Le docteur X retourne à l'école (06) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
H/f H/f+ F/f F+/f F+/f+ exhibition uro humiliation réticence médical.
Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre 06 : CONSULTATIONS PARTICULIERES
Entre temps, comme je l'ai dit, chacune des 12 élèves vient à mon cabinet pour y subir un examen approfondi. Toutes y passent, mises à nu, explorées dans leurs moindres recoins les plus intimes. Toutes ne présentent pas le même intérêt, et je me bornerai à décrire seulement quelques consultations particulières, les plus intéressantes à mon point de vue. Avec mon assistante, nous varions les plaisirs et ne procédons pas toujours dans le même ordre.
Aline, dix-neuf ans, blonde aux yeux bleus, mince et pas très grande. Elle est encore vierge et très timide. Germaine la fait déshabiller entièrement dans une cabine, ne lui laissant que son porte-jarettelles et ses bas. C'est ainsi qu'elle est introduite dans le cabinet de consultation, rouge de honte. Elle a droit à un examen gynécologique complet, cuisses écartées sur la table d'examen. Toucher rectal, etc... Pour finir, je lui prescris une série de lavements que Germaine lui administre séance tenante, à la poire, au bock, l'obligeant à se soulager devant elle.
Élodie, jolie rousse, pas très farouche et à qui je sais que je plais et que je n'aurai aucune difficulté à baiser si le cœur m'en dit. Je dis à mon assistante de lui faire le grand jeu, de la chauffer au maximum. Pendant qu'elle s'en occupe, je suis la scène sur le circuit vidéo.
Mon assistante va chercher la jeune fille un peu intimidée dans la salle d'attente et l'introduit dans une des salles d'examen en lui expliquant :
"Le docteur sera très en retard et il m'a chargée de l'excuser : Ça nous permettra de mieux faire connaissance toutes les deux... Après tout, nous faisons un peu le même boulot, non ?
"Vous pratiquez aussi des examens ?"
"Bien sûr ; mais on pourrait se tutoyer, ça serait plus sympa..."
"Si tu veux. Moi c'est Elodie..."
"Et moi Germaine... Assieds-toi là : on va bavarder un peu puis je te ferai un premier examen. Ça ne t'ennuie pas ?"
"Euh... non."
Et les deux jeunes filles se lancent dans une conversation animée, orientée vers les confidences intimes par Germaine qui sait s'y prendre comme pas deux dans ce domaine. L'autre la suit sur ce terrain :
"Tu as déjà fait l'amour avec un garçon ?"
"Oh trois ou quatre fois, pas plus. Toi aussi ?"
"Oui, bien sûr - baissant la voix - seulement avec le Docteur, mais souvent..."
"Il te baise ?"
"Oh oui, et très bien même, et tout le reste... Qu'est-ce que tu as mis comme dessous pour venir ?"
"Des bas et une petite culotte..."
"Tu as raison. Les bas, c'est bien plus sexy que les collants. Quant-à-moi je ne porte jamais de slip : le Docteur me l'interdit..."
"Non !"
"Regarde !"
Aussitôt elle se met debout et relève sa blouse blanche jusqu'à sa taille, exibant ses cuisses fuselées gaînées de bas blancs et son pubis entièrement épilé, aussi lisse que celui d'une petite fille. L'autre s'exclame :
"Mais tu es rasée !"
"Ça te déplait ?"
"Non ça fait drôle, c'est tout..."
"Tu peux toucher si tu veux, c'est très doux..."
Timidement, l'autre avance sa main entre les cuisses légèrement écartées de Germaine, lui tâte un peu le mont de vénus et retire sa main, disant :
"C'est vrai que c'est très doux : on dirait une petite fille..."
"Tu as déjà fait l'amour avec une autre fille ?"
"Non pas vraiment..."
"Tu aimerais essayer ?"
"Je ne sais pas trop..."
"Et la sodomie, tu as essayé ?"
"Oh non ! ça fait horriblement mal et on m'a expliqué que si on la pratiquait souvent, l'anus restait dilaté en permanence et qu'on avait des pertes de matières..."
"Ce sont des fables : Quand c'est fait en douceur c'est génial, encore meilleur que par devant !"
Comme Elodie a une moue sceptique, elle insiste :
"Je suis très souvent pénétrée par là, et je vais te faire voir que mon petit trou n'est pas déformé pour autant ! Approche-toi et regarde !!!"
Ce disant, debout au pied de la table d'examen qui se trouve là, elle y pose son buste relève sa blouse par derrière jusqu'à la taille, et écarte largement ses fesses à deux mains ; poussée par une curiosité incrédule, la jeune élève s'accroupit derrière elle et regarde intensément le minuscule poinçon strié de son anus.
"Touche si tu veux, l'encourage Germaine, tu verras que je n'ai pas du tout le cul défoncé..."
"Oui, c'est vrai !" Dit Elodie qui a avancé ses doigts entre les fesses écartées de Germaine, le visage à quelques centimètres. Mon assistante se redresse et lui dit :
"Je suis prête à parier que toi aussi tu pourrais jouir très fort par là... Bon je vais t'examiner : retire ta robe et ta combinaison."
"Élodie obéit, enlève sa robe, dévoilant une combinaison courte vert amande qu'elle retire également, se retrouvant en soutien-gorge, porte-jarettelles et slip de la même couleur et s'allonge sur le dos sur la table d'exammen après s'être déchausssée.
Tout en bavardant, les mains de Germaine partent en exploration du corps de sa patiente, à travers ses dessous. Celle-ci ne semble pas insensible à ce qui ressemble plus à des caresses qu'à un examen médical... Au bout d'un moment, elle dégraffe le soutien-gorge et le lui retire, palpant longuement les seins laiteux, couverts de taches de son, faisant se dresser leurs pointes roses. Puis elle s'attaque à la culotte qu'elle baisse lentement le long des cuisses de la fille avant de la lui retirer complètement. Sa main remonte ensuite lentement entre les cuisses que l'autre écarte instinctivement, pour arriver au sexe à la toison flamboyante.
Élodie gémit quand elle sent deux doigts pénétrer sa vulve sans aucune difficulté :
"Et bien dis donc, petite cochonne, tu es drôlement mouillée !"
"Tu parles, avec ce que tu me fait subir..."
Germaine triomphe :
"Tu vois bien que tu aimes aussi les femmes !"
Ses doigts font quelques aller-retour dans le vagin acceuillant, faisant onduler le bassin d'Élodie, avant de se retirer gluants de cyprine. L'autre semble déçue...
"On va voir ton côté-pile maintenant. Retourne-toi, ma chérie et prosterne-toi sur la table, les genoux bien écartés..."
L'autre prend la pose, le cul bien ouvert, ne cachant absolument rien de ses charmes intimes. Germaine passe derrière elle, face à ses fesses écartées et lui demande gentiment :
"Comment préfère-tu que je te prépare : avec de la vaseline, ou avec ma langue ?"
"..."
"Bon, j'ai compris ! Et elle plonge la langue en avant vers le trou du cul offert. Elle le lêche, le pénétre à petits coups de la pointe de la langue ; Élodie, très rouge, frissonne et tremble sous la caresse très intime, bégayant des mots sans suite... Quand elle sent l'anneau bien assoupli, Germaine n'a aucun mal à y enfoncer son index, après l'avoir introduit dans le vagin dégoulinant. Elle la fouille un moment avant d'introduire un deuxième doigt...
L'excitation de la fille est à son comble. Mon assistante le sent bien et arrête ses manipulations anales avant que l'autre jouisse... Elle annonce tout à trac :
"Je pense que tu as besoin d'un bon lavement pour que le Docteur puisse bien t'examiner..."
"Oh non, je t'en prie, pas ça !"
Germaine plaque un baiser sur une de ses fesses et insiste :
"Si si, tu dois m'obéir. Tu verras, je serai très douce..."
En effet, l'autre ne se plaint pas du traitement, tellement Germaine s'y prend bien, avec humour et gentillesse, nouant avec elle une véritable complicité, introduisant la canule comme une caresse, la masturbant un peu en même temps... Quand Elodie à rendu le lavement en sa présence, sur les WC à la turque, elle lui nettoie soigneusement l'anus, sans toucher à sa chatte, puis la fait installer, vêtue seulement de ses bas clairs et de son porte-jarettelles vert amande en position gynécologique, cuisses très écartées. En attendant que je me manifeste, puisque c'est ce qui a été prévu entre nous, elle lui caresse doucement le visage, un sein, le ventre, les cuisses, continuant son bavardage :
"Alors, tu as vu, ce n'était pas si terrible ?"
"Non, c'est vrai, tu a été très douce..."
"Tu es très belle ainsi, écartelée, offerte en quelque sorte. Tu risques d'exciter le Docteur, tu sais ! Tu aimerais qu'il te prenne comme ça ?"
"Oh... je... peut-être... mais toi, tu ne serais pas jalouse ?"
"Oh non, bien au contraire : ça m'exciterait vraiment de le voir te baiser... Tu veux bien, dit ?"
"Oui... si tu veux... tu m'a drôlement donné envie !!!"
"Oh, merci, je t'adore !"
Et elle l'embrasse au coin des lèvres, sans que l'autre se défende, avant d'ajouter :
"Reste ainsi : je vais voir s'il est arrivé..."
Comme j'ai tout suivi sur l'écran vidéo, les explications sont rapides :
"Vous pouvez y aller franco, Docteur : elle est prête à jouir !"
Nous rejoignons Elodie, toujours écartelée sur la table. Il règne une puissante odeur de femelle en rut dans la pièce, dominée par son parfum très particulier et très fort de vraie rousse. Son sexe est entr'ouvert par l'excitation, trempé... Je me place entre ses cuisses, sors ma bite et l'enfile sans autre forme de procès. La fille gémit sous l'assaut et je commence à la baiser lentement, puissament ; son bassin ondule pour venir à ma rencontre. Germaine me l'a bien préparée : elle jouit rapidement en poussant de petits cris... Moi, je n'ai pas encore eu de plaisir et décide de changer.
Quand je ressors de son vagin, Elodie gémit, déçue. Simplement, je positionne mon gland un peu plus bas contre son anus. Elle dit : "Non, non..." Mais ne cherche pas à refermer ses cuisses... De ce côté-là aussi, elle est prête, ses sécrétions vaginales ayant coulé entre ses fesses. Je pousse contre son petit trou très étroit : quand mon gland franchit la colerette plissée, elle pousse un grand cri... Je reste un instant immobile avant de l'investir totalement par derrière. Je progresse millimètre par millimètre dans son fourreau anal, le sexe délicieusement comprimé...
Mon assistante se penche alors entre ses cuisses, et cependant que j'entame un lent mouvement de va et vient entre ses fesses, lui lèche la chatte : L'autre ne sait plus où elle en est, entre le plaisir que lui procure Germaine et la douleur de ma verge lui perforant le cul... Bien sûr, le membre enserré dans ce cul si serré, je ne tarde pas à jouir, projetant mon foutre le plus loin possible dans ses intestins... Je reste en elle le temps que la langue agile de mon assistante la fasse jouir à nouveau...
Quand je dégage mon sexe d'entre ses fesses, laissant son anus entr'ouvert, Elodie reste un moment prostrée, geignant doucement, souriant béatement. Je lui propose ensuite de passer la soirée avec nous et de coucher à la maison, ce qu'elle accepte facilement, sur la promesse que je prévienne Madame LEROY...
Elle passe la fin de l'après-midi rhabillée mais sans sa petite culotte, avec Germaine qui lui montre comment recevoir, examiner et humilier les clientes. Dès qu'elle ont un instant de libre, les deux filles flirtent, les mains s'engouffrent entre les cuisses, et elles échangent des confidences : Elodie n'a plus aucun à-priori contre la sodomie : c'est toujours bon à savoir...
Après le dîner, la nuit n'est pas triste non plus : je la passe à baiser et enculer les deux adolescentes, quand elles ne se gouinent pas...
Le lendemain matin, en nous quittant, Elodie, les yeux quelque peu cernés nous promet de revenir...
Joëlle et Françoise, dont j'ai déjà parlé, ont droit à un traitement de faveur : Germaine leur applique à peu près le même traitement humiliant :
Elle les fait mettre nues dans la salle d'attente, devant des clientes qui attendent, et enferme leurs vêtements dans un placard.
Ensuite, elle les installe dans une salle par où toutes les clientes passent pour venir à mon cabinet, leur faisant subir quasiment en public lavement, anuscope, examen gynécologique...
Leur punition n'étant pas levée, chacune couche à la maison et subit quelques sévices...
Fatima. Vingt ans, de type Algérien, très brune, très chaude... Germaine la prépare soigneusement, puis je la baise à la satisfaction générale...
Sophie. Jolie blonde aux yeux bleus de 18 ans, extrèmement timide. Dans la salle d'attente, mon assistante lui demande d'oter son slip, la fait mettre debout, glisse une main sous sa jupe et la fouille longuement sous l'oeil faussement indiférent des clientes qui attendent leur tour, la faisant rougir de honte. Elle l'emmène ensuite dans une salle d'examen, la fait mettre toute nue, l'installe en position gynécologique, l'oblige à se masturber...
C'est ainsi que je la retrouve, et lui fait subir un examen très complet, à sa grande honte...
Béatrice. Grande blonde aux cheveux longs et aux yeux verts. Mon assistante la séduit en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, les deux fille font l'amour longuement sous l'œil indiscret de la caméra vidéo, puis Germaine la convainc d'accepter de de faire sodomiser et la prépare en ce sens : Grands lavements, dilatation de l'anus...
Je la retrouve nue, à quattre pattes et n'ai plus qu'à l'enculer... Elle aussi passe la nuit suivante avec nous...
Ainsi, toutes passent entre mes mains et par la suite, j'en emploie régulièrement comme stagiaires : elles apprennent à examiner des femmes. Certaines ont des dispositions à la domination et les spectacles sont très intéressants !
Germaine continue à torturer divinement Mme LEROY, se montrant toujours plus inventive. La directrice est enchantée : L'année prochaine, non seulement j'aurai les premières années, mais de plus je donnerai des cours de sexologie pratique aux filles que j'ai eu cette année.
Ça ne devrait pas être triste !!!
FIN