La directrice de l'institut Ospif (19) |
Par Charlène O
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.
Episode 19: "Anaïs"
Dès qu'Anaïs est arrivée dans le bureau de la Directrice, elle a tout de suite été conduite dans la pièce annexe, la "salle de bains".
Une table recouverte d'une feuille de plastique attendait la jeune fille. La
Directrice avait fait apprêter les accessoires dont elle aurait besoin: des
gants médicaux, des suppositoires de glycérine, du talc, un pot de vaseline,
une couche-culotte taille adulte, quelques couches droites, deux culottes en
plastique, une boite de Kleenex, un rouleau de papier absorbant. Sur un
plateau il y avait une bouteille d'eau de 2 litres et un grand verre rempli
d'un liquide brunâtre qui ressemblait à du coca.
Anaïs n'y menait pas large. Les derniers jours elle avait crané, et quand ces
amies lui demandaient si elle avait peur, elle répondait toujours "Pffff... !"
Au fond d'elle-même elle n'était pas tranquille, parce que cette fois-ci, la
Directrice allait s'occuper personnellement d'elle, et qu'il n'y aurait pas de
témoins. Il parait que lors de séances pareilles, la Directrice se montrait
particulièrement ingénieuse... Toutes les filles qui avaient subi une punition "entre quatre yeux" n'en parlaient jamais, elles avaient trop honte...
Anaïs essaya de se composer un visage indifférent, mais sentit les coins de sa
bouche trembler. Debout devant la table recouverte de plastique, elle avait
les jambes flageolantes. Elle avait déjà envie de faire pipi en classe, mais
l'assistante l'avait cueillie a la sortie du cours, l'empêchant d'aller aux
toilettes. L'envie devenait pressante.
"Buvez!"
Anaïs prit le verre et y renifla. Ca sentait fort. C'était sûrement du coca,
mais 'enrichi' d'alcool. Elle n'osa pas refuser et but. C'était frais et
délicieux. Le goût du laxatif puissant était masqué par le coca et le cognac.
Anaïs ne se rendit compte de rien. Comme la Directrice restait à cote d'elle,
l'adolescente vida le verre d'une traite.
La Directrice reprit le verre vide et la toisa de haut en bas.
Anaïs portait sa blouse et sa jupe d'école. Ses jambes étaient gainées d'un
panty Dim couleur chair. Aux pieds elle avait ses chaussures de sport Nike.
La Directrice enfila une paire de gants chirurgicaux.
"Montez sur la table et agenouillez-vous. C'est cela, mettez vos épaules sur
la table, votre postérieur en l'air.
La Directrice releva la jupe, puis baissa le panty et la culotte jusqu'a
mi-cuisses. Anaïs gémit de peur et de honte. Imaginez que quelqu'un entre dans
la pièce a ce moment!
"Écartez les genoux. Encore. Bien. Cambrez le dos."
Anaïs ferma les yeux et obéit, morte de honte d'avoir les fesses a nu devant
cette femme.
"Votre culotte n'est pas propre. Avez-vous change de sous-vêtements ce matin?"
"Oui, Madame. Euh, je ne sais pas ce qui s'est passe..."
La Directrice prit une noix de vaseline et l'appliqua sur l'anus de la jeune
fille. C'était froid et désagréable. Puis elle lui mit deux suppositoires.
Elle les poussa avec le doigt, le plus loin qu'elle put dans le conduit étroit.
Anaïs, qui détestait les suppositoires, ouvrit la bouche sur une question
muette, puis la referma, persuadée que la Directrice ne lui répondrait quand
même pas.
Les attouchements continuèrent. Avec honte la jeune fille se rendit compte
qu'elle appréciait ces sensations et se laissa faire, relaxant ses muscles
intimes. La Directrice s'en aperçut et ajouta un deuxième doigt. Le lent va et
vient excitait prodigieusement Anaïs.
La Directrice retira ses doigts et les essuya soigneusement à une serviette de
papier. Elle reprit de la vaseline et se mit à enduire la vulve de la jeune
fille de cette pâte protectrice.
Anaïs ne savait toujours pas ou la femme voulait en venir. Elle était
fortement troublée. La peur tenaillait son ventre, augmentait son envie de
faire pipi.
La Directrice mit quelques feuilles de papier absorbant sur la table.
"Tournez-vous. Couchez-vous sur le dos."
Anaïs se sentit affreusement ridicule avec son panty et sa culotte a
mi-cuisses, mais n'osa pas les remettre en place. Elle se coucha, le derrière
sur le papier absorbant.
"Relevez vos genoux. Plus haut."
A regret Anaïs obéit, exposant son intimité. La femme saupoudra son ventre et
son entre-jambes de talc. C'était totalement inattendu! Elle écarta les plis
de chair et continua de talquer soigneusement. Le sexe d'Anaïs ressemblait
plus à un Pierrot lunaire qu'à un sexe de jeune fille.
Les genoux relevés contre sa poitrine comprimaient son ventre et Anaïs sentit
comme un gonflement au fond de ses intestins. Elle mit cela sur le compte de
sa vessie pleine.
La Directrice prit deux couches droites et longues de la table et les mit
entre les cuisses de la jeune fille.
Puis elle déplia un morceau de plastique blanc que Anaïs identifia comme une
couche-culotte pour adulte!
Elle ne put s'empêcher de demander:
"Qu'allez-vous faire?"
La Directrice ne prit même pas la peine de lui répondre. Elle glissa la
couche-culotte dépliée en dessous des fesses d'Anaïs, puis lui rabattit les
jambes. Elle descendit le panty et la culotte pour mieux écarter les genoux,
mit la couche-culotte en place. Dans la couche elle mit les couches droites.
Elle vérifia que tout était bien en place et ferma les bandes autocollantes.
Anaïs avait rougi violemment en suivant ce manège. Elle n'aurait jamais pu
imaginer devoir mettre une couche-culotte! Et de surcroît, mise en place par
la supérieure de son école... Les yeux se remplirent de larmes...
La Directrice prit un autre bout de plastique. Celui-ci s'avéra être une
culotte en plastique. Anaïs dut lever son derrière pour qu'elle puisse la
mettre en place.
Elle tenta de regarder son ventre et gémit de honte: elle ressemblait a un
bébé emberlificoté, mais alors un bébé géant!
Surtout la culotte, qui faisait un horrible bruit a chaque mouvement qu'elle
faisait, la fit pleurer d'humiliation.
"Eh bien," se dit-elle "la Vieille a vraiment des idées horribles pour vous
punir. Je n'ai jamais été aussi humiliée de ma vie... Qu'elle peau de vache!"
Satisfaite de son travail, la Directrice ordonna à la jeune fille:
"Remettez vos vêtements."
A grande peine Anaïs parvint à remettre sa culotte et son panty autour de
l'énorme épaisseur qui ceignait son derrière. Le collant était ridiculement
boursoufle.
"Descendez de la table et mettez ceci." Elle lui donna une autre culotte en
plastique, sans boutons-pressions, cette fois-ci. Anaïs la regarda sans comprendre.
"Enfilez cette culotte sur votre panty."
De son ventre émanait déjà une sensation de chaleur humide, due à l'étanchéité
de la couche-culotte, mais elle n'osa pas contrer la femme et glissa ses pieds
dans la culotte. Les élastiques lui griffaient les jambes a travers le nylon
fin de ses bas et cette sensation lui donna la chair de poule. Elle avait
chaud et froid à la fois. Ces jeux malsains ne lui plaisaient pas du tout. En
plus, sa vessie commençait à sérieusement réclamer et elle venait de ressentir
une crampe dans son ventre.
Comme elle était légèrement constipée cela tombait plutôt bien, elle était
contente qu'elle pourrait enfin se soulager. Du moins, si la Directrice la
laissait partir rapidement car si elle devait se retenir, l'envie d'aller à la
toilette pouvait disparaître et alors elle serait a nouveau constipée...
La culotte en place, Anaïs lissa sa jupe sous le regard attentif de la
Directrice.
"Promenez-vous dans la pièce. Allez! Ne restez pas plantée la, bougez..."
Anaïs fit quelques fois le tour de la pièce, sa démarche gênée par
l'épaisseur entre ses jambes. En passant devant le grand miroir elle ne savait
plus si elle devait rire de ce qu'elle voyait ou pleurer: Sous la sage jupe
d'école on voyait clairement qu'elle portait une couche-culotte. Anaïs
frissonna à l'idée que la Directrice pouvait l'envoyer sur la cour de
recréation dans cet accoutrement, rien que pour l'humilier...
La couche était douce et chaude contre son intimité et la vaseline lui donnait
une sensation gluante; les élastiques des culottes en plastique découpaient
son corps en deux parties: ce qui était hors de la couche-culotte, et tout ce
qui était emprisonne dans cette gangue épaisse. Sa fesse droite chatouilla et
elle essaya de se gratter, mais les différentes couches rendaient ses doigts
impuissants. Puis elle eut un chatouillement dans l'aine et dut ouvrir et
fermer ses jambes pour déplacer la couche et se débarrasser de ce
chatouillement.
"Revenez ici. Couchez-vous sur la table, sur le dos."
Se sentant parfaitement ridicule et affreusement maladroite à cause de
l'épaisseur entre ses cuisses, Anaïs grimpa sur la table d'une façon peu élégante.
"Vous avez déjà moins de bagout, n'est-ce pas?"
Anaïs ne répondit pas. Elle avait hâte d'en finir. La Directrice avait eu son
plaisir et maintenant elle allait faire le chemin en sens inverse et
débarrasser Anaïs de cet affublement ridicule.
Mais la Directrice ne fit pas mine d'enlever ces couches; elle se pencha sur
la jeune fille, lui posa la main droite en poing sur le ventre et appuya
fortement, juste au-dessus de l'os pubien.
Anaïs sursauta, la vessie pleine à éclater. La femme la repoussa de la main
gauche et continua de presser sur sa vessie qui devint douloureuse à force
d'être pleine.
"Vous allez uriner. Allez-y, je n'ai pas que cela à faire!" et elle poussa de
plus belle.
Pour échapper à la douleur - qui avait engendre une nouvelle crampe dans les
intestins d'Anaïs - la jeune fille relâcha ses muscles. Elle se pinça les
lèvres de honte quand elle sentit enfin l'urine jaillir. La sensation du
liquide brûlant qui coulait le long de son anus était horrible. Ses fesses
furent bientôt trempées. Anaïs pleurait en silence: la Directrice, penchée sur
elle, avait très bien entendu le léger bruit sifflant que faisait sa miction.
On dirait qu'il n'y avait pas de fin, comme si Anaïs n'avait pas bu un verre
de coca, mais une bouteille de deux litres et demie!
La Directrice mit la main entre les cuisses de la jeune fille et soupesa la
couche: elle était brûlante, et bien plus lourde qu'avant la miction. Anaïs ne
savait plus ou se mettre. Elle avait oublie la couche et les culottes en
plastique et avait l'impression qu'elle avait produit une petite mare sur la
table de la Directrice.
Le fait d'être 'habillée' ajoutait à son trouble: depuis qu'elle était
'propre' comme enfant, elle n'avait plus jamais fait pipi portant une culotte
et un panty, sauf ces quelques petits accidents auxquels elle ne pouvait
repenser sans ressentir un trouble vaguement honteux.
"Tournez-vous sur le ventre!"
A grande peine, gênée par l'épaisseur entre ses cuisses, Anaïs obéit. Sa jupe
faisait une bosse là ou la couche était gonflée d'urine. Elle avait
l'impression d'être trempée jusqu'au milieu du dos: les terminaisons nerveuses
l'induisaient en erreur car la couche et les culottes en plastique avaient
proprement retenu l'énorme pipi.
Une nouvelle crampe se fit sentir et avec elle, une autre envie pressante
d'aller aux toilettes.
"Madame, je..."
"Vous devez aller aux toilettes, n'est-ce pas?"
"Oui..."
"Vous ne pourrez pas quitter cette pièce avant plusieurs heures, que dis-je
vous ne pourrez pas quitter cette table avant plusieurs heures. Savez-vous ce
que cela veut dire?"
Anaïs savait fichtrement bien ce que cela voulait dire: cela voulait dire que
la Directrice l'avait 'emmitouflée' d'une couche-culotte et de culotte en
plastique, justement pour mieux l'humilier... Les suppos, c'étaient des
laxatifs, et la vaseline servait de protection... Anaïs rougit violemment en
imaginant ce qui allait arriver... Mais elle ne déclara pas vaincue...
"Non, Madame, je ne dois pas aller aux toilettes. Je voudrais aller dans ma
chambre."
Une nouvelle crampe démentit ses dires.
La Directrice sourit et lui dit doucement "Détendez-vous, sinon vous n'allez
qu'empirer les choses. Le processus est inéluctable: endéans les quelques
minutes vous allez vider vos intestins, que vous le veuillez ou non. Ce sera
une sensation horrible, humiliante... C'est cela votre punition: vous vous
montrerez à vous-même qu'au fond, derrière cet air je-m'en-foutiste, vous
n'êtes qu'un grand bébé qui a grandi trop vite. Un grand bébé qui souille ses
langes...
Elle prit les bras de la jeune fille et les lui mit derrière le dos.
Une nouvelle crampe fit grimacer Anaïs. Elle voulut se replier pour mieux
contrer la douleur, pour mieux se battre contre laffreuse envie de soulager
son ventre, mais la Directrice la força de rester à plat ventre.
Puis arriva l'inévitable: la crampe suivante commença par une douleur si aiguë
que la jeune fille laissa échapper un vent. Mal lui en prit, car la crampe
n'en finissait pas et le bruit de trompette jouant en sourdine dans les épaisseurs de cellulose, se mua en affreux gargouillis humide. Anaïs poussa un
petit cri. Elle se rendit compte qu'elle était en train de souiller
lamentablement sa couche. Une masse chaude s'insinuait entre ses fesses.
Ses vêtements et son panty augmentèrent la sensation humiliante, comme si elle
avait été tout habillée.
La crampe suivante fut horriblement douloureuse. Ce en fut trop pour Anaïs et
d'un coup elle abandonna sa résistance. La Directrice lui souleva un peu le
bassin et la jeune fille se mit à pousser. Elle n'avait plus qu'une idée en
tête: arrêter cette abominable douleur abdominale. Ses dents grincèrent sous
l'effort. Une grosse veine battait sur son front. Puis le bruit d'évacuation
recommença, horrible. Anaïs haletait pendant qu'elle expulsait le contenu de
ses intestins. Du coup elle urina à nouveau. La couche empêchait l'évacuation
et Anaïs poussa de plus belle. Lentement la massa chaude remplissait la couche
et se mit à glisser vers le bas. Quand le magna brûlant s'insinua entre la
couche et son sexe, Anaïs se mit à hurler d'horreur et de honte.
La Directrice avait du plaisir à masser la grosseur qui se dessinait dans la
couche-culotte, faisant bouger la masse gluante. Anaïs faillit en vomir.
Chaque crampe s'accompagnait maintenant d'une expulsion plus ou moins
importante. A chaque fois la couche se tendit un peu plus, et a chaque fois la
Directrice poussa...
Puis les crampes diminuèrent.
Lentement, sans oser bouger, Anaïs reprit son souffle. La douleur se
dissipait, faisant place à une honte sans bornes: tout son ventre était
recouvert de cette masse gluante qui la brûlait. Involontairement elle serra
ses muscles et cria de dégoût: la contraction avait fait bouger la masse entre
les plis de sa vulve.
"Maintenant, asseyez-vous!"
Sans plus attendre, la Directrice prit la jeune fille par les poignets, la
forçant de s'asseoir sur le bord de la table. Anaïs se mit à sangloter: assise
sur la couche souillée, elle urina sans pouvoir se retenir. La masse diluée
continua d'envahir son intimité. Elle vit le regard de la Directrice, droit
dans ses yeux, implacable. Anaïs ne s'était encore jamais sentie si sale, si
souillée, si incapable de se contrôler.
"Levez-vous. Marchez!"
La Directrice l'accompagna sur sa 'ronde de l'horreur': une main tenant les
poignets d'Anaïs, l'autre main entre les cuisses de la jeune fille, malaxant
la couche au risque de la faire déborder.
Après deux tours de la pièce, ce fut trop pour Anaïs: elle s'effondra sur le
carrelage froid...
- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (mai 2001)