Le docteur X retourne à l'école (02) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
H/f H/f+ F/f F+/f F+/f+ exhibition uro humiliation réticence médical.
Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre 02 : Premier cours
Une fois seul avec la douzaine de minettes, je jette un coup d'oeil sur mon domaine : outre une quinzaine de pupitres traditionnels à deux places, mon vaste bureau, un tableau noir. À droite de mon bureau, dans un angle, une table gynécologique et tous ses accessoires, ainsi qu'une grande armoire vitrée remplie de matériel, ainsi qu'un lavabo. Mes élèves sont mignones dans l'ensemble et me regardent attentivement. Je me lance :
"Mesdemoiselles,
"Comme vous le savez, je vais vous enseigner la pratique de la gynécologie : nous étudierons beaucoup la technique et peu la théorie qui vous sera dispensée dans d'autres cours.
Je tiens tout de suite à vous avertir que j'ai bon caractère mais ne supporterai aucun chahut. Montrez-vous attentives et dociles et tout se passera pour le mieux. Vous êtes bien d'accord ?
"Oui Docteur !"
Disent-elles en choeur.
"Le sujet peut vous paraitre scabreux : il ne l'est nullement. Votre métier va vous amener tous les jours à explorer le sexe des femmes : il vous faut donc, dès maintenant, vous débarasser de tous vos tabous judéo-chrétiens sur cette question. Aucune partie du corps n'est sale et chacune a son utilité. Vous allez donc vous intéresser au corps de la femme dans ce qu'il a de plus secret, de plus intime. Bien. Mais connaissez-vous seulement votre propre féminité ? je n'en suis pas si sur ! Aussi, je vous encourage à partir à la découverte, avec vos doigts, un miroir, etc. Apprenez à bien vous connaitre : vous en comprendrez d'autant mieux les autres...
N'ayez pas honte de vos parties naturelles ! Regardez-les, touchez-les ! Masturbez-vous : je vous garantis que cela ne rend pas sourd ! (rires).
De même, vous serez amenées à examiner des femmes dans des positions sans doute gênantes pour leur pudeur, à pratiquer des soins intimes. Comment voulez-vous comprendre ces femmes si vous n'avez jamais éprouvé le même genre de sensations ? Combien d'entre vous ont déjà subi un examen gynécologique, soit par un spécialiste, un généraliste ou autre ? ou bien des soins intimes?"
Quelques mains se lèvent timidement.
"Vous devrez donc expérimenter sur vous-mêmes tout cela et nous nous y emploierons : ça fait partie intégrante de votre formation. Aussi, vous serez sans doute plus souvent examinée
qu'examinatrice, en tout cas au début. Vous servirez de sujet à tour de rôle ou en groupe. Je me fais bien comprendre ?
Quelques timides "oui" et autant de rougissements répondent à ma question.
"Voici le programme du cours pour aujourd'hui : pendant une heure environ, nous allons faire plus ample connaissance. Vous allez venir me voir à tour de rôle et répodre à mes questions. Pendant ce temps, vous allez me rédiger chacune un court texte. Sujet : vos expériences personnelles (ou l'idée que vous vous en faites) à propos d'examens gynécologiques ou soins intimes.
"Deuxième heure, anatomie pratique et je pratiquerai un premier examen devant vous sur un sujet. Ensuite, si nous en avons le temps, je jetterai un rapide coup d'oeil à quelques unes d'entre vous, sur la table d'examen. Allez, au travail et ne cherchez pas vos mots : soyez simples et naturelles. Que la première vienne près de moi...
Et le défilé commence. Pendant ce temps les autres écrivent. À chacune, je pose les mêmes questions : Age, poids, taille, date des premières règles, date des dernières. Elles y répondent sans trop de réticences, ce qui est loin d'être le cas pour la suite
du questionnaire :
"Es-tu vierge ?"
"Prends-tu la pillule ?"
"As-tu des rapports avec des garçons ?"
"Avec des filles ?"
"Te masturbe-tu ? Comment ? Combien de fois ?"
"Seras-tu gênée de devoir montrer ton entre-jambes devant tes camarade : pas du tout, un peu, beaucoup, énormément ?
À celles, presque toutes, qui me demandent timidement :
- Je vais devoir me montrer ainsi ?"
Je réponds un oui catégorique. Et j'ajoute :
"C'est absolument nécessaire : comment veux-tu demander à une femme ce que tu n'es pas capable de faire ?"
Ensuite je ramasse les copies et les envoie dans la cour. Pendant qu'elles tiennent des conciliabules, je me plonge dans leur littérature. C'est assez naïf dans l'ensenble, pas de grand traumatisme en vue dans tout cela :
- Médecine scolaire : Palpation rapide du sexe et de l'anus, debout, culotte baissée.
- Gynéco (souvent femme) : Examen aux premières règles ou pour "rougeurs".
- Appendicite à 14 ans : Toucher rectal et rasage par un infirmier.
- Quelques lavements aussi...
Des questionnaires, il ressort que quatre sur douze sont vierges, deux prennent la pillules, trois ont leurs règles en ce moment, deux seulement avouent des rapports lesbiens, curieusement deux vierges : Françoise et Joëlle ; toutes se masturbent peu ou prou... A ce moment on frappe à la porte et je dis "entrez".
Parait une femme d'environ 45 ans, plutôt mal attifée, assez corpulente et pas très belle. Qui me dit :
"On m'a dit de venir..."
"Oui, je suis au courant. Vous savez ce que j'attends de vous ?"
"Euh... oui..."
"Pas trop le trac ?"
"Oh si, alors..."
"Ne vous en faites pas, tout va bien se passer. Portez-vous une gaine ?"
"Oui... Docteur..."
"Et bien vous allez la retirer, ainsi que vos bas et votre culotte : Ça vous évitera d'avoir à le faire devant les filles..."
Elle s'éxécute maladroitement, me montrant des cuisses grasses et blanches. Ses dessous sont très simples et comme elle en est embarassée, je l'invite à les glisser dans un des tiroirs du bureau .
"Asseyez-vous sur cette chaise..."
Peu après les filles rentrent et reprennent leurs places. Je leur annonce :
"Je vais maintenant procéder à l'examen gynécologique de cette dame qui a bien voulu nous servir de sujet. Observez bien tout. L'examen va se dérouler en trois temps : interrogatoire, examen superficiel avec touchers pelviens, examen profond au spéculum."
Un frisson parcourt l'assistance, ponctué de quelques rires nerveux. J'attaque :
"Quel est votre age ?"
"47 ans, docteur"
"Quelle est votre taille ?"
"Un mètre soixante"
"Votre poids ?"
"58 kgs"
"Avez-vous des enfants ?"
"Oui, trois : 18 15 et 12 ans"
"Avez-vous fait de la rééducation du périnée après vos accouchements ?"
"Euh, non..."
"À quel age vos premières règles ?"
"13 ans"
"Êtes-vous réglée normalement ?"
"oui, je crois... "
"Avez-vous des rapports fréquents ?"
"Euh... 2 fois par semaine..."
"Sont-ils douloureux ?"
"Non, pas du tout."
"Agréables, alors ?"
Elle rougit et murmure :
"oui... bien sûr..."
Un regard calme instantanément les vélléités de sourires...
"Êtes-vous constipée ?"
"Un peu."
"Avez-vous parfois des mictions involontaires ?"
"Comment ?"
"Vous arrive-t-il de faire pipi dans votre culotte ?"
Elle baisse piteusement la tête : C'est un aveu.
"Souvent ?"
"Oh non, c'est rare."
"Et caca ?"
"Oh non ! enfin, si, peut-être une fois..."
"Des douleurs dans le bas-ventre ?"
"Non."
"Des lourdeurs ?"
"Parfois"
"Très bien."
Je me tourne vers les filles pour leur traduire ce dialogue et leur expliquer mes premières conclusions. Elles prennent des notes. Puis je me tourne vers la femme et lui enjoint :
"Installez-vous sur la table d'examen qui est là. Quant-à vous, mesdemoiselles, approchez-vous pour bien voir."
Dès que tout le monde à pris place, la femme couchée, les cuisses relevées et écartées, les filles debout autout de moi, je braque la lampe et commence mon examen en commentant tous mes gestes. La femme en position gynécologique nous montre une vulve grasse, large... J'enfile des gants, m'asseois face à l'entrecuisse du sujet, déplisse le sexe et en nomme les parties pour les élèves : grandes lèvres, petites lèvres, meat urinaire, entrèe du vagin, clitoris... J'introduis sans peine deux doigts et explore l'intérieur. Je mets ensuite un spéculum en place et l'ouvre au maximum pour qu'elles puissent bien voir l'intérieur.
Chacune s'approche à son tour pour jeter un coup d'oeil. La femme est rouge de confusion et j'imagine sa honte d'être ainsi exibée... Je retire le spéculum et leur dis :
"Enfilez chacune un gant et venez près de moi..."
Chacune à son tour, sa main guidée par la mienne, pratique un toucher vaginal à deux doigts : Toutes sont très génées par ce premier examen, et la femme semble, malgré (ou à cause de) sa honte, commencer à s'émouvoir : Sa chatte est maintenant très lubrifiée, ce qui est logique après une douzaine d'intromissions plutôt maladroites...
Ensuite, toujours en expliquant, j'entrepends de lui dilater la chatte au maximum : J'introduis deux doigts, puis trois, je les tourne, les écarte... La vulve béante se laisse pénétrer sans trop de difficulté par ma main toute entière ; la femme gémit mais se laisse faire ; les élèves semblent surprises. Quand je retire ma main, elle a beaucoup de mal à se refermer.
Je continue mon cours, laissant la femme écartelée exposée à tous les regards, puis je lui demande de se mettre à quattre pattes sur la table, genoux écartés, disant au filles :
"Nous allons voir maintenant le toucher rectal..."
Et le scénario se renouvelle : je lui mets un doigt dans le rectum, puis chaque élève vient en faire autant avant que je fasse subir à son anus le traitement de dilatation que j'ai appliqué à sa vulve : au bout de quatre doigts, j'estime que c'est assez ; j'envoie les filles en récréation pour un quart d'heure.
Docile, la femme n'a pas bougé, toujours prosternée, le cul en l'air : J'ai un peu pitiè d'elle et lui dit :
"Ne bougez pas : je voudrais voir encore quelque chose..."
Je lui enfonce deux doigts dans l'anus, et pendant que je leur imprime un mouvement de va et vient, de mon autre main je branle savamment son énorme clitoris : il ne lui faut pas deux minutes pour jouir, se confondant en excuses :
"Oh, excusez-moi, Docteur... Je ne l'ai pas fait exprès... Oh, j'ai honte..."
Je la rassure :
"Mais non, ce n'est rien ! Cela peut arriver... »
"Vous me pardonnez, Docteur ?"
"Mais ouibien sûr ! Allons, vous pouvez vous rhabiller : C'est fini pour aujourd'hui..."
La femme descend de la table, honteuse et se rhabille. Avant de quitter la pièce, elle me demande anxieusement :
"Aurez-vous d'autres fois besoin de moi, Docteur ?"
"Certainement, Madame. Puis-je compter sur vous ? »
"Oh oui, bien sûr... Au revoir Docteur..."
La femme à peine sortie, les élèves reviennent pour la dernière partie du cours et s'assoient à leur place. J'attaque :
"Voilà : vous avez déjà appris pas mal de chose, du moins je l'espère. Maintenant, comme je vous le disais au début du cours, celle d'entre-vous qui n'ont pas leurs règles en ce moment vont venir à tout de rôle sur la table d'examen : ainsi vous pourrez juger des différences morphologiques d'un sujet à l'autre. Retirez votre slip et venez par ici..."
Les neuf intéressées, rouges comme des pivoines, glissent les mains sous leur jupe pour se débarasser discrètement de leur culotte qu'elle glissent dans leur pupître. Par contre, aucune ne semble décidée à passer la première... Je reprends ma liste et appelle :
"Anne !"
La jeune fille s'avance, très rouge, front baissé. Je l'aide à monter sur la table. Quand elle lève les jambes pour les poser sur les étriers, sa jupe retombe sur son ventre, découvrant une petite chatte à la toison noire fournie. Pour cette première fois, je me contente de déplisser la jeune vulve afin que les autres voient l'intérieur rouge sombre. Au passage, j'effleure le clitoris, sans insister. Elle descend de la table avec un soulagement évident, dès que je l'y autorise...
Je désigne Béatrice, grande et jolie blonde aus yeux bleu pervenche, pour prendre sa place : sur sa peau très claire, la confusion marque encore plus... Elle nous montre un pelage très clair, peu fourni, ne masquant rien d'une fente vulvaire aux muqueuses rose clair...
Élodie, qui prend la suite, est une vraie rousse, à la peau blanche tavelée de taches de rousseurs, jusque sur le pubis et l'intérieur des cuisses. Son odeur puissante de femelle me fait bander instentanément : il faudra que je m'en occupe sérieusement...
Françoise, brune, vierge aussi nous dévoile ensuite ses charmes secrets ; puis Geneviève, grande blonde ; Joelle jolie pucelle blonde ; puis Martine, Michèle et Rosa, brunes et pas vierges pour deux sous. Les trois autres étant dispensées pour cause de règles...
J'ai déplissé délicatement le sexe de chacune, me grisant de leur odor di fémina, les caressant à peine, histoire de les énerver plus qu'autre chose : de toute façon, nous sommes appelés à nous revoir... Je leur donne l'autorisation de se reculotter, ce qu'elles font, aussi discrètement que possible et ordonne la dispersion, après leur avoir donné à chacune un rendez-vous à mon cabinet en leur expliquant :
"Je veux vous voir chacune en particulier pour un examen complet. Votre directrice est, bien entendu, d'accord pour vous accorder une permission à cette occasion, et comme je vous l'ai expliqué tout à l'heure, vous avez beaucoup à apprendre par la pratique et le vécu personnel..."
Dans la voiture, au retour, Germaine me raconte une partie de ses exploits avec la directrice :
"..Je crois qu'elle n'a pas été déçue ! Elle encaisse drôlement bien... À un moment, le téléphone a sonné ; elle était à quattre pattes sur le bureau et j'avais enfoncé ma main toute entière dans sa chatte : évidemment, je ne l'ai pas retirée pendant sa conversation qui a bien duré une demi-heure ! Au contraire, je la pistonnai sauvagement : Elle a eu du mal à garder son calme !"
À mon tour, je lui annonce les visites successives de mes élèves au cabinet : La petite salope s'en pourlèche les babines, surtout quand je précise qu'un certain nombre est vierge...