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La ballade de Lara et Gemma 26
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LA BALLADE DE LARA ET GEMMA : L’HISTOIRE CONTINUE

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 26 : Joan.

Elle sanglota lorsque les deux jeunes hommes, qui auraient pu être ses propres fils, âgés de vingt ans tout au plus, la deshabillèrent.
Durant les douze heures qui avaient suivi son arrestation, Bob et elles avaient dû monter à l’arrière d’un fourgon qui les avait emmenés jusqu’à un endroit appelé ‘Société Brute’.
Ils y avaient été dirigés vers l’aile d’une grande maison.
Bob était enchaîné au mur situé en face d’elle. On l’avait deshabillé, écartelé à l’aide de bracelets fixés par des chaînes, baîllonné, puis abandonné, sans défense.
Ensuite, les garçons l’avaient lentement deshabillée, profitant du spectacle qu’elle leur révelait jusqu’à ce qu’elle soit entièrement nue.
Elle avait quarante-six ans et se trouvait encore, jusqu’à cet instant horrible, plutôt séduisante. Elle avait la même teinte de cheveux que sa fille, bien que l’éclat de ses cheveux blonds se soit terni avec l’âge.
Ses seins étaient plus imposants que ceux de Michelle et ses autres mensurations étaient un peu plus fortes. Cependant, pour son âge, elle était encore mince et bien faite.
Évidemment, ses courbes encore avantageuses plaisaient d’autant plus aux deux garçons encore pubescents, sujets à l’acné et dont les odeurs corporelles démontraient qu’ils ne se lavaient pas souvent. Sans parler de leurs testicules pleins à déborder de sperme.
Pourtant, deux mois d’exercice à l’école de la société Brute leur avait appris à ne pas précipiter les choses.
Ils laissaient leurs mains se promener sur sa peau nue, explorant, pinçant ou pénétrant les domaines qui leur étaient offerts.
Pour l’instant, ils s’intéressaient particulièrement à ses seins et à sa bouche, lui roulant des pelles à tour de rôle. L’un pressait ses joues brutalement afin de la forcer à ouvrir les lèvres qu’il carressait avec sa langue, tandis que l’autre malmenait sa poitrine comme s’il était entrain d’essorer une serviette mouillée.

« S’il… S’… S’il vous… Plaît… » Tentait-elle d’objecter d’un ton suppliant.

« Chhuut ! » Lui chuchotta l’un d’entre eux sur un ton à la fois moqueur et rassurant.

« Laisse… Moi… Te… Distraire… » Chantonna l’autre en se retirant pour aller s’affairer devant un écran de contrôle.

 Il l’alluma, puis sourit à son mari, avant de la fixer.

L’écran s’illumina.
Pendant un moment, tout ce qu’elle distingua fut un homme assis sur un tabouret, dont les pantalons étaient recroquevillés sur les chevilles.
Alors, son regard se concentra.
Elle réalisa que c’était la tête de sa fille qui allait et venait entre les cuisses de l’homme.
C’était sa fille. Michelle. Elle reconnaissait les cheveux et la forme de la tête.
L’horrible individu promenait ses doigts dans les cheveux de sa fille, et indiscutablement, elle lui pratiquait une fellation.
Bizarement, l’homme semblait étrangement proportionné.
L’angle de la caméra changea et l’image s’agrandit, révelant un gros plan de la bouche écartelée de sa fille et du pénis qui allait et venait.
C’était un nain. Ou, du moins, son corps était celui d’un nain.
Elle ne distingua même pas les grognements de frustration que poussait son mari à travers son baîllon, tentant d’arracher les chaînes qui le maintenant en position.
Les deux garçons avaient repris leurs assauts sur son corps, tout en se plaçant de façon à lui permettre de continuer à fixer l’écran.
L’un d’entre eux lécha les larmes qui perlaient au coin de ses yeux.

« Allez, ça n’est pas la fin du monde. » Déclara l’autre, qui semblait être le leader. « Ta salope de fille aime ça. On l’a vue sucer un tas de gars hier après-midi. Et maintenant, vous deux aussi, vous aller nous sucer tous le deux, côte à côte. »

Sa voix était grossière et il parlait avec un accent de l’est de Londres.

« Où… Où est… Elle ? »

« Ben… » Répondit-il. « Si elle n’est pas choquée maintenant, elle le sera quand elle vous verra. »

Joan grimaça lorsque les deux garçons se mirent à rire de concert en se tapant les cuisses.

« S’il vous plaît… Je vous en prie… »

Soudain, elle ressentit quelque chose forcer l’ouverture de son vagin.

« NNNnnngh… Aaaahhh ! »

Une lame froide vint brutalement lui comprimer la gorge.
Elle tenta de son mieux de se soustraire à l’agression.
Le leader sourit, faisant glisser délicatement la lame sur son cou.

« Ne t’inquiète pas, poupée, je n’ai pas le pouvoir de te découper en morceaux, Lara n’aimerait pas ça. Mais elle n’a rien dit à propos de ton mari. On pourrait s’offrir un trophée avec sa bite, si on voulait. »

Il la repoussa et s’approcha de Bob avec un air menaçant.

« Non ! » Hurla-t-elle. « Qu’est-ce que vous nous voulez ? »

« Je préfère ça ! Un peu d’enthousiasme, bordel. »

Il rengaina son couteau.

« Ok, salope. Je veux que tu me racontes ce qui se passe sur la télé pendant que je te baise. Je ne peux pas voir l’écran, alors tu as un putain d’intérêt à me dire ce que fais ta chienne de fille pendant que je te tringle. On va bien s’amuser, tu ne crois pas ? »

Joan le regarda, incredule, incapable d’en croire ses oreilles.

« À moins que tu préfères que mon pote pratique prélève un petit morceau sur la virilité de ton mari, pour nos sandwiches ? »

« Non… !!! Je ferais ce que vous voudrez ! »

Soudain, l’écran proféra des sons.

« D’accord ? » Demanda une voix féminine.

Le nain sourit et approuva de la tête silencieusement.

« Oh ouais. »

« Il y a des voix ! » Lança Joan précipitamment. « Une femme et un homme. Elle lui a demandé quelque chose, et il a répondu oui ! »

« Pas mal. » Commenta l’homme en ôtant son pantalon. « La voix de la femme, c’était Lara, ta nouvelle Maîtresse. Maintenant raconte-moi tout ce qu’il se passe sur ce putain d’écran. »

Joan grimaça en sentant son membre turgescent pénétrer brutalement son sexe non préparé.
L’autre homme rigola et se mit à sucer son téton en le tirant douloureusement.

« Maintenant, elle… Elle le… Suce… Toujours. Je ne… Elle… »

Joan ferma les yeux et tenta de rassembler ses esprits pour formuler ces mots odieux qui n’arrivaient pas à sortir. »

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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