Tatiana Carvella (02) |
Adaptation française par Perverpeper le 08/08/14
Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’une auteure dont le pseudonyme est "Annie the slick".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans autorisation formelle.
Malheureusement, ce récit est incomplet.
PP
Syopsis : Une mère, sa fille et une mystérieuse voisine embarquent pour une merveilleuse aventure charnelle en haute fantaisie lesbienne. Tous les personnages sont imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements existants ou ayant existé est purment fortuite (et, il faut l’avouer, vraiment involontaire, même si ça serait vraiment formidable).
F/F (Euh… toutes les combinaison avec le grand F et le petit f que j’ai pu trouver, mais essentiellement F/f et F/F)
Nos stars :
Linda Moore – Fille mère, travaillant dur pour élever sa fille Sarah. Blonde aux yeux bleus avec un corps convenable malgré de légers affaissements dus aux efforts qu’elle produit dans son travail.
Sarah Moore – La fille de Linda, 18ans, Brune aux yeux marrons avec un corps joliment proportionné avec sa poitrine aux mensurations 35C. Toute pleine d’innocence et de potentiel.
Tatiana Carvella – Leur nouvelle voisine, Rousse de la tête aux pieds avec des yeux verts très pénétrants. Elle a des plans pour ses voisines… bons pour elle, mauvais pour elles.
Dania – Mannequin de Tatiana voir… plus ?
By annie_slick©
Carvella
Chapitre 02 – Tatiana fait un cadeau à Linda.
Rêve
Je suis prise au piège.
Ils ont encore leurs vêtements. Comment peuvent-ils faire ça ? Je suis une astronaute.
On m’a dit que la prochaine équipe allait bientôt arriver. Pendant ce temps, je flotte, nue, en apesanteur, attendant leur arrivée.
Maintenant, je repense à mon entraînement. Il est clair qu’on m’a exercée à une mission différente. Pendant que les autres futurs astronautes apprenaient à sortir dans l’espace et les techniques spécifiques, je léchais des chattes et suçais des bites. J’étais très rigoureusement contrôlée sur ma technique, mes compétences et le plaisir que je donnais. J’étais la meilleure de ma classe.
Les traitements hypnotiques. Je pensais qu’ils m’étaient bénéfiques, mais maintenant je réalise qu’ils ne servaient qu’à me conditionner. J’étais entraînée pour être la meilleure astronaute du plaisir. Il devait y avoir un membre d’équipage dont le rôle serait de pourvoir aux besoins du personnel. Cela leur permettait d’être plus efficace si leur tension sexuelle était apaisée.
Ça les aidait à mieux accomplir leurs tâches, ça permettait d’avoir de meilleures relations entre coéquipiers et coéquipières si une personne dont c’était le rôle leur permettait d’assouvir leurs fantasmes gratuitement. C’était l’un des avantages du métier.
"Flotte dans l’espace, baise une racoleuse de l’espace."
Ils seront là d’ici une heure.
Je recommençais à me masturber. Mon entraînement était bien intégré. Je devais avoir quelques doutes sous-jacents à propos de mon rôle… Mais j’adorais baiser.
Cette fois, j’espérais que ce serait un équipage de femmes. C’étaient les femmes que je préférais.
J’adore explorer des espaces vierges. Pourvu qu’elles ait ramené en douce un godemiché plus gros.
****
Lendemain matin, peu après que Sarah soit partie. Linda s’affairait, vêtue d’un vieux survêtement. En tant que courtier immobilier, elle ne débutait son travail que tard dans la matinée. La plupart de ses clients n’étaient libres qu’après leur travail ou le week-end.
Elle se dirigeait vers la cuisine pour se faire une autre tasse de café, lorsque la sonnerie de la porte d’entrée retentit. Elle fit demi-tour et alla ouvrir.
Tatiana Carvella se tenait devant elle, dominant l’embrasure de la porte. Dania, la petite blonde était derrière elle, portant une toile enveloppée dans du papier d’emballage marron.
Linda était stupéfaite.
« B… Bonjour Tatiana. »
Celle-ci se raidit légèrement.
« Vous ne nous faites pas entrer ? »
« Heu… Si, bien sûr. Entrez, je vous en prie. »
Tatiana entra. Faisant une halte dans l’entrée, elle scruta l’intérieur de Linda. Le mobilier et la décoration étaient typiquement de style américain bon marché. Il y avait bien un ou deux meubles de bon goût, mais sinon, le reste provenait visiblement d’un grossiste. Tatiana ne cacha pas son mépris.
« Quel manque d’originalité. »
Linda ressentit une pointe de colère. Elle s’apprêtait à rétorquer lorsque Tatiana se tourna vers elle et la fixa. Son regard acéré et un sourire inattendu la désarçonnèrent.
« Votre charmante fille et vous m’avez inspirée hier soir. J’ai éprouvé une… ah… une frénésie. Oui, c’est ça, une grande frénésie. J’ai bien peur que Dania ait manqué de temps pour se reposer, la nuit dernière. »
Linda n’en revenait pas. Une telle effronterie… Sous-entendait-elle qu’elles avaient passé la nuit à faire l’amour ?... Non, elle n’oserait pas…
Tatiana resta silencieuse. Puis, à croire qu’elle pouvait lire dans la tête de Linda, elle ajouta :
« Je l’ai fait poser pour moi, et j’aimerais vous faire cadeau de ce qu’il en a résulté. »
Elle claqua des doigts, et, Dania qui attendait derrière elle sans dire un mot, s’avança.
Linda put enfin la voir distinctement.
Elle portait un sweat-shirt large et de petites sandales. Le sweat tombait sur ses fesses et ses jambes étaient nues. Linda se demanda si elle portait quelque chose en dessous.
Tatiana s’empara de la toile et la tendit à Linda, tandis que Dania se réfugiait à nouveau derrière elle. Linda l’accepta avec précautions et son regard alla de la peinture à Tatiana, puis de Tatiana à la peinture.
« Merci, vous n’auriez pas dû, je… »
« Ma chère, lorsque l’inspiration me prends, je n’ai aucune limite. C’est un… Comment dites-vous ça ?... Un obligé ? »
« Une obsession ? » Hasarda Linda.
« Da, une obsession. »
Tatiana croisa les bras et attendit. Linda resta sans bouger, jusqu’à ce que Tatiana la fixe avec un air impatient et élève un sourcil inquisiteur.
Se sentant prise en défaut, Linda alla s’asseoir sur le divan et redressa la toile pour en déchirer le papier marron qui la protégeait.
La première chose qu’elle découvrit en révélant la partie supérieure de la peinture, fût le bleu et le vert hypnotiques de l’arrière plan. Puis la tête de Dania devint visible. Elle était inclinée vers l’arrière et se mordait l’index de la main gauche, les yeux fermés et les cheveux ébouriffés.
Linda eut le souffle coupé par l’expression d’extase qui se dégageait de son expression. Elle leva les yeux sur les deux autres femmes. Tatiana la fixait dans l’expectative, et Dania penchée derrière elle avait une mine passablement embarrassée.
Un sentiment confus s’empara d’elle et elle s’obligea à continuer à découvrir la toile en déchirant le papier de plus belle. Que m’arrive-t-il ? Pourquoi est-ce que je me sens prise de vertiges ?
Elle dénuda la moitié supérieure de la peinture et ses yeux furent irrémédiablement attirés par les petits seins nus de la jeune fille. Les tétons tout roses étaient tendus à l’extrême. Tatiana avait dû utiliser couche sur couche de peinture pour les mettre en valeur, à un tel point qu’ils agissaient comme des aimants.
Elle pouvait distinguer les gouttes de sueur qui perlaient sur la peau douce et lumineuse de la poitrine de Dania, qui ruisselaient le long des côtes, à peine visibles, qui encadraient le ventre nu de la jeune fille.
Linda aperçut l’autre bras qui s’était glissé plus bas, sous son nombril. Il lui restait à découvrir la moitié inférieure de la toile.
« Je vois que vous partagez mes goûts. Dania est un modèle extraordinaire pour la peinture. » Déclara tranquillement Tatiana.
Les mains de Linda se figèrent. Elle se sentait incapable d’aller plus loin. Son rythme cardiaque s’était intensifié.
Tatiana claqua à nouveau des doigts et Dania se précipita aux côtés de Linda. Elle se pencha sur la toile et se mit à déchirer le reste du papier d’emballage, révélant son propre corps à Linda.
Son autre main recouvrait son pubis, tandis que son majeur était incurvé et masqué, visiblement enfoncé entre les lèvres moites de son sexe.
C’était la chose la plus érotique que Linda ait jamais vu.
Son souffle s’était accéléré au même rythme que son pouls. Elle remarqua alors que la main de Dania s’était posée sur les siennes. Leurs yeux se rencontrèrent. Puis, le charme se rompit et la jeune fille se releva pour retourner derrière Tatiana.
« Qu’en pensez-vous, ma chère ? » Demanda Tatiana après un instant de silence.
« Heu… C’est magnifique. » Elle combattit la boule qui se formait dans sa gorge en se forçant à avaler sa salive.
« Je sais, c’est l’une de mes plus belles réalisations. C’est pour ça que je me dois de vous en faire cadeau. C’est vous qui m’avez inspirée. »
« Et… Comment ai-je pu vous inspirer ? » Demanda Linda, plus troublée que jamais.
« Je ne me pose pas ce genre de question. » Répondit Tatiana en se mettant à arpenter la pièce. « Vous avez actionné une corde au plus profond de moi, vous et votre fille. Je ne peux que suivre ma muse. » Elle regarda autour d’elle, s’attardant sur la décoration. « Maintenant, où pouvons nous l’accrocher ? Beurk, votre mobilier est horrible ; il va falloir que je m’occupe de ça. »
Elle traversa la pièce et commença à gravir les escaliers. « Apportez la peinture, Madame Moore. »
Déconcertée par les évènements, Linda la suivit sans rechigner, subjuguée par la personnalité de sa nouvelle voisine.
Arrivée à l’étage, Tatiana se dirigea directement vers la chambre de Linda. Elle la visita, les mains sur les hanches, en secouant la tête. La pièce était un vrai capharnaüm, des vêtements déjà portés étaient éparpillés au pied du placard. Le lit n’était pas fait. Le plateau de la commode était couvert de brosses, de papiers, de clés et de différents objets.
« Madame Moore, cette pièce est une honte. » Déclara-t-elle en parcourant la pièce avec une mine incommodée, enjambant les livres qui étaient empilés près de la porte.
Linda pénétra à son tour, rouge de honte. Elle portait toujours la peinture outrageuse à bout de bras, mais l’état de sa chambre la mettait encore plus dans l’embarras.
« Je suis désolée, mais… »
« C’est bon. » La coupa Tatiana. « Je sais que vous mettrez de l’ordre avant ma prochaine visite. »
Linda ne répondit pas, mais dans sa tête, trois phrases se disputaient la primeur : Va te faire voir ; Oui, Madame et prochaine visite ?
« En fait, il n’y a pas beaucoup d’espace sur vos murs. » Elle se tourna et désigna celui qui était en face du lit de Linda. « Celui-ci devrait convenir. »
Elle claqua des doigts et Dania se précipita pour ôter le miroir qui trônait à cet emplacement. Puis elle prit la toile des mains de Linda et avant que celle-ci n’ait pu émettre d’objection, la peinture qui représentait la jeune fille en pleine masturbation orgasmique se retrouva accroché au milieu du mur. Il se trouvait en vision directe, droit devant son oreiller.
« Hé… Mais… Heu… Pourquoi ici ? Ne pouvons nous pas le mettre ailleurs ? »
« Silence, Madame Moore, ce sera parfait, ici. Cette pièce était un vrai désastre sans lui. Maintenant, il y a de la couleur, du style, de l’ART. »
Tatiana regarda à nouveau autour d’elle en fronçant le nez.
« Je n’arrive pas à me le représenter correctement avec tout ce bazar. Miss Moore, j’aimerai que vous mettiez un peu d’ordre, s’il vous plaît, afin que nous puissions réellement nous rendre compte de l’impact de ma peinture sur son environnement. »
Linda en resta stupéfaite.
Tatiana vrilla ses yeux dans les siens.
« Maintenant ! Et que ça saute ! »
Comme dans un rêve, Linda se mit à faire son lit. Cette visite impromptue lui donnait le tournis. Tatiana semblait avoir la faculté de lui ôter tout libre arbitre.
TCHACK !
Tatiana venait de lui claquer les fesses.
Linda poussa un cri. « AAAIE »
« Quand je demande qu’on se presse, j’attends que ça soit effectif ! »
Linda s’était repliée dans le coin entre le lit et le mur, tandis que Tatiana se tenait devant elle, les yeux brillants. Elles restèrent ainsi un moment, à s’observer.
Linda ressentit à nouveau un sentiment de colère l’envahir, mais les yeux verts de l’autre femme prirent rapidement le dessus, annihilant toute rébellion en elle, et elle baissa les yeux.
« D’accord, d’accord… Je vais le faire. »
Elle se mit à l’œuvre rapidement, déployant toutes son habileté à ranger, faisant disparaître les vêtements sales, faisant disparaître les objets encombrant la commode et faisant le lit. Pendant tout ce temps, Tatiana la surveilla, supervisant son travail et la réprimandant chaque fois que le rangement ne lui convenait pas.
« Je ne permets pas à Dania de laisser sa chambre dans un état comme celui-là, pourtant elle sort à peine de l’adolescence. Vous êtes adulte, vous devriez être capable de maintenir votre chambre dans un état convenable ! »
Linda encaissa les reproches. Elle s’affairait silencieusement, navigant d’un bout à l’autre de la chambre avec le plus d’efficacité possible.
« Peut-être que je devrais garder un œil sur vous… Vous aider à vous comporter comme une adulte. » Renchérit Tatiana en approuvant de la tête. « Crois-tu que tu serais capable de te comporter comme une adulte ? »
Le passage au tutoiement ne surprit pas Linda. Elle avait l’impression de vivre un rêve éveillé.
« Oui… Je suppose… » S’entendit-elle répondre.
Tatiana se figea, la fixant d’un regard inquisiteur.
« Tu supposes ? Peut-être que tu préfères te comporter comme une enfant alors ? »
« Non, non, vous avez raison. Je continuerai à la ranger correctement. »
Linda avait presque terminé. Elle avait hâte que tout se termine et que Tatiana rentre chez elle.
Durant tout le temps, Dania était restée en retrait, se tenant la plupart du temps derrière Tatiana, silencieusement.
« Je ne suis pas sûre que tu en sois capable. Il va falloir que je t’assiste jusqu’à ce que tu saches comment te comporter correctement. Tu as besoin d’être supervisée. »
« N… Non ! Je p… Je peux y arriver toute seule. »
« Ah oui ? » Demanda Tatiana. Et elle s’empara du poignet de Linda, la trainant hors de la chambre.
Linda protesta, mais la femme avait une poigne de fer et Linda n’était pas suffisamment forte pour se dégager. Elle tituba en descendant les dernières marches des escaliers, faisant son possible pour ne pas tomber, et eut besoin de quelques pas sur le parquet pour retrouver son équilibre.
Tatiana l’entraina dans la cuisine et déclara sur un ton moqueur.
« Je… Je… Je peux y arriver toute seule… » La singea-t-elle. Le ton de sa voix se fit plus sévère. « Écoute-toi, on dirait une gamine de dix ans. Tu as besoin d’être dirigée et une Maîtresse suffisamment stricte t’aidera. »
La cuisine était un vrai désastre.
Elle l’entraina dans le séjour qui était autant désordonné que les autres pièces.
« C’est inacceptable ! » Linda pouvait sentir son exaspération monter.
Puis, elle se retourna et la força à lui faire face. « Même cette robe est une atteinte à ta dignité et à celle des femmes en général. »
Linda ne put retenir ses larmes.
« C’était trop dur… Mon mari m’a quittée… » Elle se mit à sangloter. « I… Il… Il m’a quittée pour une femme plus j… jeune. J’essaye… »
L’index de Tatiana la coupa en se posant en travers de ses lèvres. Elle sourit et son animosité disparut aussi soudainement qu’elle était venue.
« J’ai bien compris. Tu as besoin de quelqu’un de fort pour t’aider, te guider. Je peux être cette personne, je peux te conseiller, t’apprendre… »
Linda leva la regarda à travers le voile de ses larmes.
« J… Je… Je ne sais pas… »
« Bien entendu. » La coupa la femme. « Évidemment que tu ne peux pas imaginer tous les bénéfices que ça va t’apporter. Tu n’es pas en mesure de prendre cette décision toute seule. Je vais le faire pour toi. Laisse-toi guider et tu verras comme ta vie va changer. Elle va s’améliorer à un point que tu n’imagines même pas. »
« Je… »
« Tais-toi ! » La coupa sévèrement Tatiana. « Pour le moment, tu es encore incapable de comprendre où est ton intérêt. Moi seule en suis capable. La discussion est close. »
Linda baissa les yeux, puis les releva, incertaine, passant le l’une à l’autre des deux femmes qui se trouvaient devant elle. Puis, très légèrement, elle hocha de la tête. Un petit oui, rapide et discret, mais un accord quand même.
« Bien. » Déclara Tatiana, sentant qu’elle avait gagné la partie. « Nous commençons immédiatement. Il est actuellement Dix heures. J’ai rendez-vous au déjeuner programmé pour Treize heures, je viendrais te chercher à Midi. Je compte que ta maison soit prête et que tu sois habillée convenablement. Nous mangerons au restaurant du club de Polo, as tu des vêtements appropriés pour ce genre de sortie ? »
« Au club de Polo ?... Mais j’ai des clients que je dois rencontrer… »
« Linda, dorénavant, tu devras t’adresser à moi plus respectueusement. Ça sera Mademoiselle Carvella ou bien Maîtresse lorsque nous serons en privé, mais ce laisser-aller ne doit être qu’un symptôme de ta vie dissolue.
Linda se sentit comme une enfant que l’on grondait.
« Et, par égard pour tes clients, tu dois réaliser que je suis en train de t’aider à améliorer ta vie, tu en récolteras des bénéfices sur les aspects, y compris dans ton travail d’agent immobilier. J’ai des relations dans les hautes sphères de cette ville, alors cesse de contester mes décisions, c’est dans ton intérêt. »
Linda ne sut interpréter ces mots. Était-ce dans son intérêt de se conformer aux décisions de sa voisine ou de cesser de contester…
« N’oublie pas : Midi précis. Aujourd’hui, je te laisse Dania pour t’aider, mais ne compte pas sur son aide dans le futur. Et pas question de la lorgner ou de t’amuser avec elle, tu n’as pas encore mérité ce droit. »
« Je… Heu… D’accord… J’imagine. » Répondit une Linda stupéfaite par le commentaire
Tatiana la fixa méchamment.
« Je laisserai passer pour cette fois, mais ça sera la dernière. La bonne réponse aurait dû être ‘Oui Mademoiselle Carvella’ ou, si c’est nécessaire et dans de rares circonstances, ‘Non Mademoiselle Carvella’. C’est compris ? »
« Heu… Oui… Mademoiselle Carvella. »
« Bien. Alors à dans deux heures. »
Et elle sortit de la pièce, se dirigeant vers la porte d’entrée.
« Nettoyer la maison et s’habiller correctement ! » Lança-t-elle avant de claquer la porte.
Linda resta abasourdie pendant une bonne minute. Ce fut Dania qui la ramena à la réalité avec son Français approximatif.
« Madame… Madame !... Elle vous aime bien.
Elles durent travailler d’arrache pied pour respecter le délai imparti par Mademoiselle Carvella.