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La punition de Cécile (6)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 06

            Tout celà, c'était il y a quelques mois. Et maintenant ? je suis une jeune femme comblée : riche, adulée, ayant autant d'amants que je le désire, menant une vie mondaine bien remplie. Sur le plan professionnel, j'ai repris la direction de toutes les affaires de feu mon époux, à la tête desquelles j'ai placé des hommes ou des femmmes de confiance, tous excellents gestionnaires. Je suis très consciente de mes lacunes dans ce domaine, et prend moi-même des cours accélérés de gestion d'entreprise.
La vie trépidante de femme d'affaire me convient, bien que je ne délègue pas de responsabilités, je travaille, sors et voyage beaucoup. Aussi, pour me détendre, j'ai besoin d'un lieu bien à moi, où je me sens à l'abri de tout c'est ma grande maison en banlieue chique...
            Je ne reçois quasiment jamais chez moi, et n'y amène pas mes amants : il y a des lieux exprès pour ça ! C'est une grande maison entourée d'un grand parc. Dans un souci de tranquillité, j'ai fait réparer et réhausser le mur d'enceinte, refait l'intérieur selon mes goûts ou mes besoins, afin de me sentir bien chez moi. J'ai licencié tout l'ancien personnel, du temps de mon mari et engagé le strict nécessaire à mon confort, sans être envahie d'une nuée de domestique. Une gouvernante, tout d'abord, Roumaine d'une cinquantaine d'années qui comprend assez de français pour noter un numéro de téléphone. C'est elle qui dirige la maison, s'occupant des fournisseurs et de la bonne marche. C'est elle également qui dirige le personnel de nettoyage qui vient faire le ménage tous les jours de semaine. Elle est aussi chargée de la cuisine. Et puis un jardinier muet à peu près du même âge, qui s'occupe merveilleusement du parc et me voue une dévotion sans borne. Et c'est tout ! Tous les deux me vénèrent littéralement : il faut dire qu'ils font leur boulot à merveille tous les deux et que je traite tout à fait correcteement. Par exemple, chacun dispose d'un studio entièrement équipé dans une aile de la grande barraque. Comme je ne déjeûne jamais ici et n'y dîne pas tous les soirs, la gouvernante n'est pas écrasée de travail.
            Et puis, en dehors du personnel officiel, il y a mes deux petites esclaves, Nora et Isabelle. Je leur ai fait aménager un appartement de trois pièces : deux chambres, salon, cuisine et salle de bain où elles sont autonomes. Je ne les paie pas, mais elles sont très bien nourries, habillées et logées, plus un peu d'argent de poche. A condition d'être totalement disponibles au moindre de mes désirs 24 heures sur 24, en mon absence elles sont entièrement libre de mener leur vie : elles peuvent même emprunter une voiture au garage pour aller où bon leur semble. En fait elles bougent peu, plutôt casanières, profitant du parc et de la piscine dont elles jouissent de l'exclusivité de fait. Elles se font également leur cuisine, demandant à la gouvernante ce dont elles ont besoin. Pour baiser, elles s'arrangent très bien entre elles et si elles ont envie d'un mâle, elles se partagent à l'amiable les faveurs du jardinier, ravi d'une telle aubaine, et qui d'après elles, est un excellent amant : eh bien tant mieux, ainsi tout le monde est content.
            Par contre, quand je suis à la maison, elles sont attachées à mon service personnel et exclusif. Je décide comment elles doivent s'habiller l'une ou l'autre, ou rester nues selon mon
humeur. Dès le matin, elles s'occupent de moi : après tout, mon séjour forcé à la clinique m'a appris tout le plaisir que peut apporter un bonne infirmière. D'abord, petit-déjeuner apporté au
lit : en le dégustant, je demande à la fille de me lècher la chatte, ce qui est bien agréable. Puis elles font ma toilette, insistant bien entre mes cuisses et entre mes fesses. Après elles me massent longuement et l'une ou l'autre me lèche longuement l'anus avant d'y glisser respectueusement un doigt pour voir si j'ai besoin d'un lavement. Encore un truc qui m'a marquée : c'est vrai que quand on est constipée, tendue, rien ne vaut un bon lavement administré avec douceur par des mains expertes. Puis je me laisse habiller entièrement avant de partir au boulot. Parfois je décide que l'une des deux doit être punie et charge sa collègue de lui appliquer le châtiment, ce qu'elles font, même en mon absence : les traces de fouets ou de cravache en font foi !
            Si je rentre le soir, elles m'attendent, mangent avec moi, me servent. Pour le coucher, c'est pareil : elles sont chargées de me déshabiller entièrement et de me mettre au lit. Si je vais aux toilettes, l'une ou l'autre fait ma toilette intime avec sa langue. Je peux tout leur demander : par exemple d'éxécuter entre elles une des scènes qu'elles m'ont fait vivre, avant de m'endormir. Ou bien de me donner du plaisir, de coucher sur ma descente de lit, etc. Elles emportent les dessous que j'ai portés dans la journée pour les laver. Mais auparavant, l'une des deux, par roulement, portera pendant deux jour la petite culotte qu'elles me retirent. Il en va de même pour le reste : elles ne portent que des dessous que j'ai moi-même portés : c'est pratique, nous avons à peu près le même taille. Seule exception, mes soutiens-gorges qui ne sont portés après moi que par Isabelle : les nichons de Nora sont trop gros pour s'y loger...
            Il y a tout un cérémonial autour de mes fanfreluches qu'elles adorent porter après moi. Par exemple, quand je pars en voyage d'affaire, je n'emporte que deux peties culottes, que j'alterne, sans bien sûr les laver : si j'ai une bonne fortune, elle est bien vite escamotée dans mon sac. Si je n'en emmene aucune des deux avec moi, tout le temps que dure mon absence, elles ne doivent pas en changer non plus : simplement, tous les jours elles permuttent leurs culottes. De même, quand je me fais sauter, je ne m'essuie jamais, pas plus que quand j'urine dans la journée. Elles voient tout de suite quelle à été ma journée dans le fond de ma culotte : si j'ai été baisée une ou plusieurs fois, ou si on m'a sodomisée. Au retour de mon voyage, surtout s'il a été long, nous nous réunissons pour nous mastuber côte à côte, nous repassant les petites culottes bien odorantes et amidonées.
            Le week-end, j'ai tout le temps de me faire dorloter par mes deux esclaves entièrement soumises. Parfois nous baisons comme des folles : ça me change des mecs. Je les punis moi-même rarement, trop paresseuse pour celà, préférant charger l'une ou l'autre de la tâche, sauf si je veux les corriger ensemble, auquel cas, il faut bien mettre la main à la pâte... J'ai fait également aménager le sous-sol pour reconstituer en partie ce que j'ai connu à la clinique et qu'elles découvrent à leur tour. Il y tout ce qui faut pour faire subir les pires sévices à une femme, sans aller toutefois jusqu'au excès que j'ai pu connaître : pas de mutilation en particulier. Deux cachots sont également disponibles pour les emprisonner ensemble ou séparément. En général, une seule : j'ai besoin de l'autre pour mon service...
            Elles sont extrèmement vicieuses et immaginatives et j'adore ça. C'est fou les cochonneries que nous pouvons faire toute les trois ! En dehors d'un sado-masochisme raisonnable, il nous arrive de pratiquer l'uro ou même la scatologie. Isabelle a eu une idée toute simple : relier un tuyau de caoutchouc tout bête à un banal entonnoir ce qui permet tout bonnement à l'une d'uriner dans le cul de l'autre. Bien sùr, c'est mieux quand la receveuse est habillée ! La punie se prosterne, visage au sol, cul très relevé, on lui relève sa jupe, lui baisse un peu sa culotte et lui introduit le bout du tuyau dans l'anus. La pisseusse n'a plus alors qu'écarter l'entrejambe de sa culotte, mette l'entonnoir entre ses jambes écartées et uriner ! Quand c'est terminé, on secoue bien le tuyau pour l'égouter, et l'autre peut se reculotter. L'urine brûle un peu quand on la sens gicler dans son rectum, puis par la suite ressort petit à petit de l'anus qui ne peut la retenir, coulant dans la culotte et le long des jambes. J'ai essayé moi-même, c'est super ! Parfois, aussi, je leur pisse dans la bouche et elles doivent tout avaler sans laisser échapper une goutte.
            Autre petit jeu du même genre : nues, enlacées debout dans une pièce carrelée ou dans le jacuzzi, bien serrées les unes contre les autres, chacune à une main entre les cuisses des deux autres et nous pissons abondamment toutes les trois, mêlant nos urines.
            Une des pièces du sous-sol est entièrement carrelée, comporte un trou d'évacuation et un jet pour un nettoyage facile. Là nous pouvons nous laisser aller totalement. Ce jour-là nous sommes toutes les trois entièrement habillées, assez élégament, d'ailleurs, avec chacune une culotte bien serrée aux jambes. Nous avons bu au moins un litre de bière chacune, et avant de commencer à nous enlacer, nous embrasser, chacune s'est troussée et a baissé sa culotte pour recevoir un suppositoire à la glycérine dans son anus. Rapidement nous nous laissons aller et nous soulageons dans nos vêtements, nous mettant la main au cul par-dessus la jupe pour tout étaler, roulons enlacées sur le carrelage, nous caressons partout... Après celà, je me mets nue, me fait nettoyer le plus gros au jet : j'en ai partout ! puis monte dans ma chambre pour un bon bain parfumé et je laisse les deux filles pour faire le ménage et se laver mutuellement. Les vêtements sont bon pour la poubelle tant nous les avons souillés.
            De temps à autre, par exemple quand je rentre d'un voyage épuisant ou que j'ai eu une semaine très chargée, j'éprouve le besoin d'inverser les rôles et me soumettre entièrement aux deux infirmières. Mais attention ! c'est toujours sur ma propre initiative et je reste la maîtresse du jeu. Nous avons mis au point un code entre nous, composé d'une dizaine de mots anodins mais, qui je les prononce ont un sens bien précis : par exemple, je peux leur faire savoir quand je dois être dominée ; elles peuvent alors, tout me faire, tout exiger de moi, tant que je leur donne pas le signal qu'elles vont trop loin, ou celui de la fin du jeu, où chacune reprend son rôle naturel. Si au moment où je décide de me soumettre l'une des deux a une punition en cours, l'autre devient notre maîtresse commune. Un jour, où Isabelle était elle-même en punition Nora nous fit passer 24 heures ensemble au cachot, disposant en tout et pour tout que d'un matelas jeté par terre, un seau hygiénique et une écuelle d'eau posée sur le sol. Avant de nous enfermer toutes nues, elle nous fit nous coller dos à dos, passa mes bras par derrière autour de la taille d'Isabele et emprisonna mes poignets dans une paire de menottes et en fit de même à ma compagne ! Nous étions inséparables et quand l'une ou l'autre voulait boire ou faire ses besoins, nous devions nous livrer à une gymnastique assez compliquée... En plus, il nous était même impossible de nous caresser. Mais elles ne manquent jamais d'imagination !!!
            À ce propos, mes lèvres intimes ont conservé chacune une fente : j'aurais pu faire arranger ça, mais outre que celà ne se voit quasiment pas, mes poils ayant repoussé, je trouve ça amusant. Elles connaissent bien cette particularité et quand je me laisse asservir y passent volontiers des anneaux ou un cadenas, prétextant que ma chatte est inaccessible pour m'enculer à gode rabattu.
             J'aime aussi, parfois me faire traiter en gamine, régresser et me faire materner : pour celà, le code est simple, au moment où l'une d'elle m'apporte mon petit déjêuner, je me laisse aller à pisser au lit. Dès qu'elle le découvre, le processus se déclenche autamatiquement : je suis gorndée, reçois une bonne fessée à traver ma chemise de nuit mouillée, puis cul nul, elle frotte mon visage dans mon urine, me traite de tous les noms. Tant que le jeu dure, je suis traitée en fillette après qu'elles m'aient soigneusement rasé la chatte et entre les fesses, je suis habillée de vêtements enfantins, souvent fessée, subit le martinet, on regarde souvent dans ma culotte pour voir si je suis propre ; je suis lavée, talquée ; on prend ma température anale, on me met des suppositoires ; elles me font faire pipi et caca sur le pot ; je reçois des lavements ; elles me donnent le sein ou me font manger à la cuillère... J'obtiens le même résultat quand j'annonce piteusement avec une petite voix de gamine :

- Je... crois que... j'ai fait pipi dans ma culotte (ou caca).

            L'infirmière vérifie tout de suite, et c'est parti...
            Les fentes de mes grandes lèvres me permettent de temps en temps de mystifier un amant de passage. Je me laisse parfois draguer par un inconnu, s'il me plaît et m'arrange pour m'isoler pour clore mon sexe avec le joli petit cadenas doré que je traîne dans mon sac à main. La tête du type quand il baisse ma peite culotte fait plaisir à voir ! Je lui explique l'air géné, que j'ai un amant jaloux qui m'impose cette contrainte, mais qu'il peut me sodomiser tant qu'il veut. Ceux-là, bien sùr, je ne les revois jamais.  
            Parfois j'emmene une de mes deux esclave au bureau. Je suis très bien installée, disposant outre d'une salle de bains complète, d'une entrée particulière dont je suis la seule à posséder la clef. Quand j'ai une esclave avec moi, je passe par là et éventuellement la renvoie par le même chemin. La fille se met toute nue dans la salle de bains et passe sous mon grand bureau. Quand je suis assise, même si j'ai une discussion importante (je dirais même "surtout"...) elle relève ma jupe ample, écarte l'entrejambe de ma petite culotte, ou me la retire entièrement et plaque sa bouche entre mes cuisses pour me lècher longuement la chatte et l'anus. Je peux me faire sucer ainsi pendant des heures, ne m'en lassant pas.
            J'ai tenu ma promesse et envoyé mes deux soumises, avec mission d'être très dociles, à Maître DENEUVE : il a été ravi de leur prestation. Elles aussi, d'ailleurs : il paraît qu'il ne manque pas d'imagination, et que malgré son âge, il assume comme une bête.
            Certains soirs quand je suis couchée, je demande :

- Isabelle veux-tu nous raconter une de tes histoires pour m'endormir.

- Si Madame le demande...

            Et elle se lance alors dans un des récits dont elle a le secret, pendant que sa compagne allongée entre mes jambes me lèche doucement la chatte. Isabelle raconte bien, et dans ses histoires, il est toujours question de femme battues, torturées de toutes les façons.
            Elle a travaillé plusieurs années dans la clinique de MORIN, contrairement à ce que j'avais subi, avait une activité tout à fait normale qui représentait 90 %. Le reste représenté par des femmes un peu dans mon cas, des circoncisions ou des excisions et même des infibulations de petites filles Africaines, des prostutuées aussi, qui elles ne venaient pas pour être dressées, ce qui se passait ailleurs et bien plus durement, mais pour être réparées car on avait forcé la dose pour les punir.
            Il était difficile de démêler dans ce qu'elle disait, ce qu'elle avait réellement vécu, ce que lui avaient raconté les putes, ou tout simplement qu'elle imaginait. Elle nous disait même qu'il existait pour certains amateurs très pervers, des cassettes vidéo montrant des femmes réellement torturées et même mises à mort : éventrées, baisées par un âne, pendues, rôties vive, empalées par l'anus ou le vagin, écartelées, écorchées vives, décapitées, lapidées, rouées etc, etc...
            Ces horreurs me faisaient délicieusement frissonner, et souvent me donnaient des cauchemards. Souvent aussi, quand elle avait fini de parler, j'apostrophai Isabelle :

- Isabelle, tu es un monstre de perversité !

- Mais... c'est Madame qui...

- Nora, mets ta petite camarade à poil au cachot pour deux jours, avec seulement de l'eau, puis vient me rejoindre.

            Isabelle ne proteste jamais et se laisse conduire, déshabiller entièrement et enfermer dans la cave que j'ai été la première à expérimenter. 
            Il y a un mois environ, j'ai été prise de remords à leur égard. Avais-je le droit d'agir ainsi, de les contraindre par le chantage, même si j'étais moi-même passée par là ? Peut-on reprocher aux autres ce que l'on se permet ? Non, évidemment ! Je décidai donc de leur rendre leur entière liberté, malgré un gros pincement au coeur car je les aimais maintenant beaucoup. Je demandai au notaire de m'envoyer les papiers qui les compromettaient, et les fis venir dans la pièce qui me sert de bureau à la maison, les feuillets bien en évidence sur la table. A leur regard, je vis qu'elles les avaient identifiés immédiatement. Un peu embarassée, je leur dit :

- Voici vos confessions ; il n'en existe aucune copie, je vous en donne ma parole d'honneur. Reprenez-les, je pardonne, on oublie tout, vous êtes libres toutes les deux...

            Elles ne bougèrent pas d'un poil, et Isabelle me dit tristement :

- Vous nous renvoyez, alors ?

- Mais non, sotte ! Je vous rends la liberté, c'est tout...

            C'est Nora qui prit la parole à son tour :

- Ce n'est pas qu'à cause de ces foutus papiers que nous restons à votre service, Madame.

            Elle ajouta à voix basse :

- Nous vous aimons, Madame...

            Isabelle se mit à pleurer et la voix entrecoupée de sanglots, m'implora :

- Gardez-nous, Madame, s'il vous plaît. Nora et moi désirons ardemment rester à votre service comme esclaves...

- C'est vrai... ajouta Nora.

            J'étais très émue par leur attitude. J'annonçai aux deux jeunes femmes :

- Eh bien, puisque vous me le demandez, je vous garde auprès de moi : vous resterez tout le temps que vous le souhaiterez, mais je veux que votre esclavage soit librement consenti : regardez :

            je prends la liasse de feuillets et la jette dans le cheminée ou flambe en bon feu : en quelques secondes, leurs aveux deviennent cendre. Nous regardons toutes les trois fascinée les documents se consummer rapidement.
            C'est la joyeuse Nora, qui la première réagit : elle saisit la cravache qui traîne sur le bureau, me la tend respectueusement en me disant :

- Sans vouloir commander Madame, je pense qu'Isabelle et moi méritons une bonne correction...

            Et immédiatement, elle prend la pose : prosternée, le derrière très haut. Isabelle est déjà dans la même position, à côté de son amie. Prestement et avec un bel ensemble, toutes les deux
se trousent généreusement et baissent leur culotte, tendant leur fesses...
            Deux superbes culs parallèles, différents de forme, de couleur, puisque l'un est blanc et rose clair, l'autre très noir, mais égaux par leur beauté !
            Deux culs tendus vers moi, et qui n'attendent qu'une chose :
mon bon plaisir.
            Au cours de leurs confidences sur la fameuse clinique où j'avais passé de si mauvais moments, Nora et Isabelle me parlent souvent  d'une de leurs collègues, sans doute la pire de toute, prénommée Monique. C'était la maîtresse du Docteur MORIN, une sorte de surveillante générale occulte, sadique, prête à tout et c'est à elle qu'on confiait les cas les plus tordus, par exemple transformer un jeune garçon en fille, par le biais de plusieurs opérations chirurgicales : ablation des testicules et du pénis, dont la peau est utilisée, retournée comme un doigt de gant, pour constituer un faux vagin ; administration massive d'hormones féminines pour faire pousser les seins... Elle s'était aussi occupée de deux cousines, avec une cruauté qui avait choqué le reste de l'équipe, pourtant pas formée d'enfants de Marie !!! Les deux jeunes filles, outre des mauvais traitements dont j'avais eu un échantillonnage, avaient eu la pointe des seins brûlée et enlevée, ainsi que le clitoris et les petites lèvres, puis on leur avait clos définitivement le vagin, ne laissant qu'un petit orifice pour uriner. Pour l'écoulement des règles, plus de problème puisqu'on avait détruit leur utérus et leurs ovaires par des injections corrosives à travers la paroi abdominale et intra-vaginales !!! Les hurlements des deux pauvres filles étaient, paraît-il, atroces, insupportables...
            Personne ne pouvait saquer cette horrible salope, mais tout le monde lui faisait bonne figure : elle était très puissante et dangereuse. Au démantèlement de la clinique, elle n'avait pas été inquiétée : elle était en vacances à ce moment-là, n'avait donc pas de "traitements" en cours qui auraient pu témoigner, et d'après Nora, elle devait être payée discrètement et ne pas figurer sur l'organigramme officiel de la clinique.
            Rien que d'en parler, mes deux esclaves semblent terrorisées, et peu à peu je m'intéresse à cette femme dont l'impunité me choque profondément. Par ailleurs, de par mes origines modestes, je ne me sens pas dans la peau d'une "donneuse", d'une "indic". Peu à peu l'idée fait son chemin : nous pourrions punir cette garce, et y trouver du plaisir. Autant joindre l'utile à l'agréable...
            Un jour où les deux filles s'occupent de mon plaisir égoïste, je leur demande :

- Vous aimeriez l'avoir à votre merci, cette fameuse Monique ?

            Isabelle, accroupie entre mes cuisses écartées en arrête de me lécher la chatte, et Nora, prosternée, s'écartant les fesses à deux mains lèvent la tête vers moi et s'exclament en choeur :

- Oh oui, maîtresse ! Mais c'est complètement impossible !

- On parie combien, petites guenons ? Allez, Isabelle continue à me lécher : ça m'aide à réfléchir. Et toi, Nora, ouvre-moi bien ton cul...

            Isabelle connaît son nom et son adresse, l'ayant raccompagnée chez elle un jour où la voiture de Monique était en panne. Je lance après elle une équipe de détectives privés, et quelques jours plus tard, l'un deux m'apporte un rapport complet, ainsi que des photos : pas mal, la fille ! Le docteur Morin était un homme de goût ! Joli visage, corps mince et charmant, mal mis en valeur par des vêtements très ordinaires.

- Voilà, Madame : vous avez dans le dossier tous les éléments que nous avons pu recueillir sur cette jeune femme, et si vous le permettez, je vais vous les résumer. Donc Monique VERRIER à 31 ans, travaille comme intérimaire, célibataire, elle ne semble pas avoir d’hommes dans sa vie. Peu d'amis, plus aucune famille : ses parents, tous deux de l'Assistance Publique, décédés dans un accident. À signaler : elle a une fille de père inconnu, actuellement en pension, prénommée Lydie. Elle y est très attachée et il n'y a à peu près que pour payer son école qu'elle soit à jour. Sa situation financière est loin d'être brillante. Voilà en gros...

- Très bien : ne la lâchez pas d'une semelle, essayez de trouver des moyens de pression, des photos, par exemple. Employez les grands moyens : je peux payer !

- Bien sûr, Madame, aucun problème !

            A ce stade, je pourrais la faire enlever, mais c'est trop simple, et puis, il y a aussi sa fille... Fille dont j'aimerais bien faire la connaissance : très mignonne sur une photo récente jointe, faisant nettement moins que son âge. Bon, bien réfléchir, potasser le dossier, rendre un maximum de précautions, et on verra bien !

            C'est Isabelle que je charge de prendre contact avec elle, bien habillée avec des vêtements à moi, bien coiffée, faisant forte impression à l'autre qu'elle rencontre "par hasard". Monique s'étonne de la prospérité apparente de son ex-collègue, qui lui confie, sous le sceau du secret qu'elle a trouvé une excellente place, et propose "au nom de leur ancienne amitié", de la mettre en relation avec sa nouvelle patronne. L'autre, aux abois, tombe dans le panneau bille en tête. Mon esclave blonde lui a expliqué que c'était un boulot un peu spécial et qu'il fallait rester discrète. Rendez-vous est pris, et quelques jours plus tard, Isabelle l'amène à un bureau que j'ai loué pour quelques heures, payé en espèces et sous un faux nom, puis s'éclipse.
            Avant de l'inviter à s'asseoir dans le fauteuil bas qui fait face à mon bureau, je prends tout mon temps pour l'examiner de la tête aux pieds : beaucoup plus belle que sur les photos ! Si je ne savais pas ce que je sais sur elle, je pourrais presque lui donner le bon dieu sans confession. Son tailleur bleu nuit, son sac à main et ses escarpins à talons hauts assortis, sont loin d'être neufs, mais d'une certaine élégance un peu voyante et coûteuse. Brune, cheveux mi-longs bouclés. Je me fais le pari qu'elle porte des bas noirs, et pas un collant : j'en ai la confirmation quand elle s'assoit dans le fauteuil bas. Sa position fait remonter sa jupe et découvre largement ses cuisses, laissant même deviner un peu de chair blanche au-dessus du revers des bas. Assise plus haut qu'elle, j'ai une vue plongeante... Pas mal du tout !
            Je lui pose pas mal de questions et le salaire que je lui propose lui convient tout à fait : elle admet que pour ce prix, elle sera à mon entière disposition. Je la tutoie pour bien marquer la distance, et elle me dit "vous".           

- Je suis en train de monter une structure oû tu pourras avoir ta place : c'est évident, je ne t'en dirai pas plus pour l'instant. Par mesure de sécurité, tu dois organiser ta disparition totale : tu peux dire que tu as trouvé un poste en Australie. Tu pourras même écrire quelques cartes postales qui seront postées de là-bas. Tu liquides ton appartement, le téléphone, la banque, tout, quoi...

- D'accord, Madame, mais ...euh...

- Oui ?

- Je suis plutôt à court, en ce moment...

- Pas de problème : Isabelle va rester avec toi et te fournira tout l'argent dont tu auras besoin. Une avance, en somme...

            Elle hésite, mais je la sens très tentée et connais la question qui la turlupine, et que d'ailleurs elle me pose :

- Oui, je vous en remercie, bien sûr ! Mais que devient ma fille dans tout ça ? Je la laisse en pension ?

- Pas question : je m'en charge. Ma maison est assez grande et je lui trouverai une préceptrice. J'insiste : si tu veux entrer à mon service, tu dois couper tous les ponts ! Bon, malgré tes compétences, il est vrai que ta fille pose un léger handicap, mais ne t'en fais pas, on fera avec. Evidemment, vous ne serez pas ensemble en permanence...  Alors, tu es d'accord ?

- Oh, Madame, je crois bien que oui ! Je vous remercie de tout mon coeur !

            Je tire une mince chemise d'un des tiroirs : elle continent une grande photo en couleur que je pose sur le bureau, tournée vers elle, disant simplement :

- Petite précaution...

            Elle devient livide d'un coup, serre ses mains jointes entre ses genoux pour cacher leur tremblement et bafouille effondrée :

- Mais co... comment avez-vous pu...

            J'ai un geste évasif (en fait mes détectives ont procédé à une fouille discrète de son appartement et ont découvert un grand nombre de photos dans une fausse encyclopédie formant une boite).

- Ne t'inquiète pas : les autres sont en lieu sûr...

            En effet, c'est de penser aux autres photos qui la met dans un état pareil, car si l'on a celle-ci, on à les autres ! Car le cliché sur le bureau est assez anodin : il la montre en blouse blanche, mains gantées de latex, debout entre les jambes d'un jeune garçon allongé sur une table d'examens gynécologique, nu, les pieds dans les étriers, cuisses très écartées. Sa main droite branle la queue bandée de l'adolescent, la gauche lui palpe les couilles... Il est en train d'éjaculer et les jets blanchâtres semblent comme suspendus au-dessus de son ventre, sans doute saisis à très grande vitesse.

            Je change de sujet, encore sous le choc, elle est aussi surprise rougit un peu quand je lui demande :

- Je suppose que tu sais caresser une nana ?

- Je... oui, Madame... je pense...

            Je fais pivoter mon fauteuil :

- Montre-moi ce que tu sais faire !

perverpeper@perverpeper.com

 

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