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    La directrice de l'institut Ospif (15)  | 
    
Par Charlène O
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.
Episode 15: "Le mensonge de Madame Solange"
"Alors, où est-ce rapport que je vous avais  demandé?" 
  Madame Solange, jeune femme svelte et gracieuse, sursauta.  Elle n'avait pas
  entendu arriver la Directrice. 
  Le corridor grouillait d'élèves et de professeurs qui se  pressaient vers leurs
  classes. Les cours de l'après-midi allaient bientôt  commencer. 
  "Je... euh... " Madame Solange semblait bien  embarrassée. En une fraction de
  seconde elle devait trouver une réponse valable car la  Directrice n'aimait pas
  demander deux fois la même chose. "Je les ai mis dans  votre boîte aux lettres,
  peut-être que quelqu'un l'a pris?" 
  C'était raté, c'était la mauvaise réponse, Madame Solange le  sut le moment où
  elle disait ces mots...
  La Directrice regarda la jeune femme dans les yeux. 
  Madame Solange était affreusement embarrassée. La Directrice  n'allait pas
  laisser une chose pareille sans suites...
  Autour d'elles les élèves passaient mais elle ne les voyait  pas: elle
  regardait la Directrice comme un lapin regarde un cobra...
  Celle-ci parla à voix basse: 
  "Vous savez que je ne supporte pas les mensonges. Je  pense que vous en êtes
  consciente que je ne sais pas laisser passer ceci..."
  Rouge comme une pivoine, ses livres serrés contra sa  poitrine comme s'ils
  pouvaient la protéger, Madame Solange secouait doucement la  tête. 
  "Non, Madame la Directrice, s'il vous plaît... Je...  euh... Les cours vont
  commencer... Je regrette ce que j'ai dit... Vous aurez le  rapport demain matin,
  première heure... Je dois aller rejoindre ma classe  maintenant... S'il vous
  plaît..."
  "Votre classe attendra. Suivez-moi". 
  Les larmes aux yeux, la tête baissée, Madame Solange suivit  la Directrice.
  Elle avait l'impression que tout le monde la regardait. 
  Mais à part quelques professeurs qui discutaient dans un  coin, personne ne fit
  attention. 
  Madame Ribeau dit à sa collègue, d'un air entendu:  "Je ne sais pas ce qu'elle a fait, mais il me semble  qu'elle va passer un
  mauvais quart d'heure..."
  "Je n'aimerais pas être dans sa peau" fit une  autre. 
  Madame la Directrice fit entrer Madame Solange dans son  bureau puis alla
  directement dans la pièce adjacente, la "salle de  bains". 
  Le cœur dans la gorge, la jeune femme la suivit. Maintenant  qu'elles étaient
  sorties du brouhaha des corridors elle était à deux doigts  de la panique. Elle
  n'osa même plus plaider sa cause, persuadée - à juste titre  d'ailleurs -
  qu'elle risquait seulement d'augmenter sa peine. 
  "Déposez vos livres sur la table. Ceci ne va pas  prendre beaucoup de temps. Je
  ne tolérerai aucun mensonge dans l'Institut Ospif, surtout  pas de la part d'un
  professeur. Où allons-nous sinon?" 
  Madame Solange ne répondit pas, se mordant les lèvres. 
  Penchez-vous sur cette table, et appuyez-vous sur vos  avant-bras. Mettez la
  tête sur vos bras." 
  La jeune femme s'exécuta, se pencha sur la table, son  derrière en l'air.
  Rapidement la Diretrice lui attacha les poignets et les  chevilles avec des
  lanières en cuir. 
  "Bien entendu cela sera douloureux, mais je compte sur  vous pour vous dominer:
  je ne veux pas entendre de cris. Compris? Vous allez expier  en silence". 
  D'une petite voix la femme répondit "Oui, Madame la  Directrice" 
  La Directrice alla chercher quelques objets dans une armoire  et revint avec
  une petite table roulante. 
  Le derrière Madame Solange était moulé dans un pantalon en  laine gris-foncé,
  qui lui allait comme un gant. Il était si bien ajusté, que  même dans cette
  position - la croupe en l'air - on voyait à peine les  marques de sa culotte.
  Un instant la Directrice avait même cru que le jeune  professeur ne portait pas
  de dessous! Heureusement elle se trompait. 
  La Directrice se plaça derrière la jeune femme, la ceintura  et chercha la
  fermeture de son pantalon. Madame Solange se mordit les  lèvres et pressa de
  toutes ses forces son visage contre ses poings fermés. 
  La Directrice trouva la boucle de la ceinture, l'ouvrit,  puis tira sur la
  fermeture-éclair qui fit un bruit soyeux. Son doigt qui  accompagna la petite
  languette de métal griffa légèrement le bas-ventre de la  jeune femme, la
  faisant sursauter. 
  Puis la femme tira sur le pantalon, le faisant glisser  jusqu'aux chevilles.
  Madame Solange portait une culotte blanche, en coton épais.  Les élastiques  étaient larges, afin d'éviter les marques sous les vêtements  ajustés. 
  La jeune femme gémit de honte quand la Directrice lui mit  les mains sur les
  hanches, les glissa jusque dans la culotte, où ils  continuèrent leur voyage
  vers le bas, entraînant la culotte. Elle laissa la culotte à  mi-cuisses. 
  Madame Solange avait de jolies fesses, bien rondes, avec des  fossettes. Dans
  cette position son anus et son sexe étaient visibles. La  Directrice nota avec
  plaisir qu'elle ne voyait aucun poil: madame Solange était  une personne
  soignée. La Directrice n'exigeait pas que ses professeurs  s'épilent
  entièrement, mais elle trouvait qu'au moins les lèvres et  l'anus devaient
  toujours être nets, c'est à dire parfaitement épilés. Dans  le cas contraire,
  aucune hygiène n'était possible. Elle enfila une paire de gants  médicaux en
  latex. 
  "Pour votre châtiment je vais vous faire mal, très mal  même. Mais bien vite
  vous vous habituerez à la douleur: elle deviendra  supportable. Dans une
  semaine cette douleur sera oubliée, mais j'espère que vous  n'oublierez pas la
  leçon". 
  Elle continua d'une voix plus douce: 
  "Il y aura bien un élément désagréable, autre que la  douleur: vous serez
  partiellement incontinente. Il vous faudra porter une  protection. Combien de
  temps vous serez incontinente, je ne le sais pas, cela  dépend de l'une
  personne à l'autre; certaines guérissent rapidement,  d'autres ont besoin de
  beaucoup plus de temps..."
  Madame Solange ne comprenait pas ce que la Directrice lui  disait. Ou mieux:
  son cerveau refusa de comprendre. A cet instant elle sentit  que la femme lui  écarta les fesses. Elle sentit le souffle de la Directrice  sur son intimité;
  elle aurait voulu être sous la terre, mieux que d'être  humiliée de la sorte. 
  Son corps se couvrit de chair de poule quand la Directrice  lui appliqua une
  noix de vaseline sur l'anus. Madame Solange gémit de honte.  Lentement la femme
  frotta la crème sur le renflement du sphincter, puis, sans  brutalité, elle
  enfonça un doigt dans le conduit étroit. Madame Solange se  raidit, anticipant
  une douleur vive, mais rien ne vint, même pas quand la  Directrice ajouta un
  deuxième doigt. La jeune femme se décontracta et la douleur  disparut
  complètement, laissant la place à une honte et une gêne  comme elle n'avait
  encore jamais ressenti. Elle se força de penser à autre  chose pour ne plus
  sentir les doigts de sa supérieure qui lui fouillaient  l'intimité mais n'y
  arrivait pas. 
  Quand le muscle fut légèrement distendu, les doigts furent  remplacés par un
  objet froid. La jeune femme supposait - et elle avait raison  - qu'il
  s'agissait d'un godemichet anal, de taille importante. Elle  réussit à rester
  décontractée, et s'obligea à respirer profondément, afin de  contrôler ses
  muscles. 
  La Directrice poussa légèrement et l'objet pénétra d'un  tiers dans l'anneau de
  chair. 
  Madame Solange se mordit les lèvres, au bord de la panique.  Cette attente  était horrible: la Directrice lui avait promis de lui faire  'très mal', et
  elle n'avait toujours rien senti de vraiment douloureux. Au  fond d'elle-même
  une petite voix lui dit "Qui sait, la vieille exagère  et elle croit qu'elle
  t'a déjà fait très mal... Tu vas t'en tirer à bon  compte...".
  Juste à cet instant la Directrice poussa le godemichet en  une poussée
  rectiligne jusqu'à ce que la poignée buta contre les fesses  de la jeune femme.
  La partie large de l'objet ouvrit le sphincter lubrifié,  puis s'engouffra dans
  le rectum. La jeune femme sursauta sous la douleur  fulgurante qui lui coupa
  les jambes et le souffle. Si elle n'avait pas été couchée  sur la table elle
  serait tombée. Son bas-ventre était en feu comme si la Directrice  lui avait
  mis une barre rougie dans le derrière. 
  Maintenant que la partie large du godemichet était à  l'intérieur de son corps,
  la douleur diminuait lentement. Son anus était toujours  douloureux d'avoir été
  forcé, mais ce qui était surtout désagréable était la  sensation d'être
  'pleine' qu'elle avait: l'objet remplissait son rectum  entièrement et lui
  donnait l'affreuse impression qu'elle allait devoir vider  ses intestins hic et
  nunc, devant son employeur. 
  Elle essaya de reprendre son souffle. 
  Son sexe était moite. Quelques gouttes d'urine lui avaient  échappé et
  coloraient le fond de sa culotte, toujours tendue à  mi-cuisses. La Directrice
  ne devait rien rater du spectacle. 
  La jeune femme essayait désespérément de penser à d'autres  choses, pour ne pas
  craquer, pour ne pas devenir hystérique devant Madame la  Directrice. 
  L'objet dans son derrière lui donnait l'impression d'avoir  fait un acte contre
  nature, son cavalier étant encore fiché en elle. 
  Involontairement elle serra les fesses et gémit quand son  anus se referma
  désagréablement sur le manche large du godemichet. Elle se  força à se
  décontracter, puis sentit la douleur diminuer. 
  La Directrice se pencha sur elle: 
  "Mordez sur ceci, cela vous évitera de vous casser les  dents." Elle lui mit un
  morceau de caoutchouc en bouche. L'objet était froid et  sentait fort le
  caoutchouc vulcanisé. Elle mordit et sentit que le  caoutchouc absorbait la
  pression des dents. Par un trou dans le protège-dents, elle  pouvait même
  respirer. Elle ne comprenait pas très bien pourquoi elle  devait se protéger
  les dents, la 'punition' était terminée, non? 
  La Directrice reprit place derrière la jeune femme. Elle  regarda avec plaisir
  ses fesses blanches où on voyait encore vaguement les  contours du bikini. Au
  milieu de la peau laiteuse qui n'avait encore jamais vu le  soleil, le rond du
  godemichet ressortait comme un œil obscène. De cet œil  sortait un fin tuyau de
  caoutchouc, relié à une poire. La Directrice pompa quelques  fois. Madame
  Solange sursauta à nouveau: en pompant, la Directrice  gonflait le godemichet à
  l'intérieur du corps; une valve empêchait l'air de  ressortir. La jeune femme
  eut l'affreuse sensation que 'la chose' dans son rectum  devenait énorme; en
  plus, la partie moins large qui était dans son sphincter, la  distendait
  douloureusement, comme si la Directrice lui avait inséré  plusieurs doigts à la
  fois dans son petit trou. 
  Elle secoua son derrière, comme pour chasser l'intrus. La  Directrice lui donna
  une claque retentissante. 
  "Ne vous agitez pas. Je vais vous gonfler le rectum.  Puis, je vais retirer cet
  objet, et votre punition - du moins sa partie active - sera  terminée". 
  Elle pompa à nouveau quelques fois. 
  Madame Solange ouvrit les genoux autant qu'elle le put et  bascula son bassin
  afin de donner le plus de place possible au godemichet qui  devenait énorme. La
  bave coulait de sa bouche, entre les dents qui mordaient sur  le protège-dents. 
  Nouveaux coups de pompe. La jeune femme chercha  désespérément à réduire
  l'énorme pression qui grandissait dans son ventre. Sans s'en  rendre compte,
  elle urina, gagnant un peu de place dans son bas-ventre;  mais deux coups de
  pompe plus tard, la sensation de pression extrême fut à  nouveau là. 
  La douleur irradiait dans son ventre, lancinante puis  augmentait jusqu'à la
  douleur d'une crampe intestinale quand la Directrice  actionna encore la pompe. 
  La Directrice vérifia les lanières qui tenaient la jeune  femme, puis
  s'arc-bouta derrière elle. Elle prit la poignée du  godemichet solidement dans
  sa main droite, respira quelques fois profondément puis dit  d'une voix douce
  qui contrastait avec ce qu'elle allait faire: 
  "Madame Solange, n'oubliez jamais: vous ne me mentirez  point." Et elle se mit  à tirer sur le manche du godemichet. 
  La jeune femme sentit l'énorme objet gonflé bouger dans son  rectum, puis buter
  avec sa partie large contre le rétrécissement de l'anus. En  un éclair elle
  comprit ce que la Directrice allait faire et paniqua. Elle  secoua la tête,
  incapable de parler. Les lanières claquèrent sur la table  quand elle tira
  dessus désespérément. Mais elles ne lâchèrent pas...
  La Directrice augmenta la pression sur le manche. Elle vit  l'anneau de chair
  s'ouvrir un peu sous sa traction. Elle tira encore: la parie  large du
  godemichet se força un passage dans le conduit étroit du  muscle anal,
  l'ouvrant peu à peu. 
  La jeune femme n'arrêta pas de gémir, les yeux lui sortaient  de la tête. Elle
  n'avait jamais eue si mal de sa vie. Le diamètre du  sphincter augmentait
  toujours sous la pression du godemichet. Il atteignit la  plus grande ouverture
  qu'il ait jamais connu, mais c'était encore bien trop petit  pour laisser
  passer la partie large du godemichet. 
  La Directrice relâcha la poignée et le godemichet fut aspiré  à l'intérieur;
  puis elle tira à nouveau, ouvrant l'orifice anal encore un  peu plus. Elle
  relâcha encore et recommença son manège. Après quelques  minutes de labeur, le
  godemichet - toujours gonflé au maximum - passa le muscle  anal avec un 'plop'
  horrible. Madame Solange sentit palpiter son sphincter  affreusement distendu,
  qui restait ouvert. Par l'orifice béant - on aurait pu y  enfoncer la main - la
  Directrice vit les parois sombres du rectum. Le sphincter  ressemblait à un
  gros élastique dentelé, mauve-sombre. Quelques filets de  sang indiquaient les
  endroits où le muscle avait été déchiré. 
  Même après que la Directrice eut asséné quelques claques sur  les fesses
  blanches, l'anus restait ouvert. C'était exactement ce  qu'elle voulait: le
  jeune professeur serait incontinente pendant plusieurs  jours; aller aux
  toilettes lui serait encore douloureux pendant au moins une  quinzaine. Si le
  muscle s'était aussitôt refermé, la Directrice aurait dû  recommencer son
  traitement. 
  La femme prit un mouchoir en papier et essuya le sexe et  l'intérieur des
  cuisses. La culotte était trempée, le pantalon aussi. Comme  cela les collègues
  et les élèves sauraient que Madame Solange avait péché et  avait été punie;
  c'était bon pour la discipline, donc bon pour la réputation  de l'Institut. 
  La Directrice défit les sangles qui maintenaient les jambes  écartées et mit en
  place une couche-culotte jetable. 
  Puis, pour plus de sécurité, elle mit à la jeune femme une  culotte en
  plastique à pressions par-dessus la couche. Elle releva la  culotte de coton
  trempée et remit le pantalon en place. La couche se voyait  nettement sous le
  pantalon ajusté. Quand la jeune femme se redressa, aidée par  la Directrice, un
  horrible gargouillis intestinal se fit entendre: les  intestins malmenés
  commençaient déjà à se venger...
  "Vous viendrez me voir deux fois par jour, à huit  heures et à vingt heures,
  afin qu'on vous change. Maintenant, allez rejoindre vos  élèves." 
  Moins de dix minutes s'étaient écoulées depuis que Madame  Solange avait
  franchi la porte de cette 'salle de bains', mais elle  n'oublierait jamais ce
  qui s'y était passé ...
- fin de l'épisode -