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La matheuse matée (14)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 14.

            Les deux adolescentes s'étaient complètement rhabillées pour aller dîner et Joëlle demanda timidement :

« Tu permets que je te déshabille, Sandy ? »

            L'autre lui sourit :

« Bien sûr, Jojo, si ça t'amuse, mais ne compte pas sur moi : je dors déjà ! »

                        Sur ce, elle se dirigea vers les toilettes à la turque, posa ses pieds sur les patins, se troussa largement, baissa son slip à micuisse, s'accroupit et se mit à pisser sans s'occupper du reste. Sa miction achevée, elle se redressa et se reculotta sans s'essuyer la vulve avant de laisser retomber ses jupes. Puis elle alla s'affaler toute habillée sur le lit double, sur le dos, bras en croix, yeux fermés et murmura :

« Bonne nuit ! »

                        C'était un des principaux fantasme de la jeune fille : être une poupée Barbie à qui on pouvait tout faire sans qu'elle réagisse et qui d'ailleurs plaissait beaucoup à son amie Sylvie. Joëlle fut également très excité d'avoir ainsi sa copine totalement inerte à son entière disposition, bien décider à en profiter et à l'explorer dans ses moindres recoins, de préférence les plus secrets. Elle aussi alla soulager sa vessie, puis elle baissa les lumières et se déshabilla rapidement, ne conservant sur elle que sa petite culotte.
            Elle s'approcha du lit sur lequel gisait son amie, se pencha sur son visage et déposa doucement ses lèvres sur les siennes, glissa un petit bout de langue entre elles, mais l'autre ne lui rendit pas son baiser, bien décidée qu'elle était à se laisser faire sans réagir. Alors, les mains de Joëlle partirent doucement à la découverte du corps abandonné de son amie. Elle lui retira délicatement ses chaussures, déboutonna et écarta sa blouse blanche, en fit autant du chemisier, abaissa les bretelles de la combinaison pui celles du soutien-gorge, dégageant les seins minuscules qu'elle caressa, en titillant les bouts de la pointe de sa langue, en aspirant les tétons durcis, ne provoquant ainsi chez sa partenaire passive que quelques soupirs de bien-être. Mais bien sur, bien vite cela ne lui suffit plus : alors elle troussa largement la jupe et la combinaison, dévoilant les jambes et les cuisses longues et minces gaînées de bas blanc qu'ell écarta largement sans rencontrer la moindre résistance, puis plongea son visage dans la fourche de sa poupée du moment, reniflant longuement l'entrejambe très humide de sa culotte, avant de l'écarter pour jouir de toute l'intimité de son amie.
            Fabienne qui en avait "plein le cul", au propre comme au figuré, observait la scène depuis son lit, une main sur le renflement de sa vulve imberbe, hésitant à intervenir, fascinée par le corps adoré écartelé et débraillé qu'elle avait sous les yeux. Mais quand Joëlle lui demanda :

« Fabienne, venez m'aider à la mettre complètement à poil ! »

            Elle n'hésita qu'une fraction de seconde avant de se décider à lui prêter son concour afin que la jolie Sandrine se retrouve toute nue. D'ailleurs, l'opération ne se révéla pas si simple que ça, la jeune fille bien décidée à ne pas leur faciliter le travail se faisant toute molle. Certes, détacher ses bas des jarretelles, les rouler délicatement le long de ses cuisses et de ses jambes avant de les lui retirer complètement fut assez facile, de même que de la débarrasser de son slip. Pour le reste de ses vêtements, ce fut plus compliqué, mais rapidement, les deux complices trouvèrent le bon rythme : Fabienne, la plus forte, soulevait l'adolescente inerte, au moins la partie de son corps à dénuder et Joëlle lui retirait une à une les pièces de son habillement. Enfin Sandrine fut entièrement nue et les deux autres en profitèrent sans vergogne, la caressant et l'embrassant partout où c'était possible. Sandrine se laissait faire sans réagir, seul ses muscles pelviens se contractaient quand elle jouissait, ce qui arriva un grand nombre de fois, avant qu'elle ne s'endorme rééllement, une langue dans la chatte, l'autre dans son anus, chacun de ses minuscules seins titillé par une main amoureuse...
            Quant-aux deux autres, égoïstement, elles ne se touchaient pas entre elles, consacrant leur bouche et une main à Sandrine, l'autre main rivée entre leurs propres cuisses. Epuisées, elle finirent par s'endormir aussi, tête-bêche, le visage tout près de l'entrejambe l'une de l'autre...

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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