Après le fléau 51 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 51.
BJ se détendait sur son énorme lit rond recouvert de satin. La décoration était rose criard, avec des miroirs au plafond avec des néons ringards. Une vraie chambre de bordel fantaisiste. Son plateau repas terminé était sous ses sous-vêtements et ses chaussettes. Il était étendu sur le lit avec deux des plus beaux jeunes gens du monde.
Diana était vêtue d’un ensemble de lingerie le plus sexy qu’il ait jamais vu ; un mini soutien-gorge dont ses seins parfaits débordaient (comme des ananas qu’on aurait voulu maintenir en équilibre dans deux cuillères à café, aurait dit son père) ; et une petite culotte d’un type qu’il n’avait jamais vu auparavant. Ça s’appelait un "Ouvert" lui avait-elle dit lorsqu’il lui avait demandé. En vieux Français. L’entrejambe était fermé par un lacet à travers lequel BJ pouvait entrevoir son sexe déborder occasionnellement. À l’origine, ça permettait aux prostituées et aux Maîtresses Françaises d’avoir des rapports sans avoir besoin d’ôter leur petite culotte.
Diana avait 25 ans et venait de se marier. Elle avait des cheveux noirs brillants, des yeux bleus, des lèvre pulpeuses, des dents parfaitement blanches et ses mensurations étaient 38D – 22 – 34. Elle était étendue à côté de lui et faisait courir ses doigts le long de ses jambes, jusqu’à mât de tente que formait son érection à travers son slip maculé de sécretions jaunes.
Don était nu, entièrement nu, car BJ avait autorisé qu’on lui enlève sa cage de chasteté. Il était prosterné au-dessus des pieds de son Maître, frottant son nez et son visage contre ses chaussettes rendues rigides par la transpiration.
« Respire plus fort, je veux t’entendre… Bien. Maintenant lèche et suce, aspire tout le jus que tu peux avaler. »
Le mari de Diana avait 26 ans, seulement un an de plus que BJ, mais physiquement son contraire. C’était un ancien surfeur, avec des cheveux couleur paille, un sourire éblouissant et des tablettes de chocolats en guise d’abdominaux, pour une taille d’1m 80.
« Enlève ma chaussette, mon garçon. » Exigea BJ.
Précautioneusement, avec révérence, Don ôta la chaussette odorante, dénudant le pied sale aux ongles longs et incrustés de son Maître. Même de sa place, BJ pouvait sentir sa propre odeur qui rappelait celle d’un vieux fromage irrespirable. Il agita ses doigts de pieds.
Il y avait encore des marques jaunes et brunes visibles sur le dos et les fesses de Don, qui avait certainement aidé à le convaincre d’obéir à tous les ordres qu’on lui intimait.
« Lèche. » Ordonna BJ.
Il fit un sourire lubrique à Diana. Son mari était entrain de sucer son gros orteil. Il tendit la main vers sa nuque et la força à s’abaisser sur son bas-ventre.
« Enlève-moi mon slip… » Il marqua une pause. « Avec tes dents. »
Tout aussi obéissante que son mari, elle s’acquita de sa tâche avec vénération. Elle attrapa la ceinture élastique du slip entre ses dents et tira délicatement, jusqu’à ce que la bite surgisse comme un ressort de sa prison de tissu.
La même queue qui avait baisé Mme Evans, été sucée par Joelle et avait abusé de douzaines d’autres, sans avoir vu de savon ni d’eau depuis un long moment.
« Regarde-moi. » Dit-il.
Il adorait son beau visage sur lequel s’affichait une expression de dégoût, de haine, de frayeur et de soumission. Elle eut un léger haut-le-cœur.
« Allez, ma belle. Au travail. »