Souvenirs du pensionnat |
Par Docteur Dominique GALLIEN
Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Je m'appelle Josiane et j'ai 40 ans. Je suis très attirée par les récits tournant autour du corps médical. Je pense que ce goût remonte à mon adolescence.
Entre 12 et 18 ans, j'ai été pensionnaire dans une école pour filles, tenue par des religieuses, et où les châtiments corporels faisaient partie intégrante de l'éducation. Nous subissions à tour de rôle la fessée en privé ou même en public, jupe troussée,culotte baissée. Les fautes graves étaient punies par la cravache ou le fouet, que j'eus l'occasion de subir plusieurs fois… Mais je voudrais surtout parler de la partie "médicale".
Il y avait une Soeur Infirmière, que nous hésitions à aller voir, tant elle avait la réputation d'humilier les élèves à l'infirmerie. Deux fois par an, nous étions soumises à une visite médicale, par une doctoresse, bien entendu. Pour cela, nous étions convoquées par petits groupes, accompagnées par une surveillante, et nous devions nous déshabiller presque entièrement avant de rentrer dans le cabinet médical, ne gardant sur nous que nos chaussettes, notre petite culotte, et le soutien-gorge pour les plus grandes.
Cette année-là, c'était une nouvelle doctoresse. Pudique, j'étais toujours assez anxieuse dans ces cas-là. À mon tour, je fus pesée, mesurée par la Soeur Infirmière qui servait d'assistante, puis la doctoresse s'occupa de moi.
C'était une femme d'environ 45 ans, à l'air plutôt sévère. Elle m'ausculta, prit ma tension, en me posant tout un tas de questions. Ensuite, elle me fit retirer mon soutien-gorge et me demanda de m'allonger sur la table d'examen. Elle palpa longuement mes petits seins, mon ventre, mes cuisses, revenant au pli de l'aine, ce qui me fit frissonner... En me posant des questions sur mes règles, et si j'étais constipée, etc. Elle entreprit de me retirer ma culotte. J'étais très génée, mais bien obligée de me laisser faire. Habituellement, la doctoresse, en fin d'examen, alors que j'étais debout devant elle, se contentait de baisser mon slip jusqu'au genou, et glissait une main entre mes cuisses pour une rapide palpation du sexe et l'anus. Là, pas du tout ! Elle me retira entièrement ma petite culotte, me fit écarter les jambes et examina soigneusement mon intimité à peine voilée de poils clairs, allant même jusqu'à glisser doucement un doigt dans ma vulve...
L'examen se termina par un toucher rectal. Pour ce faire, je dus me prosterner sur la table, genoux très écartés. La doctoresse enfila un gant en latex, posa un peu de crème sur mon anus et m'enfonça un doigt dans le derrière de toute sa longueur. Elle me fouilla un moment le rectum avant de retirer son doigt. En retirant son gant qu'elle jeta dans la corbeille, elle dit à la Soeur:
- Cette petite est très constipée ; il faudrait soigner ça. Pendant quinze jours, vous aller lui donner un suppositoire à la glycérine le matin, et un bon lavement évacuateur le soir. Ensuite je veux la revoir à mon cabinet. C'est possible ?
- Mais bien sûr, s'empressa la Soeur.
J'étais terrorisée à l'idée de devoir subir un tel supplice, mais que pouvais-je dire?
Pendant que, honteuse j'enfilai mon slip, la Soeur me dit :
- Je t'attends ce soir à 18 heures. Et tâche d'être exacte, sinon...
Elle n'avait pas besoin de préciser: comme je l'ai dit, les punitions étaient sévères !
Le soir même, je subis mon premier lavement, toute nue, couchée sur le côté, genoux repliés... Un grand bock de 2 litres, que je dus, à ma grande honte, restituer en présence de la soeur... Et ainsi tout les jours. Le matin, une 1/2 heure avant le lever, soeur Marthe venait près de mon lit au dortoir, et, sans dire un mot, rabattait les couvertures, me faisait mettre à plat ventre. Puis elle remontait ma chemise sur mes reins, me faisait écarter les cuisses par quelques pressions de la main, puis, de la main gauche elle m'écartait largement les fesses, de la droite, elle présentait le petit cône contre mon anus, et l'enfonçait très loin dans mon rectum, introduisant son doigt, qu'elle avait très long, en entier. Ce n'était pas très agréable, mais l'humiliation était bien plus grande que la douleur : Je savais que mes voisines de lit n'en perdaient pas une, tout en faisant semblant de dormir. Bien sûr, dès le signal du lever, j'étais la première à me précipiter aux WC...
Le soir, la garce s'en donnait à cœur joie! Elle faisait tout pour m'humilier, disant que j'étais une orgueilleuse et que ma fierté devait être rabaissée. Elle s'y employait ! Chaque séance se terminait en pleurs. La méthode et les positions dépendaient de son humeur du jour : Parfois je devais me mettre nue, d'autres fois retirer simplement ma culotte ; je recevais le clystère couchée sur le côté, à plat ventre, à quatre pattes, prosternée,sur le dos, cuisses fortement repliées et écartées sur la poitrine...
La poire alternait avec le bock, parfois les deux le même soir, avec l'inconvénient supplémentaire de la poire qu'il faut retirer et renfoncer la canule souvent pour chasser l'air et remplir la poire. Seule constante, la taille de la canule, toujours longue et assez grosse. Bien que précédée par son doigt lubrifié, l'intromission en était douloureuse et la soeur me traitait de mauviette et me reprochait " ...de faire ma serrée" ! Le lavement absorbé, elle me laissait trépigner un moment avant de m'autoriser à me soulager, toujours en sa présence... Le pire fut peut-être de devoir me vider couchée en position gynécologique dans un bassin...
Le vendredi soir, elle m'annonça que pour parfaire mon traitement, elle me gardait à l'infirmerie tout le weekend. Quelle confusion ! Elle ajouta avec un sourire mauvais :
- Je vais pouvoir bien m'occuper de ton derrière, et tu verras, lundi tu te sentiras toute propre. En plus tu as besoin d'être assouplie à ce niveau-là...
Cela n'augurait rien de bon, mais à qui me plaindre ? Et je passai tout le week-end en chemise de nuit à l'infirmerie, en compagnie de trois de mes camarades, retenues pour les mêmes motifs que moi. Le petit dortoir comportait six lits, un lavabo, un bidet et une cuvette de WC à la turque. La honte était décuplée du fait que nous devions subir les soins intimes prodigués par la soeur, et dans toutes les positions les plus humiliantes, nous soulager accroupie sur les toilettes, puis passer sur le bidet, en présence des trois autres filles! À la moindre incartade, une bonne fessée voire quelques coups de martinet ramenaient la récalcitrante dans le droit chemin. Elle ne nous laissa aucun répit, passant continuellement de l'une à l'autre, nous donnant des lavements comme je l'ai décris plus haut, nous mettant des suppositoires, nous massant l'anus...