La punition de Cécile (4) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre 04
Après le petit déjeûner, Isabelle et Nora s'occupent de me préparer, sans me dire à quoi exactement : fini la gaudriole et je tremble de ce qui va encore m'arriver. Retirant l'alèse, elles me font allonger directement sur l'alèse, après m'avoir débarassée de tous mes accessoires, y compris la sonde rectale, et me lavent minutieusemenet de la tête au pieds, noubliant aucun recoin. Je subis une longue injection vaginale au bock, un bassin glissé sous mes fesses. Quand l'opération est terminée, elles me mettent un tampon hygiènique, puis chose currieuse, l'une pince les lèvres de ma chatte, les resserre, et l'autre m'applique une large bande de sparadrap pour maintenir mon sexe complètement refermé. La bande, partant de mon pubis, recouvre ma chatte, donc et se poursuit jusque loin entre mes fesses, bouchant également mon anus... Par là-dessus, elle me mettent une couche culotte de plastique bleu et elle terminent en m'enfilant une sorte de pantalon vague de toile blanche, des bottes du même genre, et une charlotte sur la tête.
Je suis à peine prête, que deux brancardiers viennent me chercher, me roulent dans un drap, m'attachent sur le brancard. Couloirs, ascenceur, couloirs... Mon chariot est entré dans ce qui me paraît être une salle d'opération, avec sa table métallique, son éclairage puissant et tout un appareillage compliqué et pour le moins effrayant. Je suis tranférée du brancard sur la table d'opération qui est froide, puis solidement attachée : mes bras sont tirés au-dessus de ma tête, dans le prolongement de mon corps, lui-même totalement immobilisé par une série de larges sangles : sous la poitrine, le ventre, les cuisses, les genoux, les chevilles. En venant, j'ai essayé de demander au brancardier ce qu'on allait me faire, sans obtenir de réponse.
La réponse, c'est le Docteur MORIN qui me la donne lui-même en entrant dans la salle accompagné d'une jeune femme. Tous les deux sont habillés en vert, tête et chaussure couvertes par des éléments non-tissés. Si la femme a déjà son masgue de gaze sur le visage, celui du Docteur est baissé. Dans sa main gantée de latex, il fait sauter un petit sachet de plastique qui contient quelque chose de brillant.
- Ton mari, dans grande bonté, t'offre ces deux anneux d'or, que je vais faire un plaisir de poser sur tes mamelons. Évidemment, il va falloir les percer, mais rassure-toi, toutes les précautions d'aseptie sont prises.
Je hurle, me révolte, refuse... Sa réaction est immédiate :
- Esther, voulez-vous la faire taire, on l'a assez entendue...
La jeune femme, prestement, profitant que j'ai la bouche grande ouverte, y enfourne une boule de liège dans laquelle se plantent mes dents, resserées trop tard. Le cordon attaché à la
boule est noué sur ma nuque, puis elle m'applique une bande de sparadrap sur la bouche, évitant soigneusement mes narines et je ne peux plus m'exprimer que par grognements peu audibles. Je suis morte de trouille. Le docteur MORIN remonte son masque et les deux acteurs ressemblant à des cosmonautes entrent en action, parlant entre eux comme si je n'existait pas.
Tout d'abord, la jeune femme étale un liguide jaunâtre sur toute ma poitrine à l'aide d'un tampon de coton. Puis elle coiffe mon mamelon gauche avec l'extrémité d'un tube de verre ; elle appuie sur un bouton et je sens mon téton aspiré puissament qui remonte dans le tube d'au moins deux centimètres. J'ai très mal, mais ce n'est pas leur problème ! Dès que mon mamelon s'est allongé suffisamment dans le tube, elle interromp la sucion, maintenant simplement un vide suffisant. Elle tire alors le tube vers le haut, pour décoller sa base de mon sein, de quelques millimètres. Pendant ce temps, le chirurgien avance un long poinçon monté sur un manche, relié à un appareil par un fil, la pointe, juste au-dessous du tube transperce la base de mon mamelon, dirigée horizontalement de droite à gauche : la douleur est effroyable ! mon sang coule. Il fait aller et venir la pointe, puis je ressens une brùlure intense : il prend la peine de m'expliquer :
- Avec cet appareil, on peut percer et faire l'electro-coagulation dans le même geste.
En effet, même si la douleur n'est pas racontable, je ne saigne plus. Il retire la tige qui me transperce et enfile dans le trou qu'il vient de perce un petit anneau d'or ouvert, qu'il referme aussitôt dans un déclic dérisoire et me dit :
- Une fois en place, l'anneau ne peut plus être ouvert : il est posé à vie !
Mon mamelon est libéré du tube à vide, et l'opération est renouvelée sur mon sein droit : mais je rate la fin, je ne suis plus là pour personne, évanouie sous une douleur inhumaine...
Je reprends mes esprits au moment où on me dépose dans ma chambre, sur mon lit. Isabelle et Nora m'attendent. Couchée sur le dos, elle me déballent : charlotte, botte, pantalon, puis défont ma couche, et à l'odeur, je me rends compte que ce n'était pas une précaution inutile : sous la douleur trop intense, ou la frayeur, ou les deux mes sphincters se sonst relaché et j'ai tout laché. Elle m'arrache la bande sparadrad et me nettoient toute cette région souillée d'urine et d'excrément. Je crois même lire un regard de compassion dans les yeux de Nora, mais je peux me tromper. Ceux d'Isabelle, sont aussi inexpressifs que d'habitude, minéraux en quelque sorte.
Des élancements irradient dans toute ma poitrine recouverte d'un grand pansement. Dans ma demi conscience, je sens qu'on m'introduit un suppositoire dans l'anus :
- Pour que tu aies moins mal...
Je replonge dans une sorte de sommeil hébété. Plus tard, je me réveille en sursaut, mes douleurs reviennent au galop. Le jour à baissé il doit être assez tard. Je sens qu'on farfouille entre mes cuisses : c'est simplement Isabelle qui me retire mon tampon, le plus délicatement possible. Elle me fait mettre ensuite sur le côté pour me faire une piqùre dans la fesses, me disant simplement :
- Antibiotiques. Je vais t'aider à faire tes besoins, ensuite tu vas dormir...
Gentiment, elle m'aide à me lever, m'accompagne jusqu'a la cuvette des WC : je tiens à peine debout et elle me maintient solidement pendant que j'urine, avant de me faire asseoir sur le bidet... Pour la nuit, mon collier et ma ceinture.
Elle me fait coucher sur dos et me demande d'écarter largement les cuisses pour mettre en place la sonde rectale, légèrement plus grosse que celle de la veille.
- Oh non... je vous en supplie, pas ça !!!
- Malheureusement, ce n'est pas moi qui décide. Tu sais, je ne fais que mon boulot ! Mais tu va voir, je serai très douce, et toi tu vas bien te détendre...
Effectivement, elle prend tout son temps pour préparer mon anus, l'enduisant de gel, le dilatant doucement avec ses doigts. Je sais qu'elle a raison et essaie de m'ouvrir le plus possible. Elle profite de ma béance anale pour m'introduire deux suppositoires, avant de présenter le bout de la sonde contre mon anus. La sonde aussi est bien lubrifiée et me rentre entre les fesses sans trop de douleur, sans que se soit non plus agréable, oh non ! Il ne lui reste plus qu'à relier les anneaux entre eux et me voilà enculée pour la nuit.
À ce moment, surprise, elle plonge son visage entre mes cuisses toujours largement écartées et plaque sa bouche sur ma chatte, commençant à me lécher le clitoris et la fente. Je proteste :
- Non, non, je vous en prie... j'ai mal partout...
Mais elle n'en tiens pas compte et sa bouche reste rivée à mon entrecuisse, me sucant avec ardeur. Peu à peu, malgré tout le reste, mon excitation monte. Elle lappe de plus belle, faisant même bouger doucement la tige que j'ai dans le derrière et finit par me faire jouir très fort... Elle a un sourire triomphant, met en place un tampon dans mon vagin, et la dernière chose qu'elle fait avant de quitter la pièce : elle m'embrasse tendrement sur le front !!! Je ne sais plus vraiment où j'en suis mais je ne réfléchis pas longtemps : elle a dû me donner un somnifère et je plonge brusquement : rideau...
Quelques jours se sont écoulés depuis que j'ai eu les seins perçés. Les douleurs à ce niveau s'estompent peu à peu et chaque jour j'ai eu des soins : désinfection, refaire le pansement. Maintenant tout est cicatrisé : chacun de mes mamelons "s'orne" d'un anneau d'or inscrusté à sa base ; on peut trouver ça beau, c'est sourtout pratique pour m'inposer de nouvelles souffrances si on s'amuse à tirer dessus ou les relier par une chaînette, voire y suspendre des poids ! Mes règles sont terminées : une bonne chose.
Les traitements et les punitions se sont succédé à cadence régulière : par exemple j'ai eu droit à un examen gynécologique tous les jours : cette femme doit aimer farfouiller dans un vagin sanguinolent ! Le dentiste a entretenu ma douleur dentaire... Tous les soir on m'a introduit une sonde dans l'anus pour dormir, chaque soir un peu plus grosse : mon petit trou est très assoupli, et le matin, quand on me retire la tige qui le perce, il a du mal à se refermer. Mes deux infirmières habituelles m'ont également pratiqué des séances de dilation manuelles ou l'aide d'une sonde gonglable.
J'ai revu deux fois le gastro-entérologue. La première pour une rectoscopie : prosternée sur la table d'examen, il m'a fait subir un long toucher rectal avant de pénétrer mon anus et mon rectum avec l'anuscope, un tube nickelé assez gros, mais surtout très long, environ 30 cemtimètres, qui n'en finissait pas d'avancer dans mes entrailles ! Ce tube contient un mandrin arrondi à son extrémité qui est retiré quand l'introduction de l'appareil optique est complète : en fait l'examen du rectum se fait en retirant le tube, de la profondeur vers l'anus. Examen long et pénible.
La deuxième fois, pour une coloscopie. Cet examen nécessite une préparation : la veille au soir, on me fit boire six litres d'un produit au goùt peu agréable, mais qui est une purge extrèmement efficace ; je passai une partie de la nuit accroupie sur la cuvette à me vider douloureusement. Le matin, plusieurs lavements successifs et Nora m'avait expliqué dans un grand sourire :
- Te casse pas la tête : c'est pas la mer à boire. On t'enfonce simplement un tuyau d'un mètre cinquante dans le cul.
C'est tout à fait ça : sur le dos, cuisses écartées, lubrification de l'anus, insuflation d'air par la même voie, puis introduction de l'appareil optique qui est poussé lentement mais fermement à l'intérieur, franchissant l'anus, le rectum et remontant le colon. On peut ainsi voir directement tout l'intérieur, également sur un écran. Le tout, bien entendu, en présence de plusieurs personnes. Puis le tube retiré, mise en place dans l'anus d'une sonde creuse pour l'évacuation de l'air et des gaz. Humiliant à souhait et très douloureux dans le ventre. En fait c'est à l'intérieur que ça fait très mal, pas particulièrement au niveau du trou du cul !
Et puis les punitions, bien qu'il ne soit pas simple dans ma situation de faire la part des traitements médicaux toujours mortifiants, des punitions ayant un aspect médical, etc... Sport tous les jours, douches externes glacées, internes brùlantes, choses que j'ai déjà décrites mais qui se renouvellent régulièrement. Les corrections une ou plusieurs fois par jour : je suis fouettée sur tout le corps par deux hommes, suspendue par les poingets, les orteils touchant à peine le sol ; j'ai à subir également les fesées manuelles de mes deux infirmières : attachée à plat ventre sur mon lit, elles se relaient pour frapper violemment mes fesses et le haut de mes cuisses et celà peut durer longtemps (celà les excite toujours de me frapper et elles exigent ensuite que je les fasse jouir avec ma bouche, mais parfois m'autorisent à me branler devant elles ou me le font...) ; couchée sur le dos, attachée, les jambes levées en V très ouvert, on me fouette ou me cravache l'entrecuisse : je sors de ces séances extrèmement pénibles, l'anus et les lèvres tuméfiés et enflés, ainsi bien sûr que mon clitoris qui ressemble à une petite cerise bien mûre.
Je voudrais également citer des tortures plus sophistiquées que je dois subir :
- La boule à l'élastique : une variante du supplice déjà expériementé avec les deux infirmières lors de notre folle journée de baise, en bien pire ! Pourtant, l'objet servant à cette punition peut paraître bien anodin : une simple boule, de la taille d'un petit oeuf, à laquelle est fixé un fort élastique, du diamètre de mon petit doigt, long d'un vingtaine de centimètres. Je suis immobilisée en levrette, on me vaseline le petit trou et on l'ouvre à la main avant d'y introduire la boule en forçant. Mon anus est alors nettoyé soigneusement à l'ether, ce qui a un double but : bien le dégraisser, et le faire se refermer par le froid intense dégagé, empêchant ainsi la boule de ressortir. Ensuite, il suffit de tendre l'élastique et de le relâcher pour qu'il vienne claquer violemment contre mes parties les plus intimes et les plus fragiles ! Le retrait de la boule est une torture en soi : mon anus tuméfié refuse de la rendre, et il faut beaucoup de vaseline et tirer très fort pour y parvenir !
- La poire anale : une sonde rectale avec un ballonet qu'on gonfle une fois introduit à l'intérieur de mon rectum où on peut le laisser des heures durant. Envie permanente d'aller à la selle, difficultés pour uriner par compression, et pénétration vaginale très pénible, pour peu qu'on ait l'idée de m'enfoncer un gode par là, ce qui n'est pas rare...
- Ceinture d'angoisse : après une toilette vulvaire, l'infirmière me met une sonde urinaire dont le balonnet est gonflé dans ma vessie ; mon rectum reçoit la sonde gonflable décrite ci-dessus et un god est enfoncé dans mon vagin. Cela n'est que la préparation, même si c'est extrêmement désagréable. Je suis ensuite enfermée dans un placard très étroit, debout et les poignets croisés reliés à mon collier. Avant de fermer la porte, une barre métallique horizontale est remontée entre mes jambes jusqu'à toucher mon entrecuisse, et bloquée dans cette position. Je peux là aussi rester enfermée des heures il y a les lancement de mon bas-ventre, mais également, la barre ayant une section triangulaire, un angle vers le haut, si je fléchis tant soit peu les jambes (qui se fatiquent vite de cette station immobile) mon entrejambe vient se meurtrir sur cet angle vif !
- Le chevalet : il s'agit d'une espèce de cheval d'arçon qui se trouve dans une pièce entièrement carrelée. Dans cette pièce peu meublée, sur une table sont posés tout un tas d'objets servant à punir de toutes les façons possibles... et imaginables. Je garde des souvenirs cuisant de mes séjours dans cette pièce maudite ! Je dois tout d'abord enjamber la poutre du chevalet et m'y allonger sur le ventre, visage au pubis et je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empéchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir. De plus la cagoule de tissu noir me rend aveugle et décuple mon angoisse, pendant les heures que dure la séance. Comme on a pris la précaution, avant de m'installer sur l'engin de torture de me faire boire beaucoup et d'avaler un laxatif, je peux à tout moment avoir des fuites incontrolables d'urine et de matières fécales qui me valent des insultes, des coups et sont finalement nettoyées à grand coup de jet d'eau, violent et glacé.
Cette torture est double : physique, bien sûr, avec tout ce que l'on peut infliger à mes parties les plus sensibles, mais aussi morale : les mauvais traitements peuvent être continus ou intermittents et je ne sais jamais ce qui va suivre, de même que j'ignore si une ou plusieurs personnes sont présentes dans la pièce. Certaines me parlent, m'expliquent ce qu'elles vont me faire, d'autres agissent en silence. Les temps de repos peuvent durer très longtemps, brusquement interronpus par une nouvelle avanie. Je suis sûre, qu'outre Nora et Isabelle, d'autres, hommes ou femmes, sans doute des toubibs venus se défouler, s'occupent activement de moi, parfois plusieurs à la fois.
Je subis les pénétrations vaginales, anales ou doubles d'objets divers et variés, de godes lisses qui finissent par me faire mouiller en peu, ou ornés de picots ou autres excroissances qui me font très mal et me donnent l'impression qu'on m'arrache la chatte ou le cul. Mais jamais une verge d'homme ne m'a baisée ou enculée : ou ça leur est interdit, ou ils ne m'en jugent pas digne...
Il y a aussi la cravache sur les fesses, ou entre elles ; les injections vaginales et les lavements punitifs, plus ou moins corrosifs ; les pinces sur mes lèvres intimes ; le remplissage de mon vagin ou de mon rectum avec de petits cailloux arrondis qu'il est ensuite très pénible de rejeter surtout par derrière, ou de glaçons, ou d'orties fraîches. Sans pouvoir être exhaustive, vu la diversité incroyable de ce que j'ai pu endurer sur ce chevalet, il ne faut pas oublier des éléments très faciles à trouver et peu onéreux, tels le piment ou la moutarde forte, et des brûlures qu'ils ont provoqué à mes muqueuses intimes...
- Le pal : mains liées dans le dos, barre d'écartement entre les chevilles, je dois m'accroupir et poser mon anus sur la pointe arrondie d'une pièce de bois verticale, lisse, conique et lubrifiée : la fatique de mes jambes les fait fléchir peu à peu et je m'empale toute seule, jusqu'à ce produise une sorte d'équilibre, quand elles atteignent un certain degré de flexion et que j'ai trente centimètre de bois entre mes fesses, mon anus écartelé car la tige à son niveau fait plusieurs centimètres de diamètre. Ce n'est pas très long et une personne reste toujours près de moi, me regardant pleurer tout mon saoul. Mal au cul, au dos, aux jambes...
- La pompe à vélo : très prisée par mes chères infirmières, surtout Nora. L'usage en est très simple : me l'introduire dans le trou du cul, pomper quelques coups pour me gonfler douloureusement le ventre. Ensuite, je n'ai plus qu'à rejeter par des pets très sonores, qui me vexent et les amusent bien. Un jour, Nora, toujours farceuse, a eu l'idée, la pompe retirée de mon trou du cul, d'y mettre un sifflet à la place !!! Elle en a bien ri, me traitant de cocotte minute, ou plaisantant dans le genre L'arrière-train sifflera trois fois"...
- Corvée de chiottes : debout, sans mes accessoires en cuir dans une sorte de placard très étroit, dans lequel je ne peux pas bouger, y étant quasiment encastrée. Au sol, les pieds sur une large grille, au dessus de ma tête, à quelques centimètres, un trou rond, celui d'un WC placé au-dessus. Je reste des heures dans ce réduit à l'odeur infecte, et chaque fois que quelqu'un va aux toilettes, les déjections tombent sur ma tête, coulent le long de mon corps avant de disparaître dans le grille. Quand il ne s'agit que d'urine, je sais reconnaître si c'est un homme ou une femme qui est en train de soulager sa vessie : les hommes urinent debout, directement dans le trou, et le jet dru frappe directement mon crâne ; les femmes, elles, s'accroupissent pour pisser et leur jet d'urine se brise contre la cuvette avant de dégouliner en pluie sur moi. Pour la défécation, pas de différence : c'est toujours aussi dégueulasse. Là aussi, j'ai eu droit à boire et à un laxatif et je fais sur moi : le bas du placard est beaucoup étroit et je n'ai même pas la possiblité d'écarter les jambes. C'est une sensation ignoble, de sentir ces matières fécales gluantes glisser le long de moi, mêlées d'urine. Quand on me sort de là, mon corps entièrement souillé dégage une puanteur effroyable et un long lavage au jet est vraiment indispensable…
- Ce matin, les infirmières me font une grande toilette comme le jour où j'ai eu les seins percés, mais m'ont rassurée à moitié en me disant que j'allais chez l'urologue. Je n'ai plus mal aux seins et elles vérifiient que les anneaux jouent librement dans les trous; Toilette intime très poussée, obturation de mon anus avec du sparadrap. Elle m'enfilent ensuite une camisole, la traditionnelle charlotte sur la tête, puis un pantalon de toile entirèrement ouvert entre les jambe et des bottes de toile. Puis les brancardiers viennent me chercher pour m'emmener dans la salle d'examen.
Cette fois, c'est position gynécologique que je suis attachée. La doctoresse est celle que j'ai déjà vue lors de mon examen d'admission, revêche à souhait, elle me laisse entre les mains de son assistante pour me préparer, me disant simplement :
- Je vais examiner ta vessie...
La jeune assistante, gantée et portant un masque commence par poser une pince aux mors recouverts de caoutchouc sur chacune des lèvres de ma fente. Ces pinces reliées à une attache élastique tirent mes lèvres intimes vers l'extérieur, écartant et ouvrant largement ma vulve. La fille est sympa, pour une fois, et me parle plutôt gentiment, m'expliquant ce qu'elle me fait :
- Maintenant que tu es bien ouverte, je vais te désinfecter la vulve...
Elle montre une grande dextérité, ne se servant pas de ses doigts mais de pinces pour saisir les compresses, les imprégner de liquide et frotter soigneusement tout l'intérieur de ma chatte, depuis le clitoris jusqu'à l'entrée du vagin. C'est froid et ça pique un peu. Elle continue son exposé :
- Le docteur va introduire un tube optique muni d'une caméra miniature dans ta vessie pour en examiner l'intérieur. Tu pourras d'ailleurs voir toi aussi les images sur cet écran. Pour cela, il faut te dilater l'urètre, le petit trou par lequel tu urines, si tu préfères, je vais le faire avec cette série de bougies.
Elle me montre un plateau sur lequel sont alignées, rangées par diamètre croisant, des tiges de gomme demi-souple, d'une vingtaine de centimètres de long, à l'extrémité ovoïde. Elle saisit la plus fine, l'enduit de vaseline et penche son visage sur mon entrecuisse. Elle me prévient :
- C'est un peu désagréable, mais tu dois bien te détendre, ainsi tu auras moins mal. Dès que tu sens le bout de la bougie, pousse fort, comme pour faire pipi...
En effet, je sens la tige pénétrer mon meat urinaire. C'est extrèment désagréable. Et ça le devient de plus en plus, avec le diamètre de la bougie qui augmente chaque fois d'un cran. Quand elle en retire une, elle nettoie à nouveau ma vulve et les quelqus gouttes d'urines qui s'écoulent. Puis elle en introduit une autre... Elle prend tout son temps, est très douce dans ses gestes, n'empêche que j'ai de plus en plus mal et ne peux m'empêcher de geindre, de pleurer et de la supplier d'arrêter.
- Je suis vraiment désolée, mais je dois continuer à te dilater. Allez, console toi, chez l'homme c'est bien pire car l'urètre est beaucoup long.
Elle ajoute à mi-voix :
- Il est vrai qu'abituellement la cystoscopie se pratique sous anesthésie générale... Tu peux crier, si cela te fait du bien : tout à l'heure je devrai te bâillonner : la doctoresse aime opérer dans le calme... Allez, détends-toi : ça avance.
Cette dilatation barbare dure plus d'une heure. Je n'en veux pas à la fille qui ne fait que son boulot, avec une gentillesse à laquelle on ne m'a pas habituée dans cette clinique... Enfin, la plus grosse bougie en mise en place, d'un diamètre au moins d'un doigt !!!
- Et voilà ! Le plus dur est fait. Je vais maintenant nettoyer ta vessie en y injectant un produit antiseptique, puis j'aspirerait le peu d'urine qui peu y rester, t'insuflerai de l'air, et ta préparation sera terminée.
La grosse bougie est remplacée par une sonde à double courant, de taille identique. Elle est reliée vers le haut à un sac en plastique contenant un liguide verdâtre qui commence à me remplir, puis s'écoule dans un autre sac, suspendu sous la table d'examen.par terre. Quand la poche du haut est vidée, elle débranche les deux tubulures et remplace celle du bas par l'extrémité d'un tube qui aspire fortement. Elle bouche ensuite cette partie de la sonde et abouche un autre tuyau à celle laissée libre et me gonfle, en effet ! Puis s'excusant, elle me fait ouvrir la bouche, mordre la boule de liège, attache le cordon autour de mon coup et complète mon bâillon avec du sparadrap : il ne lui reste plus qu'à aller chercher la toubib.
L'introduction du fibroscope et l'examen proprement dit ne sont pas tellement plus pénible que la longue préparation que je viens de subir. Je vois les images de l'intérieur sur l'écran c'est curieux et captivant, si je ne souffrais pas comme une damnée...
Enfin, l'engin est ressorti et la doctoresse s'en va sans un mot. Son assistante me dit :
- Et voilà, c'est terminé. Tu as été très courageuse ! Pendant deux jours il faudra garder une sonde et un rinçage de vessie pour éviter tout risque d'infection.
Dernière toilette vulvaire et les brancardiers me ramènent dans ma chambre, une soude urinaire à double courant entre les cuisses, de taille normale, celle-là, reliée vers le haut à un sac contenant plusieurs litres de liquide transparent, et en bas à un autre sac vide pour l'instant.