La directrice de l'institut Ospif (32) |
Par Charlène O
Collection "Entre filles..."
par Charlène O.
Episode 32: "Ivre... de toi"
"Chut! C'est moi!" chuchota Micheline en se glissant dans le lit de Stéphanie.
Rassurée, celle-ci laissa retomber sa tête sur son oreiller. Micheline venait
lui rendre visite de temps en temps sous prétexte "qu'elle avait froid, seule
dans son lit"...
Stéphanie, sa longue robe de nuit enroulée autour de ses jambes, était à
moitié endormie mais elle ne fit aucun effort pour se réveiller. Patiemment
elle attendait les mains douces de son amie, la chaleur de son corps contre le
sien...
"J'ai inventé un petit jeu!" lui souffla Micheline. "Tu te laisses faire,
d'accord?"
"D'ac!"
Docilement Stéphanie se laissa rouler sur le ventre. Quand Micheline s'amusait à vivre ses fantasmes, Stéphanie s'imaginait être une esclave nubienne qui
devait subir toutes sortes de choses inavouables pour plaire à son maître, un
richissime Cheikh. Les deux files se complétaient bien, Micheline prenant
d'habitude l'initiative et Stéphanie la suivant aveuglément dans ses jeux.
Elle protesta à peine quand Micheline la fit basculer de façon à ce que son
torse pende hors du lit, son ventre et ses jambes restant sur le matelas, le
ventre sur son oreiller. Son derrière pointait en l'air, moulé dans la robe de
nuit de coton. Micheline ajouta un coussin en dessous du bassin de la jeune
fille, faisant encore plus saillir son derrière. Puis elle mit un autre
coussin par terre, sous la tête de Stéphanie. Celle-ci soupira d'aise et se
laissa faire. Ayant la tête plus bas que son corps elle sentit son coeur
battre dans ses tempes. Elle voulut protester mais abandonna quand Micheline
lui releva sa robe de nuit. Stéphanie ferma les yeux pour mieux poursuivre ses
fantasmes. Il ne fallait surtout pas décourager Micheline: les derniers temps
leur jeux étaient devenus moins fréquents - peut-être parce que Stéphanie
s'occupait un peu de Pauline, la nouvelle élève. Micheline, jalouse comme une
tigresse, avait bien montré qu'elle n'était pas d'accord...
Stéphanie gémit de plaisir quand Micheline lui massa doucement les fesses.
Elle sentait la chaleur des mains expertes à travers le coton de sa culotte.
"Micheline à l'air d'oublier qu'elle était jalouse" se dit Stéphanie quand le
massage devint plus précis. Elle faillit crier de plaisir quand d'un ongle son
amie suivit le contour des élastiques de la culotte. "Mais qu'est-ce qu'elle
attend pour l'ôter?" L'attente aussi fait partie du plaisir...
Enfin Micheline agrippa la culotte et la fit glisser le long des jambes
bronzées. Un instant elle tint la culotte chaude qui contenait encore un peu
de Stéphanie, contre son visage. Elle était très excitée à l'idée qu'elle
allait réaliser son plan. Depuis qu'elle l'avait vu embrasser cette idiote de
Pauline, brisant son rêve, elle avait réfléchi à la meilleure façon de lui
donner une leçon. Son plan avait longuement mûri. Peut-être même qu'elle
essayerait d'attirer Pauline dans ses filets, rien que pour rendre Stéphanie
jalouse, pour qu'elle souffre comme Micheline avait souffert ces derniers
jours...
D'elle-même Stéphanie avait un peu écarté les cuisses afin de faciliter
l'accès à ses trésors. Micheline les lui ouvre encore plus, et, s'aidant de
ceintures de robes de chambre, attache les chevilles aux pattes du lit. Puis
elle dirige le faisceau de la lampe de chevet sur l'entrejambe. Elle
s'installe confortablement entre les jambes écartées et continue le massage où
elle l'avait laissé, cette fois-ci en contact direct avec la peau satinée.
Savamment elle malaxe les muscles fessiers, les ouvrant, les comprimant.
Stéphanie s'abandonne entièrement. La chaleur dans son ventre ne fait
qu'augmenter sous les mains expertes de Micheline. A chaque mouvement elle
sent son vagin s'entrouvrir, son anus s'étirer. Elle manque de supplier
Micheline de continuer indéfiniment, mais se tait, sachant très bien que son
amie ne tiendrait pas compte de ses désirs, au contraire...
Stéphanie gémit doucement quand la langue de Micheline remplace ses doigts.
Elle dessine des cercles de salive sur la peau sensible des fesses, puis
souffle doucement pour créer une sensation de froid. Puis à nouveau de petits
coups de langue, comme une chatte qui lèche ses petits.
La langue pointue se pose en haut des fesses, au début de la vallée qui les
sépare, puis lentement, horriblement lentement, elle se met en mouvement,
suivant le sillon. Stéphanie en frisonne. Son corps se couvre de chair de
poule. Des deux mains Micheline lui écarte doucement les globes fessiers,
permettant à la langue de s'aventurer de plus en plus loin dans la vallée.
Stéphanie se mord les lèvres pour ne pas crier. Tout son être s'est concentré
dans cet endroit secret, ses jambes se mettent à trembler. Elle n'arrive pas à
comprendre ce que Micheline est en train de faire, ni surtout ce qu'elle
pourrait encore faire. Elle redoute même ce que son amie pourrait faire, mais
d'un autre côté, elle espère de tout son corps que Micheline... Son cerveau
refuse ces pensées...
Et la langue de Micheline continue sa descente, puis s'arrête brusquement et
repart d'où elle vient, arrachant à Stéphanie un cri de dépit vite étouffé par
l'oreiller dans lequel elle a enfoui le tête. Elle pourrait hurler de
frustration mais n'ose pas bouger, de peur que Micheline arrête son jeu et la
laisse dans cet état, c'est bien son genre...
Puis la langue se remet en marche, comme un petit animal chaud et humide.
Quand enfin elle atteint l'anneau serré de l'anus, Stéphanie croit défaillir.
Elle ne savait pas qu'on pouvait faire une chose pareille... Elle n'aurait même
jamais osé envisager qu'on puisse faire une chose pareille... Et surtout, elle
découvre avec une sorte de honte délicieuse que cet attouchement lui est
agréable, très agréable même. Elle s'ouvre encore un peu plus à la caresse et
sent un petit filet d'urine lui échapper. Vite elle se ressaisît mais
Micheline s'en est aperçue, d'un lapement sa langue parcourt la vulve, léchant
l'urine, puis la bave accumulée à l'entrée du vagin, pour enfin se reposer,
immobile mais chaude, sur le muscle anal palpitant.
Stéphanie est comme tétanisée, le contact de la langue râpeuse sur son sexe a
envoyé du courant électrique dans tout son bas-ventre. Même ses seins qui
pendent à l'envers, sont gonflés à la limite de la douleur.
Micheline se met à donner de petits coups de langue sur l'anneau sombre.
Jamais elle ne pourrait faire ceci 'à jeun', mais l'idée qu'elle va réaliser
son plan l'excite au plus haut degré et elle se prend à son propre jeu. Elle a
de la peine à se retenir, à doser ses caresses. L'odeur est enivrante et petit à petit elle sent son cerveau s'engourdir. Mais sa volonté de vengeance
reprend le dessus et elle se concentre sur ce qu'elle fait. Après avoir tourné
en rond le long du muscle circulaire, la pointe de la langue vient se planter
au milieu. Micheline respire profondément, puis raidit sa mâchoire et pousse.
Sa langue pénètre de quelques millimètres dans le passage étroit. Stéphanie
halète, la bouche grande ouverte, complètement paralysée, comme une poupée
désarticulée. Ce viol anal la fait gémir de plaisir. Micheline frotte son nez
contre le renflement du sphincter, puis revient à l'assaut avec sa langue.
Quand elle sent que Stéphanie est prête, elle dépose sa salive sur l'anneau de
chair, puis son doigt remplace sa langue. Sans difficulté elle l'enfonce
profondément et se met à caresser doucement les parois sensibles du rectum. Un
deuxième doigt y entre sans peine. Stéphanie gémit sans s'arrêter. Elle
voudrait crier à Micheline de lui forcer l'anus, de lui faire mal (mais pas
trop), mais elle n'ose pas. Comme si Micheline avait pu lire ses pensées, elle
essaie de forcer un troisième doigt dans le muscle déjà distendu. En dessous
de l'anus le sexe est largement ouvert comme l'oeil du Cyclope, dégoulinant de
sécrétions.
Quand Micheline y inséra d'un coup trois doigts, Stéphanie dut se mordre les
lèvres pour ne pas crier. Ses orifices secrets bourrés, elle n'avait jamais
rien senti de pareil, c'était divin...
Patiemment, Micheline continuait d'exciter son amie et bientôt Stéphanie ne
rendit plus compte du monde autour d'elle: elle n'était plus qu'un sexe en
chaleur. Elle eut un sanglot de dépit quand Micheline retira ses doigts de son
vagin.
Micheline sortit alors un large entonnoir en plastique d'en dessous des draps.
Elle en lubrifia l'embout en le glissant prudemment dans le vagin offert, puis
retira ses doigts du sphincter anal et les remplaça aussitôt par le bout de
l'entonnoir. Stéphanie ne broncha pas, croyant à un nouveau jeu érotique. Un
petit vent s'échappa du rectum ouvert. La jeune fille soupira d'aise: l'air
entrant librement dans son anus maintenu ouvert était une sensation très
spéciale.
Micheline tâtonna à nouveau sous les draps et en sortit une bouteille
contenant un liquide jaunâtre. Sans hésiter elle la déboucha et en versa une
large rasade dans l'entonnoir. Le liquide disparut aussitôt avec un drôle de
glouglou dans les intestins de Stéphanie. Le froid la fit sursauter:
"Eh, qu'est-ce que tu fais?"
"T'en fais pas, tu vas aimer. Détends-toi, je vais te faire jouir..."
Stéphanie, dans un état second, n'insista pas.
Une nouvelle rasade disparut dans le colon de l'adolescente.
"Mmmm, c'est bon... C'est drôle, mais c'est bon... Ca chatouille... Eh, ça me donne
chaud... Continue..."
Puis elle ajouta, dans un réflexe d'altruisme:
"Je te rendrai la pareille après..."
Un instant Micheline s'imagina son amie, nue, batifolant avec Pauline. Ses
lèvres se pincèrent et elle vida la bouteille dans le rectum de Stéphanie.
"Oh là là, je deviens tout chose... Dis, qu'est-ce que tu m'a fait? C'est bon,
merde, c'est bon... Tu es une vraie salope!.."
Sa voix était devenue légèrement pâteuse et son vocabulaire s'enrichissait de
mots orduriers. Micheline souriait. Dans quelques instants Stéphanie serait
ivre: le liquide de la bouteille était du whisky dilué dans de l'eau. Elle
avait versé trois bonnes rasades comme pour un whisky-coca dans la bouteille
et l'avait remplie d'eau. Elle n'avait pas osé employer du coca, ne sachant
pas l'effet que cela pourrait faire sur les muqueuses des intestins.
Stéphanie avait trois-quarts de litre de mélange whisky-eau dans le ventre...
"Mmmm, ce que tu me fais, salope... Mmmm, je t'aime... tu es ma salope préférée...
Oh là là, je sens que je vais jouir comme une bombe... Tout mon ventre est en
feu... Bordel j'en ai la tête qui tourne..."
Dans l'entonnoir Micheline entendait le gargouillis dans les intestins de son
amie. Comme le torse de Stéphanie était incliné, le liquide ne ressortait pas.
Mais bientôt les crampes commenceraient et alors il fallait mieux que
l'entonnoir ne soit plus dans son petit trou!
Micheline passa alors à l'étape suivante de son plan. Elle se leva et d'une
main se défit de sa culotte. Elle se passa la main dans l'entrejambe, se
caressa au passage et dut faire un effort considérable pour ne pas se caresser
jusqu'au paroxysme.
Elle s'accroupit sur son amie, le sexe au-dessus de l'entonnoir.
"Tu m'aimes vraiment?" demanda-t-elle.
"Oh vououi, j' t' jure que j' t'aime!"
"A la vie, à la mort?"
"Ala vie, ànamort. Pfffut, n'arrive plus à causer zuste... Tu peux faire de moi
ze que tu veux..." L'alcool la fit zézayer.
"Tout ce que je veux?"
"Vouais... Parceque t'es ma salope préférée..."
"Et Pauline? T'aimes pas Pauline?"
"Si, si, mais toi t'es bien plus salope qu'elle... Merde, c'est comme si z'étais
saoûle..."
Savourant pleinement sa vengeance, Micheline se mit à uriner dans l'entonnoir.
Il était temps, elle n'aurait pas pu tenir plus longtemps. Le pipi moussait en
disparaissant dans l'orifice.
"Eh, dis, qu'est-ce tu fais, ça brûle! Tu me brûles! Arrête!"
"Je suis en train de te pisser dans le cul... Tu m'as dit que je pouvais tout
faire..."
"Oh salope, oh que c'est bon, c'est chaud mais c'est bon... Merde, ta pisse dans
mon cul... Tu vas devoir me caresser bientôt car je ne vais plus tenir
longtemps, aide-moi, j'y suis presque..."
"Non ma belle, je ne te caresserai pas... Tu vas encore rester un bon moment sur
ta faim... Parce que tu m'a trahi avec Pauline..."
"Pas vrai... t' ai pas trahi... J' dois faire pipi, Mich, faudra m'détacher... Et..
oooh! Je crois que dois faire popo aussi, avec tes sales manières..."
Micheline s'arrêta d'uriner. D'un coup sec elle arracha l'entonnoir de sa
gangue, faisant sursauter Stéphanie: à force de serrer les fesses autour de
l'intrus, le muscle adhérait au plastique. L'anus qui avait été distendu tout
ce temps restait ouvert et Micheline put voir la parois rose foncé du rectum
de son amie. Elle s'assit sur le derrière de Stéphanie, usant de ses cuisses
pour lui écarter les fesses. Puis elle se remit à uriner, inondant son amie.
En bougeant un peu elle pouvait alterner entre le sexe et l'anus. Stéphanie
protesta mais ne bougea pas. Bientôt le vagin fut plein et déborda. Stéphanie
se trémoussait, au bord de l'orgasme:
"Je t'en supplie, caresse-moi... j'y suis presque, ne me fais pas souffrir... Je
dois pisser... Mich, je dois pisser... Aaaahhh, je dois faire caca aussi...
Détache-moi, Mich, Micheline, ma salope, je vais finir par crever comme ça..."
Micheline se frotta la vulve sur la cuisse de Stéphanie, y laissant une longue
traînée mouillée. Puis elle se sécha le sexe avec la culotte de son amie.
"Grouille, j'y tiens plus!"
Sans se presser Micheline farfouilla sous les draps et en ressortit un paquet
blanc. C'était une couche-culotte pour adultes incontinents. Elle la déroula
puis la glissa sous les fesses de Stéphanie. Celle-ci gémit, tout à son effort
de se retenir. D'un côté elle voulait se laisser aller pour enfin atteindre
son orgasme, de l'autre côté elle craignait que si elle ne serrait pas ses
muscles, sa vessie et qui sait même ses intestins, la trahiraient...
En quelques mouvements Micheline avait collé les languettes adhésives de la
couche en place; pour encore plus de sûreté, elle mit à son amie une culotte
en plastique.
Stéphanie ressemblait maintenant à une très grand bébé, mais elle ne parut pas
s'en rendre compte. Sans se lasser, ivre de sexe et de whisky, elle répétait
"Oh là là, que j'dois pisser... ça m'excite, 'peux pas savoir... t'es une vraie
copine et une vraie salope... je vais finir par faire pipi sous moi...".
Rassurée sur l'ivresse de sa copine, Micheline défit les liens, traîna
Stéphanie au milieu du lit, toujours couchée sur le ventre. Puis elle lui mit
les bras et les jambes en croix et rattacha les cordes aux quatre angles du
lit.
"Ouille, j'ai mal au ventre... je dois aller à la toilette... mmmmm je vais jouir...
salope va!... pourquoi tu me fais souffrir... je sens que je vais faire pipi... tant
pis... ce sera ton lit qui sera trempé...".
Mais ce n'était pas le lit de Micheline, bien entendu. C'était le lit de
Stéphanie. A nouveau Micheline savourait sa revanche... Tout se déroulait selon
le plan qu'elle avait élaboré.
Elle n'avait pas trop serré les cordes qui allaient vers les coins du lit,
permettant à Stéphanie de bouger un petit peu.
Micheline se déshabilla, puis se glissa sous son amie. Le plastique de la
culotte étanche lui colla au ventre.
"Qu'est-ce que tu fais dis, ma salope? Ooohhh, tu viens sous moi? Je veux te
faire l'amour, l'amour et puis l'amour..." Elle se mit à chantonner, imitant une
chanson de Johnny Halliday. Son bassin s'agitait obscènement.
Micheline lui murmura dans l'oreille:
"C'est moi qui vais te faire l'amour... Maintenant, laisses-toi aller... Ne penses
plus à rien, je m'occupe de tout... Détends-toi..."
Elle se mit à caresser les flancs de Stéphanie. Sa bouche chercha la bouche de
la jeune fille et s'y posa en un baiser brûlant. Après une courte hésitation,
Stéphanie ouvrit la bouche et se laissa envahir par la langue de Micheline.
Petit à petit elle se relaxa, glissant dans une douce torpeur. Elle fut
réveillée par une crampe plus forte que les précédentes et put de justesse
serrer les fesses. Puis la langueur la gagna à nouveau, les baisers passionnés
de Micheline l'y aidant. Celle-ci avait plaqué une main entre ses jambes à
elle et se caressait, faisant monter son excitation lentement. L'autre main se
força un chemin entre la couche-culotte et la peau de son amie . Le sexe de
Stéphanie était brûlant et trempé. Micheline n'eut pas à faire beaucoup
d'efforts pour mener son amie au bord de l'orgasme, pour la énième fois du
soir, la frustrant chaque fois un peu plus.
Quand Micheline sentit son propre sexe palpiter vers un fabuleux orgasme, elle
exécuta la phase finale de son plan: elle redoubla les vibrations de ses
doigts enfouis entre les cuisses de son amie. Cette fois-ci elle ne s'arrêta
pas quand elle sentit que Stéphanie se cabra mais, un sourire vicieux sur les
lèvres, lui pinça méchamment le clitoris devenu ultrasensible. Stéphanie
faillit en perdre la raison; le souffle coupé, elle sentit la vague de
l'orgasme se développer dans son ventre. Elle était tellement excitée qu'elle
ne sentit même pas la douleur, dopée aux endomorphines. Au même moment son
entrejambe devint tout mouillé et elle se rendit à peine compte qu'elle
s'était mise à uriner. Elle tenta en vain de contrôler le sphincter de son
urètre, mais au lieu d'endiguer le flot brûlant, elle perdit aussi le contrôle
sur son anus et sentit une giclée chaude jaillir entre ses fesses.
Micheline, qui avait retiré sa main de la couche-culotte de son amie au moment
où elle sentit que celle-ci se mettait à uriner, sentait au tremblements du
bassin que Stéphanie était sur le point de perdre tout contrôle et activa sa
propre masturbation.
Dans le silence feutré de la chambre, les bruits que firent les intestins de
Stéphanie en se vidant furent à peine amortis par la couche-culotte.
Micheline, sentant les jets remplir la couche se caressa de plus belle. En
quelques mouvements elle atteignit la délivrance et malaxa la couche-culotte,
répartissant la masse gluante dans l'entrejambe de son amie. Stéphanie en
délirait, murmurant des mots sans suite...
"Si tu es sage, je viendrai te délivrer demain matin... Jusqu'alors, je te
laisse... Tu m'excuseras de ne pas te changer, mais j'ai le nez assez délicat...
Allez, bonne nuit ma belle!" et elle l'embrassa chastement sur le front
mouillé de sueur...
Ainsi Stéphanie dut passer la nuit, attachée sur son lit, dans une
couche-culotte plus que pleine. Elle s'endormit comme une souche, ivre de sexe
et d'alcool.
Quand elle se réveilla il faisait encore nuit; elle mit près d'une demi heure
pour se rappeler ce qui s'était passé.
Avec horreur l'adolescente se rendit compte qu'elle portait toujours la
couche-culotte et qu'elle était trempée. Elle dut aller d'urgence à la
toilette pour faire pipi mais n'arriva pas à se délivrer. Alors, rouge de
honte, complètement dégrisée, elle se laissa aller doucement dans sa couche.
Peu de temps après, en pleurant de chaudes larmes, elle dut aussi vider ses
intestins.
- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (novembre 2000)