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La ballade de Lara et Gemma 02
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LA BALLADE DE LARA ET GEMMA : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 02 : Gemma.

Gemma était accroupie, le regard droit devant elle, cuisses écartées, le buste aussi droit que possible, maintenant tant bien que mal son équilibre à l’aide du bout de ses doigts, de chaque côté de ses pieds.
Devant elle, trois personnes étaient assises, sirotant un thé tout en degustant de gâteaux et en se moquant d’elle. Sans en être sûre, elle imaginait que tous trois étaient des membres du gouvernement.
L’un d’entre eux était sûrement un officier de la redoutable "Stalitz", la police secrète. Les deux autres, un homme et une femme, devaient être des bureaucrates.
La femme devait être liée d’une façon ou d’une autre à Stella et c’était elle qui s’était escrimée le plus sadiquement sur elle en forçant entre ses cuisses des objets de plus en plus gros pendant le terrible film de la veille, lorsqu’elle avait dû être la star, comme ils disaient, de cet horrible film pour tarés. Son entrecuisse la faisait abominablement souffir et elle n’arrivait pas à se débarrasser de l’horible goût de semence qui impregnait ses papilles gustatives, ni de l’odeur tenace qui s’entêtait à emplir ses narines.

Pourtant, durant les quatre semaines qu’elle avait passé au sein de la société Brute, Gemma avait appris qu’elle n’avait droit à aucun répit. Les choses pouvaient toujours devenir pires. Alors elle était là, nue, mise à part ses lunettes, accroupie sur une table en marbre blanc, à l’extérieur sous le soleil chaud.
Son estomac grondait. Après l’avoir laissé dormir l’intégralité des huit heures qui suivirent l’éprouvante séquence video de la veille, ils l’avaient déjà autorisée à se nourrir de ce qu’ils appelaient les "spéciaux" par trois fois aujourd’hui. On lui avait interdit l’usage des toilettes. Rapidement, elle s’était habituée à se livrer à ses ablutions devant les gardes et les autres esclaves, mais c’était autre chose que d’être accroupie comme ça devant trois diginitaires des deux sexes, entièrement vêtus, eux.

La jeune femme se leva et s’approcha nonchalament. Avec un regard inquisiteur, elle fit courir sa main sur la poitrine ferme de Gemma, descendit le long de sa hanche et se fixa entre ses jambes grandes ouvertes, taquina son tendre sphincter.

« Des crampes ? » Demanda-t-elle.

Ses cuisses et ses mollets la faisaient horriblement souffrir.

« Non, Mademoiselle. »

Les ongles aiguisés progressèrent, faisant leur chemin à l’intérieur de son anus douloureux. Soumise, Gemma regarda droit devant elle. La jeune femme était d’une beauté classique, avec un visage ovale, une mâchoire délicate et un nez raffiné, mais trop pincé selon les goûts de Gemma et ses lèvres étaient trop étroites pour être jolies. De plus, elle ne dégageait aucune chaleur. Zéro. Un vrai glaçon.

« Tu souffres ? »

Gemma remua légèrement la tête.

« Non, Mademoiselle. »

La femme eut un petit sourire satisfait.

« Tu es une petite chienne coriace, n’est-ce pas ? »

Gemma resta un instant sans voix, incertaine de la réponse qu’elle devait faire.

« N… Non Mademoiselle. »

La femme retira son doigt, le renifla et le plaça dans la bouche de Gemma. Elle le lécha, sachant qu’elle avait intérêt à se soumettre. La femme était probablement proche de la trentaine, elle avait peut-être cinq ou six ans de plus qu’elle et affirmait déjà pleinement son autorité sur elle. Gemma avait déjà remarqué qu’elle s’intéressait à elle lors de deux précédantes visites.

« Dis-moi, » Demanda-t-elle en examinant nonchalament son ongle rouge vif. « Est-ce que tu as déjà mangé de la merde ? »

Gemma battit des paupières et avala difficilement sa salive. Les yeux bleus cruels de la femmela fixèrent durement. Ses sourcils se soulevèrent intérrogativement.

« Et… Tu en serais capable ? »

À nouveau, Gemma se figea, incapable de trouver une réponse appropriée.

« Non, Mademoiselle. »

« Mais si tu y étais obligée… Tu le ferais ? »

Horrifiée par la tournure que prenaient les questions, Gemma acquiesca de la tête et se força à répondre.

« O… Oui, Mademoiselle… »

« Bien ! Et tu préfèrerais manger la tienne ou celle de quelqu’un d’autre ? »

Des larmes noyèrent les yeux de Gemma. Le questionnaire que lui faisait subir la femme était une vraie torture mentale. Lente. Implacable.

« S’il vous plaît… Mademoiselle… Je vous en supplie… » Implora-t-elle. « Je ferai tout ce que vous voudrez… S’il vous plaît… »

C’était une erreur. Elle s’en rendit compte au moment où les mots sortaient de sa bouche. Mais, bien que son regard ne traduisît aucun sentiment, la bouche aux lèvres carmin de la femme se contracta légèrement.

« Bien sûr que tu le ferais. Alors raconte-nous jusqu’à quel point tu seras volontaire si je ne t’oblige pas à déguster ce genre de petite saucisse ? Que proposes-tu ? Trouve nous quelque chose que tu n’as jamais fait. Quelque chose qui nous exciterai tous ; encore plus que mon idée.

Les cils de Gemma papillonnèrent à nouveau. Elle ne sentait presque plus ses talons et ses chevilles, maintenant. Elle était cambrée en arrière, complètement offerte et ses bras et ses doigts menaçaient de lui faire ressentir des crampes. Pire encore, elle s’était piégée toute seule. Il lui paraissait évident que rien, dans le large éventail des activités sexuelles et des humiliations habituelles, ne pourrait satisfaire ce trio blasé.
Elle avait déjà été baisée et avait dû sucer de nombreuses fois, on l’avait enculée, elle avait dû ingérer de l’urine, on l’avait frappée avec une canne, brûlée avec le bout rougeoyant d’une cigarette, on l’avait soumise à des orgies de sperme et torturée avec des godemichés démesurés. Il y restait donc très peu de choses que son esprit de jeune fille normale de vingt-deux ans pouvait espérer trouver et qu’elle n’avait pas déjà subi. Elle ne pouvait penser qu’à quelques râres perversions dont elle avait entendu parler, comme les animaux, les matières fécales et… Quoi d’autre ? Elle secoua négativement la tête.

« Je suis désolée, Mademoiselle. Je ne… Est-ce que cela vous plaîrait de me tatouer ? »

La femme afficha un air hautain et se tourna vers les hommes. Tous souriaient.

« Que pensez-vous de T.O.I.L sur une fesse et E.T.T.E sur l’autre ? » Lança-t-elle en riant.

Gemma baissa les yeux sur la table, affichant sa soumission totale.

« Tu n’as pas envie ? » Demanda-t-elle en appuyant sur l’estomac de Gemma.

« S… Si, Mademoiselle. »

« La vessie et les intestins ? » Renchérit-elle avec un regard inquisiteur.

« Oui, les… les deux, Mademoiselle. »

« Excellent. » Elle fit quelques pas en arrière. « La vessie d’abord. Et dépèche-toi. »

Gemma ferma les yeux. Après de nombreuses minutes à se contrôler, elle n’arrivait plus à se relâcher. Le nœud dans son ventre grondait et ses intestins la pressaient pour qu’elle se soulage immédiatement. Il lui paraissait impossible de vider sa vessie sans relâcher son sphincter anal au même moment. Après de longs efforts éprouvants, elle sentit l’urine venir enfin.

« Ouvre les yeux ! Regarde-moi. »

Elle obéit et regarda la jeune femme qui la fixait, se délectant visiblement du pouvoir qu’elle exerçait sur sa victime, se réjouissant de son humiliation. Gemma sentit les lèvres de son sexe réagir, comme si elle faisaient une moue de plus en plus éloquente, et un jet d’urine gicla en bouillonnant d’entre ses cuisses pour aller s’écraser bruyamment sur la table en marbre. Au comble de l’humiliation, elle ne put s’empêcher d’entendre le sifflement produit par ses nymphes et l’horrible bruit d’éclaboussure que le liquide chaud produisait en aspergeant tout le bas de son corps et en se répandant entre ses doigts de pieds.

La femme étudia l’expression de Gemma en lui carressant le genou.

« Ca t’embarrasse ? » Demanda-t-elle.

Gemma approuva de la tête.

« Oui, Mademoiselle. »

Tandis que sa vessie continuait à se vider sous les yeux des spectateurs. Cela faisait bien vingt secondes qu’elle se vidait et, pourtant, elle se sentait encore à moitié pleine.
Le doigt de la femme s’était lentement déplacé vers son entrecuisse, pour venir se fixer près de son sexe.

« Stop ! » Ordonna-t-elle.

Au prix d’un immense effort, Gemma parvint à comprimer ses muscles intîmes et à réfrenner son envie. Après quelques secondes, la source se ralentit pour finir par se târir.

Avec un sourire d’approbation, la femme fit glisser ses doigts sur la petite bande de poils qu’ils avaient laissé à gemma, et entreprit de titiller ses lèvres intîmes, les écartant encore plus. Puis, elle leva sa main, examina les gouttes d’urine qui humidifiaient ses doigts, et, regardant sa victime droit dans les yeux, elle lécha timidement l’extrémité de son index.
Aussitôt, ses lèvres se révulsèrent et un air de dégout s’afficha résolument sur son visage.

« Beurk ! Tu as vraiment bu ça ? »

Gemma fit une grimace. Elle avait des crampes dans les mollets et sa vessie la taraudait.

« Oui, Mademoiselle. Quand on me l’ordonne. »

Brusquement, comme lassée, la femme lui tendit ses doigts.

« Nettoie-moi ça. »

Puis, elle alla chercher une tasse de thé vide et la positionna entre les cuisses de Gemma.

« Tu peux continuer. Là dedans. »

Le souffle court, Gemma se hâta de relâcher enfin ses muscles intîmes, libérant enfin l’urgence qui lui déchirait les reins.

« À vos ordres, Mademoiselle. Merci, Mademoiselle. » Répondit-elle en finissant de se vider dans le récipient. Elle espérait qu’un peu de gratitude pourrait adoucir sa tortionnaire.

Malheureusement pour Gemma, imperturbable, la femme s’empara de la tasse débordante d’urine et la plaça devant ses lèvres.

« Bois ! »

L’un des esclaves qu’elle avait rencontré peu de temps après son arrivée lui avait chuchotté que boire de l’urine pouvait sembler atroce tant que l’on n’avait pas été forcé à manger des matières fécales. Bien sûr ingérer de la pisse était terriblement humiliant, mais c’était supportable. Elle connaissait quelques esclaves qu’on avait forcé à manger des excréments, mais, jusqu’à présent, elle avait échappé à cette terrible épreuve. Et elle espérait bien continuer ainsi.

Docile, Gemma ouvrit sa bouche en grand, et la femme y versa une partie du récipient avec précautions. C’était tiède et amer, mais au moins, cela provenait de son propre corps. Elle avala tout sans délai.
En arrière plan, elle distingua la silhouette de l’un des spectateurs qui venait de se lever. Il se débraguetta, vida la carafe de lait et, en rigolant bruyamment, y fit pénétrer l’extrémité de son sexe. Gemma n’eut aucun doute sur ce qu’il était entrain de faire.

« On dirait que tu as lancé une mode ! » Plaisanta Joyeusement la femme.

L’homme répondit, lui aussi par une plaisanterie, et s’adressa à la femme en l’appelant Lara.
Au moins, Le bourreau de Gemma avait un nom :
Lara.

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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