La matheuse matée (5) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre5
Sandrine se lava rapidement les mains, prépara un plateau émaillé avec ce dont elle aurait besoin, quitta la pièce, alla poser son plateau dans l'une des chambres vide de l'infirmerie, puis revint dans l'entrée. Joëlle attendait derrière la porte donnant sur le parc : elle lui ouvrit, la laissa entrer et referma derrière elle, lui sourit gentiment en lui disant :
- Sylvie est occupée et m'a chargée de la remplacer auprès de toi. Tu viens Jojo ?
Les deux filles qui étaient bonnes copines suivirent le long couloir en bavardant. Sandrine savait qu'elle plaisait beaucoup à Joëlle qui le lui avait fait clairement comprendre, ce qui était d'ailleurs réciproque, mais il y avait Sylvie qui occupait une place immense dans son coeur... Joëlle dit doucement :
- La blouse blanche te va drôlement bien, Sande ! Tu as vraiment de la chance de pouvoir jouer encore au docteur à notre âge !
En fait, bien qu'elles fussent dans la même classe, Joëlle qui n'en avait sauté aucune, avait plus d'un an de plus que sa camarade. Elle était partagée entre la honte que faisait monter en elle la raison de sa venue : recevoir deux suppositoires dans le postérieur, et le plaisir de se retrouver seule avec sa copine. Sandrine tourna son visage vers elle et dit sérieusement :
- Tu sais, ce n'est pas vraiment un jeu, c'est du réel, mais d'accord, je ne déteste pas ça ! D'ailleurs, toi-même tu y joues aussi, au docteur, sauf que tu joues le rôle de la malade.
Joëlle soupira et continua d'un air boudeur plutôt comique :
- Ouais, comm d'hab ! Tu veux que je te dise, Sande ? Et bien c'est trop injuste : tu connais les parties les plus intimes de la plupart d'entre nous, et par contre, personne, à part Sylvie, n'a seulement entraperçu ce que tu caches jalousement dans ta petite culotte ! Tu trouves ça normal ?
Sandrine lui sourit de toutes ses petites dents blanches parfaitement alignées :
- Crois-tu vraiment que ce soit si différent de ce que tu planques dans la tienne ? Que par exemple mon minou serait fendu dans l'autre sens ?
- Fais chier Sande ! Tu es une sale conne qui veut toujours avoir raison ! Je te déteste !
La lueur dans ses yeux démentait la verdeur de ses propos et Sandrine pas dupe, lui répondit d'un ton faussement sévère :
- Est-ce ainsi qu'on parle à son médecin, espèce de malpolie ?
Les deux jeunes filles éclatèrent d'un rire complice. Elles avaient atteint la chambre dans laquelle Sandrine avait déposé son plateau, et une fois entrées, elle referma la porte derrière elles. Joëlle demanda encore à son amie :
- C'est vrai que les infirmières sont toujours nues sous leur blouse ?
Sandrine écarta les bras et lui répondit :
- Si ça t'intéresse tant que ça, tu n'as qu'à regarder par toi-même !
Joëlle n'hésita qu'un instant, puis déboutonna les quatre boutons qui fermaient la blouse de son amie avant d'en écarter largement les pans et accroupie devant elle, elle la contempla ravie. Elle put constater que l'adolescente n'était pas du tout à poil dessous : soutien-gorge surdimensionné, slip non assorti, bas blancs un peu trop longs... Elle leva les yeux et murmura :
- Ce que tu es belle Sande !
Puis avec un regard suppliant, elle osa demander :
- Me permets-tu de baisser ta culotte Sande s'il te plaît ?
- Non, pas maintenant, Jojo. N'inverse pas les rôles s'il te plaît : la malade c'est toi, pas moi ! Tu dois mériter la permission de me déculotter !
Joëlle se releva et implora :
- Que devrais-je faire pour obtenir ta permission Docteur ?
- Avant tout être une patiente très docile, ensuite on verra si tu es bien sage, si tu mérites une récompense !Pour l'instant, déshabille-toi et pose tes vêtements sur la chaise. Comme je suis bonne fille, je t'autorise à garder tes bas.
Assise sur le bord du lit sans prendre la peine de reboutonner sa blouse, Sandrine assista intéressée au candide euffeuillage de Joëlle. Celle-ci, bien décidée à lui plaire coûte que coûte, s'appliquait : elle déboutonna les poignets puis le devant de son chemisier, en dégagea les pans de la ceinture de sa jupe, la retira lentement avant de la poser soigneusement sur le dossier de la chaise. Elle resta dos tourné, se cambra, retourna ses mains dans son dos pour faire sauter l'agraffe de son soutien-gorge qu'elle retira et posa sur la chaise avant de se retourner vers Sandrine : elle était fière à juste titre de sa poitrine : deux seins en poire aux larges aréoles assez claires et dont les tétons pointaient. Ensuite elle marqua un temps d'arrêt avant de s'attaquer à la ceinture de sa jupe, puis elle abaissa la fermeture à glissière et fit descendre le vêtement le long de ses cuisses puis de ses jambes, se tortillant juste ce qu'il fallait, leva un pied après l'autre pour le retirer complètement et pris tout son temps pour le poser bien en pli par-dessus son chemisier. De même que pour son soutif, elle resta de dos pour baisser sa culotte, prenant tout son temps, dévoilant sa chair centimètre par centimètre : montrant d'abord l'amorce de sa raie culière, puis la pleinitude de ses jolies fesses rondes. Elle plia le moins possible les genoux, se penchant en avant, ses mains suivant le sous-vêtement jusqu'à ses chevilles, sachant pertinemment le spectacle qu'elle offrait à son amie ! Elle eut un mouvement charmant, bien que pas vraiment spontanné, contrairement aux aparences : dès qu'elle eut dégagé ses pieds de sa culotte, elle porta rapidement celle-ci à ses narines avant de la poser sur la chaise. Son geste pourtant furtif fit sourire Sandrine à qui bien sur il n'avait pas échappé ! Ses mocassins retirés et glissés sous la chaise, elle fit face à Sandrine, seulement vêtue de ses bas sans jarretelles qui montaient très haut sur ses cuisses, presque jusqu'à l'aine, sa poitrine de marbre, le buisson doré au bas de son ventre. Sandrine ne chercha pas à masquer l'admiration qu'elle ressentait pour ce joli corps de femme, bien plus mature que le sien, un peu d'envie aussi... Le temps sembla se figer pendant plusieurs longues secondes, Joëlle debout presque nue, le buste arrogant, les bras le long du corps, et Sandrine lui faisant face, quasiment hypnotisée. Cette dernière s'ébroua, reprit contact avec la réalité : elle sauta du lit, attrappa l'oreiller, le plia en deux, le posa au bord du lit et dit :
- Jojo, tu vas t'étendre en travers du lit, les reins sur le coussin puis tu vas replier tes cuisses sur ta poitrine et bien les écarter !
L'autre s'installa comme il lui était demandé, un peu surprise que Sandrine ne l'ait pas faite prosterner avec les fesses bien ouvertes, mais compris bien vite que dans cette position, elle montrait bien plus largement son intimité. Cela l'excitait plus que ne la gênait et elle força même la pose, genoux collés à sa poitrine, de part et d'autre de ses seins, afin de s'exhiber encore plus : elle avait lu le désir dans les yeux de son amie et espérait bien la faire craquer ! Son entrecuisse béant, presque horizontale, sa tête pendant dans le vide, elle attendit la suite avec impatience. Sandrine était bien plus troublée qu'elle ne l'aurait cru, mais ses scrupules s'envolaient à tire d'aile : Sylvie ne lui avait-elle pas seriné qu'elle n'était pas seule au monde, ne l'avait-elle pas incitée plus d'une fois à s'intéresser à d'autres filles, et enfin, ne prétendait-elle pas que la fidélité n'était qu'un concept débile et petit-bourgeois ? Et d'ailleurs que faisait-elle en ce moment sa chérie avec la future prof ? Elle plaisait à sa copine, celle-ci, ainsi écartelée et offerte lui plaisait aussi, alors pourquoi se gêner ? Elle remercia l'impulsion qui l'avait poussée à lui demander de s'allonger dans cette posture particulièrement obscène et se décida à jouer avec le corps de son amie, dont elle savait bien qu'elle n'attendait que ça... Elle se plaqua au bord du lit, ses cuisses encadrant le visage de Joëlle, se pencha sur elle, lui écarta délicatement les grandes lèvres pour ouvrir davantage sa jolie petite chatte blonde, respirant à pleins poumons son odeur intime. Elle demanda :
- Tu m'as l'air bien excitée, petite cochonne ! Tu t'es branlée combien de fois depuis ce matin ?
- Trois fois... C'est toi qui m'excite Sande ! Et toi, on dirait que tu as pissé dans ta culotte tellement elle est humide ! Tu sens vachement bon, tu sais ?
Sa voix était étouffée, assourdie, ce qui n'avait rien d'étonnant, sa tête emprisonnée entre les cuisses de Sandrine, sa bouche collée au fond de son slip...
- Alors renifle-moi bien petite chienne chérie !
Elle se pencha un peu plus et donna quelques rapides coups de langue sur le clitoris que ses doigts avaient décapuchonné, faisant frissonner et gémir Joëlle. Puis elle se saisit du thermomètre et commença à jouer avec, caressant le clitoris, les petites lèvres avec la fine pointe de verre, l'enfonçant doucement dans le vagin, le faisant aller et venir, le retirant pour picorer le pourtour de l'anus avant de le pénétrer de quelques millimètres, de ressortir, remonter le long du périnée, s'enfouir encore dans le vagin trempé, revenant au clitoris... Au bout d'un moment de ce jeu frustrant, elle décida de donner l'estocade : elle posa la pointe de verre au centre de la rosette et poussa lentement mais fermement et fit disparaître presque entièrement le thermomètre dans le rectum de sa patiente, ce qui ne présenta aucune difficulté, tant il était luisant et lubrifié par ses sécrétions intimes. Après un temps, elle le retira, le renfonça, plaqua sa bouche sur sa vulve, se mit à la lécher tout en lui branlant le cul avec la tige de verre. Le résultat ne se fit pas attendre : Joëlle cria son plaisir et Sandrine ressentit sur sa bouche les contractions spasmodiques de ses muscles vaginaux qui accompagnaient l'orgasme et celles de son sphincter qui tentaient d'expulser le thermomètre qu'elle laissa ressortir, buvant goûlument toute la jouissance de son amie.
Sandrine se redressa, s'écarta du lit en disant :
- Ne bouge pas, Jojo, je n'ai pas fini.
Elle lui montra le thermomètre un peu souillé avant de le plonger dans l'alcool et annonça fermement :
- Je vais te donner un petit lavement pour évacuer ton rectum, sinon tu ne pourras pas garder les suppositoires ce qui annulerait leur action.
- Oh non, Sande, je t'en prie, pas ça !
Elle la regardait suppliante, le visage renversé en arrière, mais ne bougea pas d'un poil. Sandrine s'accroupit, lui prit le visage et l'embrassa sur les lèvres dans cette drôle de position inversée. Leurs langues se joignirent, luttèrent, s'enroulèrent l'une autour de l'autre en un baiser passionné. Sandrine se releva, prit le kit à usage unique sur le plateau et en déchira l'emballage. Celui-ci contenait une bouteille en plastique d'un demi-litre remplie d'une solution d'un antiseptique léger auquel on pouvait ajouter d'autres produits suivant les besoins et d'une série de canules en plastique de tailles diverses : le dispositif était destiné à injecter un produit quelconque dans la vessie, le vagin ou bien sur le rectum, bien que cette dernière destination soit plus marginale. Elle dévissa le bouchon, vissa à la place une canule moyenne, de 15 centimètres de long, d'un diamètre de 1,5 et dit :
- Si tu permets, Jojo, je vais me mettre à l'aise !
Oh oui, l'autre permettait, et pas qu'un peu ! Sandrine finit de se débarrasser de sa blouse puis retira son slip et revint se placer comme avant : immédiatement, elle sentit avec plaisir la bouche de Joëlle explorer son entrecuisse, plus gênée par le rempart de tissu : elle n'avait pas agi uniquement pour lui faire plaisir, mais se sentait aussi frustrée par la présence de sa culotte. Elle écarta davantage ses jambes pour lui faciliter l'accès à son intimité, et lui lubrifia l'anus avec sa mouille prélevée de ses doigts à l'entrée de son vagin. Pour lubrifier la canule qui surmontait la bouteille, quel meilleur moyen de lui faire faire quelques aller retours dans la chatte de son amie ? Ce qu'elle fit sans état d'âme, sachant pertinemment que Joëlle n'était plus vierge, leur ayant raconté à elle et quelques autres son dépucelage dans les moindres détails. Le changement de trou de la canule ne posa pas de problème particulier et ne ralentit même pas le ballet endiablé que menait la langue de Joëlle entre ses cuisses et entre ses fesses ! Le rectum de la patiente ayant absorbé la canule sur toute sa longueur, Sandrine présenta la canule vaginale à l'ouverture à laquelle il était destiné et dans laquelle elle s'enfonça sans coup férir ! Alors, tenant une canule dans chaque main, elle entreprit de ramoner les deux orifices de son amie dont la langue ne s'activa que mieux ; de temps à autre, elle pressait la bouteille, envoyant une petite giclée de liquide dans le rectum de Joëlle. Elle eut le temps de jouir deux fois sous la langue diabolique avant d'avoir vidé la bouteille, puis elle retira les deux canules.
Joëlle cette fois n'avait pas éprouvé d'orgasme : elle n'était pas encore suffisament vaginale ou anale pour cela, mais ne regrettait rien : elle adorait le goût de la chatte et de l'anus de Sandrine dont elle avait avalé tout son jus d'amour. Par ailleurs, le peu d'eau injectée dans son rectum ne la gênait pas vraiment : les lavements que Sylvie distribuait généreusement faisaient au moins deux litre. Au contraire, elle avait bien aimé sentir les petites giclées entre ses fesses.
Plus tard Sandrine l'aida à descendre du lit, la prit par la main et la conduisit dans la salle de bains attenante, la fit asseoir sur la cuvette, puis elle s'accroupit, et dit : "Vas-y mon bébé, fais caca !" en prenant un de ses tétons dans sa bouche et en glissant une main entre ses cuisses qu'elle incita à écarter plus largement. La situation embarrassait un peu Joëlle : elle aurait préféré être seule pour se soulager, mais d'une part elle voulait faire plaisir à son amie, et d'autre part, entre une main qui lui caressait un sein, une bouche qui tétait l'autre et encore une main sur sa chatte, elle ne pouvait résister longtemps, même si le besoin de se vider n'était pas si urgent que ça. Alors elle se mit à pousser demandant à Sandrine de retirer sa main, ce que l'autre refusa catégoriquement, continuant simplement de la masturber. Alors elle se laissa aller et se mit à uriner en même temps qu'elle vidait son rectum. Sandrine lui sourit :
- Mais tu me pisses sur les doigts, petite cochonne ! Continue ma chérie, c'est chaud et bon !
Puis Sandrine lécha ses doigts, les fit lécher à son amie et celle-ci fit un brin de toilette avant de se retrouver prosternée sur le lit, s'écartant les fesses à deux mains sur la demande de Sandrine. Celle-ci présenta successivement les deux suppositoire à sa rosette et les poussa chacun le plus loin possible à l'aide du thermomètre. Puis les deux adolescentes se rhabillèrent en échangeant des plaisanteries entrecoupées de grands éclats de rires. Sandrine raccompagna son amie et elle se séparèrent après avoir échangé un long et tendre baiser et s'être promis de remettre ça à la première occasion ! D'ailleurs Sandrine avait une petite idée derrière la tête : et si elle demandait à Sylvie de lui apprendre comment faire un rinçage de vessie, elle ne refuserait certainement pas ? Et si à cette occasion Joëlle leur servait de cobaye ? Ça pourrait être amusant !
Peu après que Sandrine eut quitté la pièce pour aller s'occuper de Joëlle, les deux jeunes femmes avaient poursuivi leurs ébats. Fabienne n'en revenait pas : elle, qui le matin même considérait l'homosexualité féminine comme contre nature, était en train de se gouiner sans retenue, complètement déchaînée, ne comptant plus les orgasmes qu'elle avait éprouvés ou dispensés, avec cette jeune femme inconnue qui l'avait pourtant humiliée comme jamais elle ne l'avait été ! Le fait qu'elle n'avait eu aucun rapport sexuel depuis pas mal de temps, n'excusait ni n'expliquait rien à ses yeux.
Elles avaient changé plusieurs fois de position, rejeté tous leur vêtements, s'étaient roulées nues enlacées sur le sol, frotté leur sexes l'un contre l'autre, ainsi que leurs seins, s'étaient léché la chatte tête-bêche, fourré leur langue et leurs doigts dans tous les orifices possible. Cependant, leur fringale sexuelle avait fini par s'apaiser quelque peu et elle parlèrent de choses et d'autres, toujours nues, et Sylvie s'était efforcée de déculpabiliser et décomplexer Fabienne, mais avait du mal à y arriver, l'autre étant revenue naturellement au vouvoiement, après ce qu'elles avaient fait ensemble !
Quand Sylvie entendit Sandrine raccompagner sa camarade, elle proposa à Fabienne :
- Si tu es d'accord, Fabienne, on pourrait faire une surprise à Sandrine ?
Fabienne se demandait ce qu'elle allait encore inventer et demanda prudemment :
- À quel genre de surprise pensez-vous, Sylvie ?
- Voilà : quand elle entre, on la capture, on la met à poil et on la viole !
- La violer, mais vous n'y pensez pas ?
- C'est une façon de parler ! Ce que tu peux être gourde quand tu t'y mets ! Simplement on la saisit et on la fait mourir de plaisir à nous deux !
- Ah bon... Elle ne va peut-être pas aprécier ?
- Je te parie ta culotte contre la mienne qu'elle va adorer ça ! D'accord ?
- Euh... je... veux bien. Je peux me rhabiller ?
- Tu es indécrottable ! Tu es très belle à poil ! Tu t'occupes de son plateau et moi d'elle puis tu viens m'aider... Autre chose : elle est encore vierge, alors ne lui défonce pas le vagin s'il te plaît !
Elle éclata d'un grand rire et Fabienne ne put s'empêcher de l'imiter...