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La ballade de Lara et Gemma 25
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LA BALLADE DE LARA ET GEMMA : L’HISTOIRE CONTINUE

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 25 : Lara.

Elle se délectait de les voir piocher dans les lasgnes. Au début elles avaient été méfiantes, les yeux plissés et les narines pincées, se demandant ce que contenaient leurs écuelles.
Mais Lara savait à la perfection manier la carotte et le bâton. Cela désorientait les esclaves et brisait leur esprit. Aussi ce plat avait originalement était concoté pour elle. Elle avait demandé double ration, et avait laissé entendre que, finalement ce serait destiné à ses esclaves.
Aussi, le chef s’était probablement masturbé dedans, ou peut-être avait-il assaisonné de quelques crachats, mais ça ne dérangerait pas les deux affamées.
Elle baissa son regard ravi sur les deux filles, prosternées devant leurs repas, piochant sans les mains en reniflant bruyamment dans leur menu. Le meilleur qu’elles aient mangé depuis longtemps.
Cependant, elle avait ajouté un ingrédient indetectable ; un anti-laxatif puissant dont le docteur Thorne avait garanti l’efficacité. Lara l’avait essayé une fois sur elle, pour voir. Et elle n’avait pu vider ses intestins qu’après une trentaine d’heures de ballonnements, de gaz et de crampes de plus en plus désagréables, avant de se résoudre à prendre un remède.
Vingt minutes plus tard, le résultat avait été spectaculaire.
Pendant ce temps, sur l’horloge digitale, les minutes défilaient.
Finalement, les filles avaient terminé leur énorme repas et avaient léché leurs écuelles jusqu’à ce qu’elles soient propres.

Elle surveillait particulièrement Gemma, tentant de déchiffrer l’esprit de cette salope entêtée.
Si seulement elle pouvait se soumettre totalement et supplier pour obtenir sa clémence.
Si elle acceptait sa défaite, Lara pourrait la ménager, la garder, mais uniquement à cette condition.
Il n’y avait qu’un moyen de s’en assurer… Une série de conditions.
Celles de Lara. Des conditions comme elle les adorait…
C’est pourquoi, cet après-midi, elle choisit Michelle pour lui prodiguer un massage. Avec les mains et aussi la langue. Ainsi, alors qu’elle enfermait Gemma dans sa petite cage en bois pour la nuit, elle eut l’agréable surprise de remarquer que son comportement dénotait une certaine humilité, doublée de désespoir, et même un semblant de jalousie dans ses yeux.
Chaque fois qu’elle atteignit le septième ciel, cette nuit, elle prit soin d’exprimer son plaisir de la façon la plus retentissante, afin d’être sûre que Gemma en profitait bien.
De plus, comme premier gage de triomphe, lorsqu’enfin, épuisée, elle repoussait Michelle sur le sol, aux pieds de son lit, elle eut l’agréable surprise de détecter un soupçon d’optimisme, voir de satisfaction dans les yeux bleus de l’esclave.
Stupide pouffiasse !

*** *** ***

À Vingt kilomètres de là, et plusieurs heures plus tôt, le policier de la Stalitz tendit sa main gantée pour vérifier leurs papiers d’identité.
Le couple d’âge mûr fouilla dans ses poches et les produisit.
L’homme fit passer leurs photos devant le scanner, s’attardant longtemps sur leurs visages, puis étudia attentivement les documents.
Après un long moment, il agita la tête et appela deux de ses collègues.
Tous deux dégainèrent leurs matraques et leurs pistolets

« J’ai bien peur que vos papiers ne soient pas en règle. Suivez nous, s’il vous plaît. »

Et ce fût ainsi.
L’arrestation de Bob et Joan ne prit pas plus de trente secondes.
Évidemment, ils n’avaient aucun moyen de le savoir, mais pendant ces mêmes trente secondes, leur fille Michelle, était agenouillée dans une salle de bain, avec un chose immonde et insupportable dans la bouche.

*** *** ***

Les ‘chevaux sauvages en rut’ étaient des machines construites plusieurs mois plus tôt pour le bénéfice de la société Brute. Ils étaient utilisés dans une série ayant pour thème les compétitions sexuelles, que produisait la société.
Ils étaient stockés dans un petit studio attenant à la suite de Lara.
C’étaient deux chevaux d’exercice du même type que ceux qui étaient si célèbres dans les fêtes foraines, une ou deux dizaines d’années plus tôt.
Deux gros bustes en bois ayant la forme du corps d’un cheval, chacun d’entre eux fixé sur une base métallique solide, télécommandés, qui gesticulaient d’avant en arrière, de haut en bas, et de gauche à droite, comme un cheval sauvage ruant dans une compétition de rodéo.

Cependant, cette paire d’étalons avait été modifiée.
Ils se faisaient face, comme un couple de bêtes sauvages hénissant furieusement.
À la place du pommeau situé sur les selles, se trouvaient deux godemichés saillant du centre de chaque selle.
Le premier phallus, visiblement destiné au vagin, formait un angle vers l’arrière et était plus conçu pour l’effort que le confort. Il était lisse et épais, avec une longueur règlée par un pistion. Le plastique rose mesurait, sur sa plus petite dimension, une longueur de dix centimètres, puis il s’allongeait d’abord jusqu’à dix-huit centimètres, avant de se dépolyer jusqu’à sa plus grande longueur qui lui en conférait à vingt-cinq. Alors, il se rétractait à nouveau sur sa longueur intermédiaire puis reprenait sa longueur initiale. Et le piston se déployait à nouveau.
Chaque mouvement d’aller-retour durait environ une demi-seconde, ce qui produisait une sacrée poussée.
Le deuxième godemiché était visiblement destiné au derrière. Il formait un angle opposé au précédent. Il s’évasait vers le haut, si bien que son extrémité était plus épaisse que sa base. Le plastique marron était strié par des spires qui s’enroulaient autour de lui, sur sa longueur. Ce devait être très inconfortable, mais au moins, ça avait le mérite de maintenir la cavalière en selle lorsque le mécanisme commençait à ruer.
Cepenant, l’amusement ne s’arrêtait pas là. Loin de là.
L’extrémité supérieure de chaque godemiché était entièrement recouverte de petites plaques en laiton incrustées dans le plastique. Chacune d’entre elles était contrôlée par les oreilles du cheval adverse.
Un quart de tour sur l’oreille droite envoyait une décharge de courant dans la chatte de l’adversaire, et un quart de tour sur l’oreille gauche, dans son trou du cul.
L’adresse des cavalières se jugerait sur leur capacité à manœuvrer les oreilles. Chaque période de ruades des chevaux durait trente secondes. Plus l’esclave tarderait à les actionner, plus fortes seraient les décharges qu’elle recevrait.
D’un autre côté, une fois qu’une décharge avait été envoyée, il fallait attendre trente secondes avant que les batteries concernées se rechargent.
Si l’une d’entre elles paniquait et actionnait en trop rapidement les deux oreilles de son cheval, elle pouvait rester sans défense pendant un long moment.
Cependant, si elle attendait trop longtemps et dépassait la barre fatidique des trente secondes, alors la batterie de bloquait et elle devait attendre une minute trente avant qu’elle soit disponible à nouveau.
Bref, il s’agissait tout à la fois d’un jeu de tactique, de ruse, d’endurance et de volonté.

*** *** ***

Lara faisait courir ses mains sur les corps lubrifiés de ses deux beautés constipées et grimaçantes, tandis qu’elle étaient assises, nues, face à face, sur leurs fidèles étalons.
Elle se sentait l’âme d’un entraîneur évaluant ses jockeys et ses étalons avant la grande course.
Le studio etait vide et sombre mis à part une paire de projecteurs halogènes qui éclairaient les deux femmes et leurs montures sur l’estrade où aurait lieu la compétition.
Il y avait bien deux cameramen et trois garde, mais à part eux, Lara avait décidé que l’évênement resterait réservé à son propre amusement.
Elle ajusta la position des petits seins de Michelle.

« Tu vas t’en donner à cœur joie sur ce pur-sang. Plus que tu n’as jamais imaginé ! »

Torturée par les crampes, Michelle leva ses yeux grimaçants vers elle, tout en abaissant son postérieur constipé sur le godemiché anal strié.

« Gagne, et tu seras tout près de la ligne d’arrivée. Si tu perds… » Lara haussa les épaules. « Bon… Heu… Restons positives, n’est-ce pas ? »

Elle se tourna et plaça ses mains en coupes sur la poitrine mieux fournie de Gemma.

« C’est maintenant ou jamais pour toi, ma chérie. »

Elle se retira et s’installa derrière un bureau rempli d’écrans et de boutons.

« Maintenant que vous connaissez toutes les deux les règles… C’est parti pour le rodéo ! »

Aussitôt, un bruit de craquement mécanique retentit, suivi d’un sifflement régulier, tandis que les deux chevaux revenaient à la vie. Ils se mirent à remuer lentement d’abord, se déplaçant de haut en bas et d’un côté à l’autre.
Au bout de cinq secondes, une lumière verte s’alluma.
Les batteries électriques étaient maintenant actives et commençaient à se charger.
Gemma et Michelle ne se lâchaient pas du regard, telles deux gladiatrices.
Dans les secondes qui suivaient, Gemma hurla et l’œil droit de sa monture s’alluma en rouge pour signaler que son anus venait d’être traversé par une décharge. Après avoir brillé pendant une bonne seconde, l’œil s’éteignit et redevint noir.

La tête de Gemma roula comme celle d’une pouffiasse saoule dans un night-club, tentant de reprendre ses esprits. Une fine pellicule de transpiration se mit à briller sur son front et une goutte de sueur coula sur son nez.
Pendant ce temps, les chevaux avaient commencé à se déplacer plus vite, s’orientant brutalement dans une direction, puis dans l’autre, s’abaissant et se cabrant brusquement.
Les deux femmes avaient cramponné leurs cuisses, serrant de toutes leurs forces les flancs des chevaux, tout en s’empalant plus étroitement sur les godemichés afin d’affermir leur position.
Soudain, ce fût au tour de Michelle de crier, tandis que l’œil gauche de son étalon s’illuminait en rouge.
Derrière ses écrans, Lara comprit que Gemma venait d’envoyer une décharge électrique dans la chatte de sa copine.
Un bon niveau de 7,5 sur 10 dans les mesures de l’intensité électrique.
Deux secondes plus tard, Michelle tressauta à nouveau, se contorsionna et brailla, lorsque Gemma actionna l’autre oreille de son cheval et envoya une décharge d’une force de 8,5 dans le rectum de Michelle.
Lara se tortilla sur sa chaise.
Pas de douleur, mais de plaisir.
Elle sentait une moiteur chaude se répandre à l’intérieur de son sexe et son clitoris se mettre à la démanger, comme si on le faisait cuire.
Elle adorait ce spectacle ; deux ‘meilleures amies’ confrontées uniquement à l’agressivité et la hargne qu’on lisait dans leurs yeux maquillés de rouge. Plus aucune trace de leur ancienne amitié ne subsistait.
Actuellement, Michelle s’était abandonnée, presque sans forces, sur son étalon. De la bave coulait sur son menton. Elle avait complètement raté l’opportunité qu’elle avait eu de délivrer un ‘coup de poing’ dans la chatte de Gemma. Le cycle de trente secondes s’était écoulé.
Lara sourit. Elle règla les chevaux sur un rythme aléatoire mais régulier.
À ce point, ils étaient déjà agités par des mouvements terribles, alors qu’elle n’avait paramétré l’électronique qu’à un quart de sa puissance. Lorsqu’elle augmenterai cette dernière, inévitablement, l’une des deux jeunes femmes chuterai de sa selle.
Mais, après tout, il n’y avait pas d’urgence.
Elle surveilla les écrans de contrôle, jusqu’à ce que les deux batteries des chevaux furent rechargées.
Cette fois-ci, les filles étaient sur leurs gardes. Elles s’électrocutaient le bas-ventre à tour de rôle, frénétiquement, tentant désespérément de garder les idées claires et de se concentrer.
Le coup décisif se produisit lorsqu’une d’entre elle tenta d’envoyer une décharge de dix sur dix dans les orifices de l’autre, à l’aide des deux oreilles de son étalon en même temps.

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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