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Après le fléau 84
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 84.

Pendant ce temps, Stella venait d’arriver à l’un des lieux de relaxation extérieurs. Refermant lentement la porte du jardin isolé, la scène qu’elle découvrit la fit sourire.
Le gazon ensoleillé qui s’étendait devant elle mesurait près de 30 mètres sur 30. Un chemin en graviers, bordé de fleurs et de plantes parfaitement entretenues en faisait le tour. Une douce brise soufflait à travers les feuillage dans le soleil chaud. Au milieu du gazon, trônait une estrade en bois. Sur l’estrade, le couple de lesbiennes que Stella avait acheté était maintenant disposée selon ses instructions. Elles se tenaient côte à côte, penchées en avant et vêtues de chemisiers en soie, minijupes, bas et hauts talons. Leur buste passait au-dessus d’un fil barbelé tendu entre deux poteaux verticaux en bois. À côté de chaque poteau, un tabouret à trois pied était disposé, prêt à servir. Les deux filles n’étaient ni attachées ni enchaînées car, de toute façon, elles n’avaient aucune possibilité de s’échapper.
L’une d’entre elle était une beauté classique ; presque masculine en fait, avec ses cheveux courts coupés en frange, des courbes symétriques et de longues jambes bien galbées. Ses courbes minces et toniques saillaient du fait de sa position qui l’obligeait à tendre ses muscles pour ne pas se blesser sur le fil barbellé.
Stella savait qu’elle avait 29 ans et que c’était elle la dominante dans leur relation contre nature.
L’autre ne lui arrivait pas à la cheville ; une petite salope blonde, un peu grassouillette et à la poitrine forte. Elle avait 25 ans et c’était elle qui s’occupait des tâches ménagères avant leurs problèmes financiers.
Derrière elles, deux gardes corpulents et puants plaisantaient en s’amusant à soulever leurs jupes. Leurs pantalons jaunis étaient abaissés sur leurs chevilles, exhibant leurs ventres dodus. Ils fumaient une cigarette et caressaient langoureusement leurs érections sous le soleil brillant.
Souriant intérieurement, Stella s’avança majestueusement et attrapa le visage de la jeune blonde sanglottante entre ses paumes.

« Ne pleure pas, petite gouine. Vous avez toutes les deux besoin de preuves pour votre divorce. Alors les voilà. Infidélité. Chacune d’entre vous va prendre l’autre en flagrant délit. Bon, pour commencer, mettez vous en tenue d’ève. »

Déclara-t-elle en souriant aux deux gardes, malgré la répulsion que leur apparence et leur odeur lui inspiraient. Puis elle gifla brusquement la petite blonde.

« Allez, chacune sur un tabouret, et dispensez un peu d’encouragement à vos nouveaux amoureux en leur faisant un petit strip-tease. »

Elle fit un signe de tête au premier garde, qui écrasa sa cigarette et s’avança pour prendre les mains des filles, rigolant largement tandis qu’il les faisait monter sur les tabourets, l’une après l’autre.
Les yeux larmoyants, les deux filles commencèrent à se deshabiller, déboutonnant leurs chemisiers noirs avec des gestes mal assurés.

« Je vous ai dit de les encourager ! » Aboya Stella. « Faites-leur des sourires sexy, des battements de cils et déhanchez-vous. Vous êtes des salopes, pas les patientes d’un docteur. »

Affichant des sourires forcés, les deux femmes se mirent se tortiller sur leurs tabourets. Leurs chemisiers glissèrent sur leurs épaules, révelant leur peau blanche et leur soutien-gorges en dentelle noire. La plus âgée avait une poitrine modeste, mais pleine et haut placée qui défiait la gravité avec insolence, tandis que la petite blonde exhibait une paire de seins énormes qui débordait allègrement de son soutien-gorge.
Stella et les deux hommes les regardèrent détacher leurs jupes et les quitter, défaire leur bas et ôter leurs escarpins pour se présenter vêtues uniquement de leurs sous-vêtements. Puis elles dégraffèrent leurs soutien-gorges et les firent glisser le long de leurs bras avant de descendre leurs strings le long de leurs jambes, se tenant d’un pieds sur l’autre pour les ôter complètement.
La plus grande avait un pubis admirablement taillé, alors que celui de la blonde était potelé et entièement glabre, avec un grain de beauté juste au-dessus de la fente.
Mise à part leurs peaux tremblantes, elles se tinrent bien droites lorsque Stella fit courir ses mains sur leurs joues, leurs cous, leurs hanches, et de leurs seins jusqu’à l’intersection de leurs cuisses, les évaluant comme des morceaux de viande.

« Passez-leur la crème. »

Un garde s’empara d’un pot contenant un lubrifiant tanslucide.

« Mettez-en un bon paquet sur vos chattes. » Ordonna Stella.

Les deux filles plongèrent docilement leurs mains dans le récipient et se penchèrent en avant pour l’appliquer entre leurs jambes.

« Bien… » Roucoula Stella. « Maitenant, tenez-vous par la main et penchez-vous à nouveau sur le fil barbellé. Je veux que chacune d’entre vous regarde l’autre dans les yeux. »

Lorsqu’elles se furent exécutées avec appréhension, Stella fit un signe de la tête aux gardes.
Le premier homme s’avança derrière elles et écarta les fesses de la lesbienne dont l’entrecuisse était luisant de lubrifiant. Il était poilu comme un singe et ses cheveux noirs étaient assortis avec ceux de la brune. D’une poussée, il pénétra son sexe vierge malgré les attentions que lui avait déjà prodigué la petite blonde.
La fille grogna et tira la langue en adressant un regard misérable à sa chérie.

« Sois courageuse et ne pleure pas. » Se moqua stella en se penchant à quelques centimètres de leurs visages. Tu ne voudrais pas que ta pute garde un mauvais souvenir de toi. Regarde ! » Elle attrapa le menton de la jeune femme et l’approcha de sa petite copine jusqu’à ce que leurs visages se touchent. Leurs expressions mortifiées la fit sourire.

Elle adressa gaiement un nouveau signe de la tête à l’autre garde. Il avait un double-menton avec de larges mâchoires. Son crâne était chauve et, donc, parfaitement assorti avec le pubis imberbe de la blonde. Un instant plus tard, lui aussi était confortablement installé à l’intérieur du corps tremblant de sa victime.
Stella observa attentivement la scène en souriant. Les deux hommes obèses se démenaient sur le dos des deux filles. Consciencieusement, elles accompagnaient leurs mouvements à l’unisson, allant au devant des coups de boutoirs qui les secouaient, afin d’éviter de se retrouver projetées contre le fil de fer barbellé qui menaçait leurs poitrines et leur ventre.
Au bout de deux minutes, les deux hommes échangèrent leurs places. Leurs sexes luants et énormes brillèrent au soleil avant qu’ils les enfoncent à nouveau dans les chattes des deux lesbiennes.
Au deuxième tour, Stella leur fit signe de passer devant les deux filles afin que chacune d’entre elle puisse bien s’impregner de leur apparence et de leur équipement.
Ça ne prit pas longtemps. Si on considerait la façon dont se déroulerait le reste de leur vie, ces deux "garages à bites" étaient déjà douces et affectueuses. Quelques minutes plus tard, les deux hommes jouirent en chœur. Ils grognèrent comme des cochons et haletèrent l’un après l’autre.
Les deux filles braillèrent comme des cantatrices et pleuraient à chaudes larmes lorsqu’elles sentirent leur jute chaude envahir leurs entrailles.
Les deux gardes s’écroulèrent sur leurs dos, les obligeant à se cabrer pour supporter leurs poids, et, lorsqu’ils se retirèrent en souriant honteusement à Stella, celle-ci attrapa chacune des victimes par l’oreille et leur fit relever la tête.

« Voilà, ce n’était pas si terrible, n’est-ce pas ? »

Les relâchant, elle les gifla vicieusement.

« Répondez-moi ! »

Elles levèrent leurs yeux remplis de larmes sur elle. De la salive ruisselait sur leur menton.

« N… Non… Maîtresse. » Se força à répondre la plus âgée.

Stella lui adressa un sourire méprisant.

« Dites-moi, messieurs, qu’avez vous pensé de ces deux petites chiennes ? »

Les deux gardes échangèrent un regard.

« Heu… Honêtement, M’dame ? »

« Oui. Rien que la vérité. » Répondit Stella en leur faisant un clin d’œil.

« Ben, heu… Très ordinaires, M’dame. Elles comptaient sur nous pour faire tout le boulot, si vous voyez ce que je veux dire. Et il a fallu que je les imagine plus sexy pour arriver à jouir. »

« Ouais, » Surrenchérit l’autre. « Leur chattes étaient étonnament ouvertes. Je veux dire pour des pucelles, si vous voyez ce que je veux dire. »

« Exact, » Reprit le premier. « À mon avis, il n’y aura que des bites hors-normes pour prendre du plaisir avec elles. »

« Bien. Alors mesdemoiselles, vous savez ce qui vous attend ! » Déclara Stella. « De bonnes grosses bites pour chacune d’entre vous. Mais avant ça, je pense que vous devriez vous faire un gros baiser, vous ne croyez pas ? »

Sanglotant bruyament, les deux filles s’embrassèrent délicatement du bout des lèvres.

Non, non, pas comme ça espèces d’idiotes.

Affichant son impatience, Stella appuya ses mains sur ses cuisses et se pencha sur elles.

« Toi, "Broute-minou" ! » Aboya-t-elle en attrapant la plus âgée par sa frange. « Agenouille-toi et dis au-revoir à la cramouille de ta petite copine, tu vas voir, elle est trempée d’impatience. Désormais sa chatte sera exclusivement réservée aux hommes. »

La brune se redressa, les jambes flageollantes, et alla prendre position derrière son ex-petite amie.

La regardant œuvrer, Stella se dit qu’elle apprécierait certainement que cette jolie "Broute-minou" à l’allure garçonne s’occupe d’elle. Peut-être même qu’elle pourrait la mettre au service de ses amies, telles que le Docteur Thorne en tant que masseuse tribade ? Mais pas avant que cette chienne ait suivi un régime vigoureux à la viande masculine.

« Hmmm… Je parie que… Oooh, c’est trop grisant. »

"Broute-minou" c’était agenouillée entre les jambes de son ex petite copine, face à son derrière cambré. Elle frottait son nez entre ses fesses, appliquant son visage luisant de transpiration contre le postérieur souillé de sperme.
Stella fit le tour des deux filles et se pencha en avant pour avoir une meilleure vue.

« Cambre-toi mieux que ça, » Ordonna-t-elle en poussant sur le cou de la blonde pleurnicharde. « Écarte plus tes cuisses. Voilà. Montre bien ton cul. Bien… Comme ça, nous pouvons mieux voir ta chatte. »

Tous les regards convergèrent vers l’entrefesse de la jeune femme au centre duquel suintait une bonne dose de sperme épais et crémeux qui ruisselait en longs filaments.

« Mmmhhh… C’est exquis. Certaines de mes filles préfèrent boire le foutre directement à la source, mais j’ai toujours pensé que c’était meilleur en seconde main. Ne t’inquiètes pas, à dater d’aujourd’hui, tu auras plein d’occasions de varier tes menus. Maintenant, lèche-moi ce filament qui pendouille. »

La langue timide de "Broute-minou" serpenta timidement hors de sa bouche et cueillit la goutte de sperme au vol.

« Bien ! Maintenant profites-en bien et lèche une dernière fois la chatte de ta copine pendant que je vous raconte ce qui va arriver à chacune d’entre vous.

Asticotant les deux filles, Stella fit courir ses ongles le long de leurs hanches luisantes de sueur.

« Vous ne devriez jamais vous revoir, mais si ça arrivait, vous ne devrez pas vous adresser la parole ni vous adresser le moindre signe de reconnaissance. » Elle tapota la tête de la blonde. « Toi ! Tu seras affectée à la chaîne de reproduction. Tu verras, ça sera merveilleux. Tu vas prendre ton pied. Bite après bite, jour après jour, tu auras plus de queues que la plus vieille et la plus endurcie des prostituées n’en verrait dans une vie de travail. Mais évidemment, dorénavant, tu ne vaux pas mieux que la pute la plus abjecte. Je me suis arrangée pour que ton traitement commence demain. Avec les ‘AMPAs’ tu nous produiras de belles portées tous les ans. J’espère que tu auras conscience de tes nouvelles responsabilités : Vingt ans au moins à produire – où plutôt à te reproduire – pour repeupler la planète. »

La pauvre fille se mit à sangloter de plus belle, secouant la tête. « Non, non, non. »

Stella sourit. « Oh si, si, si ! Mais pour ce soir, je t’ai organisé un petit divertissement. J’ai trouvé une poignée de garçons avec qui tu as été à l’école. Tu n’imagines pas à quel point le bouche à oreille est efficace… Tu te souviens de Jamie Mulligan ? Et bien, il s’est marié la semaine dernière et, avec ses copains, ils cherchaient comment enterrer sa vie de garçon…
Ils doivent arriver d’ici… Heu, une heure… Et c’est là que tu interviens. »

La blonde devint pâle comme un linge.
Profitant de son effet, Stella se pencha pour chuchoter en ricanant dans l’oreille de la brune.

« Quant à toi, ma petite brouteuse de gazon, je suis désolée, mais tu n’es pas destinée à la chaîne de reproduction. En tous cas durant ces premières années. Au lieu de ça, j’ai l’intention de faire de toi une star de l’écran. J’ai pensé à un documentaire très sérieux dans lequel une petite gouine serait confrontée à des désirs contre nature… Pour elle. Il s’agirait de filmer ses réactions en la mettant perpétuellement en contact avec des mâles, à la fois humains et… Heu… D’un autre type… »

Choquée, la brune leva sur elle des yeux abasourdis. Son visage sidéré en disait long sur l’horreur qu’elle ressentait en réalisant ce qui l’attendait.

« Mais ce n’est pas tout, ma chérie. Pour commencer, tu vas vivre chez moi. Comme ça tu feras connaissance avec mon mari, Brutus et ça te laissera quelques semaines pour apprendre à t’occuper minutieusement des deux sexes. Mais auparavant, j’ai une petite surprise bien juteuse pour toi aussi : Ce soir, ce sera toi la demoiselle d’honneur. »

Sur ces derniers mots, Stella se redressa et fit un signe d’adieu aux gardes. Puis elle s’éloigna d’un pas décidé et traversa le petit jardin. La brune s’était remise à lécher le postérieur de son amie.

« Laissez-leur une minute pour se faire leurs adieux. Ensuite, séparez-les. Pas d’effusions où de calins. Je veux qu’elles ne gardent que ce dernier souvenir l’une de l’autre. » Lança t-elle en sortant du jardin.

perverpeper@perverpeper.com

 

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