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Après le fléau 33
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chaptire 33.

Brutus sourit à son invité de la "Grande Alliance Américaine".
Le continent Américain avait été divisé en deux. Malheureusement, ils étaient un peu arriérés. Chez eux, l’esclavage était restreint par une charte qui interdisait l’exploitation sexuelle des esclaves Américains. En conséquence, l’industrie du porno avait inéxorablement dut s’exporter vers l’Europe, d’une part pour des raisons financières et d’autre part à cause des goûts du public. Les prix y étaient moins élevés car l’Amérique devait payer les prestations des acteurs et des actrices, ce qui permettait aux Européens de casser les prix des Dvd et des séries télévisées Américaines. De plus, les vidéos Américaines devaient certifier le consentement des artistes, même s’ils faisaient ça pour de l’argent. Au contraire, les productions Européennes n’étaient sujettes à aucune limitation et les consommateurs les plebiscitaient à l’aide de leur porte-monnaie.

« Encore du café ? » Demanda Brutus.

Ils étaient assis dans la gallerie vitrée, au-dessus du Studio 3. Sous leurs pieds, une scène du "Retour des envahisseurs de foyer" était en plein tournage. Ca paraissait réaliste car tout l’était.

« Ouais, certainement. » Répondit l’Américain.

Il était aproximativement du même âge que Brutus. Personne ne connaissait son vrai nom et il se faisait appeler "Le Rhino". Certains disaient que c’était à cause de son nez épais et charnu, qui avait été définitivement cassé deux ou trois fois. D’autres, essentiellement mais pas exclusivement des femmes, savaient que ça n’avait rien à voir avec son nez. C’était une montagne avec de longs cheveux graisseux réunis en catogan derrière sa tête.
Bidet réagit imédiatement, il se précipita pour remplir la tasse de l’invité. Personne ne fit attention à lui.

« Alors ? » Demanda Brutus en regardant ce qui se déroulait sous son siège.

Le "Rhino" lui sourit, s’enfonçant dans son fauteuil.
Le couple dont le "foyer" avait été "envahi" avait été submergé. Leurs réactions étaient naturelles car ils n’avaient été achetés qu’une semaine auparavant. Ils avaient été séparés des autres esclaves et bien traités… Jusqu’à maintenant… La promesse de liberté qu’on leur avait faite garantissait qu’ils joueraient leur rôle avec conviction devant les trente caméras qui tournaient. Certaines étaient parfaitement visibles, montées sur des bras et des trépieds, tandis que d’autres miniaturisées à l’extrême étaient dissimulées dans les murs et le mobilier. La douzaine d’envahisseurs s’était introduite dans le studio en ne concédant que quelques blessures dues aux swings du club que le mari brandissait désespérément. A cet instant, la femme avait été plaquée au sol par plusieurs hommes railleurs et subissait le premier des nombreux assauts qui allaient faire l’objet du film.
L’américain baissa les yeux sur "Cuvette-de-chiottess" qui, après avoir délicatement baissé son pantalon, le suçait respectueusement depuis le début de l’entrevue.

« Bordel ! » Dit-il. « J’adore vraiment ça. Et vous me dites que ce garçon là était réellement son mari ? »

Brutus rayonna. « Plutôt son jeune mari, je dirais. »

Le "Rhino" gloussa. « Ouais. Vous permettez ? »

« Je vous en prie. »

Tous deux se tournèrent vers Bidet. De l’index, "Rhino" lui fit signe d’approcher.

« Approche, mon garçon. »

"Bidet" posa le pot de café sur la table et s’approcha avec circonspection. "Rhino" tendit la main et toucha le petit cylindre étriqué de cinq centimètres qui contraignait douloureusement la virilité de "Bidet". Il n’y avait qu’un petit trou à l’extrémité pour permettre à l’urine de s’échapper. Il y décocha une chiquenaude, faisant trésaillir "Bidet".

« Agenouille-toi derrière ta femme et caresse ses seins pour moi. »

Réprimant une petite seconde d’hésitation, "Bidet" obéit et s’empara voluptueusement de ses petits seins. Elle l’ignora et continua à se concentrer sur sa tâche, à l’aide de sa bouche et de ses mains.
"Rhino" fit un clin d’œil à Brutus et baissa les yeux.

« Regarde-moi, mon garçon. »

"Bidet" obéit, battant humblement des paupières, les joues rouges d’humiliation.

« Tu suces aussi les bites, mon garçon ? »

Le jeune homme commença à faire non de la tête, avant de transformer son geste en acquiescement.
Devant le regard interrogateur de l’Américain, Brutus haussa les épaules.

« Un peu, » répondit-il d’un ton qui laissait clairement entendre que de toute façon, il n’en avait rien à faire.

L’américain souleva la tête de "Cuvette-de-chiottess" en la tirant par ses queues de cheval et l’écarta légèrement de son sexe. Il désigna son énorme érection luisante à "Bidet". C’était, sans aucun doute, le pénis le plus monstrueux qu’ils aient jamais vu les uns et les autres.

« A ton tour. »

Le jeune homme se pencha en avant et, pour la deuxième fois de sa vie, enveloppa une bite avec ses lèvres. Il avait brièvement sucé "Un" la veille et fit son possible pour prendre l’intégralité du gland circoncis dans sa bouche.

« Hmmm, ça c’est la vie !" Souffla-t-il en se renfonçant dans son fauteuil.

Il fixa "Cuvette-de-chiottess" dont le visage splendide ne reflétait aucune expression.

« Excusez-moi. Vous la voulez ? » Demanda-t-il à Brutus.

Brutus fit non de la tête. « Je l’ai déjà utilisée deux fois aujourd’hui. Il faut que je préserve mes forces à mon âge. »

Les deux hommes éclatèrent de rire.

« Heu… Ca vous dérange si je… Heu change de position ? »

Brutus secoua négativement la tête une nouvelle fois, ouvrant ses mains dans un geste d’offrande.

« Au fait, si je vous laissais un peu d’intimité ? J’ai quelques idées pour la suite du film que nous tournons en bas. Je reviens dans quelques minutes, faites d’eux ce que vous voulez, tout est permis, ici. Et n’hésitez pas à m’informer si ils ont la moindre réticence à obéir à n’importe quel ordre que vous leur donnerez. »

Lorsque Brutus fut parti, le "Rhino" finit d’ôter son pantalon et poussa le visage de "Cuvette-de-chiottes" contre le sol.

« Hmmm, ça me plairait beaucoup d’acheter ta femme. Mais auparavant, j’ai bien l’intention d’utiliser ce trou que la nature prétend réserver à un autre usage. » Dit-il en clignant de l’œil à "Bidet".

Il s’agenouilla derrière le dos de Lavinia et attira le jeune homme à lui.

« Lèche le trou du cul de ta femme, mon garçon ! Parce que la corne du "Rhino" va bientôt y faire son chemin. »

D’abord timidement, mais vigoureusement par la suite, "Bidet" écarta les fesses crispées de sa femme et se pencha vers elles. Avec délicatesse, il se mit à lécher les pourtours de son anus.
Fasciné, "Rhino" le regarda un court instant, puis il se pencha à son tour et manipula le tube en métal qui emprisonnait le sexe du jeune homme.

« Hé ! » S’exclama-t-il. « Mais ça t’excite, mon garçon… Regarde-moi quand je te parle. »

Bidet se détourna de sa tâche et le regarda honteusement. "Rhino" souriait.

« Dis-moi, est-ce que ça t’excite ? »

Bidet avala difficilement sa salive.

« J-je… M-monsieur… Non, Monsieur, je suis désolé, mais je suis emprisonné dans cet horrible engin depuis que je suis arrivé ici, il y a neuf jours. Je pense que… Je suis un peu frustré, Monsieur. »

L’Américain parti dans un grand éclat de rire.

« Bordel ! C’est la meilleure. Ils te verrouillent et ne te laissent même pas te masturber, hein ? »

Le saisissant par le cou, il repoussa le visage du jeune homme entre les fesses de sa femme, appuyant si fort que "Bidet" fut obligé d’agiter son visage pour s’oxygéner.

« Alors, dis-moi quel effet ça fait… De savoir que je vais bientôt cracher mon jus au fond du petit cul de ta femme adorée ? »

"Bidet" marmona une réponse entre les fesses de Lavinia.

« J-jmmm… Mmmm… C’est… Mmmm… Super… Mmmmsieur… »

« J’ai bien l’impression que ça te fait prendre ton pied. »

"Bidet" se garda bien de le contredire.

« Bien, alors prends ma bite et mets-la dans l’oignon de ta femme. Tout de suite ! »

"Bidet" rampa, à genoux, et attrapa l’organe démesuré de l’homme. Tous deux s’avancèrent jusqu’à ce que le monstre soit positionné à l’entrée de l’anus luisant de salive, mais encore crispé de Lavinia.

« Ecarte-lui les fesses au maximum. Voilà… Non, plus que ça… Bien. »

Petit à petit, l’énorme phallus força son chemin à l’intérieur du sphincter récalcitrant. "Cuvette-de-chiottess" se tortilla, couina et poussa de petits cris, mais ne se défendit pas. Sa respiration se coupa lorsque le pénis s’introduisit, centimètre par centimètre, à l’intérieur de son anus.

« Bien. Mmmm. Maintenant pousse-moi jusqu’à ce que je sois entièrement à l’intérieur. Pousse sur mon dos… »

Et lorsqu’il fut entièrement introduit, il se mit à la pistonner très lentement.

« Bordel, que c’est bon. Elle est aussi serrée qu’une pucelle. Tu devrais essayer… Oh merde, j’avais oublié qu’elle n’était que ta femme. » Se moqua-t-il.

« Maintenant, mets-toi en face d’elle et embrasse-la. Sers-toi de ta langue. C’est la moindre des choses. »

"Bidet" se positionna et fit ce qui lui était ordonné, appuyant son visage contre celui de Lavinia.
Elle gémissait doucement et les larmes noyaient son visage, tandis que le "Rhino" la défonçait en riant à gorge déployée.
Heureusement, ça ne prit pas longtemps, le souffle de l’Américain s’accéléra et ses mouvements se firent saccadés. Après une série de "Oui" saccadés et répétés de plus en plus vite, il éjacula à grands jets dans les intestins de "Cuvette-de-chiottes".
Plus tard, il prendrait un stimulant et jouirait dans sa bouche. Ca devrait être une expérience assez traumatisante pour elle.

perverpeper@perverpeper.com

 

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