Armande chez le Kiné (1) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Armande chez le Kiné
J'ai maintenant 28 ans, mais je voudrais raconter une aventure qui m'est arrivée il y a bien longtemps.
À l’époque j'avais tout juste 18 ans ; après une chute dans un escalier, je me relevai avec pas mal de bleus et très mal au bas du dos et aux fesses. maman me conduisit chez notre médecin de famille, qui après un examen rapide, m'assura que je n'avais rien de cassé, et me prescrivit une série de séances de massages.
Maman téléphona donc à un cabinet de la ville voisine et obtint un rendez-vous très rapidement. Elle m'accompagnait lors de la première séance. Le kiné nous reçu très aimablement et nous fit bonne impression : assez jeune, dans les 25 ans, grand, beau garçon, souriant, assuré... Il nous fit asseoir, lut l'ordonnance, rédigea les papiers nécessaires et m'interrogea longuement sur ma chute et le siège des douleurs, et je lui répondis aussi précisément que possible, pendant qu'il prenait des notes. Ensuite, il se leva et m'invita à le suivre dans une autre pièce. Maman lui demanda :
- Puis-je venir aussi ?
- Mais bien sûr chère Madame...
La pièce était assez petite, comportait une table de massage, un espalier, un gros appareil sur pied, deux ou trois tabourets ; Il en désigna un à maman et m'indiqua une chaise et un porte-manteau dans un angle en me disant :
- Retire ta veste, tes chaussures et ta jupe, puis viens t'étendre à plat ventre sur la table...
Pendant que je me préparais, il échangeait quelques banalités avec Maman. Dès que je fus installée, il glissa un gros coussin sous mon ventre, releva mon chemisier sur mes reins, baissa légèrement ma culotte toute simple en coton, et commença à masser toute la partie découverte : Le bas des reins, le haut des fesses, tout en recherchant les points douloureux : Il appuyait à un endroit, me demandant :
- Et là, je te fais mal ?
Plus il approchait de mon coccyx, plus c'était sensible ; il baissa un peu plus ma petite culotte, jusque sous mes fesses, et trouva le point le plus sensible juste à la naissance de ma raie fessière, qu'il se mit à explorer doucement. Ses doigts étaient doux et fermes à la fois. J'étais génée et un peu honteuse de cet examen intime, me demandant un peu angoissée si j'étais très propre de ce côté-là. J'eus un grand frisson quand il effleura mon anus mais je ne dis rien et ne resserrai pas mes fesses, alors que j'en mourrai d'envie.
Le téléphone sonna et il alla répondre dans une autre pièce. Quand il revint près de moi, il dit à l'intention de Maman :
- Si vous le permettez, je vais pratiquer un toucher rectal à votre fille, pour parfaire mon diagnostic...
- Mais je vous en prie, dit Maman, faites tout ce que vous jugez utile.
Quant-à-moi, bien qu'horriblement génée, je n'osai rien dire. Il me retira alors complètement ma culotte et me guida pour m'installer comme il le désirait,c'est-à dire prosternée sur la table, genoux très écartés, le derrière bien plus haut que la tête. Je sentis l'air frais sur ma rosette anale et à l'entrée de mon minou, je dus rougir d'humiliation de me retrouver dans cette position particulièrement obscène, exibant bien malgré moi mes petits trésors les plus secrets ! En plus, je savais pertinemment que ma toison intime plutôt clairsemée à l'époque ne cachait quasimment rien de ma petite fente. Il me dit gentiment :
- Tu vas voir, ce sera vite fait, n'aies pas peur...
Remplie d'appréhension, je le vis dérouler un doigtier le long de son index, puis le lubrifier avec un petit tube de pommade tiré de sa poche. Malgré moi, je me crispai quand je
sentis son doigt entre mes fesses se poser sur mon anus. De son autre main, il me caressa doucement les fesses, m'exhortant :
- Allons, ma chérie, il ne faut surtout pas te contracter comme ça, sinon je vais te faire mal. Laisse-toi aller, au contraire, pousse même : ça rentrera tout seul...
Effectivement, je sentis le doigt inquisiteur me pénétrer lentement et en douceur au plus intime de moi-même. C'était en effet plus génant que douloureux, de me faire mettre ainsi un
doigt dans le derrière, sous les yeux de maman assise à un mêtre. Je me sentais rouge comme un coquelicot. Quand il eut investi complètement ma rosette, sans retirer son doigt, il me guida pour que je me remette sur le ventre. Alors il appuya fortement son autre main sur le bas de mes reins et je sentis son index enfoui entre mes fesses exercer une traction brusque vers le haut et l'arrière ; je ressentis un craquement à ce niveau, une douleur vive et poussai un cri, mais déjà je sentais son doigt se retirer de mon anus et il me dit gentiment :
- Et voilà, c'est fini !
Il retesta le point le plus sensible, qui en effet me faisait moins mal et dit :
- C'est terminé pour aujourd'hui : tu peux te rhabiller. Il se peut que la douleur augmente ce soir ou demain ; prends de l'aspirine si besoin...
Il nous raccompagna et en rentrant chez nous, maman me fit son éloge, le trouvant très bien, très compétant, lui faisant entièrement confiance... Elle estima que pour la suite du
traitement, j'étais bien assez grande pour me rendre toute seule à mes rendez-vous.
Deux jours plus tard j'allai à ma deuxième séance et m'assis dans la salle d'attente comme il était indiqué. Il raccompagna un patient, vint me chercher et me tendit la main avec un grand sourire, me disant :
- Comment vas-tu ?
- Je ne sais pas ce que vous m'avez fait l'autre fois, mais j'ai beaucoup moins mal...
- Et bien tant mieux.
Pendant qu'il me conduisait vers la salle de massage, il m'expliqua encore :
- Ton coccyx était légèrement déplacé, je l'ai remis en place par le toucher rectal, et voilà ! Aujourd'hui, j'ai plus de temps à te consacrer et je vais t'examiner entièrement : déshabille-toi complètement...
- Je dois me mettre toute nue ? - demandai-je un peu surprise.
- Mais oui, ça t'ennuie tant que ça ?
- Un peu, oui...
- Allons, je ne vais pas te manger ! J'en ai vu d'autres, tu sais...
Je n'insistai pas et retirai tous mes vêtements, génée par son regard qui ne me quittait pas. Au moment d'enlever ma petite culotte, j'eus une brève hésitation et il m'encouragea d'un sourire. Une fois nue, un peu empétrée, ne sachant que faire de mes bras, il me fit signe de m'approcher de lui en me disant :
- Mais tu es drôlement mignone, tu sais : Tu n'as aucune honte à avoir !
Facile à dire ! Il m'examina effectivement de la tête aux pieds, prenant tout son temps, en me posant tout un tas de questions sur mes antécédents médicaux, etc... Il palpa tous mes muscles, mes vertèbres, mes articulations, d'abord debout, puis couchée sur le dos. Il me demanda même d'acarter les cuisses pour jeter un coup d'oeil à mon sexe, sans insister d'ailleurs,
simplement "pour voir l'état de ma puberté". Bien qu'honteuse d'être ainsi manipulée, je faisais tout ce qu'il me demandait. Enfin, il me fit mettre à plat ventre sur la table de massage, glissa un coussain sous mon bassin et entrepris de me masser les reins, les fesses et les cuisses.
Ses mains habiles enduittes de crème, me faisaient un bien fou et me faisaient oublier ma génante nudité. Je me détendais. Tout en me massant, il parlait avec moi de chose et d'autre, voulant connaître mes goûts, mes activités... Quand ses mains cessèrent de pétrir mes muscles, au bout d'un grand moment, j'en fus déçue : j'aurais aimé qu'il continue à me masser ainsi pendant des heures... Il me dit alors :
- Je vais te refaire un toucher rectal, comme l'autre jour, pour voir si tout est bien en place...
Je protestai mollement :
- C'est vraiment indispensable ?
- Non, mais j'aimerai mieux si tu es d'accord...
- Si vous le dites... Comment dois-je me mettre ?
- Reste ainsi. Je vais d'abord te masser pour te préparer et afin que tu n'aies pas mal. Écarte bien tes jambes et laisse-toi aller complètement...
J'obéis et je sentis sa main se glisser entre mes fesses et me masser doucement l'anus, le pénétrant légèrement, l'assouplissant progressivement. Je dois avouer que ses manoeuvres, si elles heurtaient ma pudeur, ne m'étaient pas désagréables du tout ! Au contraire...
Quand il me sentit à point, il enfonça son doigt très profondément dans mon anus, me fouillant doucement, faisant aller et venir son doigt entre mes fesses. Quand je sentis l'index curieux se retirer, je me sentis un peu frustrée, mais l'examen était loin d'être terminé ! Il désirait simplement me faire changer de position : après m'avoir fait prosterner sur la table, genoux très écartés, il me pénétra à nouveau... Puis en position accroupie, et enfin couchée sur le dos, un gros coussin sous les fesses, cuisses très écartées et repliées sur ma poitrine. Dans cette dernière posture, la pénétration était très profonde et je savais qu'il voyait parfaitement ma vulve entr'ouverte... Il dût bien sûr se rendre compte de mon excitation, mais n'en laissa rien paraître et m'autorisa à me rhabiller.
Je quittai le cabinet dans un état indescriptible : Honteuse, bien sûr, mais surtout excitée, énervée, et dois-je l'avouer, inassouvie... Dès que je pus m'isoler, je me masturbai furieusement et obtint du plaisir très rapidement.
J'hésitai à me rendre à la prochaine séance : j'étais partagée entre l'apréhension que le kiné explore à nouveau mon anus, tout en en ayant vaguement envie ; je n'étais pas naïve au point de ne pas m'étonner de la durée de l'examen anal qu'il m'avait fait subir, nom plus que des poses qu'il m'avait fait prendre. Mais il m'attirait aussi ; jusqu'où irait-il avec moi ?
De plus, il aurait fallu expliquer à maman : expliquer quoi, d'ailleurs ? qu'il m'avait mis un doigt dans le derrière ? et alors ! il l'avait déjà fait en sa présence !!!
Finalement, je m'y rendis, me demandant avec anxiété comment ça allait se passer. D'ailleurs, maman me donna une enveloppe fermée à son intention, que je lui remis dès qu'il vint me chercher dans la salle d'attente pour me conduire à la cabine habituelle. Je lui demandai :
- Qu'est-ce que j'enlève ?
- Tout ce que tu veux, ma chérie !
Un peu par défi, je me déshabillai entièrement, n'hésitant même pas, cette fois, pour retirer ma petite culotte. Pendant que je me mettais toute nue, il ouvrit l'enveloppe qui contenait un
chèque d'accompte et un mot de maman, qu'il lut à haute voix :
- Merci pour les soins attentifs que vous prodiguez à ma fille Armande. J'espère que de son côté, elle suit bien son traitement. Si elle devait se montrer indocile, n'hésitez pas à m'en faire part ou mieux à sévir vous-même, par une bonne fessée cul nu, ou tout moyen à votre convenance. Ci-joint... etc etc."
Il leva les yeux vers moi, presque nue, finissant d'ôter ma culotte, ne sachant plus ou me mettre ! Il me dit avec un sourire cruel :
- Te voilà prévenue : si tu n'es pas sage, tu auras pan-pan cu-cul !
- Vous n'oseriez pas faire ça !!!
- Ne parie pas, tu perdrais !
Puis se radoucissant et retrouvant son sourire habituel, il ajouta :
- Mais celà dépend de toi uniquement : on ne punit pas les petites filles sages et obéissantes...
Je ne répondis rien. J'étais vexée comme un pou ! En commençant à me masser, il m'expliqua que l'autre jour, au cours du toucher rectal, il avait trouvé des zones inflammatoires, qu'il allait falloir traiter par des massages internes. Il me demanda tout à trac :
- Tu es vierge, n'est-ce pas ?
- Évidemment, pourquoi vous me demandez ça ?
- Oh comme ça, ne te fâche pas : si tu n'avais pas été pucelle, j'aurais pu passer par voie vaginale, je passerai par derrière voilà tout !
- Je n'ai pas envie, vous allez me faire mal...
- Ton envie ne m'intéresse pas et si tu te détends bien, tu n'auras pas mal du tout. Tu risque même d'aprécier...
- Ça, ça m'étonnerait !
- On verra. En attendant, écarte bien les jambes et ne crispe pas tes petites fesses...
Ses mains enduites de crème massaient mes fesses et aussi entre elles, appuyant doucement sur mon anus qui finit par se détendre, acceptant facilement d'être pénétré d'un doigt, puis d'un deuxième. Toujours en douceur, il m'ouvrait, m'écartait, me pénétrait... A un moment, il retira ses doigts de mon derrière, me disant :
- Il faudrait que tu ailles aux toilettes...
Il me conduisit, toujours nue dans le petit cabinet de toilette attenant, me fit asseoir sur la cuvette et entreprit de se laver les mains au lavabo juste à côté de moi ! Je ne voulais pas faire mes besoins en sa présence, mais il attendait, et je n'osai pas lui dire de s'en aller ! d'ailleurs, la dilatation de mon petit trou et la crème dont il était enduit, m'empêchèrent d'attermoyer plus longtemps, et morte de honte, je vidai mon intestin devant lui... Il me tendit ensuite une éponge pour faire ma toilette intime devant lui, puis me fit remonter sur la table pour reprendre son "massage" en profondeur, constatant :
- C'est beaucoup mieux ainsi. Désormais je veillerai à ce que tu sois bien dégagée de ce côté-là !
Cette fois encore, il me laissa au bord de l'orgasme, l'anus très dilaté, frustrée à en pleurer. Je ne pouvais tout de même pas lui demander de "me finir" !!! Que voulait-il, à la fin ? A l'époque j'étais trop jeune et inexpérimentée pour m'en rendre compte : il semblait prendre plaisir à s'occuper activement de mon anus, et que de mon anus ! Il ne cherchait pas à toucher mon sexe, ne me demandait rien ! Voulait-il coucher avec moi ? Me prenait-il pour une gamine trop jeune ? Avait-il peur d'aller trop loin avec moi ? En fait, maintenant, avec le recul, je pense qu'il s'agissait-là d'une mise en condition : me pousser à faire le premier pas, à me soumettre toujours plus... Encore une fois, à cet âge, j'étais plus habituée au garçons de mon âge qui ne cherchaient qu'à fourrer leurs mains dans mon corsage ou sous ma jupe, qu'aux intellectuels à l'érotisme retors... Je n'étais pas de force et je tombais dans le panneau. Quand après la séance de masturbation anale (et incomplète...) il m'avait demandé :
- Alors, c'était si désagréable que ça ?
Je répondis avec une mauvaise foi qui ne me trompait même pas :
- Oui, encore assez...
La fois suivante, je décidai de le provoquer un peu, pour voir... Je fouillai dans l'armoire de ma soeur aînée et lui "empruntai", comme celà m'étais déjà arrivé une ou deux fois, des dessous de "grande", que j'avais l'intention de porter à la place des miens, encore de style "petite fille sage", en coton, dont seule la couleur variait. Je m'emparai donc d'une parure complète, comprenant un soutien-gorge balconnet, un petit slip, un porte-jarretelles, le tout de couleur bleu ciel, bordé de dentelle ton sur ton. Une paire de bas fins couleur chair compléta l'ensemble, que j'essayai en cachette devant ma glace, dans ma chambre. C'était un peu grand pour moi, mais je ferai avec.