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Les révelations d'Ariella
précédant

Par Donatella

 

 

Les révélations d'Ariella – poèmes vécus

Ayant eu très tôt la révélation de sa nature profonde à la fois de lesbienne et de soumise, Ariella m'a révélé toutes les étapes décisives de ses expériences,  ses émois, ses peurs, ses appréhensions et ses craintes, sa honte et ses humiliations, mais aussi sa découverte des bonheurs infinis de la dévotion, de  l'abandon total et de la servitude. La richesse de cette adorable jeune femme de 23 ans mérite d'être connue. La plupart des textes proviennent d'expérience vécues. Étant moi-même une lesbienne de 46 ans et ayant reçu les confidences de cette belle petite cochonne, je les ai parfois un peu romancées pour préserver la mémoire quiétude  d'Ariella et ne pas la dévoyer trop crûment. Sa devise : "Se soumettre à quelqu'un d'inférieur à soi c'est chuter dans l'esclavage, se soumettre à quelque de supérieur à soi c'est devenir un ange".

Prière d'Ariella
Dolly la petite chienne en laisse

Les jeux éducatifs de Tante Edwige : Dolly, la petite chienne

Le deuxième soir, Ariella qui avait aimé se remémorer non sans émotion ses premiers émois sexuels en compagnie d’Yvette et la chaîne de conséquences qu’ils allaient provoqués, est venue d’elle-même s’allonger sur le canapé comme un petit animal qui appellerait sa maitresse. Non que je ne fusse jamais sa maîtresse, je suis venue m’assoir confortablement après avoir adouci la lumière du salon, et, la tête sur mes cuisses, ma petite invitée a repris là où elle s’était arrêtée. Quelle délicieuse conteuse. J’en ai été de ma culotte ! – Je vous laisse l’écouter. Donatella.

« Je n’oublierai jamais mon amie Yvette, je ne l’ai jamais oubliée complètement, loin de là. Puis, zut, moi aussi j’étais devenue grande en jouant à des jeux de grandes. Deux nuits plus tard après cet après-midi cochon, j’ai glissé, en hésitant un peu au début, ma main sur le bas de mon ventre par-dessus mon pyjama. C’était très agréable. Blottie dans mon lit, je suis passée sous l’élastique et je retrouvais les sensations que m’avaient procurées les doigts d’Yvette sur ma peau frémissante. Mais cette fois c’était moi qui me caressais. Doux, moelleux, duveteux, tiède, j’effeuillais toutes les sensations, mais aussi honte, peur, interdit, coquine, dégoûtante même ; tout ça aussi me transportait ailleurs. Je pleurais alors que mes doigts apprenaient à séparer mes petites lèvres comme l’avait fait Yvette. Quand j’ai découvert comme par hasard ma petite perle, j’ai tout oublié. C’était trop merveilleux. Puis les jours suivants, c’est devenu comme une petite cérémonie de nuit, la mienne – ça l’est encore aujourd’hui : je me caresse en convoquant dans mon imagination tel ou tel souvenir.

Sûrement que toutes les filles ont fait cette même expérience avec plus ou moins de honte Certaines n’ont pas osé, même si elles en avaient follement envie, d’autres n’ont jamais pensé qu’en se touchant elles obtiendraient un certain plaisir. Mais en moi, c’était très fort parce que j’étais comme tombée amoureuse d’Yvette, enfin pas vraiment, mais j’aurais tout fait pour qu’une autre fille recommence à se servir de moi. Quand on est toute jeune, quand c’est la première fois qu’on ressent une attirance obsédante on s’en moque, personne ne peut s’en douter et aimer une fille ou un garçon c’est pareil. On avait fait ça en cachette, mais en moi c’est tout simplement bien, très très bien même. À cette époque, je vivais avec ma tante. Mon père étant diplomate et ma mère archéologue au Moyen-Orient, ils ne pouvaient pas s’occuper de moi. Ils étaient exceptionnellement là (juste le jour où Yvette m’apprenait à devenir grande….) C’est ma tante Edwige, la sœur de maman, qui m’a élevée. Je dois dire qu’Edwige est extrêmement jolie, cultivée (elle enseigne à la Sorbonne) Elle reçoit beaucoup, mais presqu’exclusivement des femmes, la plupart profs comme elle ; chacune vient le plus souvent accompagnée d’une jeune étudiante, pas toujours la même. Parfois tantine organise dans son manoir de Normandie des soirées « féminines ». Il arrive qu’une de ses étudiantes vienne à la maison pour approfondir « ses travaux universitaires » et presque toujours elle dort ici….

Très élégante la journée, le soir Edwige se libérait vite de ses tenues bcbg de professeur de philosophie, elle s’habillait d’un simple débardeur trop large pour tout vêtement qui lui couvrait à peine les fesses et dévoilait parfois sa culotte et la naissance de ses seins ; mais  elle était très décontractée. Je la trouvais très sexy. Son soutien-gorge valsait dès son arrivée. Blonde, elle défaisait son chignon et remettait ses cheveux en bataille tenus par une grosse pince ou un grand crayon sur le haut de la tête, lui dégageant le cou où quelques longs cheveux un peu sauvages avaient échappé à son geste rapide. Elle était encore plus jolie, sans aucun complexe. Franchement j’ai toujours été sous son charme. Je voulais lui ressembler quand j’aurai son âge. Elle était mon modèle de femme. Savoureuse, elle m’adorait. Elle ne m’a jamais fait d’avances, j’étais la fille de sa sœur, donc… Mais moi, j’en étais tellement folle que je l’épiais parfois dans la douche ou essayais de lui chiper ses culottes avant qu’elles valdinguent dans la panière à linge. Tantine sentait toujours très bon, elle mettait beaucoup de soin à choisir ses parfums. D’ailleurs dans son luxueux appartement en duplexe il y  avait toujours partout une douce odeur. Elle portait beaucoup de strings et ses odeurs chaudes de femme me faisaient complètement chavirer. Même que parfois sa culotte était humide. Mais même sa peau sentait tout le temps bon, je m’en souviens comme si c’était hier.

Quand mes petits seins ont poussé mes grosses aréoles en forme de chapeau chinois se terminaient par des tétines déjà proéminentes, carrément disproportionnées et très indécentes. Tantine, qui elle, entrait tout naturellement dans la salle de bain quand je faisais ma toilette toute nue, m’en fit la remarque : « Bientôt, une vraie petite femme, ma chérie ! » Je crois bien que j’en ai rougi et instinctivement j’ai posé une main sur chaque petit néné pour me cacher. Edwige eut un rire mi-amusé mi-sarcastique. J’ai cru qu’elle se moquait de moi. J’étais pivoine. J’avais très honte car j’étais loin d’être une femme bustée et j’avais peur de ne l’être jamais, surtout qu’elle, elle n’hésitait pas le matin pour prendre son petit déjeuner les seins nus  Elle avait une magnifique poitrine, bien ronde, la peau toujours un peu bronzée, avec des aréoles pas trop foncées. Certains matins, était-ce à cause de ses rêves ou d’un léger courant d’air, ses pointes sortaient, dures, rondes comme de belles framboises bien mûres. Comment ne pas avouer que je restais médusée devant tant de beauté ? J’aimerais tellement un jour téter une dame avec des tétons si jolis…

Edwige prenait très au sérieux mon éducation ; elle considérait que c’est dans le jeu qu’on se développe le mieux, aussi bien mentalement que physiquement. Elle m’a toujours consacré beaucoup de temps et nous jouions tout le temps quand nous étions ensemble, on faisait plein de compétitions en tout !! On riait beaucoup. Elle était farceuse, je ne l’étais pas moins. Quand elle constata que ma petite poitrine commençait à pousser tout doucement mais sensiblement, elle opta pour d’autres jeux. On ferait désormais essentiellement des jeux de rôle. Des jeux de rôle ?  « Ma chérie, on va commencer aujourd’hui des nouveaux jeux. Tu serais ma petite chienne et je serais ta maîtresse ». Pourquoi pas, ce serait drôle, surtout qu’Edwige était pleine d’imagination. « Tu es Dolly la petite chienne de Madame Edwige, ou plutôt de Maîtresse Edwige  ».  Quel choc ! Mais elle dit ça avec un tel aplomb et avec un si beau sourire que c’était sans appel,  de toute façon j’étais confiante, aussi confiante qu’innocente. Elle avait conservé le sourire espiègle des filles coquines. « Ma puce, une chienne ne porte ni robe, ni tee-shirt, encore moins des chaussures, alors je te demande d’enlever tout ça. Moi, ta maîtresse je vais remettre mon tailleur et je vais chausser des escarpins, comme ça, ça fera plus vrai. »  Je souriais, je trouvais ça plutôt rigolo. Je me déshabillai, pendant qu’elle, elle se changeait dans sa chambre en dame très bcbg. Quand elle apparut dans le grand hall de l’appartement, en tailleur, droite comme une vraie maitresse de lévriers comme les dames des beaux quartiers de Paris comme à Auteuil où nous habitions à l’époque,  je me suis sentie terriblement petite, très impressionnée. Elle habillée pour sortit et moi presque nue. Quel jeu bizarre ! « Tu as déjà vu une petite chienne en culotte ? » … Je baissai la tête, un peu honteuse surtout que quelques poils remplaçaient en désordre mon duvet de jeunette, je me penchai pour faire glisser ma culotte imprimé de petites fraises, et me retrouvai toute nue. Je ne me mettais toute nue que sous la douche, mais là dans la maison c’était très étrange. J’étais pleine d’interrogations.

J’ai croisé mes bras sur mes nouvelles protubérances mammaires (un grand mot pour si peu de chose !). « Montre que tu es une jolie petite chienne, ma chérie. Montre tes petites pointes ; on les voit qui pendent sous les chiennes, non ? Alors laisse-les voir ! » C’était trop dur. Non seulement j’avais honte d’être nue comme un ver, mais j’avais horriblement honte devant la si sublime poitrine que j’admirais tous les matins. « Ariella, Approche-toi ». Je suis restée figée. « Qu’est-ce que j’ai dit ? » répliqua-t-elle. Cette fois le jeu commençait à ne plus me plaire… Jamais Edwige ne me parlait jamais sur ce ton. Je la regardais en levant des yeux implorants. « Oh, non tantine chérie, je n’ai pas envie de jouer à ça, s’il te plaît ». Elle me sourit avec son sourire à la fois merveilleusement tendre et affectueux, et insidieusement animé d’une certaine perversité  Ma résistance l’amusait beaucoup. Elle se montrait autoritaire, comme une femme qui veut obtenir quelque chose de sa chienne. « Dolly, va être très sage, sinon c’est un petit coup de cravache ».  Ohhh, nonnnn…. Elle savourait ce moment qu’elle avait mis en scène et qu’elle attendait peut-être depuis longtemps, sachant que la poussée de mes seins me rendrait bien plus sensible, bien plus craintive aussi, donc plus excitante à ses yeux. Sans mes grosses tétines ce jeu n’aurait eu que peu d’intérêt, mais là l’humiliation pouvait opérer. Tantine, en tant qu’experte en la matière, savait parfaitement qu’il était temps que pour devenir une parfaite adolescente je devais connaître les affres de l’humiliation. Convaincue que c’était pour mon bien, (et pour son plaisir !) surmonter la honte était une étape décisive de l’éducation d’une petite femme en formation.

Et je peux vous dire que l’humiliation allait opérer. Edwige alla dans sa chambre et revint avec un collier et une laisse – qu’elle utilisait avec ses petites soumises. Elle posa bien en évidence sur la table basse, sa cravache habituelle. Elle en avait toute une collection au manoir ; celle-là avait du servir un soir, peut-être avec cette étudiante blonde qui regardait ma tante avec une cupidité outrageante. « Viens-là petite chienne. Lève la tête ? » Elle me mit un collier de chienne. Il a suffi de ce collier de cuir pour que tout d’un coup je me sente chienne. Incroyable, vraiment ! Il faut avoir vécu ça pour le savoir. C’est instantané, comme l’habit fait le moine,  « le collier fait la chienne », et docile de surcroît. Tantine était en train de gagner. Elle y attacha une belle laisse de cuir et sans plus attendre, mais sans aucune violence, elle me dit : « Maintenant, ma chérie, tu vas te mettre à quatre pattes et tu vas suivre ta maitresse. Tu ne verras que les talons de mes escarpins et mes jambes jusqu’aux genoux. Ne cherche pas à résister, sinon je tire sur la laisse ». J’avais beau avoir été stupéfaite de me sentir chienne avec ce collier,  le naturel revenait au galop : je pleurais à chaudes larmes, ne pouvant les essuyer, elles tombaient sur le sol et faisaient des marques rondes sur le plancher.

De temps en temps, Tantine s’arrêtait, se retournait, et ironisait « Alors, elle aime se promener la petite chienne, hein, petite Dolly ? Elle aime suivre sa maîtresse… Elle aimerait bien voir sous sa jupe, n’est-ce pas petite cochonne. Tu aimerais bien voir si j’ai remis une culotte, tu aimerais voir ma culotte blanche bien tendue sur mes fesses, et savoir si je porte ou non un porte-jarretelles, j’en suis sûre. Et bien non, en tout cas pas tout de suite. Une chienne est attirée par les odeurs intimes de sa maitresse, mais une bonne chienne est une chienne bien dressée. Elle doit savoir renoncer à ses envies et ne les assouvir que lorsque sa maîtresse lui en donne le droit. Ce n’est pas parce qu’on a des nénés qu’on a tous les droits. » Elle se pencha et me caressa le dessus de la tête comme si j’étais vraiment un chienne. « Douce, douce… elle est douce la petite chienne à sa maitresse… Elle n’aurait pas envie de faire pipi par hasard ?... »  Rien de plus humiliant, tout était humiliant d’autant que j’adorais celle qui jouait si bien à me rabaisser. Je ressentais une boule dans la gorge, une sorte d’angoisse. Ne plus exister, c’est atroce, mais c’est si atroce que je trouvais qu’il y avait quelque chose d’affreusement agréable : je quittais ma volonté, ou plutôt ma volonté m’était totalement confisquée. Avec un sourire auquel Edwige ne s’attendait pas et les yeux pleins de larmes je levai ma tête, l’enroulant autour de son poignet pour accompagner sa main qui me caressait, elle flatta ma joue et comme elle l’aurait fait à une vraie chienne, elle a passé le côté de sa main entre mes dents. Je l’ai léchée au passage. Malgré ces émotions, mes genoux me faisaient mal. Mais ce n’était pas moins dur d’entendre ces phrases qui ne s’adressaient pas directement à moi ; où elle ne disait pas « tu » mais « elle »  L’impersonnel me supprimait en tant que personne, tout au plus spectatrice de ma pauvre condition de chienne. Ce jeu frôlait la cruauté, je ne sais pas si Tantine se doutait de la perte que je ressentais. Mais de savoir que c’était elle qui avait voulu ce jeu et le dirigeait me redonnait courage et je me plongeais dans la docilité qu’elle voulait – « pour ton bien , avait-elle dit. C’est ça devenir une vraie femme, ma chérie ; ce n’est pas apprendre la couture et la cuisine, s’occuper des garçons et passer pour une petite fille modèle  Je veux beaucoup plus pour toi ; Tu le mérites mais il te faudra être très obéissante. Si tu l’es les peurs que tu auras te seront utiles, tu les traverseras, si tu ne l’es pas tu enrailleras toute ton éducation et tu seras très malheureuse. Tu me comprends, n’est-ce pas ? Je t’aime tellement, ma chérie que je te veux exceptionnelle. »

Quand elle s’enquit de savoir si j’avais envie de faire pipi elle eut un geste qui me scandalisa. Je ne l’aurais pas crue capable de faire ça, elle est passée derrière moi. « Ecarte tes genoux, petite Dolly ». Impossible de ne pas obéir, mes fesses auraient probablement souffert. Elle se baissa er avait la vue sur toute mon intimité. Elle passa son doigt entre mes lèvres. « Mais on dirait qu’elle ne déteste pas tant que ça d’être la chienne à sa maitresse, hein Ariella ? C’est très bien, ça ; Hummm… »  Toutefois, elle n’en profita pas pour exciter ma petite vulve, il est vrai, plutôt humide. Par contre elle avait du laisser un genou à terre et relever l’autre, sa jupe de tailleur s’était remontée très haut, et en un clin d’œil j’ai vu dans l’ombre de sa jupe, ou plutôt je n’ai pas vu dans l’ombre de sa jupe le triangle blanc que je croyais trouver, mais une chatte nue dont les poils brillaient. Quel éclat dans tout mon corps ! Elle ne s’aperçut pas de mon voyeurisme et continua car elle avait un autre projet ; titiller mon petit trou à pipi. « Il y a quelques gouttes là. Tu vas te retenir. » Elle se releva, reprit la laisse et me tira jusqu’à la salle de bain. Quelles belles fesses ! Elle m’approcha du bac à douche. « Allez, c’est là qu’on va faire son gros pipi…..Tu sais comment ça fait pipi une petite chienne, ce n’est pas comme les chiens, elle ne lève pas la patte, tu aimerais bien, petite fille, lever ta patte ? Et bien non, les chiennes s’accroupissent en écartant largement leurs cuisses de femelle. Allez, vide-toi, mon ange adoré. Tu es sublime ainsi, toute nue, petite figue ouverte d’où jaillit ta petite fontaine, chapeaux chinois tendus, les yeux mouillés. (…) ça y est ? C’est fini ? On a fait son gros pissou ?  Viens que j’essuie ta petite chatte de petite chienne !! Tu es toute une ménagerie à toi toute seule, n’est-ce pas ma poulette ! » Elle ria avec bonheur. « Je t’aime mon petit amour ».  Elle passa un peu d’eau sur les traces de mon pipi dans le fond du bac à douche, puis me traîna jusqu’à la cuisine. Elle prit un sucre et me demanda de faire la  belle. J’ai eu le droit de m’assoir à genoux sur mes fesses et elle me faisait m’étirer au maximum en tendant ma langue pour attraper le sucre. Elle riait, riait, ça l’amusait de me voir désespérée, n’ayant qu’un seul but, attraper ce sucre qu’elle  retirait sans cesse quand je risquais d’y arriver. Et dire que je me prêtais à un tel jeu. Il faut dire qu’Edwige prenait visiblement tellement de plaisir à exercer sur moi tout son pouvoir – d’éducatrice certes, mais aussi de lesbienne perverse, même si elle ne m’a jamais considérée comme sa soumise, mais sa petite nièce chérie. .

« Voilà, maintenant la petite Dolly va aller se coucher dans sa niche, on rejouera avec elle dans quelque temps. Tu es d’accord Ariella ? ». Et bien, même si j’avais ressentie pour la première fois les effrois de l’humiliation, j’étais très heureuse, je peux même dire heureuse comme jamais. En fait c’est vrai que ma vulve s’était recouverte de ma jeune crème de fille, ça voulait dire que j’ai en fait beaucoup aimé ce traitement. Est-ce que ce qui venait de se passer voulait dire qu’Edwige avait envie de développer une complicité de domination sur sa petite nièce ? La réponse est : non. En revanche, elle entendait bien faire évoluer ces « jeux éducatifs ». Ayant pris conscience qu’avec mes seins ma vie sexuelle d’adolescente prenait un nouveau tournant,  elle allait inventer d’autres jeux qui me feraient faire des pas de géants dans le développement de ma libido. Grâce à Edwige, j’ai commencé à apprendre puis à admettre quelle fille j’étais – quelle fille je suis – et à savoir vers quels plaisirs me diriger pour exprimer mes talents particuliers... Mais cela supposait d’autres exercices et Edwige n’avait qu’à puiser dans sa panoplie de jeux prétendument éducatifs pour contribuer aux développements particuliers de la petite cochonne vicieuse qui vivait en moi et que j’allais devenir »

(à suivre).

 

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