Chez Mmme Mondolini
Rébecca avait l’anus si sensible que je pouvais l’obliger à faire n’importe quoi en lui enfonçant un doigt dans le cul. Un soir j’ai réussi à le lui mettre alors que nous nous trouvions dans les appartements privés de Mme Mondolini.
La directrice imposait un rituel quotidien aux élèves. Nous devions nous habiller en robe du soir, nous maquiller et nous pomponner comme des poupées avant le dîner, pour rejoindre Mme Mondolini dans son salon. La pièce, grande et luxueuse, se trouvait au rez-de-chaussée. Les hautes porte-fenêtres s’ouvraient sur le jardin qui rejoignait en pente douce la berge de la Loire. Le décor du salon témoignait du goût raffiné, et même un peu précieux, de Mme Mondolini. De nombreuses peintures à l’huile représentaient des scènes champêtres ou exotiques, dans le style du XVIIIème siècle.
La directrice nous faisait asseoir sur des canapés de cuir, tout autour de son fauteuil. Elle se donnait des airs de reine entourée de ses demoiselles d’honneur. A ces occasions elle nous faisait des remarques sur nos travaux de la journée, ou réprimandait certaines. Ensuite elle nous faisait boire du jus de fruit pour, disait-elle, nous donner un teint clair. Parfois, avant de nous laisser passer à table, elle jouait du Chopin ou du Bach sur le piano de palissandre.
Ce soir, elle se trouvait dans tous ses états après nous avoir annoncé son intention de lancer sa propre marque de cosmétiques. Pour fêter la naissance des « crèmes Mondolini », elle nous a servi exceptionnellement du champagne. Il y avait également dans l’assistance l’inévitable docteur Bresle et sa femme, une brune dont le tailleur Chanel n’arrivait pas à faire oublier un physique quelconque.
La cinquantaine, le crâne dégarni mais le menton orné d’une petite barbiche qui lui donnait une allure caricaturale de satyre, le docteur déshabillait des yeux les filles présentes, sans que son épouse semble prêter attention à son manège. Ami intime de Mme Mondolini, il donnait des cours de cosmétologie à l’institution. Il était partie prenante dans le projet de Mme Mondolini de lancer une nouvelle marque de produits de beauté. Malgré son physique d’obsédé sexuel, ou peut-être à cause de lui, il était toujours entouré d’élèves qui l’accablaient de questions techniques. Pendant ce temps Hortense, sa femme, s’ennuyait visiblement à mourir.
Rébecca et moi nous tenions à l’écart de la petite cour entourant le docteur. Nous admirions quelques-uns des tableaux accrochés au mur. Il y avait en particulier un portrait de Mme Mondolini jeune, dans un cadre soutenu par une béquille posé sur le piano. Cette gravure fascinait Rébecca. Il est vrai que la directrice sans son air revêche possédait une sorte de beauté envoûtante.
Le piano tourné vers le centre de la pièce, nous masquait des regards indiscrets. Pendant que Rébecca contemplait le portrait, je me suis approchée d’elle dans son dos. Prenant ma coupe dans la main gauche, je lui ai touché le derrière à travers sa robe. Rébecca s’est plaquée contre moi. Je lui ai pétri le cul. Elle est devenue toute rouge pendant que sa respiration s’accélérait.
La robe de Rébecca était si fine que je pouvais sentir les contours de sa petite culotte. J’ai appuyé au centre de la raie des fesses, cherchant l’anus. Rébecca a trempé ses lèvres dans sa coupe de champagne. Ses mains tremblaient. Personne ne regardait dans notre direction. Mme Mondolini et les autres élèves entouraient le docteur Bresle qui pérorait tout en essayant des crèmes sur le dos de sa main. Je me suis penchée et j’ai troussé la robe de soirée de Rébecca. Elle portait une culotte blanche en broderie anglaise. Elle s’est cambrée quand j’ai appuyé sur le coton du slip, à la hauteur du trou du cul. Sans lui laisser le temps de réagir, je lui ai baissé la culotte jusqu’au bas des fesses.
Rébecca, affolée, a protesté à voix basse, disant que j’allais nous faire renvoyer de l’institution, avec mes idées vicieuses. Malgré ses réticences je lui ai enfoncé un doigt dans le cul. Sa raie était chaude, humide de sueur. Son anus se crispait par saccades sur mon index. Elle s’est mordu le poing pour ne pas trahir sa jouissance en gémissant.
Elle pensait peut-être à cette scène quelques jours plus tard quand elle a éclaté de rire en plein travaux pratiques, pendant que je lui faisais des soins de pied. Mme Mondolini nous a mises de corvée le samedi pour nous punir d’avoir dissipé la classe. Cela consistait à aider Mme Rosa, la femme de peine, à faire la lessive ou à donner la main à Marcel, son mari, le jardinier de l’établissement. Le samedi matin, nous avons rejoint Marcel, Mmme Mondolini trouvant que nous nous entendions trop bien avec Mme Rosa.
Je jardinier était un homme taciturne, un peu inquiétant. Il nous a tout de suite envoyées au verger, à l’autre bout du parc, pour ne pas nous avoir dans ses jambes. Notre travail consistait à ramasser les fruits tombés des arbres. Quand nous avons terminé, Marcel taillait toujours les rosiers à l’autre bout de la propriété sans s’occuper de nous. Nous sommes allées au fond du verger. Nous avons chahuté au bord de la Loire. Je faisais rouler Rébecca dans l’herbe. Elle se trouvait souvent les jambes en l’air, la jupe sur la figure. A un moment je l’ai obligée à se mettre à quatre pattes, le cul dressé. J’ai écarté sa culotte. Elle a protesté en disant que Marcel pouvait nous surprendre. Je l’ai rassurée. Le jardinier ne s’intéressait pas à nous, pas plus qu’aux autres filles du cours. Traumatisé par un attentat à la bombe, en Algérie, il était bizarre.
Rébecca n’a rien dit quand je lui ai ouvert les fesses. Elle avait la raie salée, un peu amère. J’adorais la lécher jusqu’à ce que sa rondelle devienne toute molle sous ma langue. Rien n’était sale entre nous ? Au contraire, nous nous grisions d’aller toujours plus loin dans la cochonnerie.
Je lui ai écarquillé l’anus avec les pouces. Rébecca s’est relâchée, si bien que j’ai pu voir loin à l’intérieur. Son anus s’est dilaté comme un nénuphar. J’y ai enfoncé un doigt et j’ai fait asseoir Rébecca sur ma main.
Nous sommes restées un moment comme ça, croquant une pomme en regardant les pêcheurs qui revenaient à quai avec leur barques. Je gardais mon index enfoncé dans le cul de Rébecca. Elle se masturbait sur lui en remuant ses fesses. Elle a suggéré au bout d’un moment d’aller dans notre chambre.
- Pas question, ma vieille. On reste là.
Elle a jeté un regard anxieux vers la haie séparant le verger du reste du parc.
- Oh ! Delphine, qu’est-ce que tu me fais faire. Si jamais monsieur Marcel…
- Ne t’en fais pas idiote. Il taille toujours ses rosiers. Je le vois.
Je mentais. Le jardinier était invisible mais Rébecca, rassurée, n’a plus discuté. Je l’ai fait se retourner, mon doigt toujours en elle, et j’ai ramassé une branche par terre. Je lui ai cinglé le derrière.
- Je vais te rougir les fesses !
J’ai eu une coulée chaude dans ma culotte quand elle m’a suppliée de ne pas la frapper. Elle s’est mise à onduler sur mon doigt, en levant haut le cul. Son anus se contractait.
- Oh ! Delphine… oh ! que j’ai honte. Si on nous voyait.
- Si on te voyait !
J’ai cinglé la cuisse de Rébecca avec la branche. Elle a poussé un cri et fermé les yeux ? J’ai mis ma main entre ses cuisses, son sexe était trempé de mouille, son clitoris dardait. Je l’ai masturbée. Elle a joui très vite et très fort.
Je me suis relevée, excitée comme une malade. J’avais envie que Rébecca me masturbe à son tour. Au moment où j’allais retrousser ma jupe, j’ai aperçu la silhouette du jardinier qui s’éloignait d’une allure furtive. Mon ventre s’est serré. Marcel avait tout vu. Qu’allait-il faire à présent ? Raconter à Mme Mondolini la scène qu’il avait surprise ? Quelque chose me disait qu’il ne le ferait pas, mais ça ne me rassurait pas, il était bizarre…
Je n’ai rien dit à Rébecca. Nous sommes allées dans notre chambre et là je lui ai demandé de me sucer.