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Caroline secrétaire médicale (4)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 4

            Jeannine, la mère vient à onze heure, l'air pas très fier, me disant très gênée :
            - Le docteur m'a dit de venir pour...
            - Oui, je suis au courant : je vais m'occuper de vous. Suivez-moi. Je l'emmène dans mon bureau m'installe devant mon terminal. En face du bureau, j'ai disposé une chaise un peu spéciale, dont le plateau s'orne d'une tige verticale, pas très grosse, cylindrique, d'une vingtaine de centimètres de hauteur. Il n'y a pas d'autre siège à part le mien. Elle y a jeté un drôle de regard en entrant et je lui dis :
            - Retirez votre culotte, donnez-la moi et asseyez-vous sur cette chaise : je vais compléter votre dossier !
            Elle ne discute pas, glisse ses mains sous sa jupe et me tend le petit chiffon noir en dentelle que je pose bien en vue sur le bureau. Comme elle s'approche de la chaise, je lui précise :
            - Derrière, la tige...
            - Pardon ?
            - J'ai dit la tige est pour l'anus.
            - Ah...
            Elle n'en dit pas plus, relève sa jupe et s'abaisse pour mettre son petit trou en contact avec l'extrémité arrondie de la sonde en coutchouc, et en grimaçant, commence à s'asseoir, s'empalant par la mème occasion : ce n'est pas la peine de vérifier, je suis sûre qu'elle l'a bien dans le cul et non dans le vagin.
            Je commence alors à lui poser toute une batterie de questions sur sa vie intime, que mon patron m'a aidée à préparer : ses premières règles, ses premier rapports sexuels, homo-sexualité, masturbation, perversion, etc... Ces questions la mettent visiblement mal à l'aise, mais elle y répond sans se dérober, me donnant tous les détails que je lui demande de préciser. Elle est très rouge, et je continue à la tenir sur le grill.
            - Hier, vous aviez des traces de coups sur les fesses et sur les cuisses. Vous êtes fouettée souvent ?
            - Oui, assez...
            - Par qui ?
            - Mon mari : il me fouette une ou deux fois par semaine...
            - Et vous aimez ça ?
            Elle s'empoupre :
            - Euh... Je... Un peu...
            Je la presse de questions puis j'ordonne :
            - Enlevez votre chemisier !
            Sans se faire prier, elle déboutonne entièrement son corsage, le retire et le pose sur le dossier de la chaise sur laquelle elle est assise, apparaissant avec un soutien-gorge balconnet noir, maintenant ses seins blancs et un peu lourds.
            - Le soutien-gorge, maintenant !
            Elle m'obéit immédiatement, m'exposant ses seins un peu tombants, assez gros. J'ouvre le tiroir de droite et en sort une cravache. Je me lève, la tennant bien en main et vais me poster sur le côté de la jeune femme dont le regard reflète la peur. Je  caresse ses nichons de la mèche de la cravache, la faisant frissonner.
            - Croisez vos mains derrière la nuque !
            Le mouvement fait bouger ses seins et les remonte. Elle me regarde avec angoisse : elle ne peut pas savoir qu'à ce jour, je n'ai encore jamais cravaché les seins d'une femme, que j'ai un trac fou et hésite à me lancer ! Mais je prends sur moi, ayant mal pour elle et me lance bravement : je lève la cravache, et l'abats en travers de sa poitrine. Ses yeux s'emplissent instanément de larmes, mais elle ne dit rien, ne bouge pas d'un poil. J'ai porté le premier coup de façon assez timide, je m'en rends bien compte. Le deuxième est plus ferme, et quand j'assène le troisième coup de cravache en travers de ses seins, les marquant horizontalement d'une ligne rouge, mon poignet ne tremble plus. Je lui en donne deux autres et j'arrête. Elle pleure doucement, semblant souffrir beaucoup !        
            Je la fais ensuite se lever, faisant ressortir la tige de son cul et lui dis de retirer le reste de ses vêtements, et une fois nue, avec son corps un peu enrobé, elle me suit dans une salle d'examen, et à ma demande se met en position gynécologique. J'ai amené la cravache avec moi et j'ai décidé de lui mettre la vis géante qui m'a déjà servi pour la brune vêtue de cuir dans son anus.
            L'introduction de l'engin dans son fondement ne se fait pas sans difficulté, surtour pour elle ! Enfin, je réussis à le visser entièrement dans son anus qui est alors atrocement dilaté. Malgré les douleurs ressenties, elle se laisse faire passivement, se contentant de pleurer et de geindre et quand je lui dis :
            - Maintenant, vous allez vous masturber !
            Elle le fait sans hésiter. Pendant qu'elle se branle, je lui applique encore dix coups de cravache en travers des seins, chose incroyable, elle finit par jouir !
            Je la ramène dans mon bureau, toujours nue et la vis vrillée dans le cul et l'autorise seulement à la retirer, ce qui n'est pas très simple et l'oblige à des contorsions qui m'amusent beaucoup. Je ne l'autorise à se rhabiller que quand elle a soigneusement nettoyé les deux objets qui lui ont pénétré le cul : la tige dévissée de la chaise et la vis géante. Avant de partir, elle me demande timidement :
            - Je vous dois quelque chose ?
            - C'est vous qui décidez...
            Elle me tend 300 francs ! Pour ce prix, je peux lui faire une petite vacherie supplémentaire. Je m'accroupis devant elle, glisse me mains sous sa jupe, les remonte juqu'à l'élastique de sa petite culotte que je lui retire. Elle est surprise, mais se laisse faire, m'obéit dès que je lui demande de se trousser, de se pencher en avant et de s'écarter les fesses à deux mains. Son trou du cul est encore ouvert de la pénétration qu'il vient de subir, et j'entreprends d'y faire entrer son slip noir, le lui poussant peu à peu dans le cul avec mes doigts, juqu'à ce que le petit chiffon intime ait totalement disparu...
            D’avoir ainsi maltraité cette femme, j'en ai la culotte toute trempée : décidément, je suis de moins en moins celle que je croyais !!! Mais je n'ai pas le temps de me soulager pour l'instant, il y a du boulot. À la première occasion je raconte succintement la séance au docteur qui m'approuve. Quand je vais lui dire combien la femme m'a donné, il me coupe :
            - Ça, ce sont tes oignons, pas les miens...
            La petite Muriel vient à sa sortie de l'école, son cartable sur le dos. Elle paraît assez anxieuse, mais se montre aimable. Je la fais entrer dans mon bureau, lui dit de poser son cartable dans un coin et de s'asseoir dans l'un des deux fauteuil. Tout en remplissant son dossier dur l'ordinateur, je bavarde avec elle de choses et d'autres, lui faisant de petites confidences sur ma vie, provoquant les siennes, m'efforçant de la mettre en confiance. À un moment, je cite un groupe musical que ma plus jeune soeur adore, je vois ses yeux briller : je ne suis plus tout à fait une "vieille" pour elle. C'est vrai que quand on sait la prendre, elle ne demande qu'à se confier. Je réussis à la faire rire en lui demandant en souriant :
            - Tes fesses vont mieux ?
            - Qu'est-ce que j'ai pris, hier !!! Remarquez, je crois que je l'avais bien cherché...
            Et elle éclate d'un rire franc. Au bout d'un quart d'heure, nous sommes les meilleures amies du monde et elle ne fait aucune manière pour répondre à mes questions de plus en plus précises et intimes sur ses règles et ses pratiques sexuelles, lui confiant au passage qu'à 19 ans j'étais encore vierge, ce qui la fait me regarder avec de grands yeux ronds.
            En fait, malgré sa précocité (ou à cause...), elle ne paraît pas franchement épanouie dans ce domaine : se faire tirer une ou deux fois par semaine dans les caves de son immeuble par des gamins de son âge, plutôt éjaculateurs précoces, sur de vieux canapés déglingués et crasseux, semble lui apporter moins de plaisir que quand elle se masturbe le soir dans son lit, avec ses doigts ou même une bougie, qui elle au moins peut rester longtemps raide... Elle est juste sur la frontière entre l'enfance et l'âge adulte : par exemple, elle m'avoue candidement qu'il lui arrrive encore de "jouer au docteur" avec certaines de ses copines...
            - Et la sodomie, tu aimes çà ?
            - Bof, sans plus, mais les garçons aiment bien eux...
            L'entretien préparatoire est terminé et je lui dis :
            - Bon nous allons passer maintenant aux choses sérieuses.
            Elle m'interroge avec une pointe d'angoise :
            - Comment ça va se passer aujourd'hui ?
            Je précise :
            - Aujourd'hui, mais aussi les prochains jours. Je vais t'expliquer tout cela en détail. Tu désires prendre la pillule, n'est-ce pas ?
            - Oui, bien sûr...
            - Comme tu as moins de dix-huit ans, il te faudrait donc une autorisation écrite de tes parents. Solution exclue, je suppose ?
            - Tout à fait exclue, en effet !
            - Tu comprendras donc, que pour donner un contraceptif oral, on doive s'entourer d'un luxe de précautions, pour être s'assuré de ta bonne tolérance, de l'absence de problèmes de santé, etc...
            - Oui.
            - Il faut donc pratiquer des examens et analyses régulièrement. De plus, contrairement à une femme adulte, ton cycle menstruel est encore irrégulier, en voie d'installation : il est d'autant plus important de le surveiller mnutieusement, ne serait-ce que pour déterminer avec exactitude le meilleur moment de démarrage du traitement. Tu me suis ?
            - Oui, à peu près...
            - Au cours du cycle, des changements hormonaux se produisent et quand on en a l'habitude, on peut suivre ces modifications au niveau de la vulve. Ainsi, à partir d'aujourd'hui et jusqu’au dernier jour des prochaines règles, tu devras faire deux choses chaque jour : prendre ta température le matin avant de te lever, passer ici pour un examen rapide de tes muqueuses intimes.
            - Ah bon...
            Avant de me lever, je lance l'enregistrement des caméas dans le box de déshabillage et dans la salle dans laquelle la gamine doit passer. Je lui tends la main en lui disant gaiement :
            - On y va ?
            - J'ai un peu peur...
            Je serre fort sa main dans la mienne et tente de la rassurer :
            - Il ne faut pas : tu verras que tout va bien se passer. Allez viens, ma chérie...
            Tenant toujours ma main, elle me suit docilement dans la cabine de déshabillage, qui comme les deux autres est assez vaste et brillamment éclaire, avec un grand miroir, où je lui annonce qu'elle va devoir se mettre toute nue, et lui propose de l'aider. Elle ne dit rien et me laisse lui ôter tous ses vêtements. Quand elle est nue, je la complimente :
            - Tu es vachement mignonne, tu sais !
            - Vous le pensez vraiment ? Moi je trouve mes seins trop petits...
            - Évidemment, sotte : ils n'ont pas fini de pousser...
            Son corps est gracile, presque enfantin, en pleine évolution, mélangeant le côté longiligne et dégingandé des pré-adolescentes et l'amorce de rondeurs féminines très prometteuses.
            La salle d'examen dans laquelle je l'emmène au sortir de la cabine de déshabillage comporte une table "longue mixte", munie d'étriers qui permet toutes sortes d'examens et de soins, une grande paillasse avec évier, une cuvette de W.C. à la turque, un bidet, un réchaud etc... Je commence par la faire installer en position gynécologique, enfile une paire de gants lui nettoie délicatement tout l'entrecuisse, vulve et anus compris, avec des compresses imbibées d'un liquide antiseptique. Puis la fais lever et lui tend un verre en forme de cône renversé en lui disant :
            - Fais pipi dans ce verre...
            Pour celà, elle se met debout sur les patins de la cuvette des W.C. et place le verre entre ses cuisses maigres écartées. Elle doit se concentrer un moment avant d'uriner dans le récipient, qu'une fois rempli, elle garde à la main, s'accroupissant pour finir de soulager sa vessie. Je pose le verre rempli de son urine sur la paillasse et laisse tomber dedans un cachet de réactif chimique qui va en changer la couleur en fonction de la quantité relative de certains composants. Je lui demande de s'allonger sur la table, sur le ventre, et ses fesses sont marquées des coups reçus hier, lui expliquant :
            - Comme tu pratique la sodomie régulièrement, le docteur va examiner d'abord le petit trou entre tes fesses. Et dans un premier temps, je vais vérifier si ton rectum est bien vide. Quand as-tu été à la selle la dernière fois ?
            - Euh... hier, je crois...
            - Alors, je pense qu'il va falloir que je te donne un lavement pour bien te dégager.
            - Oh non, pas ça, s'il vous plaît...
            Sans l'écouter, je plonge ma main droite dans le pot de crème lubrifiante que j'ai ouvert à ma portée, de la gauche j'écarte ses petites fesses et lui plonge profondément mon index dans l'anus et la fouille quelques instants : elle a effectivement l'ampoule rectale encombrée de matières fécales. Je retire mon doigt souillé et le lui montre avant de changer de gants, en lui disant :
            - Tu as en effet besoin d'un petit lavement évacuateur. Tu verras, je serai très douce...
            Elle est loin d'être enthousiaste, mais n'ose pas protester, me regardant avec angoise faire chauffer de l'eau et remplir le bock de deux litres dans lequel je verse en plus une dose de savon liquide pour plus d'efficacité. Je la fais mettre sur le côté, en chien de fusil, introduit la fine canule dans son anus, ouvre le robinet du bock. D'une main, je maintiens la canule en place, de l'autre l'élève le bock le plus haut possible. La gamine est rouge de honte et dès que toute l'eau a fini de s'écouler dans son intestin, je lui retire la canule et lui conseille d'attendre le plus longtemps possible avant de restituer le lavement.
            Dès que je l'y autorise, elle se précipite pour aller vider son rectum, accroupie sur la cuvette à la turque, dans un mélange de soulagement bestial et de profonde humiliation d'être vue dans cette attitude. Pendant ce temps, je remplis le bidet d'eau tiède et dès qu'elle a fini, lui dis se s'asseoir dessus pour faire sa toilette intime. Puis je lui montre l'anuscope, ce long lube brillant d'une trentaine de centimères de long, et lui en explique le fonctionnement :
            - Pour examiner le rectum, on introduit le tube avec le mandrin à l'intérieur, de toute sa longueur. Un fois en place, on retire le mandrin pour libérer la lumière du tube, et on retire doucement celui-ci, puisque l'examen se fait de la profondeur vers l'extérieur...
            Elle me regarde, effarée, les yeux équarquillés et supplie :
            - On ne va quand même pas me rentrer ce truc dans le derrière ? C'est pas possible !
            - Ne t'inquiète pas, ce n'est tout de même pas si terrible...
            - Comment pouvez-vous l'affirmer ?
            - Pour avoir subi moi-même plusieurs fois cet examen. Comme je t'aime bien, je te propose le choix suivant : j'appelle le docteur tout de suite et il te mettra l'anuscope en place, ou bien je le fais moi-même et je l'appelle juste après. Que préfère-tu ma chérie ?
            - J'aurais moins peur si c'est vous... Vous n'allez pas me faire trop mal, s'il vous plaît ?
            - Non, je vais être très douce, et de ton côté, tu vas bien te détendre et ça rentrera tout seul...
            L'adolescente est pour le moins sceptique, mais apparemment, j'ai réussi à gagner sa confiance et elle se laisse disposer docilement dans la position propice : prosternée sur la table, visage et buste appuyés, genoux écartés et le cul très haut. Je passe derrière elle et de deux doigts lubrifiés, je lui masse et lui pénètre doucement l'anus pour la préparer. Quand elle est assez détendue, j'avance le bout arrondi du mandrin et dès qu'il est en contact avec son petit trou, je lui dis de pousser fort cependant que j'appuie fermement sur l'instrument nickelé. Elle gémit un peu, mais c'est rentré !
            Je procède alors à une introduction complète, mais lente, tout en douceur, d'autant plus que le tube est bien lubrifié, m'arrêtant quelques instants quand elle me le demande, reprenant ensuite la progression...
            Je sais très bien ce qu'elle ressent, pour y passer souvent moi-même : ce n'est pas très douloureux, mais extrèmement désagréable car la pénétration est très profonde, même si le tube n'est pas très gros. On se demande avec angoisse jusqu'où il va remonter à l'intérieur du ventre... En enfilant ainsi l’adolescente, il me revient un souvenir cuisant : un jour où j'étais dans la même posture qu'elle en ce moment, il s'est mis en tête de pisser dans le tube profondément enfoncé entre mes fesses et, profondément humilée, j'ai senti son urine me brûler tout au fond de mes entrailles... J'ai bien peur que cette idée lui revienne un de ces quatre !
            Quand l'introduction est totale, je retire le mandrin et appelle le docteur. Il salue la jeune fille et me remercie d'avoir mis l'anuscope : il est pressé... Il regarde dans l'ouverture du long tube, qu'il retire lentement. Ensuite il prend tout son temps pour lui examiner l'anus, lui écartant encore plus les fesses, faisant bailler le petit anneau plissé avec ses pouces. La fille se laisse faire sans rien dire, même si son visage est cramoisi.
            Ensuite, Muriel doit se retourner et mettre ses pieds dans les étriers : le médecin lui déplisse la vulve, l'ouvre, regarde l'intérieur, puis lui met le spéculum, et enfin lui fouille le vagin à deux doigts, instistant juste assez pour l'exciter. Puis il quitte la pièce en lui disant de revenir le lendemain.
            Pendant que j'assiste à son rhabillage, elle me demande très anxieuse :
            - Demain, vous me mettrez encore ce tube dans le derrière ?
            - Mais non, rassure-toi : simplement le spéculum et un toucher vaginal.
            - Ah bon... Merci en tout cas pour votre gentillesse.
            - C'est bien naturel. Si tu as un peu de temps, viens dans mon bureau : nous bavarderons et tu me donneras tes impressions.
            Flattée elle me suit et se confie de plus en plus, m'avouant sa grande honte au cours de l'examen qu'elle vient de subir, mais aussi son exctation vers la fin. J'amorce :
            - Tu m'as dit tout à l'heure qu'il t'arrivait de jouer au docteur : en fait ça ne change pas grand chose pour toi ?
            - Ben si, quand même ! D'habitude c'est moi qui fait le docteur quand je joue avec mes copines.
            - Tu n'es pas un peu grande pour jouer à ce jeu ?
            - Si, peut-être... Mais j'aime bien. Et vous, vous y jouiez aussi quand vous êtiez petite ?
            - Bien sûr, mais ça fait une éternité ! Maintenant, je "joue au docteur pour de vrai", mais ce n'est pas pareil, et parfois il m'arrive de regretter d'avoir grandi : moi aussi j'adorais ce jeu, mais maintenant je suis trop vieille...
            Elle rougit et ose dire :
            - Bof, l'âge, vous savez...
            - Tu me raconteras, ce que tu fais à tes copines ?
            - Promis...
            Les jours qui suivent, je continue à m'occuper de la mère et la fille. Je fais souffrir Jeanine, l'humilie, et elle me paye pour ça ! Je la cravache sur les seins, les cuisses et même entre ses jambes écartées, je la fesse aussi à la main, ce n'est pas très douloureux mais humiliant pour une femme de son âge de se retrouver couchée en tavers de mes genoux, jupe levée, culotte baissée, comme une petite fille qui a fait des bêtises. Je l'oblige à venir en mini-jupe sans culotte, la fait se branler de toutes les façons possible, se défoncer le cul avec des instruments divers. Elle me baise les pieds, etc... Un jour, je descends quelques unes de mes culottes sales et elle doit en lécher l'entrejambe odorant tout en se défonçant le cul, accroupie sur un gode ventouse, seulement vêtue de ses bas. Quand elle s'en va, je lui dis d'emporter mes petites culottes et me les rapporter lavées...
            Sa fille Muriel vient également tous les jours subir un exmen gynécologique assez rapide : je lui fais simplement retirer sa culotte et elle subit sans protester l'introduction du spéculum et le toucher vaginal qui suit. Le toubib utilise avec elle la même technique de masturbation sournoise qui lui a si bien réussi avec moi : même cause, mêmes effets ! Ainsi, à la fin du troisième examen, quand il retire les doigts de son vagin et quitte la pièce, la jeune fille est sur le point de jouir et je la sens complètement frustrée d'être laissée ainsi en plan. Je lui caresse les cheveux et lui demande gentiment :
            - Tu es excitée ?
            - Ben plutôt, oui, après ce que le docteur vient de me faire, ça vous étonne ?
            - Tu peux te caresser, si tu en as envie...       
            - Oh non, je n'oserais jamais faire une chose pareille devant vous...
            Elle est toujours écartelée sur la table ; alors je prends doucement sa main et la lui pose entre les cuisses, sur sa petite chatte peu fournie. Elle n'hésite que quelques instants, mais l'envie est trop forte et elle se met à se branler comme si elle était seule... Je lui dis de m'attendre à mon bureau et rejoins mon patron, qui m'attend… la bite à la main ! Il relève une de mes cuisses, écarte ma culotte, fléchit un peu les jambes et m'enfile verticalement jusqu'à la garde ! Sans peine, d'ailleurs, tant la séance qui a précédé m'a aussi excitée et il ne nous faut que quelques instants pour jouir tous les deux... Je vais rejoindre Muriel, du sperme plein la chatte.
            Elle se montre un peu génée, mais je la rassure en lui affirmant qu'elle était très belle quand elle se masturbait. Je lui demande si elle à nouveau joué au docteur avec ses petites copines.
            - Oui, bien sûr. Votre machin... l'anuscope m'a même donnée une idée : je l'ai fait à une copine, avec une bougie, mais elle a beaucoup pleuré...
            - Tu avais lubrifié la bougie, au moins ?
            - Ben non... c'est vrai...
            Je lui tends un petit tube de vaseline en lui recommandant :
            - La prochaine fois, essaye avec ça, tu verras ça rentrera plus facilement !
            - Merci ! Vous avez sans doute raison : je vais réessayer dès ce soir... Dites, je devrais avoir mes règles demain. Dans ce cas, je ne viens pas, n'est-ce pas ?
            - Mais, si, bien au contraire ! Je t'ai expliqué qu'il fallait que ton cycle soit suivi jour par jour, y compris pendant cette période, et je te donnerai ta première plaquette de pillules au cinquième jour...
            - Ah bon...  
            Muriel est évidemment très honteuse et humiliée de devoir se laisser examiner tous les jours, la vulve sanguinolente pendant ses menstrues. Ces jours-là, la fais coucher sur le dos, les fesses au bord de la table, genoux fortement repliés et écartés sur sa poitrine, et je baisse simplement sa culotte et la serviette hygiènique qu'elle contient à mi-cuisse, au dernier moment... Le cinquième jour de ses règles tombant le lundi, le docteur me demande de la recevoir les deux jours du week-end  : je lui mettrais moi-mème le spéculum et lui pratiquerai le toucher vaginal. C'est évidemment totalement inutile, mais c'est un moyen pour la maintenir sous pression ! J'ai demandé au docteur s'il avait envie de s'envoyer ma victime (j'ai appris à ne plus être jalouse), qui apparemment serait d'accord, mais il refuse tout net :
            - M'emmerder avec cette pisseuse, ça ne va pas, non ? Et d'ailleurs, si j'ai besoin de me vider les couilles, tu es là, toi...
            - Merci pour l'élégance...
            - Pas de quoi. Par ailleurs, si tu as des idées la concernant, tu as carte blanche et tu peux disposer du cabinet pendant tout le week-end : à l'occasion fais un film... 
            - Merci, je crois que j'ai une petite idée...
            - Laquelle ? 
            Le vendredi soir, mon patron s'en va dès qu'il a examiné Muriel et je reste seule avec elle : il n'est pas très tard. Je lui explique le plan pour le week-end, lui disant que c'est moi qui l'examinerai : elle en semble ravie. Elle me remercie du tube de vaseline qui d'après elle a fait merveille : les trois fillettes, de huit neuf et onze ans ont toutes accepté la bougie dans leur petit cul, et c'était paraît-il très amusant... Je saisis la balle au bond et attaque :
            - Tes histoires me rajeunissent, et j'aimerais bien être une petite souris quand tu examine tes patientes ! Ca me plairait bien d'assister à une consultation de ce genre...
            - Moi je veux bien, je voudrais tant vous faire plaisir, mais comment s'y prendre ?
            - Laisses-moi réfléchir...
            Elle me regarde intensément pendant que je cherche ...ce que j'ai déjà trouvé. Je l'interroge :
            - Tu es vraiment sûre de bien tenir tes petites camarades ?
            - Oh oui, je pense : j'ai beaucoup d'influence sur elles, je suis leur chef, en quelque sorte.
            - Et si, demain en venant ici tu les amenais ?
            - C'est tout à fait possible, mais elle n'accepteront jamais de faire ça devant vous...
            - Tu sais, ici il est possible de voir sans être vu ! Une supposition : tu leur dis que tu dois passer récupérer un papier pour ta mère et leur propose de t'accompagner. Jusque là ça va ?
            - Oui, aucun problème.
            - Nous nous isolons, je t'examine, te ramène avec elles, et je te demande alors si tu accepte de rester un moment pour garder le cabinet pendant que je m'absente pour une course : en cas d'appel, tu pourrais alors dire que je reviens dans une heure. Vous êtes alors seules en apparence, et pouvez vous livrer à votre petit jeu favori, les lieux s'y prétant d'ailleurs for bien.
            - Ouais, génial !
            Elle réfléchit un moment, puis je vois son visage s'assombrir. Elle dit :
            - Il y a un os ! Comment les empêcher, par la suite de racontrer à d'autres ce que nous aurons fait ensemble ? Elle sont jeunes, mais pas idiotes... Attendez...
            Puis un grand sourire éclaire son visage :
            - J'ai une idée ! Il suffit de les terroriser pour les empêcher de parler...
            - D'accord, mais comment ?
            - Elémentaire : vous nous surprenez en pleine action, faites une scène criez très fort, menacez d'avertir nos parents, et pour finir vous nous flanquez un fessée magistrale à chacune, avant de nous renvoyer. Je vous jure que ça, elle n'iront pas s'en vanter.
            - Ton idée est excellente en effet. Bon on fait comme ça ?
            - D'accord...
            - Tu les emmèneras dans la pièce oû on t'a examinée tout-à l'heure ; je te laisserai un peu de matériel : ne casse rien, ça vaut cher.
            - Vous pouvez compter sur moi...
            Le samedi vers quatorze heures, elles débarquent toutes les quatre au cabinet, Muriel traînant les trois filletes très intimidées sous son autorité, et leur ordonne de rester tranquilles dans la salle d'attente et me suit. Je lui retire sa jupe et sa petite culotte, et la fais passer sur le bidet. Puis en position gynéco, je lui met le spéculum, le retire assez rapidement pour le remplacer par mes doigts et lui fouille longuement le vagin, m'excitant à ce petit jeux, l'excitant visiblement aussi, tant je sens sa petite fente étroite mouiller et se dilater... Elle bafouille à un moment :
            - Arrêtez, s'il vous plaît, sinon je risque de jouir...
            Je n'arrête pas, étonnée moi-même... et je sens sa jeune chatte se contracter spasmodiquement sur mes doigts, elle gémit et se cabre.
            - Oh excusez-moi...
            - Tu n'as pas à t'excuser ! C'était bon ?
            - Vachement... merci !!!
            Je lui met en tampon périodique en place et introduit également le cordon pour qu'il soit invisible, lui indiquant qu'ainsi ces copines ne verraient même pas qu'elle a ses règles.
            Devant ses petites camarades, je remets un papier quelconque à Muriel, en lui disant :
            - Voilà, tu remettras celà à ta mère... Dis-moi, pourrais-tu me rendre un grand service ?
            - Si je peux, ce sera avec plaisir, mademoiselle : que puis-je faire pour vous ?
            - Voilà. J'assure la permanence, pour ce cabinet et plusieurs autres, mais j'ai absolument besoin de m'absenter une petite heure pour une course urgente. Accepterais-tu de rester avec tes amies pour garder le cabinet ?
            - Mais ce sera avec plaisir !
            - Merci, Muriel, tu es adorable. Si le téléphone sonne, tu réponds simplement que je serai de retour dans un peu plus d'une heure... Vous pouvez jouer gentiment en ettendant dans tout le cabinet, mais sans mettre de désordre...
            Je retire ma blouse, enfile ma veste et sors ostensiblement, pour rentrer deux minutes plus tard par la porte de service qui donne dans mon bureau. Je lance le système vidéo et suis les quatre filles : d'abord, dans la salle d'attente, oû Muriel tente de convaincre les trois autres de jouer au docteur, elles sont un peu réticentes au début, mais l'autorité de Muriel fait son effet, avec l'argument massue du cadre d'un vrai cabinet médical, et qu'elles étaient seules ici pour une heure. Les trois fillettes tout de même pas tres à l'aise, finnissent par la suivre dans la salle que je lui ai indiquée, qui les impressionne passablement. Muriel a enfilé ma blouse blanche, bien trop grande pour elle, et joue bien son rôle, menant les autres à la baguette. Et le jeu commence avec ses variantes habituelles, ou très vite après avoir dit "33", la malade se retrouve culotte baissée avec la doctoresse qui regarde de près entre ses fesses et lui met un doigt dans l'anus... - Une mère amène ses deux filles à la consultation ; "vous me dites qu'elles font pipi au lit ?" demande Muriel "baissez leur culotte que j'examine leur zizi. Et celle qui joue la mère baisse les culottes de ses deux "filles", debout devant le docteur assis, qui passe une main entre les cuisses de chacune, palpant leur petit abricot imberbe, charnu et hautement fendu sur le pubis. - Visite scolaire : les trois filles seulement vêtues de leur petite culotte en coton font la queue pour être examinée chacune à son tour, venant se placer devant Muriel qui les ausculte au sthétoscope, avant de leur baisser la culotte jusqu'au genou et de leur tripoter l'entrecuisse. Puis les filles se rhabillent et recommencent une variante, mais le but est toujours de regarder entre les cuisses et les fesses des copines.
            Pendant une heure, elles font mille petites cochonneries, et Muriel les pousse. Si l'une a envie de faire pipi, elle se trousse, baisse sa culotte, et s'accroupit sur la cuvette, les trois autres faisant cercle autour d'elle, le regard braqué sur la fente d'oû fuse l'urine... Muriel enfile une paire de gant et les fillettes montent chacune à son tour sur la table d'examen, après avoir retiré leur petite culotte, écartent largement leurs cuisses maigres pour poser les pieds dans les étriers, et Muriel les examine de très près, leur mettant ses doigts dans la minette et dans le cul...
            Ensuite, Muriel se met en tête de leur mettre une sonde (j'en ai laissé trainer quelques'unes exprès, tout de même de taille raisonnable) à chacune dans l'anus, en commençant par les deux plus grandes : la fillette se prosterne sur la table, slip sur les chevilles, Muriel lui lubrifie le trou du cul, ainsi que la sonde qu'elle lui enfonce jusqu'à la garde. Ensuite, elle doit garder la sonde entre les fesses pendant que le "docteur" s'occupe de la suivante. Muriel termine par la plus petite des trois, âgée à peine de huit ans, et imagine une variante pour elle : la petite filles est mise complètement nue par ses copines, couchée à plat ventre sur la table, et pendant que les deux autres la maintiennent dans cette position, Muriel entreprend de lui fourrer la tige la plus grosse entre ses petite fesses...
            Tout le temps qu'à duré la séance, je me suis branlée en regardant les quatre gamines jouer entre elle, la main sous ma jupe s'agitant dans ma petite culotte. Mais il est temps que j'intervienne : l'heure à tourné et elles peuvent cesser leur jeu d'un moment à l'autre, et il faut que je les prenne en flagrant délit.
            Quand je fais irruption dans la pièce oû elles se trouvent, les surprenant en pleine action, le tableau dest édifiant : seule Muriel est décente, si l'on fait abstraction du fait qu'elle pousse une tige dans l'anus d'une petite fille toute nue, qui couine à cuase de la légère disproportion entre la taille de son petit cratère, et la tige, qu'on est en train d'y enfoncer. Les deux autres ont le corsage en désordre, la jupe troussée, la culotte aux chevilles et la sonde qui dépasse entre leurs fesses...            
            La surprise est totale et elle se figent brusquemement toutes les quatre. Je pousse un grand coup de geule :
            - Et bien, c'est du joli ! Vous n'avez pas honte, espèces de petites vicieuses, de faire des cochonneries pareilles ! Et moi qui vous faisais confiance ! Quant-à toi, Muriel, tu es la plus âgée et je te tiens pour responsable : tu vas me payer ça ! Vos parents vont être ravis d'apprendre à quoi vous occupez votre samedi après-midi...
            Les filles statufiées dans un premier temps, réagissent quand il est question de prévenir leurs parents !!! Elles éclatent en sanglot, me supplient, tombent à genoux, m'implorent, et cette petite hypocrite de Muriel n'est pas la dernière. me donnant des excuses aussi iditiote que "on l'a pas fait exprès" !!!
            - Déjà, vous avez toutes mérité une bonne fessée que je vais vous appliquer avant d'appeler vos familles. Muriel, retire ce que tu essaie d'introduire dans le dernnière de ta petite camarade : je vais commencer par elle. Vous autres aussi, retirez le truc que vous avez entre les fesses... Pas la peine de remonter vos culottes non plus...
            La plus jeune toujours à plat ventre est dans une excellente position pour la fessée : je pose une main sur ses reins pour la maintenir solidment et j'abat ma main sur son petit cul. Je la fesse longuemement sans douceur. Puis je m'asseoie sur une chaise et demande :
            - A qui le tour maintenant ?
            Muriel fait un pas timide en avant mais je l'arrête tout de suite :
            - Non Muriel, toi je te réserve pour la fin et crois-moi, tu peux préparer tes fesses, car pour toi, ce ne sera pas une petite fessée, mais la cravache...
            L'une des deux autres s'avance à son tour : je la bascule en travers de mes genoux relève sa jupe plissée sur ses reins et lui applique une retentissante fessée et quand je la libère, sa copine, docile, vient prendre sa place...
            - Bon rhabillez-vous et attendez-moi ici. Muriel, suis-moi je vais m'occuper de toi !!!
            Pendant que les trois autres se hâêtent de se rajuster, elle m'emboîte le pas tête baissée. Dans mon bureau, je lui dit :
            - Bravo, tu es la meilleure !
            - Ca... vous a plu ?
            - Beaucoup. Je me verrais bien à la place d'une de tes patiente...
            - Ah... Mais je n'oserais jamais...
            - Et si j'insiste ?
            Elle me regarde d'un drôle d'air...           
            - Alors... si vous l'exigez... je veux bien essayer...
            Je lui donne rendez-vous pour le demain, dimanche. Elle va chercher ses petites copines et elle s'en vont. Dans la salle d'attente, je les entends discuter et Muriel leur explique :
            - Qu'est-ce que j'ai pris, à la vache !
            - Qu'est-ce qu'elle t'a fait ? demande une des petite.
            - Elle m'a donné quinze coups de cravache : cinq sur les fesses, cinq sur les seins, cinq entre les jambes... Ca fait très mal !
            Murumure horifié des filles et Muriel conclut :
            - Mais l'essentiel, c'est qu'elle ai accepté de passer l'éponge : elle ne dira rien. De notre côté, nous avons aussi intérêt à oublier l'incident : nous ne sommes jamais venues ici, compris ? Et après tout, on s'est quand même bien amusées...

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