La directrice de l'institut Ospif (16) |
Par Charlène O
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.
Episode 16: "Annie comment?"
"Elle a l'air d'un ange" murmura Laetitia, attendrie.
Valérie avait entraîné la nouvelle assistante dans la 'salle de bains' de
madame la Directrice, parce que c'était l'heure du 'change', et que la
nouvelle devait apprendre comment faire.
Amanda, l'élève en sieste-punition qui dormait les poings fermés, ressemblait
effectivement à un ange, ses longs cheveux blonds encadrant un visage fin.
"Qu'est-ce qu'elle a fait?"
"Je crois qu'elle s'était endormie en classe, alors la Directrice l'a obligée
à faire la sieste, tous les jours pendant une semaine..."
"Elle ne va pas se réveiller?" Valérie n'en menait pas large: imaginez que la
jeune fille se réveille pendant qu'on lui change sa couche!
"Ne t'en fais pas, elle a eu un léger sédatif, il paraît qu'elle était assez
agitée..."
Les mains d'Amanda étaient attachées avec des lanières en toile, l'empêchant
d'aller plus bas que sa poitrine. De cette façon elle ne risquait pas de se
débarrasser de sa couche.
"Regarde!" Valérie rabaissa les couvertures. Amanda portait un t-shirt et une
grosse couche-culotte qu'on distinguait à travers la culotte en plastique
translucide.
Laetitia en resta la bouche bée. Elle n'avait jamais vu une adolescente qui
portait une couche-culotte.
"Eh bien, dis donc, quel gros paquet!"
Bien que Amanda dorme profondément, les femmes se parlaient en chuchotant.
"Cela fait partie du traitement de Madame la Directrice. Hier Amanda a même eu
un laxatif.. Tu t'imagines que ce n'était pas la joie, quand il a fallu la
changer!"
La jeune fille était mignonne et il y avait une discordance entre la
couche-culotte et les seins fermes qui pointaient sous le coton du t-shirt.
Les jambes qui sortaient de la couche-culotte étaient fermes et bien galbées.
"Bon, maintenant regarde comment je fais. La prochaine fois ce sera ton tour."
Valérie ouvrit les boutons-pressions de la culotte en plastique et rabattit le
pan vers l'avant. La couche semblait trempée, gonflée entre les cuisses. Sur
le bas du ventre elle formait une grosse bosse obscène.
L'assistante défit les bandes autocollantes qui tenaient la couche en place.
"Oh!" Laetitia n'avait pas pu empêcher ce cri en voyant le sexe entièrement épilé de la jeune fille. "Elle est rasée!"
"C'est à dire qu'elle a été épilée à la crème, au début de son traitement.
C'est bien plus hygiénique, plus facile à laver, aussi..."
La couche dépliée était jaunie par l'urine.
"Tu vois, la cellulose absorbe le pipi et la surface reste plus ou moins
sèche. Quand je repense aux couches en coton que nous devions employer dans le
temps! Les filles avaient recta le minou et les fesses rouges, malgré des
kilos de crème. Maintenant l'érythème, connais pas!"
"Regarde, je vais te montrer un truc. Pour qu'elle ne mouille pas sa couche
dès que tu as fini de la lui mettre - c'est tellement agréable une couche
sèche, qu'elles s'empressent de la mouiller aussitôt! - il faut qu'elle fasse
pipi maintenant..."
Valérie posa sa main gauche sur le mont de Vénus et tira légèrement sur le
sexe, écartant les lèvres. Puis du bout de l'index de la main droite, elle
titilla la petite ouverture de l'urètre. Quelques secondes plus tard, la jeune
fille poussa un soupir dans son sommeille, et se mit à uriner, inondant la
main de Valérie. Le liquide coula sur la couche et fut bientôt absorbé.
"Tu as vu? Maintenant elle a la vessie vide, et on peut changer sa couche!"
Laetitia était perplexe. Jamais elle n'aurait pensé que son travail
d'assistante pédagogique à l'Institut Ospif exigerait qu'elle farfouille entre
les jambes des élèves pour leur faire faire pipi ! Au fond cela ne lui
déplaisait pas. Elle avait toujours été très curieuse de nature et tout ce qui
avait trait au corps humain l'intéressait.
Valérie regarda sa collègue de biais.
"Tu m'es sympathique, je vais encore te montrer quelques chose. Mais ne le dis à personne, sinon on se ferait virer!"
Elle se pencha sur le ventre de la jeune fille et frotta son nez contre les
lèvres. Amanda gémit dans son sommeil. Laetitia n'en crut pas ses yeux!
D'un air espiègle, Valérie regarda Laetitia, puis replongea. Cette fois-ci
elle darda une langue pointue et lécha la vulve de tout son long. Amanda
semblait apprécier l'hommage, car instinctivement elle ouvrit les cuisses et
cambra son bassin, allant à l'encontre de la langue de Valérie. Toujours sans
se réveiller...
"N'est-ce pas fantastique? Quand elle se réveillera, elle ne se rappellera
plus de rien, sauf d'avoir fait un rêve merveilleux..."
Laetitia en avait la tête qui tournait et quand Valérie se redressa pour lui
laisser la place, elle se pencha docilement vers le renflement de chair
glabre.
"Tu verras, c'est très troublant..."
Le sexe réveillé par les caresses de Valérie avait une senteur de femme
adulte, malgré le jeune âge d'Amanda. Laetitia ferma les yeux et pointa sa
langue. Prudemment elle avança, puis sentit la chair chaude palpiter sous sa
langue.
Valérie sourit en voyant la scène. Elle se rappela sa 'première fois', quand
madame la Directrice elle-même lui avait appris ces caresses.
Doucement elle glissa une main sous la jupe de sa collègue, trouva l'intérieur
de la cuisse, et remonta. Comme elle l'avait pensé, Laetitia était moite, son
petit jeu ne l'avait pas laissée indifférente. Doucement elle lui massa le
sexe à travers la culotte. Laetitia respira bruyamment, la bouche collée au
sexe d'Amanda. D'elle-même elle ouvrit un peu les genoux, pour permettre à
Valérie de mieux accéder à ses trésors.
Amanda décida d'encore pousser d'un cran:
"Retourne-la sur le dos... Comme ça... Bien. Maintenant écarte-lui les fesses... Tu
vois son petit trou? Mignon, non?"
Laetitia ne pensait plus, en proie à une sorte de délire sexuel. Le visage
encore humide de la vulve de la jeune fille, le sexe en feu sous les doigts
habiles de sa collègue, elle était comme ivre.
"Fais-lui un anilingus..."
"Un, un... Annie comment?"
"Anilingus. Lèche-la entre ses fesses, tu verras, c'est divin!"
Laetitia hésita à peine puis se pencha sur la jeune fille et lui ouvrit le
fessier. L'anus n'était pas plus qu'une fente, mais quand elle écarta la chair
autour de l'orifice secret, l'anneau apparut comme un œil de cyclope ridé.
Laetitia se rendit à peine compte que Valérie était en train de lui remonter
la jupe, et ensuite qu'elle lui baissait sa petite culotte. Elle grogna de
plaisir sous cette attention de sa collègue et se mit à lécher timidement le
muscle circulaire de l'adolescente.
A ce moment-là, Valérie enfouit son visage entre les fesses de sa collègue et
entreprit de lui faire ce qu'elle était en train de faire à la jeune fille...
Laetitia cru qu'elle allait jouir à l'instant, tant la sensation était forte.
Personne n'avait jamais touché à cet endroit, à fortiori pas avec la bouche!
Pour retarder son orgasme elle se concentra sur le fessier d'Amanda et lécha
de plus belle, en synchronisation avec les mouvements de Valérie entre ses
cuisses.
Frénétiquement elle lécha, suça et pénétra l'ouverture anale, la frotta avec
son nez. Elle darda la langue aussi loin qu'elle le put, puis allait et venait
dans le sphincter. Amanda, toujours profondément endormie, gémit de bien-être
et souleva son derrière.
Laetitia se sentit s'envoler. Pour ne pas crier, elle enfouit son visage
profondément entre les fesses de la jeune fille, grognant son plaisir.
Valérie s'en rendit compte et accéléra son rythme. Quand elle pinça doucement
le clitoris entre les lèvres trempées, elle sut que Laetitia n'allait pas
pouvoir résister.
Le corps de Laetitia fut secoué d'une une série de spasmes, pour enfin se
contracter comme un ressort qu'on remonte. Valérie n'avait pas lâche prise et
ne s'arrêta qu'au moment où Laetitia émit des petits jappements de chiot
blessé: elle était à bout.
Il fallut à Laetitia plus d'un quart d'heure pour reprendre ses esprits. Ce
fut Valérie qui changea Amanda et qui remit les couvertures en place.
L'adolescente ne s'était pas réveillée.
- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (avril 2001)