Armande chez le Kiné (7) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Je réfléchis quelques instants : C'est tentant ! Je lui demandai :
- J'ai carte blanche avec tes filles ?
- Tout-à-fait : elles sont à vous. Alors, c'est d'accord ?
- D'accord ! Juste deux coups de fil à passer...
j'appelai mes parents pour leur dire que je dormais chez Maryse, et celle-ci pour lui dire que j'étais sensée être avec elle... La nuit était à moi !
Nous discutâmes tranquillement de la suite des opérations, laissant les deux filles mariner, l'une dans son placard, l'autre attachée sur son lit. Je lui demandai d'aller les chercher et elle revint bientôt, poussant et houspillant ses deux filles et les plaça debout face à moi. J'étais assise dans un fauteuil et jouait négligement avec une cravache. J'observai les deux filles nues, honteuses, rouges, tête baissée ; elles formaient un joli contraste : Audrey présentait un corps gracile, une poitrine toute plate et une fente sexuelle imberbe ; l'aînée, par contre, montrait une féminité bien avancée, plus en courbes, elle arborait deux jolis seins assez petits, et une touffe blonde et clairsemée formait un triangle au bas de son ventre plat. Dans un réflexe de pudeur, elle avait un bras replié sur sa poitrine et une main devant son pubis. J'attaquai :
- Vous vous êtes mal conduites toute deux, vous êtes sales comme des cochonnes. Bref, votre mère m'a demandé de vous punir pour celà : Elle pense que si c'est une jeune fille comme vous qui vous applique la punition, elle portera mieux.
Yolande confirme, les deux autres n'osent rien dire, pétrifiées. Je repris à leur intention :
- Frances, baisse tes bras le long du corps quand je te parle ! Tu as honte, n'est-ce pas ? Ce n'est pas fini ! Vous pouvez être honteuses : on vous a pourtant appris l'hygiène, non ? Vous devriez savoir que l'on doit se laver tout les jours, et pas seulement le visage, mais aussi les dents, les oreilles, les pieds, entre les cuisses et entre les fesses ! Une fille bien élevée doit changer de petite culotte tous les jours ! Comme vous semblez avoir oublié ces sains préceptes, je vais me charger de vous les rappeler. Vous allez donc subir bien sagement la punition que votre conduite vous a mérité. Je vous préviens, à la moindre résistance, à la moindre dérobade, elle sera augmentée d'autant. Vous êtes prévenues : Si vous voulez vous en tirer au minimum, soyez dociles...
Yolande ajoute :
- Armande a tout-à-fait raison : si vous n'êtes pas sages, la punition sera pire, et en plus j'en parlerai à votre père à son retour, et là vous voyez ce que je veux dire, pas vrai ?
Elle murmurent un "oui" presque inaudible. Je me levai et tournai autour des deux filles côte à côte qui n'osaient bouger, les touchant un peu partout de bout de la cravache, les faisant frissonner d'appréhension. Je revins face à elles :
- Regardez-moi ! Vous allez être sages ?
- Oui...
- Oui qui ?
- Oui Mademoiselle...
- C'est mieux. Pour commencer, vous allez recevoir chacune dix coups de cravache sur les fesses. Qui veut passer la première ? Pas de volontaire ? Bon Frances, tu est la plus grande, tu dois donner l'exemple : Penche-toi sur ce fauteuil et tends bien ton derrière...
L'adolescente a blémi, mais n'ose résister et prend la pose indiquée. Je me place derrière elle, lui caresse doucement la croupe de la mêche de cuir de la cravache, couvrant ses fesses de chair de poule, glissant même le bout dans la raie médiane, tout en lui expliquant :
- Seuls les coups que tu aura comptés à haute voix compteront. Le moindre mouvement te vaudra un coup supplémentaire, mais cette fois sur les seins, et un autre directement entre tes jambes écartées...
Je levai la cravache et l'abattis, pas trop fort tout de même sur les fesses blanches de ma victime. Le claquement du cuir est suivi d'un cri de douleur :
- Aie !!!
- Tu n'as pas compté : on recommence !
Et je repris la correction : chaque coup traçait une ligne rouge sur les fesses blanches de Frances, ponctué par la fille :
- Ouille... un... aie... deux...
J'arrêtai à dix. Elle était en pleurs, mais n'avait pas bougé, sans doute terrorisée d'être fouettée sur les seins ou la vulve. Je la fis se relever et ordonnai à Audrey de prendre sa place. La gamine se comporta docilement, n'oubliant pas de compter les coups de cravache qu'elle recevait. A la fin, leurs fesses étaient striées de rouge. Je leur ordonnai alors d'aller me chercher leur culotte sale ; elle revinrent rapidement, toujours nues tenant piteusement chacune la sienne. Je leur enfilai leur slip sur la tête, de façon que l'entrejambe se trouve devant, au niveau du nez et de la bouche. Ainsi attifées, je les fis se prosterner, face au mur, la tête et le buste posés sur la moquette, genoux très écartés, fesses très hautes, et pour ajouter à leur humiliation, je leur dis de passer leurs mains derrière leur dos et s'écarter les fesses au maximum. Je les laissai mijoter un bon moment dans cette posture infamante, montrant leur sexe et leur anus.
Plus tard, alors que Yolande préparait le diner (c'était le jour de conigé de la bonne), j'autorisai les deux filles à se relever et les emmenai dans la salle de bains. Là, débarassées de leur culottes, je les fis mettre debout toutes les deux sous la douche et les obligeai à se récurer mutuellement, en les faisant insister particulièrement entre les cuisses et entre les fesses de l'autre. Elle étaient évidemment très génée de devoir se laver ainsi mutuellement. Les jugeant propres, je les autorisai à se sécher et à aller s'habiller pour le dîner.
On n'entendit guère les deux filles pendant le repas, humiliées, le nez baissé dans leur assiette ! Dès qu'elle eurent débarassé la table, je les couchais, en commençant par la plus
petite, Audrey.
Je la conduisis dans sa chambre où elle dût se mettre toute nue, avant de s'accroupir sur un vase de nuit pour faire pipi, avant d'enfiler sa chamise de nuit et se glisser dans son lit. Avant de l'abandonner, je la fis mettre à plat ventre, relevai sa chemise et lui donnai une petite fessée, plutôt amicale, puis lui écartai les fesses à deux mains pour jetter un oeil à son petit trou, maintenant bien propre, avant de lui baisser sa chemise et la border. Avant de la quitter, je lui caressai gentiment les cheveux, l'embrassait et éteignis la lumière : la porte n'était pas refermée, qu'elle dormait épuisée...
Je renouvelai la cérémonie avec la grande, Frances, avec quelques variantes. Elle était drôlement mignone, et je me jurai de me la faire à l'occasion, mais pour l'instant, je jouai mon rôle autoritaire. Je dûs la menacer un peu pour qu'elle accepte d'uriner devant moi, accroupie nue sur le pot, mais finit par s'y résoudre, morte de honte. Elle enfila une longue chemise de nuit en nylon et se coucha. Elle aussi, je la fis mettre à plat ventre, lui écartai les fesses pour le plaisir, les lui caressai un peu sans insister, la dispensai de la fessée... Bordée, je l'embrassai aussi, lui souhaitant une bonne nuit.
Yolande m'attendait dans sa chambre, ravie que j'accepte de passer la nuit avec elle. Elle m'attendait debout, nue dans une nuisette transparente qui ne cachait rien de son corps superbe et me demanda ce que je désirai.
- Déshabille-moi, doucement, puis je t'autorise à t'occuper de moi comme tu voudras : je suis crevée...
Pendant qu'elle me déshabillait amoureusement, mon regard tomba sur deux carrés grillagés encastrés dans la tête du lit. Je lui demandai :
- C'est quoi, la radio ?
Elle suivit mon regard et me dit :
- Oh non, ça c'est un vieux truc : chaque haut-parleur est relié à un micro, dans une chambre des filles. Ca nous servait quand elles étaient petites pour nous rassurer sur leur sommeil... Celui de gauche correspond à la chambre d'Audrey, et l'autre à celle de Frances...
- C'est encore fonctionnel ?
Elle eut un haussement d'épaules :
- Oh, je pense, oui...
Elle tourna deux boutons et le son vint. Un son de bonne qualité, d'ailleurs. Le haut-parleur correspondant à la petite Audrey, laissai entendre la respiration régulière de la petite fille profondément endormie. Sur un signe, elle l'éteignit.
Dans l'autre, on pouvait entendre une certaine agitation : Bruit de tissu froissé, corps qui se tourne et se retourne, petits soupirs. Puis les soupirs devinrent plus fort, mélés à des gémissements n'éoquant pas la douleur, associés à un grincement léger du sommier :
- Mais, ma parole, elle est en trai de se branler, la petite cochonne !
- Vous croyez ?
- J'en suis sûre, écoute !
En effet, les soupirs et les grincements allaient crescendo, puis il y eut un petit cri, puis le calme retomba... Yolande rougit :
- C'est vrai qu'elle est grande, maintenant !
- Et puis ça me donnera barre sur elle demain quand je le lui ferai avouer...
- Comment comptez-vous y parvenir ? Elle ne voudra jamais le reconnaitre ?
- J'ai mon idée. Maintenant je dors, mais tu peux t'occuper de moi si tu veux...
Je m'étalais en traves de son lit et fermai les yeux. Je somnolais et je sentais ses mains et sa bouche d'une grande douceur partout sur moi : Mon visage, mes petits seins, ma chatte, entre mes fesses... Je dus jouir dans un demi sommeil, et elle continuait à me caresser avec dévotion et mille précautions. Dans le nuit, je fis un rève érotique et m'éveillai très excitée: ce n'était pas tout à fait un rève : elle était entre mes cuisses écartées, sa bouche rivée à ma vulve, me lèchant avec une douceur infinie.
Je me réveillai très tôt et en pleine forme. Le visage de Yolande était penchée amoureusement sur moi. Je lui souris. Elle m'embrassa et me dit :
- Je vous ai regardé dormir toute la nuit. Vous étiez ravissante. Je vous ai caressé aussi : c'est fantastique, vous avez eu plusieurs fois du plaisir, sans même vous réveiller... Je vous ai apporté un café...
Le café était excellent et je lui demandai de me laver avant que je m'occupe de ses filles. Elle me fit couler un bain, me lava partout en douceur : C'était bon de se sentir petite fille entre les mains de cette femme magnifique et qui m'adorait... Je m'habillai rapidement et allai réveiller ses deux filles. Là aussi, je commençai par Audrey : Je lui caressai les cheveux. Quand elle me reconnut, une lueur de panique passa dans ses yeux, mais je ne lui fis aucun mal, et lui dit gentiment :
- Allez, debout, ma chérie, l'école t'attends ! Et lave-toi comme il faut, n'est-ce pas ?
- Oh oui mademoiselle...
Je la laissai pour aller m'occuper de sa grande soeur. Je fis signe à Yolande de venir, et laissai la porte entrebaillée pour qu'elle puisse assister discrètement à la suite des opérations. J'entrai à pas de loup : elle dormait sagement sur le dos, la main droite alanguie sur les draps. Je l'appelais doucement, lui caressant le visage d'une main, l'autre posée doucement sur son poignet à l'extérieur. En ve voyant, je vis instantanément qu'elle revivait la séance de la veille. Je la rassurai :
- N'aies pas peur, Frances, je n'ai aucune mauvaise intention à ton égard. Tu as bien dormi ?
- Oui, merci...
- Dis-moi, tu ne t'es pas masturbée, au moins cette nuit ?
- Quoi ?
- Tu m'a très bien comprise. Réponds !
- Mais non, voyons !
- Tu en es bien sure ?
Elle répondit, maussade :
- Évidemment !
Quand elle sentit le piège, il était trop tard : Quand je saisis fermement son poignet et approchai sa main de mes narines, elle comprit instantanémment, mais n'eût pas le temps de réagir : J'étais fixée par l'odeur caractéristique de ses doigts. Elle perdit contenance et rougit intensément. J'insistai :
- Mais en plus, tu es une petite vicieuse ! Décidément, tu cherches à te faire punir !
- Non, je ne veux pas...
Je ne m'évervai pas, préférant la terroriser psychologiquement :
- Écoute-moi bien, Frances. Ta maman m'a demandé de te punir comme tu le mérites, et je n'ai pas l'intention de trahir sa confiance. Aussi, tu fera tout ce que je te dirai bien gentiment : Pour toi, c'est le moins pire. Si tu ne te corriges pas, ta mère pourrait t'envoyer dans une maison de correction, tenue par des religieuses, avec une discipline de fer, dont tu n'as pas idée !
- C'est pas vrai ?
- Mais si, ma chérie, si je dis à ta mère que tu branle comme une cochone la nuit, tu y a droit. Mais attends que je t'explique un peu comment ça se passe dans cette école très spéciale : J'ai connu une fille qui y avait passé six mois, elle était à l'état de loque humaine !
- Ce n'est pas possible, vous voulez me faire peur...
Mais sa voix était loin d'être assurée. J'enfonçai le clou, tout en continuant à lui caresser gentiment les cheveux :
- En arrivant, on te met toute nue, et on te rase de la tête aux pieds : Les cheveux, le bas-ventre, entre les fesses... Puis tu dois enfiler l'uniforme : Une simple robe de bure, une paire de sandales, et rien d'autre ! Lever, tous les matins à 5 heures et toilette à l'eau glacée, toute nue, comme pour dormir sur une paillasse. Si tu es bien sage, tu seras fouettée chaque jour, sur tout le corps, comme ça, sans raison, juste pour te dresser. À aucun moment, tu n'es laissée seule : la nuit, tu dors nue sur une paillasse, et la lumière n'est jamais éteinte. Même les WC n'ont pas de porte et tu dois faire des besoins naturels en public.
Sa main tremblait maintenant dans la mienne, et ses yeux reflétaient l'épouvante. J'insistai lourdement pour la faire craquer complètement :
- Là, je ne t'ai parlé que de la vie quotidienne, de la routine, en somme. Il va sans dire que la moindre faute, réelle ou supposée, est très sévèrement punie, et pas par une petite fessée cul nu, crois-moi ! Et pour être efficaces, les punitions portent toutes sur les zones qui chez nous, les filles sont les plus sensibles : les seins, surtout les mammelons, la vulve et l'anus et avec tous les moyens ! Tu t'imagines fouettée entre tes cuisses attachées et écartées au maximum ? Les pointes de tes seins percées d'aiguilles ? Des orties ou des chardons introduits de force dans ton sexe ou ton derrière ? Les douches alternées, glacées et brûlantes... Les lavements punitifs, d'eau salée très chaude... l'introduction d'une bouteille entre tes fesses...
Elle a les yeux remplis de larmes et me supplie :
- Oh, non, arrêtez, par pitié ! Je serai très sage, je ferai tout ce que vous voudrez !
Je l'embrassai sur les deux joues, lui disant :
- C'est bien, tu deviens raisonnable : Continue, tu es sur la bonne voie ! Alors tu reconnais t'être masturbée cette nuit ?
- Oui...
- C'est mieux. Je vais examiner ton petit endroit...
Elle rougit jusqu'aux oreilles, mais ne dit rien quand je rabattis les draps au pied du lit. Sa chemise était un peu remontée sur ses cuisses : Je la troussai jusqu'aux seins et lui fit plier et écarter les jambes. Je me penchai sur son entrecuisse, regardant de tout prêt, humant son odeur intime, une odeur excitante cette fois, je glissai mes doigts dans sa fente, l'explorant doucement du clitoris à l'anus. Elle n'osait rien dire, mais commmençait à mouiller sous mes attouchements. Je cessai et lui ordonnai :
- Allez, montre-moi comment tu te branles !
- Oh non, je n'oserai jamais faire une chose pareille !
- Si tu préfère une autre punition, c'est ton problème...
- Non, non, je vous en prie, je vais le faire...
En effet, d'abord timidement, rouge de honte, elle mit sa main entre ses cuisses : Délicatement, elle écarta les babines de son sexe, et je vis le bout de son médius se poser sur son clitoris, qu'il se mit à masser doucement, en un mouvement tournant. Peu à peu, prise au jeu, elle s'enhardit, se masturbant réellement. Le visage à quelques centimètres de sa chatte, je n'en perdais pas une miette : Je vis sa fente s'épanouir, devenir ruisselante ; en même temps, elle se mit à gémir doucement, agitant son bassin dans tous les sens. Je glissai une de mes mains sous sa chemise et lui caressai doucement ses tout petits seins, faisant dresser le bout, je mis l'autre entre ses fesses, lui titillant l'anus, lui-même humide de sa rosée amoureuse, et au moment ou je sentis qu'elle allait jouir, j'y enfonçai mon doigt de toute sa longueur ! Elle eut un orgasme très fort, criant son plaisir, et je sentis sa petite bouche anale se resserrer spasmodiquement autour de mon doigt que je dégageai en douceur.
Elle resta alanguie, cuisses ouvertes, ne pensant même pas à dissimuler ses parties les plus intimes, cuvant son plaisir, me regardant d'un drôle d'air. Je me penchai pour l'embrasser sur les deux joues et lui dit :
- Bon, il faut que je me sauve maintenant. Tu seras bien sage?
- Oui je vous le promets, Mademoiselle...
- Tu peux m'appeler Armande et me tutoyer : Nous deviendrons peut-être amies ?
- Oui si vous... Si tu veux...
- On se reverra peut-être un de ces jours, qui sait ? Et souviens-toi de ce qu'à dit ta mère : Tu dois toujours m'obéir comme à elle-même, car ta punition n'est pas levée. D'accord ?
- Oui, promis !
Je l'embrassai de nouveau, cette fois au coin des lèvres et m'en allai. Yolande me dit avec admiration :
- Vous êtes vraiment merveilleusement diabolique ! Si vous désirez punir l'une de nous trois, n'hésitez pas...
Il s'écoula quelques jours, entrecoupés d'ébats avec mon kiné ou Maryse, ou les deux à la fois, et aussi Yolande. J'avais parlé de Frances à Maryse, à qui je ne cachais rien, ainsi que du traitement que je lui avait fait subir, et nous avions envie de la joindre à nos jeux, profitant de l'autorité que sa mère m'avait donnée sur ses filles. Entretemps, ma toison intime avait repoussé, et Eric ne m'avait pas redemandé de m'épiler : Sans doute nous aimait-il autant ainsi. J'appelai Yolande pour lui demander l'adresse de l'école de sa fille, et son heure de sortie. Elle me donna ces renseignements sans discuter, me demandant tout de même :
- Vous me raconterez ce que vous allez lui faire ?
- Pourquoi pas ?
Le soir même, j'attendais Frances à la sortie de l'école, une école privée pour gosses de riches. Elle parut entourée de camarades, qu'elle abandonna précipitamment, dès qu'elle me vit pour venir vers moi. Elle ne semblait pas très rassurée de me voir là : Tant mieux ! J'aimais bien jouer avec ses nerfs. A mon "Bonjour, Frances, tu vas bien ?" elle répondit par un timide "Bonjour Armande..." Je lui pris le bras et l'entraînai. Elle me demanda apeurée :
- Où allons-nous ?
- Allons, ne fait pas cette tête, je ne vais pas te manger ! Je voudrais te présenter à ma meilleure amie, Maryse...
- Vous... tu vas encore me punir ?
- On verra, mais raconte-moi plutôt la suite de notre rencontre de l'autre jour, où tu avais oublié ta toilette...
Elle rougit à cette évocation et tou en marchant me raconta.
- Ça était dur, dur, surtout la première semaine ! J'ai reçu la fessée, en moyenne deux fois par jour, et je te prie de croire que je me lavais bien partout : À tout moment, maman pouvait s'enquérir de ma propreté, intime ou autre, ce dont elle ne se privait nullement... Pareil pour ma petite soeur ! Puis elle a dû se lasser, ou pour m'humilier davantage, elle a chargé la bonne de veiller à notre propreté. La honte, je te dis pas !!! Souvent, elle assiste à ma toilette pour être sûre que je me lave entre les jambes ou le derrière. Quand ça lui prend, Mariette me fait ouvrir la bouche, ou regarde mes oreilles et mon cou. Le pire, c'est quand elle vérifie où tu imagines...
Nous continuions à marcher côte à côte, je la pris par la taille et l'encourageai :
- Explique-moi ça en détail !
- Oh ça me gêne horriblement...
- Mais moi, je suis très curieuse et, souviens-toi, c'est moi qui commande...
- Pas la peine de me le rappeler ! Bon. Ça dépend des fois : Elle a plusieurs techniques. Parfois, elle se contente de regarder le fond de mon slip : Pour celà, debout face à elle, je dois baisser ma petite culotte jusqu'au dessous du genou et écarter les jambes ; elle se penche pour en regarder l'entrejambe. Ou bien je dois retirer mon chemisier, lever les bras et elle me renifle longuement sous les aisselles. Pire : Parfois, je dois retirer entièrement ma culotte, trousser ma jupe très haut, et m'allonger sur mon lit en repliant les cuisses sur ma poitrine : Alors elle m'examine longuement, me reniflant, me touchant, même... D'autres fois, elle est plus expéditive : Elle glisse sa main sous mes jupes, écarte ma culotte et me met un doigt devant ou entre les fesses, ensuite, elle le sent ! Mais je crois que le pire, c'est quand elle me demande de me prosterner sur mon lit, me trousse très haut, baisse mon slip sous mes fesses, les écarte largement de ses deux mains pour voir ma raie et la renifler longuement...
- Et celà te fait quel effet, ça t'excite, parfois ?
Elle tourne vers moi un regard étonné :
- Je t'assure que non ! J'ai très honte, c'est tout ! Je déteste être ainsi traitée. De plus, si elle n'est pas contente, je suis punie : Fessée, cravache et autres joyeusetés. Un jour, par exemple, elle m'a enfoncé son doigt de toute sa longueur dans le derrière et a décrété que je devais recevoir un lavement. Je n'ai jamais été aussi humiliée : J'ai dû me mettre toute nue, couchée sur le côté; Mariette m'a écarté les fesses et a pénétré mon anus avec une longue canule, qui n'en finissait plus de remonter, canule reliée à un bock d'au moins deux litres d'eau très chaude. Je sentais mon ventre se gonfler. J'ai dû attendre longtemps, en trépignant sur place, avec la peur de tout lâcher, qu'elle m'autorise à évacuer le lavement ! Et le comble de tout, j'ai dû me soulager devant elle ! Elle m'a aussi menacée de m'envoyer à l'école sans petite culotte !!!
- Ce n'est pas forcément une mauvaise idée ?
Elle me jeta un regard suppliant sans rien dire. En parlant, nous étions arrivées : Maryse nous attendait, non pas chez elle, mais à l'appartement de sa soeur aînée, actuellement en vacances. Nous ne serions pas dérangées. Elle nous accueillit gentiment, jetant au passage un regard gourmand à Frances, et nous conduisit au salon, où le thé nous attendait. La conversation roula très vite sur Frances et ses déboires, la gênant affreusement. Maryse surtout la pressait de questions, insistant sur les détails les plus humiliants. Assise entre nous deux sur le canapé, la pauvre Frances ne savait plus où se mettre, au bord des larmes. J'insistai :
- Bon c'est pas le tout, mais ta mère m'avait chargée de te punir...
Elle me regardait pleine d'appréhension :
- Que vas-tu me faire ?
- Que dirais-tu d'une petite fessée pour commencer ?
- Oh...
Sans me lever, je l'attirai vers moi et l'allongeai à plat-ventre en travers de mes cuisses, sans qu'elle oppose de résistance. Je tapotait ses fesses, plutôt gentiment au travers du fond de sa longue jupe très élégante. Puis je demandai à Maryse de la trousser très haut, ce qu'elle s'empressa de faire, relevant lentement la jupe de Frances, découvrant ses jambes, ses cuisses, et enfin son derrière. Ses dessous aussi était jolis : Porte-jarretelles sous une culotte enveloppante, de style boxer, aux jambes bordées de dentelle, bas fins couleur chair. Je repris la fessée, pas vraiment méchante, sur le fond de sa culotte. Puis je demandai à mon amie de lui retirer complètement sa culotte, avent de la refesser directement sur la peau de son cul. Je ne frappais pas fort, voulant plus l'échauffer que lui faire mal. Elle gémissait un peu, apparemment surprise de ma clémence, bougeant un peu les fesses.
J'arrêtai de la fesser et lui ordonnai :
- Ecarte les cuisses au maximum, qu'on puisse voir si tu es bien propre !
Elle obéit aussitôt et sépara ses longues jambes. Je fis signe à Maryse qui s'accroupit entre elle, approchant son visage de l'entrecuisse de Frances, la regardant de très près et la reniflant... Elle leva le visage vers moi et me dit :
- Tu veux bien lui écarter les fesses, que je vois aussi son petit trou ?
Je lui donnai satisfaction immédiatement, posant mes mains sur les fesses de Frances et les ouvrant au maximum. Elle se laissit faire, complètement soumise. Son petit trou rose apparut, et son sexe s'entrouvrit alors. Maryse me regarda, pointant un bout de langue évocateur : Je fis "oui" de la tête, et approcha sa bouche de l'anus de notre victime consentante, et se mit à le lécher à petits coups de langue. Surprise, Frances tenta de resserer ses fesses et s'écria :
- Mais qu'est-ce que vous me faites ?
J'affermis mon bras tenant sa taille et lui dit gentiment :
- Et bien Maryse te lèche le trou du cul ! Tu aimes ça ?
- Mais, c'est sale !
- Allez, laisse-toi aller. Ouvre-toi, plutôt que de te plaindre !
Et sous la caresse savante de sa rondelle, elle se mit à gémir, à tendre son cul vers la langue qui la fouillait au plus intime, se tortillant, mais pas pour se dérober, d'autant que Maryse utilisait ses doigts pour lui caresser la chatte !
Frances, toujours couchée à plat ventre en travers de mes cuisses, se laissait faire, y trouvant même un grand plaisir, et parût frustrée quand mon amie abandonna sa raie culière, restant ouverte, sans que j'ai à tirer sur ses fesses... Maryse revint très vite, avec à la main un petit tube de vaseline et la bougie qui nous avait déjà servi pour nos jeux sexuels. Elle massa le petit trou offert et délicatement y introduisit un doigt, qu'elle fit aller et venir dans l'étroite gaine, avant d'y adjoindre un second. Frances gémissait, disant qu'on lui faisait mal, ce qui n'arrêta pas ma copine, qui continua à lui dilater le cul. Je voyais la rosette de la fille s'ouvrir peu à peu, luisante de vaseline. Quand elle sentit le bout de la bougie la pénétrer entre les fesses, elle se raidit et supplia :
- Oh non, arrêtez, je vous en supplie ! J'ai mal...
Je lui donnai une tape sur la fesse et lui dis :
- Tu auras mal si tu te crispe : Détends-toi, laisse-toi enculer, tu vas voir, tu aimeras ça !
Peu à peu, la bougie, poussée doucement, mais sûrement par Maryse disparaissait dans le rectum de la fille qui continuait de se plaindre, sans toutefois essayer de se soustraire à son supplice, plus, elle suivait mon conseil, se détendant pour facilliter la pénétration anale. Quand il ne resta q'un petit bout de la bougie à l'extérieur, je fis à nouveau signe à Maryse qui plaqua sa bouche à la vulve de Frances. Je pris la bougie et commençai à la sodomiser lentement et bien à fond, cependant que ma copine lui bouffait la chatte !
Peu à peu, la fille commença à apprécier : je n'avais plus besoin de la maintenir. Elle se laissait sucer et enculer sans émettre autre chose que des gémissements de plaisirs. Sous l'action conjuguée de la bougie dans son cul et de la bouche de Maryse sur sa vulve, elle ne tarda pas à jouir, se trémoussant, gémissant... Doucement, alors qu'elle continuait à jouir, je retirai la bougie d'entre ses fesses. Quand je la fit se relever, ses jupes retombèrent, et son visage apparut rouge de confusion. Elle était debout devant moi, les bras ballant, tête baissée, l'air très emprunté !
Je défis un à un les boutons de son chemisier, dont j'écartai les pans pour faire apparaître sa poitrine menue, contenue dans un soutien-gorge en dentelle : Je lui caressai les seins au travers, faisant durcir leurs pointes, avant d'écarter les bonnets pour agir à même la peau. Elle se laissait faire, passive. Je lui retirai complètement son chemisier, avant de dégraffer son soutien-gorge, libérant ses petits seins blancs. Ensuite, je m'attaquai à la fermeture de sa longue jupe qui chût à ses pieds et lui dit :
- Tu vas maintenant me sucer, comme Maryse vient de te le faire !
Rapidement, je retirai ma jupe et mon slip et m'allongeai sur le lit, cuisses grandes ouvertes. Frances hésita un peu, avant d'oser poser sa bouche sur ma chatte : Apparemment, c'était la première fois qu'elle faisait celà à une autre fille ! Malhabile, mais pleine de bonne volonté, elle se mit à me lécher, me sucer, à genoux entre mes jambes, vêtue uniquement de ses bas et de son porte-jarretelles. J'étais tellement excitée par ce qui avait précédé, que je ne tardai pas à éprouver l'orgasme, jouissant dans sa bouche...
Pendant ce temps, Maryse s'était déshabillée entièrement et elle prit ma place pour se faire dévorer le sexe à son tour. Ensuite, ce fut la mêlée : Nous nous caressâmes mutuelllement toutes les trois, et au bout du compte, Frances n'était pas si mécontente de sa "punition". Pendant qu'elle se rhabillait, j'appelai sa mère pour lui dire :
- J'ai vu Frances. Je crois qu'on peut allèger sa punition : Je l'ai trouvée très propre de partout... Elle va rentrer tout de suite... À bientôt...
Frances me lança un regard reconnaissant. Je douchai son enthousiasme :
- Ne te réjouis pas trop vite : je peux encore changer d'avis ! Tu es toujours décidée à m'obéir ?
- Mais oui, bien sûr !
- Parfait. Alors retire ta culotte et donne-la moi : Tu rentres chez toi le cul à l'air !
Elle eût un air suppliant, mais ne dit mot : Elle glissa ses mains sous sa jupe, retira sa culotte et me la tendit en rougissant. Je lui promis :
- Je te la rendrai demain. Car tu vas revenir demain, ici même, à la sortie des cours, et de plus, tu m'amèneras ta sœur Audrey : Sur elle aussi, j'ai un droit de punition...
- Que... va-tu lui faire ?
- Tu verras bien. N'aie pas peur, je vais pas te l'abîmer ! Alors c'est d'accord ?
- Oui, c'est d'accord : Je l'amènerai vers cinq heures. Je dois vraiment rentrer chez moi sans ma culotte ?
- Oui...
Elle nous embrassa avant de s'en aller.