La matheuse matée (16) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre 16.
En attendant le retour prochain de Sylvie, Joëlle proposa un bon petit 69 à Sandrine qui l'acepta sans discuter. Alors les deux filles se déshabillèrent une nouvelle fois, ne conservant que leur porte-jarretelles et leur bas et s'installèrent sur l'un des autres lits. C'est ainsi que l'infirmière les trouva à son retour : tête-bêche, Sandrine au-dessus, chacune la bouche plaquée à la chatte de l'autre, se lêchant furieusement, lui jetant à peine un coup d'oeil tant elles étaient occupées, dans pour autant s'interrompre. Sylvie eut un grand rire, jeta son sac à main sur un lit et leur dit :
« Continuez, les filles, ne vous gênez pas pour moi ! »
Elle s'approcha du duo entremêlé nullement décidé à se séparer, glissa un doigt dans chaque vulve inondée, les caressa un peu avant de le leur planter résolument entre les fesses, ce qui provoqua un double et intense orgasme ! Les filles se désunirent et s'écroulère en vrac, membres mélangés et Sylvie s'approcha du lit où était couchée la prof de math à qui elle demanda gentiment :
« Comment ça va Fabienne ? Tout c'est bien passé ? »
Pour réponse, elle n'obtint que quelques grognements mais ne s'en formalisa nullement, se contentant de rejeter draps et couvertures vers le pied du lit pour découvrir la jeune femme. Elle admira la préparation faite par Sandrine : Fabienne portait une charlotte non tissée emprisonnant tous ses cheveux, une chemise d'hôpital, des gants en latex et ses poignets étaient attachés aux bords du lit par des bracelets rembourrés.
Pour le bas de son corps, on lui avait enfilé un drôle de vêtement également en non-tissé, lui aussi bleu pastel : une sorte de pantalon la recouvrant des pieds inclus jusqu'à la taille. Sylvie releva le bas de la chemise : l'étrange pantalon était en fait entièrement fendu à l'entrejambe, mais actuellement la fente était soigneusement refermée avec du sparadrap, ne laissant passer que la tubulure de la sonde urinaire, qui passait ensuite sous la cuisse droite avant d'aller se perdre dans la poche suspendue au bord du lit. Les chevilles n'étaient pas attachées, elles : à quoi bon ? son entrejambe distendu l'empêchant absolument de serrer les cuisses et à plus forte raison de croiser ses jambes. Sylvie nota mentalement un point pour Sandrine : Fabienne ne portait aucun maquillage et le vernis de ses ongle avait été soigneusement enlevé.
L'infirmière se tourna avec un grand sourire vers Joëlle :
« Tu veux bien te rhabiller et nous laisser, ma grande ? »
L'autre, un peu vexée d'être ainsi mise à la porte fit contre mauvaise fortune bon coeur et obtempéra sans discuter. Sandrine toujours nue vint se placer debout près de Sylvie, au bord du lit sur lequel était couchée la prof de math et demanda d'un air mutin à son amie :
« Dois-je me rhabiller aussi, Sylvie ? »
« Surtout pas, » Lui répondit la jeune femme, « Tu es bien trop jolie comme ça ! »
Le compliment était sincère et la jeune fille eut un large sourire de contentement. Puis elle expliqua en détail tout ce qu'elle avait fait pour préparer la patiente en vue de l'opération et Sylvie la félicita avant de la prendre dans ses bras et l'entraîner vers un autre lit tout en se débarrassant de son long manteau qu'elle laissa tomber sur le sol. Pour ce faire, elle dut s'écarter un instant et les deux autres purent, surprises, admirer sa tenue inhabituelle et très sexy : maquillage un peu voyant, débardeur trèsf échancré, vert fluo sans soutien-gorge, bottes à talons hauts en cuir noir, ainsi que la mini-jupe assortie qui ne couvrait qu'en partie le revers de ses bas noirs. Devant l'air ahuri de sa jeune amie, elle éclata d'un grand rire joyeux, relevajuste une seconde le devant de sa trop courte jupe, dévoilant sa toison intime blonde et bouclée et dit :
« Tu vois, en plus, je n'ai pas de culotte ! »
Sandrine fut mordue par un très fort sentiment de jalousie : elle comprit que son amie revenait directement d'un de ces week-ends qu'elle s'accordait parfois et qu'elle consacrait au sexe et dont elle lui avait parlé en lui expliquant que ça n'avait aucune importance, que c'était purement physique. Sylvie appelait ces escapades ses séances "de baise intense", "de chienne", "de salope" et autre qualificatif délicats, du style "se faire remplir de foutre par tous les trous". L'adolescente s'efforçait de ne pas en prendre ombrage, mais quand même ! En plus, serrée contre elle, elle avait senti l'inhabituelle odeur lourde qui l'enveloppait... Sylvie lui dit à l'oreille :
« Ne m'en veux pas, ma douce, je n'aime que toi ! »
La jeune fille, au ton employé, sut que c'était la pure vérité et se détendit. L'autre murmura encore pour elle seule :
« Laisse-moi t'aimer, je t'en prie, mais ne me touche pas : ce soir, je ne te mérite pas, ma chérie... »
Et Sandrine se laissa basculer sur le lit, replier les jambes et écarter largement ses cuisses avant de sentir la bouche vorace de son amante se plaquer comme une ventouse sur sa vulve. Il ne lui fallut pas longtemps pour s'envoler dans un très bel orgasme...
Ensuite Sylvie l'aida amoureusement à se rhabiller et la racompagna jusqu'à la porte, s'excusant encore et lui promettant qu'elle passeraient toutes les nuits de la semaine suivante dans le même lit.
Puis elle revint auprès de la pauvre prof totalement impuissante, glissa sa main sous sa mini-jupe, s'enfonça deux doigts bien à fond dans la chatte puis les présenta à la bouche de Fabienne qui ne put que les sucer, retrouvant sur les phalanges humides un goût et une odeur qu'elle avait presque oubliés, ceux du sperme. Et Sylvie joua ainsi un moment, une main entre les cuisses, l'autre dans la bouche de la prof, en alternant. En même temps elle lui racontait son week-end dans un club très privé où elle s'était faite baiser par tous les trous et lui proposa de l'y emmmener prochaînement. Puis elle cessa son manège, se pencha sur l'entrejambe de la patiente involontaire et entrepris de décoller le sparadrap avant d'écarter largement la fente du pantalon spécial : elle eut un petit sifflement admiratif à la vue de ses trous intimes dilatés presqu'au point de se déchirer. Elle flatta du dos de la main l'extérieur bien lisse des grandes lèvres : celles-ci était maintenues écartées par les sondes et au-dessus de la sonde urinaire, le clitoris turgescent saiialit obscènement au sommet des petites lèvres. Sylvie y posa son doigt, et d'une rapide masturbation, amena sa compagne à l'orgasme, une jouissance aussi douloureuse qu'agréable, ses muscles intimes ne pouvant se contracter librement.
Mais la jolie infirmière n'insista pas trop : elle avait largement sa dose et elle savait qu'elle pourrait par la suite aller très loin dans la domination de la jeune femme. Alors elle la libéra de toutes ses contraintes, la laissa se rhabiller et la congédia.
Fabienne passa la semaine suivante dans les transes : elle dût porter une serviette hygiénique le temps que ses orifices, qui d'ailleurs n'avaient subi aucun dommage, retrouvent leur tonicité normale. Elle redoutait et espérait en même temps que Sylvie se manifeste, d'une façon ou d'une autre, mais il ne se passa rien de tel : elle se sentait complètement déboussolée. A la fin du premier cours Sandrine s'attarda pour la remercier discrètement et sans insister. Quant-à Joëlle, elle ne fit aucune allusion à ce qui s'était passé. La prof aurait pu presque croire qu'elle avait fait un mauvais rêve.
Naturellement, elle ignorait que sous son apparence cordiale et un peu froide, l'infirmière cogitait ferme sur la suite de son dressage...
À suivre ?