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Tatiana Carvella (06)
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Adaptation française par Perverpeper

 

 

Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’une auteure dont le pseudonyme est "Annie the slick".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans autorisation formelle.
Malheureusement, ce récit est incomplet.

PP



Syopsis : Une mère, sa fille et une mystérieuse voisine embarquent pour une merveilleuse aventure charnelle en haute fantaisie lesbienne. Tous les personnages sont imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements existants ou ayant existé est purment fortuite (et, il faut l’avouer, vraiment involontaire, même si ça serait vraiment formidable).

F/F (Euh… toutes les combinaison avec le grand F et le petit f que j’ai pu trouver, mais essentiellement F/f et F/F)

 

Nos stars :

Linda Moore – Fille mère, travaillant dur pour élever sa fille Sarah. Blonde aux yeux bleus avec un corps convenable malgré de légers affaissements dus aux efforts qu’elle produit dans son travail.

Sarah Moore – La fille de Linda, 18ans, Brune aux yeux marrons avec un corps joliment proportionné avec sa poitrine aux mensurations 35C. Toute pleine d’innocence et de potentiel.

Tatiana Carvella – Leur nouvelle voisine, Rousse de la tête aux pieds avec des yeux verts très pénétrants. Elle a des plans pour ses voisines… bons pour elle, mauvais pour elles.

Dania – Mannequin de Tatiana voir… plus ?

By annie_slick©

 

 

Carvella

 

Chapitre 06 : La galerie des femmes charnelles.

 

Rêve

Je me tiens au milieu d’une pièce, la lumière de la lune passe à travers le plafond, la brise fait flotter des rideaux en soie.

Les autres concubines du harem sont tout proche, ce soir je perds ma féminité.

Elles apportent des huiles et des essences aux riches senteurs musquées, toutes destinées à donner du plaisir et à exciter et en oignent mon corps.
J’ai été lavée dans les moindres recoins. On m’a contrainte à un état d’excitation permanent durant des heures, car mes sœurs du plaisir ont été très enthousiastes dans leur tâches.

Mais elles ne m’ont jamais permis de me soulager. C’est réservé à celle que nous devons servir et adorer.

Finalement elles ont terminé et je quitte le harem pour la première fois depuis que j’ai été amenée ici. Je suis l’immense eunuque à travers le palais, entièrement nue. Tout est silencieux, les courtisans se sont retirés pour la soirée. Nous ne rencontrons qu’occasionnellement des serviteurs ou de bas-dignitaires.

Un regard sévère de l’eunuque royal et ils s’écartent sans demander leur reste, craignant la punition terrible qui leur serait infligée si on les surprenait à s’intéresser à une concubine royale dans l’exercice de son devoir.

Je suis introduite dans une chambre et l’eunuque me désigne silencieusement le lit.

Je rampe sur le lit vide.

L’eunuque se retire.

Je suis seule. Ce soir je deviens une femme.

J’attends ma reine, celle à qui je suis éternellement liée. Celle qui va prendre ma virginité.

Je mouille à l’avance.

****

 

Linda fit son possible pour se concentrer sur son travail. Elle fit visiter à ses clients les grandes maisons qui pouvaient les intéresser. Ses rétines restaient imprimées des images des sévices que lui a infligé Tatiana et de la chatte de Dania tandis qu’elle la léchait et re-léchait, faisant son possible pour plaire à sa Maîtresse.

Elle se surprit à observer la femme, Madame Carter, à qui elle faisait visiter la résidence Milton. C’était une jeune femme d’une quarantaine d’années, impeccablement vêtue dans un ensemble bleu-marine et gris foncé en cachemire. Linda lui trouvait une jolie silhouette avec des seins fermes et un parfum merveilleux…

Elle secoua la tête, remisant ses pulsions lesbiennes au fond de son esprit.

Qu’est-ce qui me prend… Je suis attirée par mes clientes maintenant ?
Je me demande ce qu’elle porte sous son ensemble ?
STOP !

****

Elle rentra chez elle vers cinq heures, fatiguée et troublée. Madame Carter avait conclu la vente et Linda était sûre qu’elle aussi avait ressenti quelque chose pour elle. Elle l’avait même invitée à sa pendaison de crémaillère lorsqu’elle aurait récupéré les clés à la fin du mois.

Linda hésitait à savoir si elle irait ou pas. Elle y serait probablement obligée pour des raisons professionnelles et pour le bouche à oreille.

Madame Carter était sacrément séduisante !

« Ahhhh, » Soupira-t-elle en s’affalant sur le canapé, tentant de remettre ses idées en ordre.

Elle n’y arriva pas.

« Coucou maman ! » Sarah arriva de la cuisine. « Nous t’avons préparé un petit dîner. »

Nous ? Se demanda Linda.

C’est alors que Dania apparut à la suite de Sarah. La respiration de Linda se bloqua.

Boundjiour, Madam Moooor » Dit-elle dans son Français approximatif.
Elle portait un débardeur étroit et un short court qui ne cachaient pas grand-chose de son corps d’adolescente attardée. Ses tétons pointaient à travers le tissu fin de son haut et Linda pouvait deviner leur couleur sombre, à moins que ce soit son imagination.

Quant au short, rose, court et très serré, il attira immédiatement le regard de Linda. Son cœur manqua un battement. Le synthétique épousait la courbure de son postérieur avec une fidélité telle qu’on aurait pu croire qu’elle avait les fesses peintes en rose. De petites fesses parfaitement rondes et galbées dont on ne pouvait qu’espérer avoir la chance de les observer à loisir. Mais le plus époustouflant fut lorsque son regard alla se fixer sur la forme du sexe qui se découpait visiblement sous le tissu. Ce sexe qu’elle avait léché, le sexe de la seule femme qu’elle ait léché. Le short rose semblait la provoquer, cachant tout en les révélant les contours de la vulve alléchante. Linda pouvait distinguer l’intégralité de sa forme, lissée par le polyester rose.

Linda en resta bouche-bée.

« Maman ? » Sarah fronçait ses sourcils. « Maman ? Tu m’entends ? Nous t’avons préparé un dîner. »

Linda détourna les yeux sur sa fille et ferma sa bouche.

« Hein ? Quoi ? »

« Nous t’avons préparé un petit dîner. »

Progressivement les mots de sa fille se faufilèrent à travers le corps sexe de Dania.

« Super ! »

Dans un état second, elle se leva et suivit les filles dans la cuisine.

C’est alors qu’elle remarqua que sa fille portait une tenue identique. En dehors du fait que son short était bleu au lieu d’être rose.

« Sarah ! Mais qu’est-ce que c’est que cette tenue ? »

« Oh, maman, c’est Dania qui me l’a donné. Tu ne trouve pas que je fais sexy habillée comme ça ? »

« Oui. » Répondit Linda avant de s’interrompre. « Je. Je veux dire… Ça n’est pas la question. Ça n’est pas convenable pour une jeune fille de ton âge. »

« Allez, maman. Ne soit pas si vieux jeu, nous sommes entre nous, personne ne peut nous voir, tu ne crois pas ? »

Linda ouvrit la bouche et la referma à nouveau. « … Mais… »

« Maman, je te promets de ne m’habiller comme ça qu’à la maison. Mais franchement, ça ne me va pas mieux que mon maillot de bain ? »

Et là dessus, Sarah se retourna et repartit vers la cuisine, suivie par Dania. Linda ne put s’empêcher de regarder avec insistance les deux paires de fesses parfaites des adolescentes, mis en valeur, l’une par le bleu et l’autre par le rose. Elle lécha ses lèvres.

Elle dut à nouveau secouer sa tête pour se remettre les idées en place.

****

Après le dîner rapide que Linda trouva très difficile à cause de la distraction occasionnée par les tenues légères des deux jeunes filles, elle monta dans sa chambre pour se préparer.
Tatiana lui avait envoyé un email spécifiant qu’on viendrait la chercher à sept heures tapantes pour l’emmener à la galerie.

Le message était concis et lui rappelait de respecter "à la lettre" les termes de leur accord. Il mettait en évidence les vêtements qu’elle devrait porter et le fait que Tatiana l’inspecterai afin de s’assurer qu’il n’y aurai aucune "irrégularité" quelle qu’elle soit.

Linda avait affiché le document listant les règles auxquelles elle devait se conformer au bord du miroir de sa salle de bains. Ainsi, elle pouvait le masquer en ouvrant la porte de l’armoire de toilette (et en la laissant ouverte).

Elle le parcourut à nouveau… S’habillera en toutes circonstances selon les désirs de sa Maîtresse… Devra garder en permanence le corps intégralement dénué de la moindre pilosité…

Partout ?

Lorsqu’elle avait sucé la chatte de Dania, celle-ci était entièrement épilée, aussi Linda en conclut que Tatiana entendait que ce soit PARTOUT.

****

Quarante-cinq minutes plus tard, Linda sortit de la douche avec un pubis glabre, pour la première fois depuis qu’elle avait douze ans.

C’était bizarre.

Elle se sentait nue et douce.

C’était cochon.

Elle s’admira dans le miroir, s’attardant sur son sexe imberbe, encore et encore. C’était comme si ça n’était pas le sien. Elle glissa un doigt le long de la surface lisse et l’enfonça entre les lèvres de sa fente.

C’était agréable.

Que va penser le Docteur Slayton ? Se demanda-t-elle en pensant à son gynécologiste.

Elle remonta sa main pour sentir la peau à la douceur de pêche et la redescendit dans sa fente.

« Madam Mooor ? »

Linda sursauta. Dania se tenait dans l’encadrement de la porte de la salle de bain et la regardait. Linda tenta de masquer sa nudité.

Depuis combien de temps se trouvait-elle là ? Oh mon dieu, elle avait tout vu.

« Madam Mooor, vous zzzsexy… Maîztrezz aimer. » Dania lui présentait une robe rouge qu’elle tenait par le cintre auquel elle était suspendue. « Maîztrezz achète pour vous. » Et elle la tendit à Linda.

Linda s’en empara. C’était une robe Dior, son prix devait probablement avoisiner le millier d’Euros. Aussi légère que l’air et de la couleur d’une Ferrari.

« Je aide. »

Et avant que Linda ait pu refuser, Dania, avec son petit short serré rose, avait entrepris de l’aider à mettre la robe. Linda voulut protester, mais s’en abstint. La règle numéro trois lui revint en mémoire.

… devra faire tous les efforts qui lui seront possibles pour satisfaire les personnes que sa Maîtresse désignera…

Peut-être que cette règle est déjà acquise.

Dania l’aida à ajuster la robe. C’était comme une deuxième peau, qui à la fois soutenait et mettait en valeur sa poitrine tout en comprimant ses hanches afin de marquer sa taille. Elle lui arrivait aux talons, mais d’un autre côté ne cachait rien. Linda se sentit des allures de princesse. Séduisante, tentatrice, elle eut l’impression de ressembler à la femme parfaite pour tenir le bras de Tatiana. Une femme que l’on pouvait sortir, exhiber devant la haute société.
Les escarpins venaient aussi de chez Dior. Ils étaient assortis à la robe et mesuraient douze bon centimètres.

Un ornement.

« Dépêche Madam Mooor, Limouzzine ici. »

« Une limousine ? »

Dania finit de préparer Linda. Elle lui coiffa les cheveux tandis que celle-ci se maquillait, légèrement comme la jeune fille le lui suggéra à nouveau. Puis elle se dirigea vers les escaliers.

Sa fille l’attendait en bas.

« Waow ! Maman ! Tu es terrible. » Siffla-t-elle. « Tu ressemble à une de ses femmes qu’on voit monter les marches à Cannes. Je suis terriblement jalouse. »

Dania vint se placer à côté de Sarah.

« Pendant que tu vas t’amuser, Dania et moi allons rester à la maison et nous contenter de regarder l’un de ces films ennuyeux. » Elle tira la langue.

« Hein ? Quoi ? Je… » Linda ne savait pas quoi penser de ça. Pouvait-elle autoriser sa petite fille à passer une soirée avec Dania pendant qu’elle sortait ?

Un klaxon retentit dans la rue.

« Ne t’inquiète pas, maman, tout ce passera bien. Uniquement des trucs de filles, ce soir. »

Elle attrapa la main de sa mère et l’accompagna jusqu’à la porte.

Linda s’en alla avec un petit pincement au cœur. Elle n’était pas tranquille de laisser sa petite fille seule avec Dania. Elle aperçut la limousine le long du trottoir et s’approcha de la porte que lui tenait ouverte, un chauffeur féminin. Elle se retourna et regarda en arrière. Dania et Sarah se tenaient sur le pas de porte, et Dania avait passé un bras autour de la taille de sa fille.

Elle s’installa dans la limousine.

****

Le trajet fut étonnamment rapide. Linda avait l’impression de vivre un conte de fées. La galerie de Tatiana se trouvait au cœur de la "Gagosian Gallery" à Beverly Hills. Les Moores habitaient à proximité, aussi elle y arriva sans s’être réellement préparée.

Le véhicule s’immobilisa et la porte s’ouvrit. Linda en descendit et se retrouva face à la galerie. Comme dans un brouillard, elle s’avança jusqu’à la porte d’entrée. Il y avait déjà un nombre considérable de personnes à l’intérieur.

« Désolée, » Lui dit la femme qui gardait la porte. « Êtes-vous sur la liste des invités ? »

Elle semblait trop zélée, avec ses lunettes de marque et son tailleur féminin impeccable et tenait à la main un écritoire à pince sur lequel se trouvait la liste des invités.

« Je… Heu… Je pense… Oui. »

C’est alors qu’elle entendit la voix de Tatiana la héler de l’intérieur.

« Madame Moore, je suis si contente que vous soyez là. »

Linda leva les yeux et découvrit Tatiana qui s’avançait vers elle. Son cœur manqua un battement. Mademoiselle Carvella était vêtue à la perfection. Un pantalon en soie noire, parfaitement assorti avec ses escarpins à talons aiguilles, un chemisier crème et un sautoir or très élégant au bout duquel trônait une émeraude magnifique, et une longue veste en soie qui lui arrivait presque aux genoux.

Elle était tellement éblouissante que Linda eut du mal à retrouver sa respiration.

La femme qui gardait la porte sourit.

« Ah, désolée, je ne savais pas que vous étiez avec Mademoiselle Tatiana. Il n’y a pas de problème, alors. »

« Doucement, Shannon, c’est de ma nouvelle petite amie que tu parles. »

Petite amie !? Petite amie !?

Le fait d’être présentée en tant que "petite amie" porta Linda aux anges.

Non, non, mais pourquoi suis-je si heureuse… Je… Non

Elle frissonnait encore de ce que Tatiana l’avait appelée comme ça. Même si au fond d’elle même elle trouvait ça scandalisant.

Tatiana la prit par la main et l’attira dans ses bras. Et là, en plein sur les marches de l’entrée de la galerie, elle l’embrassa à pleine bouche.

Les yeux de Linda s’écarquillèrent. Elle ne s’était pas préparée à ça ;

« Par ici, Madame Moore, je veux vous présenter quelques personnes. »

Shannon eut un petit rire tandis que les deux femmes pénétraient dans la galerie.

Linda ne savait plus ou donner des yeux. Il s’agissait vraiment de l’événement du moment. Les murs de la galerie étaient garnis d’une bonne quinzaine de peintures. Toutes représentaient des femmes. Linda remarqua qu’environ la moitié d’entre elles représentaient Dania.

Il y avait des personnalités qui se mêlaient aux invités. Elle remarqua Jennifer Love Hewitt et Mischa Barton. Visiblement, il y avait bon nombre de célébrités qui étaient invitées. Linda en reconnut quelques autres mais ne put mettre de nom sur leurs visages.

« Tout d’abord, je veux te présenter le propriétaire de la galerie. Go-Go… Larry Gagosian. »

Tatiana tenait par la main une Linda complètement éblouie en l’entrainant vers la pièce la plus bondée de monde.

Elle la guida vers un homme vêtu d’une façon originale. Costume noir, tee-shirt blanc et une paire de lunettes aux verres bleus.

« Go-Go, je veux te présenter la femme dont je t’ai parlé. » Tatiana fit avancer Linda. « Voici Madame Linda Moore. »

« Aahh… Madame Moore, nous avons tous tellement entendu parler de vous. »

Go-Go prit la main de Linda, s’inclina et l’embrassa.

Linda était tellement gênée qu’elle avait l’impression que toutes les personnes présentes dans la pièce ne regardaient qu’elle. Tous ces gens influents étaient curieux de savoir qui était cette nouvelle. Qui était cette splendide blonde au bras de Tatiana. Quelques chuchotements fusèrent… Le nouvel amour de Tatiana… Alors c’est vrai qu’elle aime les femmes… Évidemment, regardez ses peintures… Qu’est-ce qu’elle peut bien porter sous cette robe ?... Elles sont terriblement sexy, toutes les deux.

Linda sentait l’attention des invités se centrer sur elle, la plupart par curiosité, certains par lubricité. Quoi qu’il en soit, la majorité d’entre eux la déshabillaient du regard.

Visiblement, elle correspondait à leur genre.

Au moins en tant que "jolie plante d’accompagnement" pour Tatiana.

Linda réussit à balbutier un "merci" en réponse à Go-Go.

Elle avait du mal à se concentrer sur la conversation, obsédée par sa nudité sous la robe. Pas de petite culotte, pas de soutien-gorge.

Oh mon dieu, ils vont tous se rendre compte que je suis nue. Mes tétons, je vous en supplie ne durcissez pas. S’il vous plaît, pas ça.

Mais évidemment, le simple fait d’y penser les fit pointer à travers sa robe. Ils se durcirent, étirant d’une manière obscène l’étoffe de sa robe.

Tatiana lui fit faire le tour de la salle, la présentait à un grand nombre d’invités. Il y avait des gens très puissants, comme le producteur JJ. Abrams, des grands patrons, quelques autres acteurs et actrices tels que Cate Blanchett et Joaquin Phoenix.

Durant tout ce temps, la frôla nonchalamment, sur le bas du dos, sur les hanches, son bras, toujours brièvement, sur ses fesses lorsqu’elle s’orientait favorablement.

Une fois, elle réussit à glisser sa main dans le bas du dos de la robe de Linda et la laissa là, sur ses fesses nues, pendant qu’elles conversaient avec Alyssa Milano. Linda ne réussit pas du tout à suivre réellement cette conversation, du fait que le majeur de Tatiana se positionna fermement sur le haut de la raie de ses fesses serpentant lentement jusqu’à ce qu’il s’immobilise au bord de son anus.

Linda se demanda si Alyssa se doutait de ce que se permettait la main de Tatiana car elle lui fit un clin d’œil lorsqu’elle se séparèrent.

Après une à deux heures passées à prendre contact avec le milieu du show-biz, Linda commençait à être "dans le bain". Tatiana était sa "bouée de sauvetage", elle était comme un poisson dans l’eau, parmi tous ces gens importants. Elle ne considérait pas ces gens comme ses égaux, elle les traitait comme s’ils étaient ses courtisans. Elle était la princesse et les autres devaient se sentir honorés d’être en sa présence.

Et le plus fou, ils l’étaient.

Linda était sous le charme de Tatiana, comme eux tous. Tatiana était Tatiana, tous les autres n’étaient que de petites gens.

Finalement, Go-Go appela Tatiana pour qu’elle fasse un discours.

Linda fut laissée de côté.
L’un des nombreux hommes qui l’avaient observée de loin s’approcha d’elle et se posta à proximité nonchalamment.

Tatiana fit son discours et tous l’écoutèrent.

Elle semblait tellement captivante.

Son monologue terminé, Tatiana s’attarda pour discuter avec la foule rassemblée autour d’elle.
Linda afficha un sourire rayonnant.

Petite amie ?! Tatiana est ma petite amie ?

Elle se sentait tellement bizarre à ce propos.

« Sacrée bonne femme hein ? »

Linda remarqua l’homme qui se tenait près d’elle. Il était imposant, probablement 1m90 et tout en muscles.

« Oui, absolument. » Répondit-elle.

« Et aussi une artiste hors du commun. Avez-vous vu tout son travail ? »

Et sur ces mots, il engagea la conversation avec Linda, insistant sur le mérite artistique du travail de Tatiana. Linda n’avait pas envisagé ses tableaux sous cet angle, la seule chose qui l’avait marquée était qu’ils stimulaient sa libido. Pour elle, chaque représentation de Tatiana criait son besoin de sexe. Maintenant elle voyait les choses différemment.

Ils marchèrent le long de la galerie. Linda tentait comme elle pouvait de garder un œil sur Tatiana, mais elle finit par la perdre de vue, alors que la galerie semblait fermer puisque les gens commençaient à s’en aller. Cela l’inquiéta, elle espéra ne pas l’avoir perdue.

Il la mena au fond de la galerie en lui promettant de lui montrer une paire de toiles extrêmement spéciales.

« Elle a deux toiles dans l’arrière salle qu’elle n’a pas exposé. Aimeriez-vous les voir aussi ? »

« Certainement. » Avait-elle répondu.

J’irai retrouver Tatiana dès que je les aurais vues.

L’homme ouvrit une porte située derrière un pilier et la mena vers la salle d’entreposage et de préparation. La pièce était vide et ils se retrouvèrent seuls.

Il la mena dans un coin et, soudainement, se retourna sur elle et la plaqua contre un mur.

« Tu es si sexy dans cette robe, bébé, que tout le monde dans cette exposition rêvait de te baiser. »

« Quoi !? » S’écria Linda. »

« Je veux dire que ça n’est pas juste qu’un joli petit cul comme le tien soit gâché par une peintre gouine comme cette salope de Tatiana. »

Et il l’attrapa et se pressa contre elle, la plaquant encore plus étroitement contre le mur. Il s’était emparé de ses poignets d’une main et les maintenait de force derrière elle, contre son dos. Il était suffisamment fort pour la maintenir contre le mur en même temps.

De l’autre main, il dégrafa sa braguette.

« Ne t’inquiète pas, salope, je suis au bord de l’explosion, ça ne prendra pas longtemps. »

« Non, non, qu’est-ce que vous faites. »

Il souleva sa robe.
Elle tenta de se débattre mais il n’eut qu’à la coincer plus fort contre le mur. L’air fut expulsé de ses poumons, et Linda grogna.

Il est si fort.

« Waow ! Pas de sous-vêtements…T’es une sacrée salope. »

« Stop, je vous en supplie, arrêtez. »

Elle avait du mal à s’exprimer car il lui appuyait sur le torse, l’empêchant de respirer correctement.

Il donna un coup de pied entre ses jambes pour l’obliger à les écarter et, rapidement, positionna son gland entre ses cuisses. Elle sentit son membre forcer l’entrer de son sexe.

« Non… Non… Oh mon dieu, non ! » Mais elle était sans défense.

Elle était tellement humide, suite aux taquineries de Tatiana qu’il la pénétra facilement, la prenant par derrière. S’enfonçant en elle de quinze bons centimètres.

« AAAAHHH NOOON ! » Hurla-t-elle en sentant le viol de son vagin.

OUILLLE ! Sa bite est TROP GROSSE ! Il est en train de me transpercer !

« HMMMM, tu es sacrément étroite. » Il ressortit et, d’un coup puissant, se renfonça à fond.

« Stop ! Stop ! Stop ! Vous êtes trop gros, vous me faites mal. » Elle avait l’impression qu’il la déchirait. La dernière fois qu’elle avait accueilli un homme dans son ventre remontait à quatre ans en arrière.

« Prends ça, bébé ! » Dit-il en commençant à rythmer ses coups de boutoirs. « Ça ne prendra qu’une minute. » Et il se mit à pistonner Linda avec de profonds coups de reins, qui lui faisaient frotter les seins contre le ciment. La baisant sauvagement.

Chaque mouvement de sa part la soulevait, l’obligeant à ne reposer que sur ses orteils. Soudain, il s’interrompit, complètement enfoncé en elle et la souleva du sol. Ses pieds balançaient au dessus du sol et elle perdit l’une de ses chaussures. Alors, il la reposa, se retira et se renfonça, lentement durant plusieurs allers retours, chacun d’entre eux témoignant de son droit de cuissage.

« J’y suis presque, salope. Je vais jouir ! »

BOUM !

Tout d’un coup, il lâcha ses poignets et elle sentit sa bite sortir de sa chatte. Au même moment, elle se sentit libre et vide. Elle tomba sur le sol.

« Mais bordel ! Que se passe-t-il ici ? »

Tatiana !

En tenant sa tête, l’homme se releva du sol où il avait été projeté.

« Tu veux être la prochaine, salope ? »

« Ne déconne pas avec moi, bonhomme, je vais te donner une bonne leçon ! » Lança Tatiana sur un ton de défi.

« Toi ? » Se moqua-t-il. « Espèce de sale gouine, je vais te mettre une trempe et ensuite je violerai ta gougnotte sous tes yeux. »

Tatiana tenait le manche d’un balai.
L’homme rangea sa queue dans son pantalon en se relevant.
Linda était complètement effrayée. Il faisait au moins deux fois la taille de Tatiana, mais elle ne semblait pas intimidée du tout.
Au contraire, elle se tenait prête, bien campée sur la plante de ses pieds malgré ses impeccables escarpins, une main tendue devant elle, en position d’attaque.

« Si tu ne t’en sort pas trop amochée, je te laisserai sucer ma bite quand j’en aurai fini avec elle. »

Tatiana s’avança lentement et lui envoya un coup circulaire de manche à balai.

SMACK ! Il bloqua le coup avec son bras et en attrapa l’extrémité avant qu’elle puisse la récupérer.

Il tira pour l’approcher de lui, mais Tatiana tournoya sur elle-même en s’abaissant et lui balaya le pied. Fluide, félin, mortel.

Avant qu’il s’aplatisse sur le sol, elle lui avait décroché un magistral coup de pied dans les testicules. Mais elle ne lui laissa pas le loisir de l’attraper, elle savait que son avantage résidait dans la vitesse.

« UNNNGHHH. Bordel ! » Il trébucha pour se remettre sur ses pieds tandis qu’elle sautillait hors de sa portée.

« Je t’ai sous estimée, salope. Ça ne se reproduira pas. » Maintenant, c’était lui qui tenait le manche à balai.

Il marcha sur elle en le faisant tournoyer. Visiblement, il savait s’en servir.
Elle esquiva, jugea, et regarda.

Puis, soudain, elle se précipita et lui fit un nouveau croc en jambe. Mais, cette fois-ci, elle accompagna sa chute, s’assurant que sa tête heurte le sol en premier.

Il resta K.O.

Tatiana resta un moment immobile, à reprendre sa respiration, accroupie en équilibre dans sa splendide tenue en soie. Puis, elle se redressa et cracha sur l’homme étendu par terre.

« Porc ! »

Elle se tourna et alla rapidement rejoindre Linda.

« Tu vas bien, Linda ? »

Linda ? Elle m’a appelée Linda ?

« Oui, Maîtresse, oui… Merci, oh mon dieu, merci. »

Tatiana la prit dans ses bras et l’enlaça jusqu’à ce que Linda se calme. Alors, elle la remit sur pieds.

« Est-ce qu’il a éjaculé dans ton ventre, Madame Moore ? »

« Je ne crois pas, Maîtresse. »

« Bien, évidemment, il va falloir qu’on te vérifie, pour être sûres. Accorde-moi un instant, Madame Moore, c’est nécessaire »

Sur ce, Tatiana attrapa le devant de la robe de Linda et le déchira, exposant sa poitrine.

« Voilà, ça devrait faire l’affaire. »

Linda fut choquée, mais Tatiana lui donna sa longue veste et elles sortirent de la salle d’entrepôt.

« Go-Go ! » Hurla Tatiana en quittant la pièce. Larry les rejoignit, il ne restait que quelques personnes dans la galerie.

« Nous avons un problème à résoudre. » Dit-elle à voix basse.

« Lequel, Tatiana ? »

« Madame Moore, que voilà, vient juste de se faire violer dans l’arrière salle. Montrez-lui Madame Moore.

Linda ouvrit la veste afin que Go-Go puisse voir sa robe déchirée et sa poitrine exposée.

« Tu trouveras le violeur K.O. sur le sol, là bas au fond. Maintenant, voilà ce que nous pouvons faire : Nous pouvons appeler les flics, mais ça va te valoir une avalanche de mauvaise presse. Ou bien nous pouvons appeler un de mes amis pour s’occuper de ça discrètement. »

« Hmmm… je préfère l’option discrète. » Larry était très préoccupé par son image, la moindre tâche serait une épreuve pour lui.

« Alors, c’est d’accord. Son nom est Vitaly, je peux le faire venir en vingt minutes. Ne t’inquiètes pas, il ne tuera pas l’autre salopard, seulement lui donner une leçon. Peux-tu trouver un verre d’eau pour ma petite copine pendant que je téléphone à Vitaly.

Tatiana sortit son téléphone et composa rapidement son numéro.

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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