cat1sm.gif
La ballade de Lara et Gemma 05
cat0sm.gif

 

 

 

LA BALLADE DE LARA ET GEMMA : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 05 : Lara.

Lara mangea avec apétit. Elle était assise confortablement dans son fauteuil et portait une robe de chambre en soie. Contrairement à ce qui était réservé aux esclaves, les cuisines offraient la plus grande gastronomie aux invités, personnel encadrant et dirigeants. Le marché noir permettait de trouver les mets les plus raffinés et les vins les plus prestigieux.
Son plateau contenait un bol fumant de pâtes aux fruits de mers, du pain à l’ail chaud, une salade verte bien fraîche et plusieurs petites bouteilles de vin rouge ainsi qu’une carafe d’eau étincellante.
Son appétit sexuel provisoirement rassasié par trois merveilleux orgasmes, Lara avait soudainement constaté qu’elle avait faim et commandé un dîner au service de chambre. Une petite esclave vêtue en domestique de la vieille époque s’était acquitée du service avec beaucoup de zèle.
Un gigantesque écran de télévision trônait en arrière plan, sur lequel la chaîne d’état diffusait une liste illustrée de photos présentant les nombreux esclaves qui seraient vendus aux enchères le lendemain.
Un œil sur l’écran et l’autre sur sa nouvelle "petite copine" Lara finissait son repas distraitement.

Gemma était simplement agenouillée à ses pieds, et la regardait manger en silence. Sur un plateau posé par terre, le "menu spécial esclave" repoussant que Lara avait commandé pour elle, luisait au fond d’un plat.
Le contratste entre les deux menus n’aurait pu être mis plus en valeur. D’un côté, l’arôme délicat de l’ail, et de l’autre, l’odeur fétide de l’innommable nourriture gélatineuse présentée dans une sauxe froide qui ressemblait et sentait incontestablement l’urine.
Lara cueillit délicatement quelques pâtes à l’aide de sa fourchette en faisant claquer sa langue contre son palais. Elle sourit à son "souffre-douleur", agenouillée nue, dont les magnifiques seins, la taille fine et le visage adorable semblait souffrir le martyre derrière les lunettes.
Ses cuisses étaient ouvertes à l’extrême, exposant sa "viande rouge", ainsi que Lara avait décidé de surnommer son entrecuisse.
Lara l’aimait. Beaucoup. Mais dans son esprit, cela ne signifiait certainement pas qu’elle ressentait la moindre pitié pour sa victime.
En fait, c’était même le contraire.

« Mmmm, c’est délicieux. » Déclara-t-elle en lui présentant un morceau de pain à l’ail. « Goûte. »

Gemma se pencha en avant et ouvrit la bouche pour saisir le morceau des doigts de sa Maîtresse. Elle mangea avec enthousiasme. Reconnaissante.
Lara but une nouvelle gorgée de vin et rigola.

« Je parie qu’après avoir passé des heures à lécher mon sexe souillé, cela t’a ouvert l’appétit non ? »

Gemma acquiesca. « Oui, Mademoiselle. »

« Passe-moi ton plateau. »

Lara fit de la place devant elle et posa le plateau de Gemma sur ses genoux. Gemma s’était dressée sur ses genoux, les yeux fixés sur la nourriture repoussante. Toutes deux avaient les yeux baissés.
Lara attrapa son couteau et sa fourchette et en agita les tranches épaisses et gélatineuses, comme pour les remuer dans leur sauce.

« Mmm… » Se moqua-t-elle, en passant sa langue sur ses lèvres.

Elle plongea la fourchette dans la pitance infecte et s’appliqua à la découper en morceaux, révelant les fragments rouges et verts, mélangés aux grumeaux bruns.

« Ça doit être délicieux, tu vas te régaler… Bouche grande ouverte ! »

Elle en attrapa une portion avec sa fourchette et la lacha sur la langue de Gemma.

« Mmm… Qu’est-ce que ça peut bien être ? On dirait des morceaux de choux et de tomate avec… Heu… Des ongles… Et… Des poils de pubis ? »

Gemma fixa les yeux de sa tortionnaire d’un regard suppliant. Elle fit son possible pour surmonter les "hauts-le-cœur" et s’employa à mâcher. Les ongles craquaient entre ses dents. Enfin, au prix d’un énorme effort, elle avala l’immonde brouet.
Lara approuva de la tête et piocha une seconde bouchée. Prenant tout son temps, elle saisit son verre de vin et en dégusta une gorgée afin d’accentuer l’humiliation de victime, avant de plonger le contenu de sa fourchette dans la bouche de Gemma.

Dix minutes plus tard, Lara dût se servir de son couteau pour faire glisser dans sa fourchette les restes du plat. Elle avait repéré un ongle jaune, particulièrement imposant.

« Tu vas te régaler, c’est plein de vitamines et de nutriments. »

Elle savait que le budget consacré au repas des esclaves était extraordinairement bas. Ce qu’elle dépensait pour un déjeûner au restaurant de son travail servait à nourrir près de 200 esclaves pour une journée entière. Elle admira l’ingénuosité que déployait le chef pour servir 600 repas journaliers. Un seul service représentait le prix du sandwich qu’elle consommait rapidement lorsqu’elle était pressée, et encore, elle n’en mangeait généralement que la moitié.

Elle déposa l’ongle écoeurant dans la bouche de Gemma, et la regarda le croquer.

« Fais voir ta bouche ! »

Docilement, Gemma exposa les poils, morceaux d’ongles et de végétaux à moitié gâtés qui s’étaient coincés entre ses dents. Un frisson de plaisir lui parcourut les omoplates, tandis qu’elle fixait d’un air interrogateur les yeux noisette de Gemma.
C’était tellement intrigant. Que pouvait-on ressentir dans sa position ? Abus sexuels, lesbianisme forcé, et nourriture immonde. Lara n’avait aucune idée de la façon dont elle réagirait si elle se retrouvait dans cette situation.
Quoi qu’il en soit, elle s’en moquait. Elle n’avait certainement pas l’intention de gagner l’affection de Gemma. Merde, elle n’avait aucune envie de tomber amoureuse. Cette fille la faisait mouiller et c’était tout ce qui comptait.
Elle n’avait qu’un but, que cette chienne la vénère de la façon dont les primitifs idolâtraient les dieux qui les terrifiaient dans les temps anciens.
Lara se débarrassa du plateau et le posa à côté du sien, qu’elle n’avait qu’à moitié teminé. Elle but une nouvelle gorgée de ce vin délicieux et sourit.

« Rassasiée ? » Demanda-t-elle.

Le regard de Gemma trahit ses pensées. Pendant un court instant, ses yeux s’étaient posés sur le plateau aux mets si savoureux, avant de se détourner.

« Oui, Mademoiselle. »

Lara gloussa.

« Ne t’avise pas de me mentir… »

Gemma se figea.

« N… Non… Mademoiselle. »

Il y eut un long silence.

« Ouvre encore la bouche. Montre-moi à nouveau tes dents. »

Terrifiée à l’idée de lui avoir déplu, Gemma s’empressa d’ouvrir la bouche en grand.
Lara étudia attentivement les poils noirs fixés comme du fil dentaire entre les quenottes de son esclave, ainsi que l’infâme magma englué contre ses gencives.

« Va dans ma salle de bains, et lave-toi la bouche. Utilise le cure-dent et une brosse à dents neuve. Interdiction d’utiliser le dentifrice. Ne te sers que du savon et gargarise-toi bien. »

Elle l’observa s’exécuter. Elle avait été tentée de lui faire utiliser la petite brosse à ongles qui était rangée à côté du balai à chiottes et qui servait à frotter les tâches rebelles dans la cuvette des toilettes. Si elle n’avait pas cédé à la tentation, c’était uniquement par peur des germes qui risquaient de se glisser dans la bouche de son esclave, ce qui aurait ruiné les projets qu’elle avait planifiés pour la suite de la soirée.

« Et presse-toi. Je viendrais vérifier dans deux minutes et tu as intérêt à ce que tout soit parfaitement propre ! »

Lara sourit en entendant les sons produits par la pauvre jeune fille qui se lavait. Son immense et luxueuse salle de bain avec Jacuzzi, baignoire à bulles, double lavabos et WC de luxe. Sa chambre au lit grande taille, ses placards aux penderies remplies de vêtements et enfin la coiffeuse, qui à elle seule aurait suffit à nourrir les esclaves pour toute plusieurs années. La suite, à elle seule, était plus spacieuse que le quartier qui abritait les cellules des esclaves. Ce quartier qui hébergeait la minuscule et inconfortable cellule de Gemma.
Elle patienta, guettant les bruits de brossage, les gargarismes et les crachats, suivits par un nettoyage rapide des lieux.
Lara se leva, laissant son vêtement en soie s’ouvrir sur son corps de déesse et se dirigea vers la salle de bains.

« Fais voir ! »

Elle examina longuement, avec satisfaction, la bouche offerte, la langue et renifla l’odeur du savon. Puis, délicatement, elle ôta les lunettes du nez de Gemma et les posa sur le bord de la baignoire.

« Couche-toi dans le Jacuzzi, sur le dos. »

Elle observa Gemma monter dans la grande baignoire blanche, accordant une attention presque obsessionelle à la taille fine et aux seins. Puis, lentement, elle se débarrassa de sa robe de chambre et enjamba Gemma, abaissant son pubis velu vers son visage. Elle avait décidé à laisser pousser ses poils naturellement.

« Je sais que tu aimes la pisse. Ouvre ! »

Elle assista sans plus d’intérêt que ça lorsqu’un premier jet éclaboussa le visage et les cheveux de sa victime, avant de se lacher complètement, tandis que ses lèvres s’ouvraient entièrement. Elle règla sa position et visa précisément dans la bouche grande ouverte et fraîchement savonnée de Gemma.
Au même moment, un petit pet lui échappa et elle éclata de rire en se délectant de la détresse de Gemma dont les yeux verts peinaient à rester ouverts tant l’émission était puissante et débordait de ses lèvres.

« Lèche-moi ! » Ordonna-t-elle précipitament.

Gemma avala une grosse gorgée d’urine chaude et sa langue alla à la rencontre du sexe de Lara, tandis que celle-ci abaissait un peu plus son bassin, sans cesser d’uriner. La miction se mêlait à ses sécretions menstruelles et, bientôt, les lèvres de Gemma furent hermétiquement scellées contre le sexe avide de sa Maîtresse.
Une secousse électrique parcourut le corps de Lara, la poussant à déplacer son bassin afin que l’esclave ait libre accès à son anus. Au même moment, la fontaine de pisse forma un arc de cercle et passa par dessus le visage soumis pour s’écraser sur les parois du jacuzzi, détempant ses cheveux.
Enfin, le flot s’amenuisa, puis s’interrompit.
Engluée dans son plaisir, Lara continua longuement à frotter ses fesses détrempées sur le nez et la langue de sa victime, tandis qu’un orgasme la submergeait.
Soudain, elle grimaça en sentant un tiraillement éloquent naître au fin fond de ses intestins. Le gaz, silencieux, mais conséquent emplit en quelques secondes les lieux d’une odeur de souffre épouvantable.

Sous l’effet du dégoût, Gemma n’avait pu s’empêcher de retirer sa langue. Cruellement, Lara lui pinça le lobe de l’oreille et le tordit sadiquement.

« Continue à me lécher ! Ne t’arrête pas maintenant, espèce de chienne ! »

Elle ferma les yeux sous l’extase que lui procurait la langue douce lorsqu’elle s’attaqua à nouveau à son anus. Son précédent orgasme avait quelque peu ralenti ses ardeurs et elle hésita, se demandant si le prochain surviendrait avant qu’elle cède et relâche irrémédiablement ses intestins. Glissant sa main entre ses cuisses, elle se consacra entièrement à son plaisir et se mit à suffoquer lorsque le muscles de son sphincter se détendit.

Ce nouvel orgasme la fit hurler. Simultanément, elle souleva son bassin et fit son possible pour faire de la place au premier étron sec et solide qui fraya son chemin entre ses fesses avant de tomber sur le visage grimaçant de Gemma.

« Ouuiiii… Hmmm… Aaah… Hmmm… » Souffla Lara, terrassée par l’orgasme.

Deux nouvelle choses brunes s’échappèrent de son anus, tandis que son plaisir se calmait peu à peu. Elle se redressa un peu et les observa s’immobiliser, l’un sur le cou de Gemma et l’autre entre ses seins.

« Ne bouge pas. » Ordonna-t-elle en se laissant tomber lourdement à cheval sur le ventre de sa victime, écrasant son ventre avec ses fesses.

Elle gloussa en regardant les trois étrons qui contrastaient avec la peau pâle de Gemma. Non sans hésitation, elle en attrapa un qui menaçait de rouler dans la baignoire. Elle le saisit du bout des doigts et le déposa le long d’un de ses seins, parallèlement à celui qui s’y trouvait déjà, comme s’il s’était agit d’une paire de décorations pour ses tétons.

« Ouvre la bouche ! »

L’excrément qui était sur le visage de Gemma reposait en travers de ses lèvres, de son nez et de sa joue. Avec précautions, la jeune fille ouvrit ses lèvres, ce qui le glisser à l’écart de sa bouche.

« S… S’il vous… P… Plaît, Mademoiselle. P… Pas ça… Je vous en supplie. »

Lara se réjouit de ce déferlement de pouvoir.

« Et pourquoi pas ? Tu sais qu’on fait ce genre de choses dans le camp. Pourquoi crois-tu que l’on dépense de telles sommes en antibiotiques et antitoxines pour les esclaves ? Donne-moi seulement une raison valable pour laquelle je devrais t’épargner, toi, en particulier. »

Une larme ruissela le long de la tempe de Gemma.

« J… Je ne peux pas, Mademoiselle, mais je v… vous en supplie. P… Pitié. S… S’il vous plaît… Je ferais n’importe quoi… »

Lara lui sourit, mi-moqueuse, mi-chaleureuse. Il n’y avait pas d’urgence. Cette chienne avalerait son bol d’excrément lorsque ce serait le moment. De toute façon, c’était elle qui détenait toutes les cartes maîtresses. Elle n’avait pas besoin de les abattre toutes à la fois. Après tout, Gemma lui avait déjà procuré son premier orgasme tout en déféquant, c’était déjà un bon début.

Peut-être lui fallait-il une pause ?

« Ah… Dis-moi ce que tu ferais. »

« Tout ce que vous voudrez, Mademoiselle. »

« Non, à toi de me faire une proposition. Amuse-moi. »

C’était la seconde fois, qu’on lui demandait la même chose, ce jour. Gemma sourcilla en levant les yeux vers elle. Visiblement, elle y réfléchissait intensément.

« J… Je ne sais pas, Mademoiselle… Je veux juste vous faire plaisir, Mademoiselle. »

Lara se pencha un peu et attrapa le plus gros colombin qui trônait toujours sur le visage de Gemma.

« Alors embrasse-le. Je ne t’oblige pas à le manger, mais embrasse-le. »

Lentement, Gemma tendit ses lèvres et les appuya contre le morceau brillant. Lara pouvait sentir les hauts-le-cœur progresser dans son œsophage, comme si elle allait s’étouffer.

« Je vais faire un marché avec toi. » Déclara-t-elle magnanime. « À partir de maintenant, tu seras mon esclave intime personnelle. Chaque fois que j’aurai besoin d’aller aux toilettes, tu t’occuperas de moi. Quand j’aurai envie de pisser, tu boiras tout. Quand j’aurai envie de chier, que ce soit sur ton visage et ton corps ou dans les toilettes, tu me nettoieras toujours amoureusement. Mes déjéctions et toi allez devenir les meilleures amies du monde. Compris ? »

Gemma sembla réaliser que le marché n’était pas si mauvais pour elle.

« O… Oui, Mademoiselle. »

Lara acquiesca de la tête, alignant les trois excréments sur la poitrine de Gemma.

« Je n’ai pas terminé. Je réévaluerai la situation dans une semaine et sur ce point, nous remettrons les compteurs à zéro. D’autre part, si tu échoues de quelque façon que ce soit, si tu recules devant tes obligations ou si tu fais preuve du moindre manque de respect, je t’envoies passer le reste de tes jours en tant que "Cuvette de chiottes" dans les sanitaires des équipes d’encadrement. »

Elle marqua une pause interrogative.

Gemma lui fit un timide signe de la tête en guise d’acceptation.

« Pour finir, je vais te faire insensibiliser le clitoris. »

Choquée, Gemma ouvrit de grands yeux.

« Demain, au saut du lit. Ça devrait durer environ une semaine. Le temps que notre marché arrive à son terme, peut-être un peu plus longtemps. Tu ne ressentira plus rien, quelle que soient les sentiments que tu éprouveras. Ça sera comme une excision. Ça devrait t’aider à te consacrer exclusivement à mon plaisir. »

Gemma s’appreta à ouvrir la bouche pour répliquer, mais visiblement, elle se ravisa, estimant que ça n’était pas dans son intérêt.

« Peut-être que j’ai des fantasmes essentiellement lesbiens, » Dit Lara. « Mais, j’aime aussi regarder les couples hétérosexuels de temps en temps. Je serai en vacances pendant toute la semaine prochaine et je pourrai directement superviser les moindres détails de ta vie ici. C’est moi qui déterminerai les partenaires auxquels je te livrerai, les occupations auxquelles tu te consacreras et tout le reste.

Une autre larme s’échappa de l’œil droit de Gemma.

« Et il faut que je t’avertisse que je ne pense pas qu’une jolie fille de vingt-deux ans comme toi puisse marchander ses faveurs ! Ces garçons que tu as rencontrés lorsque tu tournais la vidéo l’autre jour étaient de vrais Appolons, comparés aux partenaires que je te réserve. Je suis particulièrement curieuse de te voir avec de vieux croutons. Ils sont toujours affamés de chair fraîche. La qualité - ou plutôt son absence - sera plus importante que la quantité, mais je suis sûre que nous trouverons le temps de te procurer les deux. Et dis-toi bien que nous allons essentiellement nous occuper de ton mignon petit postérieur, puisque c’est la partie de ton corps qui m’intéresse le moins, alors qu’au contraire, c’est à coup sûr celle que les vieux cochons préfèreront. Ton petit trou du cul est certainement la partie de ton corps que tu aimes le moins, toi aussi, non ? »

            Gemma mordit ses lèvres tremblantes et approuva d’un signe de la tête, en pleurant silencieusement.

            « Allez, ne t’inquiète pas tant. Je suis sûre que j’en laisserai quelques-uns se glisser dans ta petite chatte aussi. C’est pour ça que tu subiras cette petite opération demain matin. Il ne faudrait pas que ce petit dévergondé qui te tient lieu de clitoris te distraie de tes obligations. »

            Lara se redressa et sortit du jacuzzi.

            « Tu verras. Nous allons bien nous amuser toutes les deux, j’en suis sûre. Maintenant, au travail. Nettoie-moi toutes ces choses dégueulaces et viens vite me torcher avec une lingette. Ensuite, tu prendras une douche froide et tu viendras te mettre en position contre mon lit. Je brûle d’envie de donner une fessée à ton adorable petit postérieur avant d’éteindre la lumière. Un garde viendra te chercher dans une quinzaine de minutes, je suis certaine que tu dormiras mieux dans ton propre lit. »

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

RETOUR A L'INDEX