La directrice de l'institut Ospif (18) |
Par Charlène O
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.
Episode 18: "Punie!" (2/2)
A regret elle retire sa main de mon sexe et m'indique une chaise près du mur.
Les mains toujours sur la tête, je grimpe dessus. Son visage est à hauteur de
mon ventre.
"Déshabille-toi. D'abord la blouse."
Un à un je défais les boutons. J'essaie de gagner du temps. Tôt ou tard la
Directrice viendra et alors je serai débarrassée de ces deux peaux de vaches.
"Avance, on n'a pas que ça à faire!"
J'enlève ma blouse, puis ma jupe, ne gardant que mon soutien-gorge blanc et
ma culotte de gymnastique bleue.
"Le soutien-gorge."
"T'étais pas au premier rang, hein, quand on a distribué les doudounes?"
Fièrement elle tire ses épaules en arrière, faisant saillir une poitrine trop
importante pour son torse. Il est vrai que j'ai la poitrine plutôt modeste.
Le regard gourmand fixé sur mon ventre, elle dit enfin ce que je craignais
depuis que je suis montée sur cette chaise:
"La culotte, maintenant..."
Rapidement, le regard droit devant moi, j'enlève le sous-vêtement.
"Alors, montre-nous si elle est propre!"
J'ai l'impression de m'enfoncer vers le centre de la terre. J'ai un petit
espoir que j'ai mal entendu, qu'elle ne va pas insister si je fais comme si je
n'avais pas compris.
"Alors, ça vient? Tu vas nous montrer ta culotte. Maintenant, mignonne
Cassandre."
Je tends la culotte devant moi sans la regarder.
Dorothée respire bruyamment, je vois qu'elle est en colère. Elle s'approche,
puis "Aaahhh!" Elle m'envoie son poing dans le ventre, juste au-dessus de l'os
pubien. Ca fait un bruit mat, je manque tomber de la chaise. Iris me retient.
Ca fait mal, très mal. Des larmes brouillent ma vue. A grand peine j'arrive à
respirer. Heureusement que je n'ai pas fait pipi, il s'en est fallu de peu.
Sur mon ventre on ne voit rien, à peine une marque rose, à l'endroit où elle a
frappé.
"Tu vois qu'on peut faire très mal sans laisser de marques... Maintenant,
fais ce qu'on t'a dit."
Respirant toujours lourdement, je déplie la culotte. Bien entendu, il y a une
marque blanchâtre qui ressort clairement sur le coton bleu foncé. La marque
est plus grande que je ne l'avais craint, à cause de ses attouchements, bien
entendu. Elle avait bien préparé son coup, elle savait d'avance ce qui allait
se passer.
"Tu vois quelle sale gamine tu fais?" Dorothée semble de plus en plus se
prendre à son jeu. De me frapper d'abord, puis de m'humilier en suite a fait
tomber sa colère. Les assistantes s'amusent comme des petites folles, c'est
certain.
"Mets-la sur te tête. Non! L'intérieur contre ton nez, que tu te rendes
compte qu'elle sale fille tu fais!"
Comme un automate j'obéis. Comme prévu, ma culotte dégage une odeur assez
corsée. J'essaie de ne plus penser, plus sentir, plus entendre. Mais mon
calvaire ne fait que commencer. Je ne me suis encore jamais sentie si nue que
debout sur cette chaise. Instinctivement je serre les cuisses, pour surtout ne
lui donner aucun prétexte pour m'humilier encore plus.
Dorothée va chercher une deuxième chaise qu'elle met à côté de l'autre.
"Ton pied gauche sur cette chaise!"
J'obéis à contrecur. Je dois ouvrir fortement les jambes. Je ne peux
m'empêcher de sangloter, je ne me suis jamais sentie si misérable.
Je vois les deux femmes chipoter avec des élastiques et de fins bâtonnets,
comme on emploie pour faire des brochettes. Elles se tournent vers moi.
"Penche-toi, qu'on puisse te garnir les seins."
Je me penche, manquant perdre mon équilibre à cause de mes jambes écartées
sur les deux chaises.
Les pointes de mes seins sommeillent, et cela n'a pas l'air de plaire à mes
bourreaux: Dorothée pince sournoisement une pointe, me faisant gémir; Iris
n'hésite pas et prends l'autre sein dans sa bouche. Mes jambes se mettent à
trembler. C'est la première fois qu'on me suce les seins et cette sensation
est affreusement troublante - je sens à nouveau que j'ai très envie de faire
pipi. Je ne peux m'empêcher de haleter. C'est humiliant, et j'ai honte, mais
d'un autre côté mon corps réagit - je sens la pointe se gonfler, gonfler... -
et cela ajoute à mon trouble. Comme avant, quand Dorothée avait sa main entre
mes jambes, ces femmes sont en train de m'exciter par pur sadisme. Je sens mon
sexe qui réagit - bon Dieu que je dois faire pipi! J'essaie de contracter mes
cuisses pour mieux me contrôler, mais avec les jambes écartées, ce n'est pas
du tout évident.
Les pointes de mes seins semblent suffisamment gonflées pour ses dames. Elles
s'approchent, chacun avec une pince-maison': elles ont réuni deux bâtonnets
avec deux élastiques. Iris observe comment Dorothée écarte les deux bâtonnets
et y glisse le doigt, les tenant écartés. Puis elle s'approche de mon sein. Je
gémis, comme si j'avais mal rien que de voir quel instrument de torture elle
va employer. Habilement elle tire la pointe érigée dans la pince, puis retire
son doigt. La pince se referme sur la pointe. "Ouch!" C'est comme quand on
pince les seins avec ses doigts assez fort, avec la différence que la douleur
ne part pas, mais continue. La pince tient toute seule, parallèle à mon torse.
Je me contorsionne pour rejeter la pince, mais je n'y arrive pas. Iris fait la
même chose de l'autre côté. Je souffle fort, pour ne pas gémir. Ce n'est pas à
hurler de mal, mais douloureux quand même; les bouts de me seins ne sont plus
irrigués et rapidement ils deviennent mauves.
Je frémis quand j'entends Dorothée enfiler des gants de latex - ces gants me
rappellent toujours des séances plutôt désagréables chez le médecin.
Son horrible sourire canaille aux coins de la bouche elle s'approche de moi.
"La Directrice a dit 'une fouille complète'... Iris, tu t'occupes du verso,
moi je 'ferai' le recto..."
La sensation du caoutchouc froid sur mon sexe est une des sensations les plus
désagréables que je connaisse. Dorothée à dû le remarquer, car elle attend
avant de commencer, jusqu'à ce qu'elle voie à nouveau briller des larmes à mes
yeux. Alors elle se plante devant moi, le visage tout près de mon minou.
Je m'arrête de respirer. Involontairement je serre les fesses, geste
dérisoire. Elle ouvre ma fente de deux doigts, puis de l'autre main, cherche
le clitoris. Je manque de hurler. C'est douloureux et surtout ignoble, cet
attouchement. Clinique, rien de sexy. Elle n'y va pas de main morte:
brutalement elle frotte l'organe ultrasensible, déclenchant des crampes
douloureuses dans mon bas-ventre. Je halète comme un coureur de fond. Des éclairs parcourent mon ventre. Je bouge mon bassin fébrilement pour essayer
d'échapper à ses doigts, mais elle ne lâche pas prise. Je ne peux m'empêcher
de crier doucement. Cela semble la stimuler car elle se met à me frotter le
petit bouton frénétiquement, comme si elle voulait me faire jouir - je me
demande si après ce viol brutal je pourrai encore jamais jouir? Sans arrêter
son manège, elle enfonce deux ou trois doigts de son autre main dans mon
vagin. Avec un 'han' triomphateur ils disparaissent dans mon intimité. C'en
est trop, je perds les pédales, tout tourne autour de moi. Dans un brouillard
j'entends le ricanement de Dorothée 'Elle est trempée comme une fontaine, la
salope!' Puis je sens une chaleur se dégager entre mes jambes. J'entends
encore Iris s'exclamer 'Fais gaffe, elle te pisse dessus!', puis je tombe en
avant, sur Dorothée.
Je la renverse et tombe sur elle, de tout mon long. Elle a lâché prise,
l'horrible massage brutal de mon clitoris s'est arrêté, mais la chaleur entre
mes jambes continue. Je me rends compte que je vide ma vessie: la stimulation
brutale a eu raison de mes sphincters, je fais pipi sous moi. Je sens Dorothée
gigoter pour se dégager, mais je suis trop lourde pour elle.
"Elle me mouille, Iris, elle me pisse dessus, Iris, fais quelque chose!"
Mais Iris non plus n'arrive pas à me faire bouger. Assommée par le traitement
que ces femmes m'ont fait subir, mon corps savoure l'absence de ces mains
fouineuses entre mes jambes. Même si je voulais je ne pourrais pas bouger, je
suis anéantie, incapable de réagir, la douleur du viol résonne encore dans mes
entrailles.
Dorothée s'en rend compte et tire profit de la situation. Elle ouvre ses
jambes entre les miennes et croche ses pieds derrière les miens. De cette
façon elle peut me tenir les jambes largement ouvertes et m'empêcher de les
fermer. Elle glisse un bras sous mon épaule droite et se met à me serrer dans
un kata gatame, une prise de judo, m'immobilisant tout à fait.
"Iris, je la tiens. Je suis trempée, c'est comme si moi j'avais fait pipi,
elle va me le payer cher. Iris, je veux que tu lui fouilles le rectum, comme
moi je l'aurais fait: qu'elle ne puisse plus s'asseoir pendant une semaine.
Iris, tu m'entends?"
"Tiens la bien. Je m'en occupe. Elle a un beau petit trou rond..."
Dorothée a arrêté de se trémousser sous moi, je respire difficilement, tant
elle me serre la poitrine, mes jambes sont comme dans des étaux. Soudain je
sens qu'on m'écarte les fesses. Je me débats, mais Dorothée est bien plus
forte que moi et je dois laisser faire sa collègue. J'essaie de me relaxer au
maximum pour ne pas trop souffrir, mais la peur me bloque les muscles, les
contractant. Elle me glisse un doigt dans le derrière. Ce n'est pas
douloureux, juste désagréable, humiliant. Je m'efforce de respirer à fond et
je bascule mon bassin afin d'offrir le moins de résistance possible, et de
faire le plus de place possible.
Un deuxième doigt rejoint le premier. Elle a dû les enduire d'une crème
quelconque car les doigts glissent sans heurts. Je gémis de honte quand je
sens son souffle sur mes fesses, j'ai le sexe béant, horriblement sensible à
cause du traitement qu'il a subi, au point où je sens même la respiration
d'Iris sur mes chairs intimes.
Après le troisième doigt je me sens remplie au maximum, mon corps est
recouvert de transpiration. Il y a une sensation de brûlure quand ses doigts
forcent le passage chaque fois qu'elle les enfonce dans mon rectum. Quand elle
les retire j'ai l'impression que la muqueuse reste collée à ses doigts et sort
de mon corps 'C'est ainsi qu'on attrape des hémorroïdes', je me dis dans un
brouillard de douleur.
Je suis à demie inconsciente. Iris continue sa 'fouille'. Je me rends compte
que j'aurai droit à un 'fisting anal' comme mes copines appellent cela en
rougissant. Je ne peux m'empêcher de crier quand la douleur dans mon anus
monte d'un cran; Iris a joint son pouce et son petit doigt aux autres et en
respirant lourdement elle essaye de faire rentrer son poing dans mon derrière.
J'ai le cul en feu, comme si on y avait coulé de la lave en fusion. J'ai un éblouissement quand elle se laisse tomber sur moi de tout son poids,
encouragée par Dorothée. Son poing entre d'un coup dans mon rectum, je sens
quelque chose qui se déchire, puis la douleur diminue. A nouveau je fais pipi
sous moi, mais je m'en fiche, je suis dans un état second. Je sens que Iris
prend son rôle très au sérieux et me malaxe le ventre de l'intérieur, la main
ouverte dans mon rectum. Quand elle se met à frapper mes fesses de sa main
libre pour me faire contracter les muscles de mon ventre autour de sa main,
une douce torpeur m'envahit et je m'enfonce dans de l'ouate vers un monde où
il n'y a plus de douleur...
- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (avril 2001)