suivant
Armande chez le Kiné (2)
précédant

Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

            Quand mon kiné me reçut, il dût voir que j'avais des bas, moi qui ne mettais habituellement que des chaussettes montantes, mais il ne dit rien. En arrivant dans la cabine habituelle, il me proposa souriant :

- Veux-tu que je t'aide à te déshabiller ?

            Prise de court, je ne sus que répondre. Déjà ses doigts s'attaquaient aux boutons de mon chemisier, qu'il défit lentement l'un après l'autre. Quand il me le retira, il vit mon soutien-gorge, trop grand pour les tout petits seins que j'arborai à cette époque. Il ne fit aucun commentaire et porta ses mains à ma taille, dégraffa ma jupe et en baissa la fermeture éclair avant de me l'enlever aussi, me faisant lever un pied après l'autre. Je me retrouvai uniquement vêtue des sous-vêtements piqués à ma grande soeur. Alors il me prit le menton, me forçant à le regarder dans les yeux, et me dit, légèrement moqueur :

- Laisse-moi deviner... Toi tu as emprunté les affaires de ta mère ?

            J'en étais pour mes frais, vexée, je maugréai :

- Non, de ma soeur...

- Elle est au courant ?

- Mais non, bien sûr !

- Est-ce que celà ne mériterait pas une punition ?

            Mes yeux se remplirent de larmes et je le suppliai :

- Oh non, je vous en supplie...

            J'avais envie de crier "Mais c'est pour vous que j'ai mis ce genre de chose", mais évidemment, je ne dis rien. Il continua un moment à me fixer puis haussa les épaules, disant :

- Bof, après tout c'est un problème entre vous deux.

            Il s'accroupit devant moi et entreprit de me retirer mon petit slip, le faisant glisser avec une lenteur exaspérante, le long de mes hanches, puis de mes cuisses et enfin de mes jambes avant de me l'enlever complètement. Il me considéra tranquillement de haut en bas, ainsi harnachée, et dit :

- Tu peux garder le reste, ce n'est pas gênant pour la séance d'aujourd'hui. Suis-moi...

- Comme ça ?

- Mais oui, ne t'inquiète pas, nous sommes seuls !

            J'obéis, me sentant ridicule ainsi acoutrée, et il m'emmena dans une pièce que je ne connaissais pas encore, me précisant :

- Aujourd'hui, je ne vais m'occuper que de ton petit trou.

            J'en frémis intérieurement : Qu'allait-il encore inventer ? Je ne tardai pas à être fixée !
 La pièce où nous étions était toute petite, meublée d'une espèce de fauteuil, entouré d'appareil bizarres. Le kiné m'aida à m'installer sur le fauteuil surélevé : à demi couchée, j'avais les fesses à ras du bord inférieur. Il me replia fortement les jambes et posa mes mollets sur des supports en forme de gouttière, de part et d'autre du meuble. Une fois disposée, je me retrouvais écartelée, cuisses au grand écart, montrant toutes mes parties les plus intimes. Comme si cela ne suffisait pas, il braqua une puissante lampe sur le centre de ma petite personne ! Je ne pouvais pas être plus ouverte, accessible, aussi bien pour ma fente sexuelle, entrebaillée par la position, que pour mon anus, entre mes fesses maintenues écartées !
Il s'assit alors face à l’intersection de mes cuisses et commença à me masser l'anus, toujours en douceur, m'excitant rapidement. Quand il jugea ma rosette suffisamment assouplie, il saisit une tige ronde et longue en caoutchouc, reliée à l'un des appareils par un fil et la présenta entre mes fesses. Lentement, il m'en introduisit une vingtaine de centimètres dans le derrière. Ce n'était pas douloureux, la tige n'étant pas très grosse et mon petit trou bien préparé...
Il agit sur quelques réglages et la tige se mit à vibrer dans mon ventre ! Surprise, je sursautai violemment. Alors il la dirigea vers tous les points à l'intérieur, la faisant aller et venir, la tournant pour que l'extrémité me touche vers l'avant, vers l'arrière, sur les côtés... Les vibrations, lentes, irradiaient dans tout mon bas-ventre, ne tardant pas à m'exciter.
Et lui, tout en me fouillant profondément le derrière avec sa tige diabolique, engageait la conversation, comme si de rien n'était !
Il me posait tout un tas de questions sur ma vie sexuelle, auxquelles je n'avais aucune envie de répondre, mais le faisant plus ou moins malgré moi, taraudée par la tige qu'il continuait d'agiter dans mon cul. De temps en temps, il changeait le rythme des vibrations, ce qui me désorientait : je sentais le plaisir monter dans mes reins et mon bas-ventre, puis la cassure de rythme m'arrêtait en plein élan... Et ses questions indiscrètes continuaient : depuis quand j'étais réglée ? est-ce que je me masturbais ? ou, quand, comment ? avais-je un petit ami ? que faisions-nous ensemble ? avec une autre fille ?
Malgré qu'il retarde savamment mon orgasme, peu à peu je perdais les pédales, transpirant, gémissant, m'agitant, bafouillant. Je mouillais tant et tant qu'il était impossible qu'il ne s'en apperçoive pas ! Mes jambes se mirent à trembler et je le suppliai :

- Arrêtez, je vous en prie, je n'en peux plus !

Aussitôt les vibrations c essèrent et il me demanda hypocritement :

- Qu'est-ce qu'il se passe, je t'ai fait mal ?

- Non... je... ce n'est pas ça...

- C'est quoi, alors, dis-moi ?

- Je... ne sais... pas...

- Explique-toi mieux ! C'est désagréable ce que je suis en train de te faire ?

- Oh non... si... je ne sais plus...

            J'étais au bord des larmes, complètement perdue : j'aurais voulu qu'il arrête ce supplice de tantale, me maintenant sadiquement sur le bord du plaisir : qu'il me laisse partir ou qu'il me fasse jouir, je n'en pouvais plus... Bien sûr, il devinait le désarroi dans lequel je me débatais et qu'il avait sciemment provoqué. Sans retirer la fameuse tige de mon anus, il me caressa doucement le ventre pour me calmer.

- Que veux-tu, ma chérie, que je continue ou que j'arrête ? À toi de décider.

- ...Continuez s'il vous plaît !

- Jusqu'où ?

            J'éclatais convulsivement en sanglot et je balbutiai ce qu'il attendait sans doute depuis le début :

- Jusqu'au...bout ! Vous n'avez pas le droit... de me laisser comme ça... faites-moi... jouir... je vous... en supplie!

            Il ne dit rien mais eu un sourire jusqu'aux oreilles. Les vibrations reprirent de plus belle, irradiant à l'intérieur de moi. La tige, manipulée de main de maître, fit remonter mon excitation sur les sommets ; l'orgasme me surprit, me faucha, à ma grande surprise, alors que ma vulve ou mon clitoris n'avait même pas été effleurés ! Je me cabrais, m'agitais, je dûs même crier, puis m'écroulai, vidée, sur le fauteuil diabolique...
Quand je repris mes esprits, il avait retiré la tige d'entre mes fesses, et penché sur moi, il me caressait le front et me dit:

- Pour une qui déteste le toucher rectal, tu te poses là !

- Je vous déteste ! Vous entendez, je vous déteste ! Je ne viendrai plus jamais...

- Allons du calme ! Viens avec moi. Tu vas te rhabiller.

            Au moment de me quitter, il m'indiqua le rendez-vous suivant. Butée, je lui dis :

- Je ne viendrai pas !

            Très sûr de lui, il prit un ton plus dur pour me dire :

- Mais si tu viendras ! De plus, pour t'apprendre à discuter, tu viendras mais sans mettre de culotte, compris ? Et tâche d'être à l'heure ! Allez file, maintenant...

            ...Ce que je fis pour ne pas le giffler, après avoir affirmé haut et fort "pas question", tout en admettant tout au fond de moi que j'étais de mauvaise foi...
Quand je rentrai chez moi, ma soeur me tomba sur le poil : elle s'était aperçue de mon larcin et n'était pas contente du tout ! Je dus immédiatement retirer ses dessous et les lui rendre. Comble de malchance, le fond du slip laissait apparaître une marque brune révélatrice, due sans doute à la sollicitation intense qu'avait subi mon anus dans l'après-midi, ce qui augmenta encore sa fureur. Maman dut intervenir pour nous séparer, et mise au courant du différent qui nous opposait, me dit :
            - Écoute, Armande, tu es pénible à piquer les affaires de ta soeur. Bon demain je t'emmène à la ville te choisir des vêtements de "grande", comme tu dis...

            En effet, le lendemain nous partîmes toutes les deux pour renouveler ma garde-robe. Outre quelques robes-jupes et chemisiers plus "jeune fille", j'eus droit à quelques dessous plus sexy que mes éternelles petites culottes en coton : 3 parures complètes et quelques paires de bas. Je voulais du noir ou du rouge, j'eus droit à du bleu marine, du vert amande et du blanc, jugés plus convenables à mon âge. Mais enfin j'étais contente : c'était un peu la reconnaissance que j'avais grandi.
En rentrant, maman me demanda :

- Et avec le kiné, ça se passe bien ?

- Très bien maman !

- Parfait. Fait bien tout ce qu'il te dit, sinon, gare !

- Oui maman, ne t'inquiètes pas !

            Je me marrais intérieurement : si elle avait su... Mais implicitement, j'acceptais de le revoir, avec tout ce que cela pouvait comporter...

            Je fus ponctuelle au rendez-vous suivant, coiffée différemment, légèrement maquillée, vêtue de neuf : chemisier blanc brodé, jupe droite écossaise assez courte, talons mi-haut, bas gris clair. Dessous, ma parure verte, moins le slip, comme me l'avait ordonné le kiné. Bien obligée : si je le revoyais, j'étais forcée de lui obéir, ce qui me posa un gros problème : c’était la première fois de ma vie que j’allais me retrouver dans la rue sans culotte et ça me terrorisait. J’avais gardé un mauvais souvenir du pari stupide que nous avions fait avec ma meilleure amie, à savoir, traverser la cour du lycée, la culotte dans la poche ! Ne voulant nous dégonfler ni l’une ni l’autre, nous l’avions fait, mortes de trouille, nous retenant pour ne pas nous mettre à courir nous réfugier dans les WC pour nous reculotter en vitesse ! À peine à l’abri, les pieds posés sur les patins de la cuvette à la turque, je m’étais mise à uriner violemment, debout, ayant eu juste le temps de relever le bas de ma robe par pur réflexe. Nous n’avions pas renouvelé cette expérience !
            Dans la rue, j’avançais gênée comme je ne l’avais jamais été : je sentais l’air sur mes cuisses, mon ventre et mes fesses et redoutais la moindre saute de vent. Il me semblait que tous les gens que je croisais savaient que je me baladais le cul et le reste à l’air. Le trajet me parut interminable, et bien entendu, comme un fait exprès, je croisai trois copines avec lesquelles je dus échanger quelques mots, cuisses serrées. Enfin je pus m’en aller. J’avais l’impression de faire quelque chose d’interdit. Mais mon absence de sous-vêtement n’était pas ma seule angoisse : que me réservait donc mon beau kiné aujourd’hui ?

            Je fus accueuillie par un sifflement admiratif :

- Oh oh ! La princesse a changé de look, à ce que je vois ! Me dit-il en me tendant la main. Il ajouta :

- Viens dans mon bureau, j'ai à te parler.

            Une fois installés dans des fauteuils, il m'offrit une cigarette que je refusais, pris le temps d'allumer la sienne avant d'attaquer :

- Je suis très content que tu sois revenue. Tu m'en veux encore pour l'autre jour ?

- Non, sinon je ne serais pas ici !

- D'ailleurs, tu avais joui vraiment très fort, n'est-ce pas ?

- Oui, c'est vrai...

- Tu as des dispositions certaines pour l'amour, ce qui me plaît énormément. Je pense que je te plais aussi, sinon, comme tu le dis si bien, tu ne serais pas là. Je me trompe ?

            Pour me donner le temps de la reflexion, je lui dit :

- Puis-je avoir une cigarette, tout compte fait ?

- Bien sûr ! Tu n'as pas répondu à ma question : est-ce que je te plais ?

- Ben euh... oui, plutôt...

- Parfait. J'aimerais te guider sur les chemins tortueux du plaisir, sans que tu y laisse des plumes. Tu es jeune, ardente, sensuelle, je ne voudrais pas que celà se passe mal pour toi : je voudrais que tu commences ta vie de femme dans les meilleures conditions possibles. Tu me comprends ?

- Un peu, oui. Qu'exigerez-vous de moi ?

- Rien de plus que ce que tu pourras donner !

- C'est déjà beaucoup !

- Oui, mais en échange, je t'apprendrai tout du plaisir sans ses risques, ne te brutaliserai jamais : tu feras ce que je te demanderai de ton plein gré. Est-tu tentée par l'expérience ?

- Peut-être, oui... Pouvez-vous m'expliquer ce que je devrai faire ?

- Simplement te laisser guider, me faire confiance et m'obéir en tout. Ne rien me cacher de ta vie la plus intime. Tu veux bien essayer ?

- Si je ne voulais plus, par la suite ?

- Tu serais totalement libre...

- Je veux bien, mais j'ai un peu peur...

- Tu as tort : je te forcerai pas. L'autre jour, c'est bien toi qui m'a demandé de te faire jouir ?

- Oui je le reconnais... D'accord, je me fie à vous...

- Merci. On va commencer tout de suite. Je vais t'indiquer ce que j'attends de toi et te poser des questions auxquelles je te demande de répondre franchement. Mets-toi debout et vient près de moi.

******

            Aussitôt je lui obéis. Il reprend :

- Vide le contenu de ton sac sur le bureau !

            Surprise, je fais ce qu'il me demande et retourne mon sac sur le plateau, éparpillant les mille objets futiles qu'il contient. Il paraît satisfait de mon obéissance immédiate. Il reprend la parole :

- Je vais continuer à te tutoyer, par contre, tu me diras toujours "vous", quoi qu'il arrive.

- Oui.

            Me laissant debout devant lui toujours assis, il me soumet alors à un feu roulant de questions :

- Est-tu vierge ?

- Oui, je vous l'ai dit...

- De Partout ?

- Ouibien sûr.

- Depuis quel âge te masturbes-tu ?

Je réfléchis un instant avant de répondre :

- 13 ans, environ.

- Tu le fais souvent ?

- Assez, oui, presque tous les jours.

- Comment fais-tu ?

            Je dois rougir jusqu'au oreilles néanmoins, je joue le jeu :

- Sans doute comme toutes les filles : je mets ma main entre mes cuisses...

- Et puis ?

- je glisse mes doigts dans ma fente et pour me faire jouir, j'agite mon médius sur mon... clitoris.

- Te caresse-tu les seins, aussi ?

- Oui.

- Et l'anus ?

- Parfois...

- As-tu eu des expériences avec une fille ?

- Non, pas vraiment.

- Précise !

- Le jeu du docteur... comparer nos seins ou nos toisons...

- Il y a longtemps ?

- Oui, assez.

- Et actuellement ?

- J'ai une amie très intime avec qui nous nous disons tout. Nous n'avons pas de contacts sexuels, même si elle m'a déjà vue nue, et moi aussi. Il nous arrive d'essayer les dessous de l'autre, et parfois de les porter en alternance. Nous nous sommes aussi parfois masturbées côte à côte, sans nous toucher, chacune pour soi, en somme. C'est tout.

- Comment s'appelle cette amie ?

- Maryse X

            Il réfléchit un moment et finit par dire :

- Je pense la connaître. Tu lui as parlé de moi ?

- Non, je ne l'ai pas vue ces jours-ci. Dois-je le faire ?

- Oui. Tu lui confieras ce que je te dirai. Et côté garçons?

- Des petits amis occasionnels, rien de bien suivi.

- Que fais-tu avec eux ?

- On flirte simplement. Je les laisse me toucher les seins, ou les cuisses sous ma jupe, jusqu'à la culotte, pas plus. Moi je les masturbe à la main.

- Aucun ne t'a touché la vulve ?

- Si un, mais maladroitement et je l'ai laissé tomber.

- Tu as sucé le sexe d'un garçon ?

- Non jamais...

- Et en ce moment ?

- Rien. J'ai viré le dernier.

- À cause de moi ?

- ... Oui...

- Tu n'a jamais eu envie d'aller plus loin avec les garçons ?

- Oh si, bien sûr !

- Pourquoi ne l'as-tu pas fait ?

- Je voulais rester vierge avant le marriage ; de plus, je ne dispose d'aucun moyen contraceptif et ne fait aucune confiance aux garçons dans ce domaine... Bien sûr, j'ai entendu parler de la sodomie, qui apparemment et beaucoup pratiquée par les jeunes, mais j'avais peur...

- Peur de quoi ?

- De la douleur, d'abord, ensuite de me faire défoncer et d'avoir l'anus dilaté en permanence, avec des pertes...

- Tu n'as pas tout-à-fait tort ! Je t'apprendrai à pallier ces inconvénients. La sodomie bien menée est très agréable pour la femme, à condition de respecter deux conditions : l'anus doit être assoupli, élargi, pour éviter d'être déchiré, mais il doit aussi être tonifié pour se refermer parfaitement après usage... Je te montrerai tout celà... Je suppose que tu désires garder ton hymen intact ?

- Oui, si vous le voulez bien...

- Pas de problème : si ça ne dépend que de moi, tu arriveras vierge au mariage. Est-tu excitée en ce moment ?

- Oui.

- Quel effet ça te fait d'être sans culotte ?

            Il était vraiment très sûr de lui ! Il ne doutait pas un instant que je lui aie obéi sur ce point...

            - Je suis très mal à l'aise, si vous voulez le savoir ! Je ne l'avais encore jamais fait. En même temps, ça m'excite de me sentir nue sous ma jupe...

- C'est parfait ainsi. Bon on va faire ta séance d'aujourd'hui. Rerire ta jupe.

- Ici ?

- Allons, ne recommence pas à discuter.

            J'enlevai donc ma jupe et me retrouvais avec le bas-ventre et les fesses à l'air et le suivis dans cette tenue dans la pièce du fameux fauteuil, sur lequel il me fit monter, et m'installer, cuisses repliées et écartées au maximum, dévoilant largement mon intimité. De plus, sans que j'ose protester, il m'attacha dans cette position, au niveau du ventre, des mollets sur les supports en forme de gouttière, des poignets le long de la table-fauteuil. J'étais totalement impuissante, ouverte, à sa merci : ainsi immobilisée, il pouvait me faire tout ce qu'il voulait et j'eus très peur de m'être lancée inconsidérément dans cette aventure. Je lui demandai craintivement :

- Qu'allez-vous me faire ? Pourquoi m'avez-vous attachée ?

- Je t'ai immobilisée pour pouvoir travailler tranquille et si tu continues à poser des questions stupides, je te bâillonne ! Et puisque tu veux tout savoir, je vais déjà m'assurer que ton rectum est bien dégagé et ensuite j'agirai en conséquence.

            Il prit tout son temps pour enfiler un gant de latex et lubrifier son index et pendant ce temps, je sentis monter l'angoisse et l'appréhension en moi : oh non, mon rectum n'était sûrement pas dégagé, comme il disait ! Partie à la bourre, je n'avais pas eu le loisir de passer aux toilettes pour faire caca. Qu'allait-il penser ? Je me souvenais trop bien de l'humiliation et de la honte que j'avais ressenties le jour où, toute nue, j'avais dû me vider en sa présence ! Son doigt, qui commençait à connaître le chemin, s'enfonça de toute sa longueur dans mon cul, fouilla un peu l'intérieur de mon rectum, puis se retira très vite d'entre mes fesses. Le kiné me montra son gant souillé de mes excréments. Il me dit alors froidement :

            - Tu comprendras que je ne vais pas te soigner dans l'état où tu es, remplie à ras-bord ? Ce n’est pas grave, un bon lavement va arranger ça !

            J'en fus suffoquée : il n’allait tout de même pas me faire une chose pareille ? Je détestais les lavements que maman nous donnait, à ma soeur et moi quand nous étions petites ! Je protestai avec vigueur :

- Mais il n'en EST pas question ! Je refuse catégoriquement !

            Il eut un grand sourire et me répondit :

- Je crois bien que tu n'as pas le choix !

            Je continuai de râler, de refuser, me débattis dans mes liens, mais en pure perte évidemment. Le kiné s'absenta et revint bientôt tenant une grosse poire de caoutchouc rouge : alors, sans se soucier le moins du monde de mes protestations, il pointa le bout de la canule vers mon anus et me l'enfonça sans difficulté, malgré mes contractions de peur et de refus. Quand la fine tige eût complétement disparu dans mon cul, il empoigna la poire à deux mains et la pressa fortement : je sentis très bien le liquide tiède gicler dans mon rectum. Ce n'étais pas vraiment désagréable mais extrèmement humiliant. Le contenu de la poire une fois transvasé dans mes intestins, il s'éclipsa à nouveau, je le sus très vite, pour la remplir à nouveau. Nouvelle perforation de mon petit trou par la canule de couleur ivoire, nouvelle giclée dans mon ventre... Peu à peu je sentis celui-ci se gonfler, gargouiller, devenir sensible. Je ne pourrais dire combien dura ce supplice, mais le temps me parut très long ! Quand il eût terminé de me remplir le ventre d'eau tiède, je le suppliai de me délivrer, de me laisser aller aux toilettes, mais il resta sourd à mes arguments. Enfin, il tira de dessous la table une sorte de cuvette métallique et me dit :

- Vas-y, tu peux te vider !

            Je protestai et refusai avec la dernière énergie, mais ce salaud haussa les épaules et quitta la pièce ! Je résistai tant que je pus, mais la pression sur mon pauvre petit trou était trop forte : je lâchai un premier jet, me contractai au maximum... et finis par tout lâcher, pissant en même temps et pleurant d'humiliation et de rage impuissante.
Quand le kiné revint, je m'étais vidée. Il retira la cuvette pleine, la porta dans une autre pièce. Il me passa ensuite un gant de toilette humide sur le visage en me disant ironiquement :

- Voyons, petite fille, il ne faut pas te mettre dans un tel état pour un simple petit lavement !

            Je m'abstins de tout commentaire : sinon j'aurais été très grossière ! Puis, le comble, comme on le ferait à un bébé sur la table à langer, il passa et repassa le gant humide dans ma raie fessière ! Il m'abandonna à nouveau, et quand il revint, je m'étais un peu calmée et il put s'occuper de moi...     
Le kiné me massa doucement l'anus, le lubrifiant soigneusement, avant de m'y introduire profondément une tige ronde, assez fine et longue. Je gémis sous la pénétration. Quand elle fut enfoncée d'une quinzaine de centimères, il la fixa, dans sa partie externe à un support orientable à l'avant du fauteuil, pour l'enpêcher de bouger et ressortir de mon derrière. La tige était reliée par son extrèmité libre, à un appareil, lui-même branché sur l'écran d'un ordinateur, par un long cable. Tout en tapant des commandes sur le clavier de l'ordinateur, il daigna m'expliquer :

- La séance va durer au moins une heure. La sonde que tu as dans l'anus va effectuer d'abord une phase de dilatation progressive et programmée de ton petit trou. Tu n'as rien à faire d'autre que de te laisser aller, et surtout ne pas résister. Des informations s'affichent à l'écran, en particulier ces trois cercles pleins qui prendront ou mémoriseront la taille réelle de ton anus. Le bleur indique l'ouverture minimum, le rouge le maximum, et le vert, l'état actuel... Comme tu peux le voir, ils sont actuellement de la taille de la sonde, tout petits. Allez, c'est parti !

            Il appuya sur une touche, et aussitôt, je sentis la sonde se gonfler, m'ouvrir et Je vis le diamètre des cercles changer sur l'acran de contôle. Après quelques instants ayant vérifié que tout semblait fonctionner normalement, il quitta la pièce, me laissant toute seule, branchée sur la machine... Commença pour moi un long et délicieux supplice. Le cycle de la dilatation était très irrégulier et je ne pouvais absolument pas anticiper la prochaine action de la sonde : tantôt elle gonflait lentement, ouvrant mon anus jusqu'à la douleur poussant mon sexe vers le haut, restait immobile, puis se dégonflait progressivement ; ou bien se dilatait pas saccades ; se dégonflait brusquement, me laissant une impression de vide, d'anus restant ouvert ; je voyais évoluer la taille des cercles de couleurs, le rouge progressant continuellement. Cette sollicitation anale était plutôt désagréable, un peu douloureuse par moments, mais m'excitait aussi beaucoup : je me sentais moulller en abondance, mon plaisir coulant jusqu'entre mes fesses. Très vite je fus dans un état pas possible, bien obligée de subir le "traitement". Je transpirai, ma tête roulait de droite et de gauche : c'est bien tout ce que je pouvais bouger...

            Quand il vint me voir, un grand moment plus tard, je le suppliai de me délivrer, mais il refusa, arguant que le cycle n'était pas terminé, et me laissa à nouveau seule. Je perdis la notion du temps et à un moment donné, le mécanisme s'arrêta : la sonde resta gonflée, m'emplissant le derrière, le distendant, à la limite de la déchirure, me faisant mal. Je dus attendre encore un peu, avant qu'il vienne s'occuper de moi. Quand enfin il fut près de moi, je le suppliai à nouveau, en sanglotant, de me délivrer. Il se pencha entre mes cuisses, et ironisa :

- Pourquoi, tu sembles pourtant apprécier, tu es toute trempée ! Veux-tu jouir ?

- Je... ne sais pas... je ne sais plus où j'en suis. Je vous en prie !!!

            Il détacha mon poignet droit et me dit gentiment :

- Branle-toi, si tu veux...

- Je ne pourrais jamais... devant vous...

            Vaines paroles ! J'avais trop envie ! Toute honte bue, je le fis, écartelée, empalée, sous son regard attentif. Comme animée de sa propre vie, ma main se porta entre mes cuisses sur ma vulve ruisselante, sans fioriture mon médius se posa sur mon clitoris et s'y agita à toute vitesse. Il ne me fallut que quelques secondes pour obtenir un orgasme fabuleux, qui me laissa pantelante. Quand je repris conscience des choses, il m'avait rapidement détachée et désenculée. J'étais moulue, rompue, sentant mon anus encore grand ouvert entre mes fesses...
D'ailleurs, après m'avoir fait descendre de l'horrible engin, il me fit accroupir au-dessus d'un petit miroir et je fus effrayée de la taille et de la béance de ma rondelle anale, et me mis à pleurer. Il me consola, m'embrassa, m'assurant que tout allait rentrer dans l'ordre, il me ramena dans son bureau en me tenant gentiment par la taille et avant de m'autoriser à remettre ma jupe, il me tendit une serviette hygiénique et un slip jetable en papier me disant de les mettre "pour éviter de me tacher". Sage précaution dont je lui sus gré. Avant que je m'en aille avec un nouveau rendez-vous, il me demanda des précisions sur mon amie Maryse, fit des recherches, constata qu'il la connaissait effectivement, et m'autorisa à lui décrire le traitement que je suivais, à condition qu'elle n'en parle à personne d'autre. Je promis...

perverpeper@perverpeper.com

 

RETOUR A L'INDEX