Une gourde bien remplie (2) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Peu après son arrivée au pensionnat, la jeune Coralie est examinée en détail par l'infirmière, et la pudeur de la nigaude va être mise à rude épreuve.
Chapitre 2
Sylvie prit tout son temps pour manger à la cantine du personnel, discutant de choses et d'autres avec ses collègues, et quand elle retourna à l'infirmerie, elle trouva Coralie qui l'attendait devant la porte, tête baissée, se tordant nerveusement les mains, le visage bouffi de larmes. Pour elle, le repas n'avait pas été désagréable, il avait été atroce. D'abord, le fait de ne pas porter de culotte pour la première fois de sa vie, la gênait énormément. Cela la mettait très mal à l'aise de se sentir nue sous sa jupe qui pouvait se relever, et alors... Ensuite, elle dut subir les moqueries habituelles de ses camarades : son air gourdasse blondasse semblait les attirer. Des vannes plurent, du genre : "T'as vu comme elle est fagotée aujourd'hui, la nigaude ?" Hélène, jamais en reste pour les vacheries suggéra même : "Si ça se trouve, elle n'a pas de culotte sous sa jupe à la con ?" Coralie, blêmit, rougit, passa par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, baissa le nez dans son assiette. Si cette idée d'Hélène avait été lancée dans un coin plus discret que le réfectoire, ces charmantes jeunes filles auraient peut-être voulu vérifier que leur tête de turc habituelle avait vraiment le cul à l'air, mais elle se contentèrent de chantonner :
- Elle n'a pas de culotte, elle n'a pas de culotte ! Jusqu'à ce qu'une des surveillante élève la voix pour rétablir l'ordre !
Mais la chansonnette continuait à résonner dans la tête de Coralie qui se demandait si elles avaient dit ça par hasard ou si tout le monde savait qu'à part sa jupe, elle était toute nue de la taille aux genoux, et instinctivement elle serra les cuisses. Certes, elle ne souhaitait pas se rendre à l'infirmerie, redoutant ce qu'elle aurait à y subir, mais elle savait aussi qu'elle ne pouvait se dérober. Dans les couloirs, son absence de culotte lui pesa encore plus et n'arrangea pas sa démarche habituelle, déjà loin d'être élégante : crispée, elle marchait en serrant les fesses et les cuisses.
Et Coralie, en guise de digestif, subit son premier lavement. Auparavant, elles étaient passées par la chambre qui lui était réservée, toute simple, avec un lavabo, du linge de toilette, un savon, une brosse à dent et du dentifrice. Sur la table, elle vit des objets qui l'effrayèrent : un martinet, une cravache, un fouet tressé au manche assez court, et, totalement incongrue, une raquette de ping-pong ! L'infirmière lui avait ordonné de s'allonger à plat ventre sur le lit étroit, lui rappelant qu'elle était ici également pour être punie et par crainte des représailles, elle avait obéit. Elle sentit l'air frais sur ses cuisses et ses fesses quand on retroussa lentement et largement sa jupe par derrière, la découvrant des pieds à la taille. Alors l'infirmière lui posa une main sur les reins, leva l'autre et l'abattit sur ses fesses nues. Elle reçut une longue fessée qui se poursuivit au martinet. Quand la fustigation de ses fesses et de l'arrière de ses cuisses cessa, elle était en larmes et s'imaginait naïvement que la correction était terminée : pas du tout ! Elle comprit alors, et à ses dépens, l'usage de la raquette, alors que celle-ci claquait avec un bruit clair et joyeux en plein milieu de son derrière ! Pendant un moment, elle fut ainsi corrigée, la raquette tombant tantôt sur une fesse, tantôt sur l'autre, ou sur l'une de ses cuisses, aplatissant la chair rebondie, avant d'y laisser une large marque circulaire et rouge, la faisant hurler à chaque fois. La pauvrette sanglotait, hoquetait de douleur et de honte. Brisée, elle ne résista pas quand elle sentit deux mains lui prendre les chevilles pour lui écarter les jambes au maximum. Elle resta ainsi, étalée, puis une main qui lui parût fraîche se posa sur son postérieur brûlant, trois doigts se glissèrent dans sa raie médiane, l'écartèrent et le bout de l'un vint se poser avec insistance sur son anus. Une autre main caressait l'intérieur de ses cuisses, sans qu'elle n'osât les resserrer, atteignait bientôt son sexe et elle entendit une voix goguenarde au-dessus d'elle :
- Mais tu est trempée, espèce de petite salope ! Tu mouilles comme une chienne en chaleur !
Pendant qu'elle continuait à l'insulter, le doigt glissait sans effort entre ses lèvres intimes, trouvait son clitoris, s'y fixait, le titillait. Les gémissements de plaisir se mêlèrent aux pleurs de Coralie. Elle ne savait plus où elle en était, cambrant ses reins, écartant encore plus ses jambes, pour s'offrir encore plus. Le doigt qui se planta dans son anus juste au bon moment décupla son orgasme, mais la minute d'après, la tête relevée par la main qui l'avait agrippée par les cheveux, l'infirmière lui présenta son doigt à sucer en lui disant :
- Allez, nettoie ce doigt qui sort tout droit de ton cul, petite vicieuse !
Malgré son dégoût et ses haut le coeur, Coralie s'exécuta... Sylvie la fit remettre sur le dos, lui défit la lanière de ses chaussures, lui retira ses chaussettes avec lenteur. Puis elle s'attaqua au chemisier, défaisant un bouton après l'autre tout en lui parlant comme à une toute petite fille :
- Qui est le gros bébé qui va avoir un grand lavement dans son petit cucul ? Qui est la petite fille qui ne s'est pas lavé le zizi et que je vais bien nettoyer entre ses cuisses et entre ses grosses fesses ?
Le chemisier tomba, puis le soutien-gorge et Coralie se tenait debout sur ses tout petits pieds nus, uniquement vêtue de sa jupe, quand on frappa à la porte. Aussitôt, comme l'infirmière disait d'entrer, la jeune fille ne put s'empêcher une fois de plus, de mettre ses deux mains devant sa poitrine, ce qui, évidemment lui valut une magistrale paire de gifles ! La surveillante entra et Sylvie la renseigna sur ce qui s'était passé avant son arrivée, à la grande confusion de Coralie, surtout quand elle parla de sa virginité, et qu'elle lui dit qu'elle était allé au réfectoire sans culotte ! L'autre rit franchement. L'infirmière lui saisit fermement les bras, les lui ramena dans le dos et dit à sa collègue :
- Tu te rends compte, elle voulait nous cacher ses nichons ! Ce serait dommage, non ?
L'autre acquiéssa, tendit les mains et lui empoigna les seins, jouant avec, alternant douce caresses et pétrissage plus énergique. Elle demanda :
- Tu l'a déjà punie ?
- Oui, un peu, regarde !
Elle fit pivoter Coralie, lui releva sa jupe jusqu'à la taille. Puis la surveillante la lui retira. Et c'est toute nue, chaque jeune femme la tenant par une de ses nattes que la pauvrette fut conduite à la salle d'hydrothérapie très éclairée et bien chauffée et dont le sol tiède lui parut merveilleux après le froid des dalles du couloir qui lui faisait recroqueviller ses orteils.
Coralie se retrouva couchée sur le côté gauche en chien de fusil et la surveillante posa ses mains sur ses fesses pour les lui écarter au maximum, lui faisant un peu mal, pendant que l'infirmière remplissait une grosse poire de caoutchouc rouge surmontée d'une canule de couleur ivoire, assez fine et légèrement renflée à son extrémité. Elle sentait presque physiquement le regard des deux femmes penchées sur son derrière ouvert, faisant des commentaires blessants sur son manque de propreté. Quand elle sentit la chose dure contre son anus, elle tenta de se contracter, mais la canule bien lubrifiée s'enfonça sans difficulté entre ses fesses. Elle sursauta un peu en sentant l'eau tiède envahir son rectum alors que l'infirmière pressait la poire à deux mains. Pour arriver à vider le demi-litre qu'elle contenait, il fallut retirer la canule, chasser l'air, puis la réintroduire : ceci étant plus humiliant que douloureux. La tige quitta définitivement son petit trou et on relâcha ses fesses.
Alors les deux jeunes femme la firent attendre plus d'un quart d'heure debout, tordue de colliques, dansant d'un pied sur l'autre, en bavardant comme si elle n'existait pas ! Coralie serrait les fesses, se contractait au maximum de peur de ne pas pouvoir garder le lavement, pourtant de quantité modeste. D'ailleurs, l'infirmière l'avait prévenue :
- Si tu laisse échapper quoi que ce soit, je te le ferai lécher !
Quand la permission de se soulager vint enfin, l'adolescente était au bout de sa résistance et dut se contenter, à sa grande honte, d'utiliser la seule solution qui lui était permise : s'accroupir sur les patins assez écartés de l'une des trois cuvettes à la turque alignées le long d'un mur, absolument pas isolées du reste de la grande salle, et comportant, un comble, un miroir incliné à 45 degrés fixé juste derrière le trou d'évacuation et qui renvoyait une image très nette de ce qui était au-dessus ! Dès qu'elle fut en position, elle se mit à se vider à grand bruit, urinant en même temps sous l'oeil amusé des deux autres qui commentaient ce qu'elle voyaient dans le miroir et riaient de l'air de soulagement bestial peint sur son visage. On la laissa se vider tranquillement, puis on la poussa dans un des angles de la pièce et aussitôt, télécommandée du clavier par l'infirmière, de puissantes douches se mirent en action, orientées en tous sens : verticales de haut en bas, de bas en haut, horizontales, obliques... Sur les indications, elle se tournait, s'accroupissait pour que tout son corps soit atteint par l'eau purificatrice bien chaude, mais qui par moments devenait instantanément glacée, la faisant frissonner, claquer des dents et sa peau se couvrir de chair de poule. Puis elle fut allongée sur une table métallique tiède dont le plateau formait cuvette, les deux jeunes femmes enduisirent leurs mains de savon liquide et entreprirent de la récurer dans ses moindres replis, insistant naturellement sur ses seins, ses fesses, ses pieds. Elle lui replièrent les cuisses sur la poitrine, comme à un bébé sur la table à langer pour lui prodiguer une insistante toilette intime. On défit ses nattes, lui fit un shampooing et la renvoya sous la douche pour se rincer à fond.
Puis elles l'enroulèrent dans de grandes serviettes chaudes pour la sécher de partout, séchèrent également ses cheveux qui lui arrivaient à la taille, lui refirent ses nattes. Alors, toute propre, elles la mirent sur une des tables, lui replièrent les jambes et se penchèrent ensemble sur son entrecuisse en disant gaiement :
- Notre bébé est maintenant bien propre, il sent bon, on a envie de l'embrasser !
Elle le firent, et pas qu'un peu : leurs bouches allaient des fesses à la fente, de l'anus au clitoris de Coralie qui protestait mollement :
- Non, non... je vous en prie... ce n'est pas bien...
Ce qui ne l'empêcha nullement de jouir en criant sous ces deux langues agiles.
Coralie eut peur quand l'infirmière lui montra la canule qu'elle avait l'intention de lui enfoncer dans l'anus : très nettement plus longue et plus grosse que la précédente. Elle protesta un peu, dit qu'elle aurait mal, que ça ne rentrerait jamais, etc, ce qui les fit bien rire. Elles la disposèrent comme il convenait à genoux, jambes écartées, en appui sur ses avant-bras, le postérieur plus haut que la tête, ses gros seins pendant sous sa poitrine. Coralie sentit une fraîcheur agréable entre ses fesses puis un doigt massa doucement son anus, y pénétra, ressortit, revint, tourna. Elle sentit son petit trou se détendre, s'ouvrir. Au bout d'un moment l'extrémité en forme d'olive de la canule remplaça le doigt entre ses fesses et pesa sur son anus. La pénétration du bout renflé lui fit mal, mais ensuite cela fut moins dur mais assez long : elle se demanda combien de temps allait durer cette intromission, imagina jusqu'où la sonde remontait dans son ventre. Les 25 centimètres de tube introduit, l'infirmière en raccorda l'extrémité libre à la machine puis au clavier tapa les commandes pour un débit assez lent, eau chaude, deux litres et lança le cycle.
Le ventre de Coralie mit assez longtemps à absorber toute l'eau prévue, moment que les deux autres mirent à profit pour lui donner de petites fessées pas très méchantes, lui palper les nichons ou lui branler le clitoris !
À nouveau la cérémonie humiliante et à laquelle elle ne s'habituait pas, de la restitution du lavement. Nouvelle toilette intime soigneuse, puis vêtue d'un peignoir et chaussée de babouches en éponge, on la ramena à sa chambre. À nouveau elle fut embrassée entre les cuisses, on lui enfila une chemise de nuit toute simple en coton blanc, on lui brossa énergiquement les dents, on la coucha et la borda. Au moment de quitter la chambre en éteignant la lumière, l'infirmière lui dit une chose qui la fit frémir :
- Dors bien, mon gros bébé, car demain nous reprenons les lavements et ta punition. Sois bien sage, et si tu as un petit besoin, ou un gros, sonne, je viendrai !
Le lendemain matin, quand l'infirmière ouvrit la porte de la chambre de Coralie pour lui apporter le plateau du petit-déjeuner, elle comprit immédiatement, à l'odeur, ce qui s'était passé : la petite conne avait fait pipi au lit, et pas qu'un peu ! Elle posa doucement le plateau et contempla le tableau qui lui était offert pendant quelques instants : Coralie dormait profondément, couchée sur le côté droit, tournant le dos à la porte, suçant son pouce. Dans son sommeil, elle avait repoussé draps et couverture qui ne recouvraient que le bas de sa jambe droite, la gauche étant repliée au-dessus. De même, la chemise de nuit avait remonté, découvrant presque entièrement ses grosses fesses blanches trempées d'urine, ainsi que ses cuisses, le bas de la chemise, les draps ! Son bras gauche passé derrière son dos dans une pose abandonnée, elle avait le médius enfoncé dans l'anus et baignait dans sa pisse. Sans faire le moindre bruit, l'infirmière sortit de la chambre pour aller chercher la surveillante.
Les deux jeunes femmes revinrent à pas de loup et trouvèrent Coralie toujours endormie dans la même position. Le réveil de la jeune fille fut des plus brutal : il est vrai que le fouet à longue lanière tressée qu'avait saisi la surveillante ne manqua pas la magnifique cible que faisait le gros fessier découvert ! Le deuxième coup ne se fit pas attendre, et de son côté, l'infirmière qui s'était saisie du martinet n'y allait pas de main morte, faisant claquer les lanières de cuir sur la peau humide. La pauvre Coralie se recroquevillait, se tournait dans tous les sens pour échapper aux coups, mais sans grand résultat. Tout en la frappant, elles l'engueulaient :
- Espèce de sale petite pisseuse ! Tu ne pouvais pas sonner, non ? Tiens, prends ça sur ton gros cul pisseux !
Puis on lui frotta le visage dans son urine, sans cesser pour autant de lui fustiger le derrière. La pauvre priait, suppliait, pleurait, hurlait même parfois quand une lanière se faufilait entre ses cuisses, venant frapper une zone particulièrement sensible, comme son clitoris ou son anus. Puis les deux furies l'attachèrent dans une position bien inconfortable à l'aide de cordelettes : ses poignets furent tirés vers le pied du lit cependant qu'on lui relevait les jambes en V pour fixer ses cheville très écartées à la tête du lit ! Ses fesses ne touchaient plus le drap et son sexe était quasi horizontal. Elles lui claquèrent ainsi le minou à la main et au martinet, puis pour changer, la masturbèrent : pendant que l'une titillait son clitoris d'un doigt dégoûté, l'autre en faisait aller et venir l'un des siens dans son anus. Chose incroyable, Coralie jouit ainsi trois fois, pleurant, appelant sa mère, qui entre parenthèse aurait sans doute été amusée de la voir dans cette posture !
Coralie avait été laissée un bon moment dans cette pose inconfortable, baignant dans son urine, et quand elle avait été délivrée, cela avait été pour être traînée par ses natte jusqu'à la salle d'hydrothérapie, encore trempée dans sa chemise pisseuse. Là, traitée comme un bébé, elle avait été lavée, brossée, peignée, masturbée aussi. Ensuite on l'avait autorisée à se rhabiller, moins la culotte, bien sûr. Ensuite elle avait dû défaire son lit, fourrer la literie, sa chemise de nuit et sa culotte dans un sac à linge à roulettes et amener le tout à la lingerie : quelle honte !
Assise au réfectoire au milieu de ses camarades, elle n'était pas du tout à l'aise et gardait le visage baissé, le nez dans son assiette. Certes, cette fois elle n'était pas à poil sous sa jupe, puisque à la place de sa culotte sale, on lui en avait donné une toute propre qu'elle s'était empressée d'enfiler, mais son passage à la lingerie avait dû faire le tour de la maison, et voyant ses compagnes la regarder en ce poussant du coude, elle devina qu'elles se murmuraient que "la nigaude a pissé au lit !"
À force d’être lavé, essuyée, caressée là, elle sentait ses petites lèvres et son clitoris gonflés et irrités, ainsi d'ailleurs que son anus. En plus, inexplicablement, elle sentait son sexe très humide, et se demanda ce que dirait l'infirmière si elle mouillait ainsi sa culotte ? Car elle était convoquée à l'infirmerie après le repas et, vu ce qui s'y était passé jusqu'ici, elle n'avait aucune illusion : on n'allait pas la laisser toute habillée ! De penser à ce qu'elle avait subi depuis la veille, le rouge lui monta aux joues et elle se sentit brûlante entre les cuisses. Que lui réservait cet après-midi ? Mystère... Elle haussa les épaules fataliste : elle verrait bien, après tout...
Elle frappa, attendit qu'on l'y invite pour entrer, puis sur un signe s'assit face de l'infirmière qui lui demanda gentiment :
- Tu as bien mangé, gros bébé ?
La gorge trop nouée pour répondre, Coralie se contenta d'un hochement de tête. Sur le plateau du bureau étaient posés la cravache et un gros tube de vaseline, mais c'est le troisième objet qui intrigua fortement la jeune fille : creux, en plastique dur et transparent, de vingt à vingt-cinq centimètres de hauteur. La base, posée sur la table, mesurait 6 ou 7 centimètres de hauteur et était cylindrique ; au-dessus, il y avait une sorte d'étranglement en forme de gouttière circulaire de 2 centimètres de haut ; encore plus haut, l'objet formait un cône assez allongé dont la partie touchant la gouttière était aussi large que la base, et qui se terminait en une pointe très arrondie percée d'un trou plus gros que le doigt. D'autres trous perçaient la surface du cône, vers sa pointe. L'infirmière lui tendit l'objet qu'elle saisit maladroitement, sans aller, toutefois jusqu'à le laisser tomber et le tourna dans ses mains de façon dubitative, surprise par sa légèreté par rapport à sa masse, le poli parfait et la dureté du plastique. À quoi pouvait bien servir ce truc, se demandait-elle ? La réponse lui vint de l'infirmière :
- Tu tiens en mains une sonde qui sert pour le rinçage en profondeur du rectum et de l'intestin. Qu'en penses-tu ?
En fait, elle ne pensait pas à grand-chose, ouvrant des yeux comme des soucoupes, se disant avec angoisse : "Non, elle me fait marcher, elle veut me faire peur ! Elle n'a tout de même pas l'intention de m'enfoncer ce machin énorme dans le derrière ?" L'extrémité la plus fine était déjà plus grosse que son pouce, et si elle arrivait difficilement à faire le tour entre pouce et médius de la partie la plus étroite, c'était hors de question au niveau de la base et de la partie la plus large du cône ! Comme si elle avait lu dans ses pensées, l'infirmière lui confirma ses pires craintes :
- Je vais mettre cette sonde en place dans ton anus, puis, en salle d'hydrothérapie, je te brancherai sur la machine qui te nettoiera en profondeur !
La pauvre Coralie reposa l'objet sur le bureau comme si tout à coup, il était devenu brûlant. Elle regarda la jeune femme, les yeux remplis de larmes, se tordant les mains de désespoir :
- Par pitié, je vous en supplie ! D'ailleurs, ça ne pourra jamais rentrer dans mon derrière !
- Tu paries ? Je t'assure que ça va rentrer, même si ton cul éclate, petite gourde ! Allons, nous avons assez perdu de temps : déshabille-toi entièrement et allonge-toi à plat ventre sur cette table. et Plus vite que ça, petite conne !
Ce disant, sa main s'avança vers la cravache et Coralie, la mort dans l'âme, jugea inutile d'insister et se déshabilla rapidement, quoique sans grâce. Quand elle n'eut plus sur elle que sa culotte "petit bateau", du même modèle que celle de la veille, l'infirmière lui fit signe d'approcher et la lui retira elle-même, la porta à ses narines en disant :
- Bon, c'est quand même mieux qu'hier ! Par contre, tu as l'air de mouiller comme une bonne petite salope : il faudra qu'on voie ça de plus près !
Et Coralie se retrouva le ventre sur un gros coussin qui lui relevait le postérieur, écarta largement ses jambes comme il lui était demandé et essaya de ne pas se crisper, car l'autre lui avait précisé :
- Tu as intérêt à relâcher ton gros cul de pisseuse, à moins que tu ne préfères que je te l'ouvre à la cravache ?
L'infirmière posa le tube de vaseline et la sonde sur la table, entre les cuisses de sa patiente et se mit au travail. Elle massa longuement le petit trou entre les fesses écartées par la position, y enfonça un doigt, le fit aller et venir, tourner, sans lésiner sur la vaseline. Peu à peu, l'oeillet de Coralie se détendait, se dilatait. Un deuxième doigt put bientôt la pénétrer sans difficulté. Alors l'infirmière entreprit de lui dilater l'anus, tournant ses doigts, les écartant au maximum, la faisant gémir de douleur ? de plaisir ? Elle fit une première tentative pour lui introduire la sonde bien lubrifiée, qui progressa de quelques centimètres avant de se bloquer : insister aurait pu blesser la fille. Alors elle reprit sa dilatation manuelle et réussit à introduire trois doigts. Alors elle refit une tentative plus encourageante : cette fois plus des deux tiers du cône avaient disparu dans le petit trou, maintenant bien agrandi ! Alors l'infirmière jugea que le cul de la jeune fille était prêt à avaler l'énorme suppositoire. Elle retira l'objet, remit de la vaseline dessus et entre les fesses de Coralie, la fit se mettre à quatre pattes avant de revenir à la charge.
Coralie sentit à nouveau le pal entre ses fesses, qui la pénétrait en repoussant ses tissus. Elle avait mal, mais ne voulait pas contrarier l'infirmière et en plus, cette torture de son anus la faisait mouiller comme une bête ! Une des mains de l'infirmière maintenait la sonde en place, la poussant vers l'intérieur, l'autre lui caressait doucement le ventre, descendait jusqu'à son pubis, jouait avec ses poils, glissait un doigt dans sa fente trempée, trouvait son clitoris... Elle lui dit gentiment :
- Mais tu es toute mouillée, mon gros bébé ! Allez, aide-moi, pousse fort, comme pour faire caca ! Encore un petit effort, on y est presque !
La jeune fille aida de son mieux, pensant que son anus allait se déchirer et jouit n'importe comment au moment où la partie la plus large du cône franchit sa collerette anale qui se referma, si l'on peut dire, dans la gouttière qui le séparait de la base. La sonde était bloquée, parfaitement en place, ne pouvant aller plus loin, ni d'ailleurs ressortir sans forcer. L'anus, horriblement dilaté avait perdu toutes ses fronces et formait un anneau tendu et livide autour du gros tube qui y était enfoncé. L'infirmière la laissa un moment tranquille afin qu'elle s'habitue un peu à cette présence étrangère et très encombrante entre ses fesses, puis la prit doucement dans ses bras, l'embrassa, sécha ses larmes, la berçant comme une enfant. Elle lui dit :
- C'est très bien, tu as tout avalé : je suis fière de toi, mon bébé ! Veux-tu téter, à présent ?
Sans attendre de réponse, elle déboutonna sa blouse, baissa les bretelles de son soutien-gorge et tendit ses seins parfaits vers Coralie qui en approcha une bouche d'abord un peu timide, mais qui devint très vite vorace, aspirant le téton, passant de l'un à l'autre. Les yeux levés, elle voyait le sourire encourageant de la jeune femme. Alors, elle s'enhardit : sans délaisser les nichons de l'infirmière, ses mains descendirent le long de ses flancs et arrivèrent sur ses fesses rondes et fermes en partie découvertes par un petit slip de dentelle qu'elle baissa à mi-cuisse sur un signe de tête de Sylvie qui de plus écarta un peu ses jambes pour lui livrer le passage vers son sexe et Coralie n'hésita qu'une seconde avant de le prendre en main, glissant sans difficulté ses doigts à l'intérieur brûlant et trempé ! Ses doigts se montrèrent d'une grande habileté qui surprit l'infirmière qui jouit très rapidement, les jambes tremblantes et dut s'appuyer aux épaules de sa patiente pour ne pas tomber sous la puissance de cet orgasme. Coralie lécha ses doigts avec gourmandise et murmura :
- J'aime votre goût...
Sylvie lui dit :
- Si tu es bien sage, je te laisserai me déguster tant que tu voudras ! Maintenant, rajuste-moi !
Coralie obéit immédiatement : elle renferma les seins fermes de l'infirmière dans les bonnets de son soutien-gorge, puis lui remonta sa petite culotte, un peu gênée par les jarretelles et la lui remit parfaitement en place avant de reboutonner tous les boutons de sa blouse blanche.
Dans le couloir qui menait à la salle d'hydrothérapie, Coralie qui marchait devant se sentit complètement ridicule, toute nue et avec ce gros tuyau qui dépassait de quelques centimètres de ses fesses, les empêchait de se resserrer et l'obligeait à marcher les jambes écartées, penchée en avant et à chaque pas, la sonde plantée dans son derrière se rappelait à son bon souvenir ! Le carrelage froid lui faisait crisper ses petits orteils nus. Par contre, la salle était bien chauffée, ainsi d'ailleurs que la table en acier inoxydable sur laquelle elle fut invitée à s'allonger sur le dos, jambes un peu écartées. Assez inquiète, elle laissa l'infirmière la préparer : elle lui glissa un coussin en caoutchouc sous la tête, attacha ses chevilles et ses poignets aux bords de la table à l'aide de sangle munies de fixations velcro, puis se pencha entre ses cuisses rondes et un peu grassouillettes pour fixer le gros tuyau transparent et flexible relié à la machine à la base de la sonde dont, décidément, elle ne pouvait oublier la présence dans son anus. À part cela, la position de Coralie était plutôt confortable, ce qui était logique puisque elle allait passer plusieurs heures sur cette table, branchée par le cul à la machine à lavements profonds, parfois seule, mais très souvent avec Sylvie à ses côté qui lui massait le ventre, lui pinçait les tétons, lui branlait le minou.
Coralie vit l'eau teintée de rose, sans doute par les produits qu'elle contenait tourbillonner dans le tuyau avant de la sentir s'engouffrer dans son rectum avec violence, ce qui lui arracha un couinement. L'infirmière, assise à la console de commande, avait lancé un programme qui allait s'exécuter automatiquement, la machine étant très sophistiquée, pouvant injecter de l'eau pure ou non, d'autres liquides, de l'air, mais aussi aspirer le contenu de l'intestin de la patiente, les quantités et la puissance pouvant être modulées à l'infini. Tous les paramètres courants s'affichaient sur un écran et la jeune fille se rendit compte que les deux litres lui avaient été très rapidement injectés. Son ventre était gonflé, lui faisait mal, d'autant plus que l'infirmière le massait pour que l'eau se répande partout dans son ventre ! Elle ressentit aussi, par la compression de sa vessie, une violente envie d'uriner dont elle s'ouvrit auprès de l'infirmière qui haussa les épaules et lui dit simplement :
- Laisse-toi aller, mon bébé, fais pipi si tu veux !
Coralie ne voulait pas, et secoua négativement la tête, mais bientôt, elle ne put plus se retenir, lâcha un premier jet doré qui fusa à l'horizontale, bientôt suivi d'un autre, et enfin, elle se mit à pisser sans retenue, s'éclaboussant les cuisses. L'infirmière ne la gronda pas pour ça, se contentant de lui nettoyer la vulve et les cuisses avec une éponge douce, puis l'essuya doucement. Au bout d'un quart d'heure environ, la machine se remit en route, mais cette fois pour aspirer toute l'eau répandue dans son ventre, et qu'un peu dégoûté de la voir mêlée d'excréments, prendre le chemin inverse. Au début, elle sentit un soulagement bestial l'envahir quand la tension diminua dans ses intestins, mais vers la fin du cycle d'aspiration elle eût l'impression horrible qu'une main géante, enfoncée jusqu'au coude dans son anus lui arrachait les tripes et allait la retourner comme une vulgaire chaussette !
Et le programme de grand rinçage se poursuivit imperturbablement : la machine la remplissait à ras-bord, parfois jusqu'à quatre litres, puis la vidait, pour la remplir à nouveau. L'eau sortait maintenant limpide, toujours par le gros tuyau, de façon insignifiante par son anus. Elle jouit plusieurs fois sous les caresses vicieuses de l'infirmière malgré ses souffrances, se pissa encore dessus... Quand "Traitement terminé" s'afficha sur l'écran, Coralie était complètement épuisée, trempée de sueur, les tétons douloureux à force d'avoir été sollicités, le clitoris triplé de volume et irrité, l'anus aussi distendu. L'infirmière lui caressa doucement le visage et lui dit gentiment :
- Voilà, c'est fini, mon bébé, tu es toute propre de l'intérieur. Il ne reste plus qu'à récupérer la sonde que tu as dans ton derrière. Si tu veux bien me la rendre ? A moins que tu ne préfères la garder là, bien au chaud ?
Coralie ne répondit que par un regard suppliant. Alors l'infirmière se pencha entre ses cuisses, saisit fermement la partie de la sonde restée à l'extérieur et tira fermement dessus. Au bout de quelques secondes d'efforts, elle l'arracha avec un "plop" obscène et sonore comme un bouchon qui saute, et Coralie cria un grand coup. Délivrée de ses liens, tenant à peine debout, l'infirmière la fit s'accroupir sur l'une des cuvettes à la turque pour qu'elle puisse voir, dans le miroir son pauvre anus béant, dilaté à l'extrême et qui allait mettre un certain temps à se refermer !
Toute dolente, Coralie se laissa laver, sécher, talquer comme un bébé, puis rhabiller : Sylvie prit tout son temps pour lui enfiler lentement une chaussette après l'autre, lui caressant ses mignons et minuscules pieds au passage, lui mit ses chaussures, en attacha les brides, lui passa son soutien-gorge puis son chemisier qui fut boutonné entièrement, puis sa jupe. L'infirmière lui fit lever un pied puis l'autre pour lui mettre sa culotte "petit bateau", s'assurant qu'elle était bien en place.
De retour dans le bureau de l'infirmerie, Sylvie remit une grosse enveloppe à Coralie en lui disant d'un ton badin :
- Ces compact-discs contiennent toutes les images de ton passage ici. Certains seraient prêts à payer très cher pour les voir… Parles-en à ta surveillante...
Coralie avait déjà la main sur la poignée de la porte, lançant un timide "Au revoir, docteur", quand l'autre la rappela :
- Eh, attends une minute : nous avons oublié un truc ! Il faut que je vérifie ton pucelage anal !
Résignée, Coralie revint sur ses pas en demandant :
- Dois-je me mettre encore toute nue ?
- Mais non, ne t'inquiète pas.
Ce disant, elle s'accroupit devant elle, passa ses mains sous sa jupe et lui retira sa culotte de coton côtelé. Puis elle la fit monter sur une table et s'y prosterner, genoux très écartés, buste sur le plateau. Alors, avec une lenteur exaspérante, elle entreprit de lui relever sa jupe, découvrant successivement le creux de ses genoux, ses cuisses rondes, son gros postérieur ouvert par sa pose, lui disant :
- Tu ne vas rien sentir, tant ton petit trou est encore agrandi !
En effet, le spéculum entra comme dans du beurre dans l'anus de la pauvre Coralie. L'écarteur retiré, ce fut la petite caméra en forme de sonde qui le remplaça, allant et venant, tournant. L'opération n'était pas douloureuse, mais extrêmement humiliante. Enfin, une petite tape sur la fesse lui indiqua qu'elle pouvait descendre de la table et l'infirmière tint à la reculotter elle-même, puis la fit asseoir et lui offrit un jus d'orange. Elles bavardèrent un moment de chose et d'autre. À un moment, Coralie osa demander :
- J'ai été bien sage, n'est-ce pas, docteur ?
- Oui, en effet, je dois le reconnaître, mon gros bébé.
L'autre s'embrouilla, bafouilla :
- Vous m'aviez promis... euh... si j'étais bien sage..
- Si tu commences à croire à mes promesses, tu n'es pas sortie de l'auberge !
Devant l'immense déception qui se lisait sur le visage de la jeune fille et les larmes dont ses yeux s'emplissaient, elle éclata d'un grand rire franc et joyeux, se leva, se tint debout, immobile et lui dit :
- Allons, ne fais pas cette tête, tu vas me faire pleurer !
En fait, elle aurait aimé assez ouvrir ses cuisses à la bouche de Coralie, mais comme celle-ci en mourrait d'envie, il n'était pas question de lui céder trop vite : la faire languir un peu, cela n'en serait que meilleur pour toutes les deux. Comme la jeune fille se levait pour prendre congé, elle se leva également et lui dit gentiment :
- Si tu veux, en attendant de me bouffer réellement la chatte et le cul, je te prête ma petite culotte ?
- Oh c'est vrai ?
- Mais oui, grosse nigaude : prends-la mais essuie-moi avec !
Coralie tomba à genoux, remonta fébrilement ses mains sous la blouse blanche, dépassa les bas et trouva la chair nue et brûlante des cuisses, attegnit l'objet de son désir et délicatement le retira à sa propriétaire. Puis sa main tenant le slip trempé et odorant remonta entre les jambes écartées de l'infirmière et lui essuya soigneusement la vulve. Alors, toujours à genoux, Coralie porta à son visage la culotte trempée et odorante, la huma, la lècha amoureusement. Elle ne fut pas déçue : Sylvie avait énormément mouillé depuis le matin, en grande partie grâce à elle, et de plus, la laissant seule sur sa table de torture hydraulique, elle s'était branlée au moins à trois reprises, sans prendre la peine de se déculotter ! Et comme elle n'utilisait jamais de déodorant intime, c'est son odeur bien à elle que la nigaude ravie emporta avec elle. L'infirmière l'arrêta une fois de plus au moment où elle allait quitter la pièce :
- Et si je disais à ta surveillante que tu m'as volé ma culotte, et que, cochonne comme tu es, tu serais bien capable de te branler en la reniflant ce soir vers dix heures ?
Anxieusement, la jeune fille supplia :
- Oh ! Vous ne feriez pas une chose pareille ? Et comment pouvez-vous deviner ce que je ferai à dix heures ?
- Eh bien tu viens de me le confirmer, je pense ?
Coralie ne lui répondit pas, mais une lueur très malicieuse passa dans son regard. Elles se quittèrent sur un sourire complice.
Alors l'infirmière n'y tint plus : elle s'affala sur sa chaise, jambes écartées, releva sa blouse et se fourra les deux mains entre les cuisses et atteignit d'emblée son sexe qu'aucun obstacle, si fragile soit-il ne défendait plus. Trois doigts de la main gauche enfouis dans son vagin, l'auriculaire lui titillant l'anus, son médius droit dansa une folle sarabande sur son bouton d'amour. Sylvie cria plusieurs fois de suite...
Plus tard, elle composa le numéro de la surveillante qui avait la charge de la jeune fille et lui dit simplement :
- A ta place, j'irais voir sur les coups de 22 heures ce que fabrique Coralie : avec une petite cochonne comme elle, on ne sait jamais... Me remercier ? Mais j'y compte bien ma grande : fais-moi confiance pour te présenter la facture, et elle sera salée, tu peux me croire ! Oui, tu me connais ? Justement, tu peux préparer ton cul et le reste. Je te ferai signe. Allez, salut !
C'est sans grande surprise qu'à l'heure dite, la surveillante surprit Coralie sur son lit au dortoir, draps rejetés, sa chemise impudiquement remontée au-dessus de ses gros nichon, le slip de l'infirmière enfilé sur son visage, cuisses largement écartées, s'astiquant furieusement le bouton d'une main, alors qu'elle avait planté deux doigts de l'autre dans son trou du cul !
Elle ordonna à la fille de la suivre dans sa chambre, lui fit retirer sa chemise de nuit mais lui interdit de retirer la petite culotte qu'elle avait sur le visage. Par une longue fessée à la main suivie d'une bonne fouaillée au martinet, elle fit avouer à la nigaude qu'elle avait volé le slip à l'infirmière et cela lui donnait un excellent prétexte pour punir sévèrement la petite gourde.
Mais au fond, n'était-ce pas le souhait secret, ou presque, de Coralie ???