Et voici des vers |
Et voici des vers
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CE que j’aime, Glôttis, c’est quand, me retroussant,
Ta main se glisse dans ma petite culotte,
Découvre ma chair nue, et, hardiment, tripote
Mes fesses, ça et là palpant et pétrissant !…
Je me penche ; j’écarte un peu ; ta main descend,
Puis allant farfouiller dans les poils de ma motte,
Cherche le bon endroit, le trouve, et puis le frotte,
Et, savamment, me branle !… Ah ! quel feu dans mon sang !
Alors, je n’en puis plus !… J’arrache pantalon,
Et tout… Sur le divan je m’étends tout en long,
Cuisses ouvertes — dans ta pose préférée ;
Je bande, je frémis, je soupire : « Ah ! viens donc ! »
J’écarte encor, pour bien dégager le bouton,
Et je m’ouvre, et je m’offre à ta langue adorée !
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Me voilà donc ainsi !… Toi, sans perdre un moment,
Tu viens placer ta tête au point bas de mon ventre,
Tu viens coller ta bouche à mon sexe, en plein centre,
Et tu te mets à me sucer, fougueusement !…
Il me semble sentir une fièvre inconnue…
Ta langue lèche, lèche avec agilité,
Les lèvres de mon chaud vagin surexcité,
Et tu presses ma chair sur toute ta chair nue !…
Je te serre comme un étau !… Va ! va ! c’est fou,
Ce travail de ta langue !… Et je sens les caresses
De tes habiles mains dans le creux de mes fesses !…
On voit se tortiller mon cul… Puis, tout à coup,
Dans un tressaillement de spasmes inouïs,
Tu m’enfonces ton doigt dans le trou du derrière !…
Ah ! c’est le choc final, la secousse dernière !…
Je jouis !… je jouis !… je jouis !… je jouis !…