, ce manquement vaut un surcroit de coups à la fille...
À la fin du repas, les élèves sont invitées à défiler devant le derrière martyrisé de leur camarade, pour voir de près les effets de la punition qu'elle vient de subir. Tout l'arrière de son corps est strié de lignes rouges ou violettes, parfois quelques gouttes de sang ont perlé là où la peau a cédé...
À propos de sang, ça me rapelle une camarade de 18 ans : Elle était au plus fort de ses règles, ce qui l'a pas dispensée de la correction ! De plus, le stress et les coups ont dû les augmenter encore ! C'était horrible : on voyait le sang dégouliner le long de ses jambes... J'ai su ensuite qu'après qu'on l'ait détachée du chevalet de torture, comme elle l'avait bien involontairement taché, on la obligée à le nettoyer avec sa langue pour faire disparaître toute trace te sang menstruel. Vous vous rendez compte ?
Pendant son récit, nous lui sucions chacune un sein et nos autres mains s'étaient rejointes dans sa petite culotte, la branlant savamment, mais sans trop de résultat, elle était trop choquée d'évoquer ces souvenirs, peu mouillée, les cuisses couvertes de chair de poule...
Nous la déshabillâmes entièrement, l'allongeâmes et il fallut de longues et amoureuses caresses pour qu'elle se détende enfin et jouisse... Je pensais intérieurement que dans le fond, sa mère avait subi une éducation de même nature ce qui l'avait sans aucun doute poussée vers un masochisme exacerbé. Après celà, voyant que cela la peinait, on ne parla plus trop de toutes ces horreurs...
Maryse, qui contrairement à nous n'était plus vierge, avait besoin d'une ordonnance pour la pilulle : Le kiné lui indiqua un gynécologue, et toujours inséparables, elle me demanda de l'accompagner, ce que bien sûr j'acceptais.
C'est une femme un peu forte d'une quarantaine d'années, vêtue d'une blouse blanche qui nous reçut et nous fit entrer dans une salle d'attente où se trouvaient déjà plusieurs femmes. Nous attendîmes notre tour et Maryse malgré ses presque 18 ans n'était pas plus rassurée que ça, se demandant un peu angoissée si le toubib allait l'examiner ou se contenterait de lui fair une ordonnance...
Enfin l'assistante vint chercher Maryse qui lui demanda :
- Mon amie peut-elle venir aussi ?
Elle me toisa, haussa les épaules et lui dit :
- Si celà peut vous faire plaisir. Suivez-moi...
Elle nous conduisit dans un bureau, nous invita à nous asseoir et commença à interroger ma copine, remplissant son dossier administratif. Quand Maryse lui dit qui l'avait envoyée, elle la regarda attentivement, mais ne fit aucun commentaire. Quand elle eût terminé ses questions, elle lui dit :
- Vous allez maintenant vous déshabiller partiellement : Enlevez votre soutien-gorge, votre collant et votre culotte puis remettez votre chemisier...
- Là, tout de suite ?
- Mais oui, allons !
Mon amie obéit sans plus discuter, se contentant de retirer sa petite culotte puisqu'elle portait des bas, retirant son chemisier pour enlever son soutif et le remit. La femme lui dit alors :
- Venez par ici, je vais faire votre toilette intime : L'hygiène, comprenez-vous ?
Elle l'aida à monter sur une table d'examen qui était dans la pièce, la fit allonger, lui releva les jambes qu'elle reposa, très écartées sur les étriers. Dans le mouvement, la jupe de mon amie se troussa très haut et la femme finit de la lui rabattre sur le ventre, dégageant son entrecuisse. En effet, elle lui nettoya la vulve et l'anus, la pénétrant légèrement de ses doigts gantés, enduits d'un liquide sans doute désinfectant. Elle avait des gestes très professionnels, ce qui n'empêchait pas Maryse d'être très rouge, génée de cette manipulation, et qui me parut soulagée quand la femme la fit redescendre de la table et que sa jupe retomba...
Elle nous introduisit ensuite dans le cabinet médical, où le médecin nous accueilli assez froidement. C'était un homme grand, d'une cinquantaine d'année, l'air sévère, vétu d'une blouse blanche. Il s'assit à son bureau et l'assistante indiqua un fauteuil bas à Maryse, face au bureau, et à moi un siège un peu à l'écart.
Très vite, je sentis mon amie se déstabiliser, perdre toute assurance, sous les questions très intimes que lui posait le docteur, et auxquelles elle répondait très gènée. C'était un jeu cruel du chat et de la souris. Il la dominait, l'englobant toute entière du regard : Son chemisier mal reboutonné, ses cuisses découvertes par sa position, l'obligeant à avouer qu'elle n'était plus vierge, et depuis quand, ses règles, etc... N'étant pas moi-même sur la sellette, j'en étais malade pour elle ! La pauvre, tirait en vain sur sa jupe un peu courte, se tortillait sur son siège.
À la fin de l'interrogatoire, il conclut :
- Donc vous voulez que je vous prescrive la pilule, c'est bien ça ?
- Oui, Docteur...
- Quel âge avez-vous exactement ?
- 18 ans et demi, Docteur...
Il feignit de réfléchir un long moment, la mettant dans les transes, puis se décida :
- Bon je veux bien vous aider, mais je vais devoir vous examiner bien à fond : La pilule peut présenter des risques que je ne désire pas vous faire courrir...
Il y avait deux tables d'examen dans la pièce, l'une gynécologique, avec ses étriers, et une "normale" comme chez tous les médecins. Il désigna cette dernière :
- Veuillez vous étendre s'il vous plaît.
Elle obéit et s'allongea, un peu raide, jambes serrées. Le médecin commença par lui prendre la tension, dictant les chiffres à son assistante, puis lui palpa longuement le cou à la recherche de ganglions. Sans se presser, il défit tous les boutons de son corsage dont il écarta les pans, libérant ainsi ses beaux seins blancs qu'il se mit à palper assez durement, la faisant même gémir.
Il prit tout son temps pour examiner les deux globes laiteux, les palpant, les malaxant, les caressant aussi, pinçant les bouts pour les faire se dresser. En même temps, il faisait des comentaires pour son assistante qui prenait des notes :
- Les seins sont fermes, sensibles, ils réagissent tout à fait normalement, solides, sains...
Au bout d'un grand moment, il dit à sa secrétaire :
- Voulez-vous rouler ses bas, que j'examine ses jambes ?
- Tout de suite, Docteur !
La femme s'approcha, glissa ses mains sous la jupe de ma copine, à la recherche des pinces du porte-jarretelles et lui roula soigneusement ses bas jusqu'aux chevilles. Le docteur entreprit alors de lui palper longuement les jambes, remontant peu à peu vers le haut, repoussant au fur et à mesure la jupe vers le haut.
Maryse était de plus en plus lamentable, ainsi à moitié nue. Il lui palpa également les aines, jupe remontée à la taille, la faisant frissonner, le bas-ventre... Il gardait un air détaché, professionnel, continuant à dicter ses observations. Enfin il dût penser qu'il était temps de passer aux choses sérieuses et lui dit :
- Vous pouvez descendre. Retirez tous vos vêtements, on va passer à l'examen gynécologique...
Les jambes un peu molles, elle descendit de la table, chercha des yeux un quelconque paravent qu'elle ne trouva d'ailleurs pas, et, toute rouge, retira ses vêtements en désordre. Le corsage, déjà déboutonné, puis la jupe, se trouvant ridicule avec ses bas sur ses chevilles et les lanières élastiques de son porte-jarretelles recroquevillées... Quand elle fut toute nue, il lui indiqua l'autre table, sur laquelle la femme l'aida à s'installer, fesses au ras du bord, pieds dans les étriers, jambes très écartées, dévoilant toute son intimité : Comme si celà n'était pas suffisant, l'assistante braqua une lampe puissante sur l’entrejambe exposé, cependant que le toubib enfilait soigneusement une paire de gants en latex.
Le docteur s'assit alors sur un tabouret, entre les cuisses de mon amie, examinant son sexe légèrement ouvert par la position. Il en augmenta d'ailleurs l'ouverture en tirant de ses doigts gantés sur les grandes lèvres. J'étais génée pour elle, mais en même temps, ça m'excitait de la voir ainsi étalée, ouverte, écartelée, béante, comme jamais je ne l'avais vue. Ce fut encore pire quand il lui introduisit dans le vagin le spéculum que lui avait tendu son assistante avant de s'éclipser. L'intrument me paru très grand, même refermé et je la vis grimacer au contact froid du métal avec sa vulve. Il fit faire un quart de tour au spéculum, et, à l'aide de la molette, l'ouvrit en grand ! La pauvre Maryse geignit :
- Aie, j'ai mal...
- Allons, petite fille, détendez-vous : ce n'est guère plus gros qu'un pénis masculin !
À ce moment, l'assistante ouvrit la porte et l'appela : il la suivit dans une autre pièce, laissant la pauvre Maryse nue, écartelées sur la table, la chatte toujours affreusement dilatée par le spéculum. Le docteur fut absent plusieurs minutes et, restées seules, nous n'osions rien dire, sauf échanger des regards, compatissants de ma part, chargés d'angoisse de la sienne. Elle devait avoir mal, sans parler de la position grotesque où on l'avait laissée.
Le médecin et l'assistante revinrent enfin, il regarda longuement dans l'ouverture de l'intrument nickelé planté entre les cuisses de mon amie, avant de le lui retirer pour le remplacer par ses doigts gantés, d'abord deux puis trois. Il la fouillait lentement, profondément, imprimant à sa main un mouvement de va et vient, tout en continuant à dicter ses impressions d'un ton très professionnel :
- Le vagin est souple, tonique, très extensible, pas de pathologie détectable, la lubrification est tout à fait normale, je dirais même qu'elle mouille beaucoup. Le clitoris semble très sensible...
Mon amie subissait cette masturbation sous couvert d'examen médical et commençait à y réagir, malgré la honte d'être ainsi manipulée en public ! Son souffle devenait plus court, instinctivement, son bassin ondulait, allait au devant des doigts qui la pénétraient. Le docteur toujours impassible dût bien s'appercevoir dans quel état il la mettait : D'ailleurs je suis sûre qu'il le faisait exprès ! Mais il retira sa main avant qu'elle n'atteigne l'orgasme : Le visage défait de mon amie montrait en même temps un soulagement que celà soit terminé, et en même temps la frustration d'avoir été laissée sur le chemin qui mmène au plaisir... Quand il l'autorisa à descendre de la table d'examen, elle se crut quitte et que l'examen était maintenant terminé ; Il la doucha immédiatement en lui annonçant tranquillement :
- On va maintenant voir du côté anal...
- Mais...
- Allons, mon assistante va vous aider à vous mettre en position. Vous m'avez dit tout à l'heure que vous vous faisiez sodomiser de temps en temps : Cette pratique, que, notez-le bien, je ne condamne pas sur le plan moral, peut créer des lésions qu'il est de mon devoir de rechercher...
Coplètement abattue, la malheureuse se laissa guider et installer par la femme, sur l'autre table d'examen, prosternée, genoux très écartés, la tête et le buste sur la table, le derrière très haut. Le docteur passa derrière elle, posa ses mains gantés sur ses fesses et les écarta au maximum, dévoilant son petit oeillet plissé qu'il ouvrit à l'aide des pouces posés de part et d'autre. Sur le visage de mon amie, tourné vers moi, je voyais la honte, la douleur, aussi... Le médecin fit un signe et aussitôt son assistante s'avança vers lui avec un tube de vaseline dont elle lui enduisit généreusement les doigts gantés de sa main droite : Je vis son index s'avancer entre les fesses
de la patiente et lui pénétrer l'anus sans hésiter.
Comme tout à l'heure par devant, il lui fouilla longuement l'anus, bougeant son doigt, le tournant comme pour l'élargir... Puis il lui annonça froidement :
- Je vais vous faire une dilatation manuelle pour pousser mon examen plus loin. Détendez-vous bien, vous n'aurez pas mal.
Il retira son index d'entre ses fesses pour y adjoindre le majeur, et il recommença à la fouiller au plus intime. Puis joignit un troisième doigts aux deux premiers. Maryse, le cul ainsi taraudé, semblait souffrir mais n'osait rien dire... Il fit un nouveau signe à son assistante qui lui apporta aussitôt un plateau émaillé contenant dix tiges de caoutchouc noir, de taille croissante. Il prit la plus petite, la prensenta à l'anus à sa disposition et l'y fit lentement disparaître, d'une longueur d'environ dix centimètres, la maintenant en place. Alors, il se tourna vers moi pour me dire :
- J'ai pris du retard, j'ai des patientes qui m'attendent, aussi vous pourriez m'aider mademoiselle...
- Mais ... Comment ?
- Simplement en continuant la préparation de votre amie pour le dernier examen : Plus son anus sera dilaté à ce moment là, mieux ça vaudra pour elle. Mais celà peut demander un certain temps... Vous voulez bien ?
- Je... oui... que dois-je faire, Docteur ?
- Venez près de moi, je vais vous montrer...
Son assistante me tendit un paire de gants de latex que j'enfilai maladroitement. Le docteur pris ma main et la posa sur la partie de la tige de caoutchouc qui ressortait du petit trou de ma copine et tout en maintenant mon poignet, m'expliqua :
- C'est très simple : vous faites aller et venir la sonde, tourner sur elle-même. Quand vous sentez que ça glisse tout seul, vous la retirez et recommencez avec le modèle au-dessus, jusqu'à la plus grosse.
J'étais effaré par la grosseur de la dernière tige et dit timidement :
- Mais ça ne rentrera jamais !
- Mais si, vous verrez. Allez-y en douceur, prenez votre temps et ne lésinez pas sur la vaseline : Tenez je vous laisse le tube. Nous reviendrons plus tard pour terminer d'examiner votre amie avec l'anuscope...
Ils quittèrent la pièce, nous laissant seules, moi me sentant godiche, tenant cette tige plantée dans le cul de Maryse. Elle murmura :
- Enlève-moi ça, je veux m'en aller...
- Ce n'est pas possible, voyons, et ton ordonnance ?
- Je m'en fous ! J'en ai assez, je t'en prie...
- Sois raisonnable, voyons, tu as besoin de cette ordonnance. Tu n'as quand même pas envie de te retrouver enceinte, non ? En plus, ça serait idiot d'arrêter là après tout ce que tu viens de subir...
- Non... Mais que faire ?
- Je vais te préparer doucement, pour que tu aies le moins mal possible. De ton côté, tu vas bien te détendre pour que ton petit trou s'ouvre bien, s'habitue...
- Oui... tu as peu-être raison... sois très douce, alors.
- Je te le promets. Allez, ouvre bien ton derrière : C'est toi qui me dira quand je devrait te mettre une tige plus grosse. Ça va comme ça ?
- Oui...
Je fis ce que m'avait dit le toubib : En fait je l'enculais avec douceur avec la tige qui rapidement coulissa librement et la petite cochonne commençait à y prendre goût. Je lui demandais :
- Tu veux que je change la sonde ?
- Oui... je veux bien...
Je la retirai de son anus pour la remplacer par une plus grosse, bien lubrifiée et recommençai mon manège. Peu à peu, sa rondelle s'assouplissait, se dilatait et l'excitation montait de même : Je voyais son sexe, en dessous de la tige s'humecter... Non seulement elle se détendait au maximum, mais maintenant d'elle-même elle venait au-devant de la pénatration de son anus, malgrè la grosseur et la longueur de plus en plus grande des tiges. D'elle-même également, quand elle sentait que ça glissait presque trop facilement, elle me demandait :
- Je crois que tu peux m'en mettre une plus grosse...
A la sixième, tout de mème difficile à entrer vu sa taille, elle me chuchotta :
- Tu ne voudrais pas me branler, un peu, s'il te plaît, je crois que ça m'aiderait à me détendre...
Je lui répondis sur le même ton :
- Non, ma chérie, ce ne serait pas raisonnable : Si je te fais jouir, ton petit trou va se contracter, et après on ne pourra plus y enfoncer même un doigt ! Au contraire, tant que tu es excitée, ça rentre de mieux en mieux, tu t'ouvres... Tu veux la taille au-dessus ?
- Je...
Les dernières tiges furent très difficiles à lui introduire dans l'anus, tant elles étaient conséquentes, malgré l'excitation grandissante de la patiente et une lubrification importante. Chaque fois que je lui retirait une canule de l'anus, celui-ci restait béant, dilaté au possible. À la fin, c'est moi qui décidais le moment d'en changer : Elle gémissait, suppliait, mais ne tentait pas de se rebeller. Chez elle, l'excitation de cette sodomisation le partageait à la douleur... De mon côté, je n'étais pas indiférente non plus ! L'entrejambe de ma culotte était trempée : Je retrouvais mes pulsions sadiques, comme quand j'étais avec Yolande ; en plus, là j'étais en quelque sorte en service commandé ; je voyais aussi le trou du cul de mon amie se dilater démesurément...
Pour la dixième et dernière sonde, j'enfonçais mes doigts enduits de vaseline le plus loin possible dans son rectum, puis présentait le bout arrondi entre ses fesses : Ce ne fut pas facile ! Oh non ! Elle gémit beaucoup pendant l'intromission. Il est vrai que la dernière tige avait un diamètre supérieur à celui d'une verge d'homme, et une longueur de plus de vingt centimètres. Quand elle fut enfonçée entièrement, ma victime avait des larmes pleins les yeux : La douleur l'emportait largement sur le plaisir ! J'étais fascinée par son anus distendu, semblant près de se rompre, toutes ses stries avaient disparu, et il formait un anneau livide et tendu autour de la tige monstrueuse qui le pénétrait ! De même, sa chatte paraissait écrasée vers le bas... J'adorais Maryse, mais paradoxalement, la faire ainsi souffrir m'excitait au plus haut point : Maintenant
mon slip était à tordre. Je me promettais pour l'avenir de renouveler l'expérience avec elle, Yolande (qui en avait bien vu d'autres), ou surtout sa Frances ou la petite soeur de celle-ci, Audrey : Elle devrait bien pleurer si on lui défonçait ainsi son petit cul...
Mais j'avais aussi pitié d'elle. Maintenant je pouvais la faire jouir : Son anus resterait bien ouvert par l'énorme tige. Il ne risquait pas de se refermer ! Sa vulve coulait en permanence, mouillant de cyprine le haut de ses cuisses. J'y posai mes doigts et lui caressai rapidement le clitoris : En quelques secondes, elle explosa en un orgasme géant, ne pouvant s'empêcher de crier ! Elle jouit longuement, douloureusemenent, son périné distendu ayant du mal à se contracter autour de la grosse canule.
Quand le docteur et son assistante revinrent, au bout de je ne sais combien de temps, je faisais coulisser doucement l'énorme tige entre les fesses de mon amie. Il me félicita :
- Oh mais c'est parfait, jeune fille ! Vous avez fait du très bon travail : Votre amie est maintenant bien dilatée et la suite ne sera plus qu'une formalité... Anne-Marie, voulez-vous me passer l'anuscope modèle 8 ?
Quand je vis l'engin en question, je frémis : C'était pas possible, il n'allait pas lui enfoncer ce truc entre les fesses ! Il s'agissait d'un tube nickelé, rigide, brillant, très chirurgical qui me parût immense : Si son diamètre semblait légèrement inférieur à la sonde qu'elle avait toujours dans le derrière, sa longueur semblait démesurée : Trente ou trente-cinq centimètres au moins !
Le médecin me fit signe de retirer doucement la sonde. Dès que ce fut fait, il profita que l'anus restait entrouvert pour y indroduire l'anuscope qu'il fit pénétrer lentement. J'étais de trois quart arrière par rapport à ma copine toujours prosternée. Je voyais aussi bien son visage que son cul.
Elle n'avait pas dû voir la tige métalligue démesurée qu'il avait l'intention de lui introduire dans le fondement. Elle ne réagit pas aux vingt premiers centimètres, mais ensuite, je vis une angoisse viscérale se peindre sur son visage : Bouche béante en un cri muet, yeux écarquillés d'effroi, visiblement elle se demandait où allait se terminer cette pénétration diabolique... Ses cuisses couvertes de chair de poule tremblaient.
À ma grande surprise, d'ailleurs, toute la longueur de l'appareil fut avalé par la petite bouche entre les fesses de Maryse qui sanglottait convulsivement ! Le docteur retira alors le mandrin au bout arrondi de l'intérieur de l'anuscope. L'extrémité de l'endoscope était évasée comme un entonnoir : Le toubib l'éclaira et regarda tout au fond du son ventre ! Il m'invita même à y jeter un coup d'oeil, se plaignant toutefois :
- On aurait dû lui donner un lavement avant : on ne voit pas grand-chose...
Il la désencula lentement, l'examen se faisant de l'intérieur vers l'anus, lui donna une claque amicale sur les fesses, en lui disant :
- Allez, jeune fille c'est fini pour aujourd'hui ! Vous allez sortir avec Anne-Marie, elle vous donnera votre ordonnance. Prenez vos vêtements : Vous vous rhabillerez tranquillement à
côté...
Se tournant vers moi, il me demanda :
- Voulez-vous également une prescription de pillule ?
- Non, Docteur, je vous remercie...
L'asssistante lui donna une serviette hygiénique pour la mettre entre ses fesses, à cause de son anus qui allait rester béant encore quelques temps. Dans la rue, encore pâle et les jambes en coton, elle m'avoua qu'elle ne s'était jamais sentie humiliée à ce point, ajoutant :
- Et toi, telle que je te connais, je parie que ça t'a excitée de m'enfoncer ces trucs dans le derrière ?
- Oui, je l'avoue humblement, mon slip est à tordre... Tu m'en veux ?
- Pas trop, mais je te revaudrai ça !
- Si tu veux...
- Eh bien allons chez Eric...
Notre kiné était en plein travail mais laissa à notre disposition une cabine. Et je subis docilement la vengeance de mon amie : Je lui devais bien ça ! Pour commencer, elle me donna
une retentissante féssée, couchée en traver de ses cuisses, jupe troussée, culotte baissée. Ensuite elle me fit mettre toute nue, me prosterner sur une table et m'encula longuement avec des canules de plus en plus grosses. Nous nous retrouvâmes en 69, à nous sucer mutuellement la chatte et à nous enfonçer les doigts dans le cul.
Puis elle eût une idée très cochonne que j'approuvai aussitôt : Nous allâmes dans la douche, et elle dévissa la pomme de douche, ouvrit l'eau en régla température et débit, et m'introduisist une bonne longueur du tube annelé dans l'anus. Sous la violence du jet, mon ventre gonfla très rapidement. Elle retira le flexible d'entre mes fesses et me demanda de lui en faire autant et je m'exécutai avec plaisir. Et pendant un grand moment, nous jouâmes ainsi : Nous embrassions, collées l'une à l'autre, debout, cuisses serrées, vidant nos intestins, mêlant nos excrèments mêlés d'eau qui coulaient le long de nos jambes. Dès que le débit diminuait, on se remettait le tuyau dans le cul pour réinjecter une bonne dose d'eau chaude. Malgré l'odeur épouvantable, cette scatologie partagée nous fit bien jouir, et lavée, rhabillées, nous partîmes bras dessus bras dessous, comme les meilleures amies du monde...
FIN