Les jolies fesses de Mnasidika

Les jolies fesses de Mnasidika

EH bien ! oui, c’est vrai, je suis amoureuse folle des fesses de Mnasidika ! C’est qu’elles sont divines ! Tenez, je les regarde, nues… Comme forme, comme dessin, comme rondeur, comme finesse de peau, c’est la perfection… Ah ! la chute des reins, avec le commencement de la fente, quel spectacle ! Et les deux globes, d’une couleur charmante, d’une fraîcheur, d’une pâleur, d’un rose à peine indiqué, avec au milieu, la ligne foncée, où l’on devine les choses… Elle travaille et entretient tout cela avec des onguents spéciaux. C’est plus fort que moi, je m’approche, je tripote, je palpe, je pétris, tandis qu’elle glousse de plaisir. Ce que ça m’excite ! Puis je la fais se pencher un peu en avant et écarter les cuisses : alors j’aperçois, dans le frais sillon, le trou du derrière, si net ; puis, au-dessous, quelques poils très blonds, qui annoncent le sexe.
            « Ah ! chérie ! penchez-vous encore et écartez d’avantage ! »
            Alors tout le vagin apparaît, entrouvert, avec ses deux lèvres rouges, comme une fleur luxurieuse, et toute la frondaison du chat…
            Les deux délicieuses fesses sont maintenant tendues, durcies, toujours dans leur forme impeccable. Je les caresse de nouveau, je les couvre de baisers, je… bande ! je bande !… Ah ! je fourre mon nez dans le cul, ma langue sort de ma bouche et lèche ! lèche !… Je suis hors de moi !… Ah ! tiens, chérie, viens, maintenant, viens !…