Collin-maillard |
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C’EST encore une invention de Mnasidika.
Elle fait mettre cinq ou six hommes tout nus. Puis elle se fait bander les yeux, et, ayant crié : « Mélangez-vous ! », elle se livre alors au jeu bien connu. Quand un homme passe à portée de ses mains, elle saisit la queue : inutile de dire si ces messieurs l’ont raide et bien dressée. Alors, Mnasidika tripote, caresse les couilles, palpe les fesses, réfléchit.
« C’est Midas ! crie-t-elle. »
Ou bien : « C’est Polytis ! » ou Nicias, ou Lykas… Ce qui est curieux, c’est qu’elle ne se trompe presque jamais. Elle les a tellement tripotés, branlés, sucés… Elle les reconnaît au moindre détail.
Puis quand elle est bien excitée, alors elle s’étend, jambes ouvertes, m’appelle, et me demande de la sucer, là devant tous ces mâles… Et elle jouit, avec un paroxysme de volupté, qui nous met à tous le feu dans le sang.