La directrice de l'institut Ospif (29) |
Par Charlène O
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.
Episode 29: "Alors, c'est comment, une fessée?" (2/2)
Puis je pris cravache et la lui montrai.
"Voyez-vous, une cravache c'est fin, ça permet de bien viser où on veut placer les marques. Car vous pouvez vous imaginer je présume, que cela laisse des marques?"
Elle fixa le mur devant elle.
Je mis à nouveau à côté d'elle. Sans que ce soit vraiment nécessaire, je mis
ma main gauche sur son mont de Vénus. Instinctivement elle bascula le bassin,
cambrant son dos. Je visai soigneusement, puis, comme une joueuse
profesionelle de tennis, abattit la cravache de toutes mes forces là où les
cuisses rejoignent les fesses. Le coup claqua comme un coup de fusil et la
jeune femme se remit à gémir de plus belle. Ma main était pleine de son sexe
trempé et je pris un malin plaisir à le malaxer pour augmenter son désarroi.
Par la force du choc elle s'était douloureusment planté le 'ballon' dans le
ventre et cherchait son souffle. Au bas des fesses la ligne rouge qui marquait
le coup de cravache était en train de se boursoufler. Madame Miraud allait ne
pas pouvoir s'asseoir pendant quelques jours. Tout ça au nom de la
démonstration pédagogique…
J'attendis patiemment que ces sanglots diminuèrent puis je m'agenouillai derrière elle. L'intérieur de ses jambes était trempé, cela devait affreusement la démanger. La boursouflure causée par la cravache était épaisse comme le petit doigt et virait tout doucement au violet. Son corps était couvert de transpiration. je me mis en place.
"Avec la cravache on peut frapper à l'horizontale, cela vous l'avez senti.
Mais on peut aussi l'employer à la verticale. Et je lâchai la cravache que
j'avais tiré vers le bas. Elle se déplia et se ficha parfaitement entre les
fesses de Madame Miraud, cinglant la protubérance de l'anus et le rebord du
périnée. Une nouvelle giclée d'urine salua ce coup au but. Comme elle avait
basculé le bassin vers l'avant, l'urine alla souiller le mur devant elle.
J'avais envie de lui demander si elle voulait faire pipi comme les garçons, mais elle n'aurait probablement pas compris l'ironie de la question.
"Vous ne m'aviez pas avertie que vous êtes une sale fille… C'est une chance
que je vous ai enlevé votre petit culotte, n'est-ce pas? Vous auriez fait pipi
dedans…" et je lui malaxais à nouveau le sexe d'où coulait encore un petit
filet de pipi. D'un geste preste j'enfonçai le manche de la cravache dans son
sexe. Il y entra bien entendu comme dans du beurre. Je le retirai, dégoulinant
de sécrétions et le mit devant son anus. En une poussée rectiligne je le lui
enfonçai dans le rectum. Lubrifié comme elle était, la cravache y entra
jusqu'à la garde. Madame Miraud avait maintenant une belle queue de près d'un
mètre. Je le lui dit.
Elle se remit à sangloter. La grand et forte Madame Miraud sanglottait comme une enfant. Comme traitement-maso elle était servie! Ou bien elle n'aurait plus jamais d'envies de cette sorte, ou bien elle allait en redemander et en être adepte à vie.
"Allez, nous avons encore un bout de chemin à faire!"
Elle me regarda à travers ses larmes, le regard me suppliant de la relâcher, les lèvres essayant de formuler une prière qui se perdit dans la bave qui coulait de sa bouche.
"Ah non, on ne va pas s'arrêter, c'est maintenant que cela devient intéressant, regardez, ceci est une 'canne'"
Je lui montrai une véritable canne anglaise, cadeau d'une collègue d'outre-Manche.
"Cette canne à caressé des centaines de derrières anglais et maintenant elle va s'occuper du vôtre!"
Son enthousiasme n'était pas du délire…
Rapidement je lui fis une série de lignes bien parallèles sur ses fesses. A
chaque coup je voyais son petit trou qui désespérément se contractait autour
du manche de la cravache. Cette queue noire montait et descendait avec les
coups; c'était intéressant de voir l'orientation du rectum qui variait selon
que le coup était au-dessus ou au-dessous de l'anus.
Je sais que certains employent aussi la canne sur les cuisses, voir le dos, mais je trouve qu'alors la douleur n'est plus acceptable; pour ces endroits-là, il y a d'autres instruments, comme on verra par la suite.
La canne, moins souple que la cravache, fait très mal, même sur les fesses.
Elle avait l'impression d'avoir le fessier en feu et bien entendu elle
s'inquiétait - à raison - des marques que ce méchant instrument avait laissé
sur son postérieur.
"Les premiers jours je ne promènerais pas en bikini, si j'étais vous…" ironisai-je, "mais ne vous en faites pas, les marques disparaissent entièrement. Si vous ne recommencez pas ce petit jeu avant qu'elles soient cicatrisées, bien sûr…"
Je savais qu'en elle-même elle se jurait qu'on ne l'y reprendrait plus, mais il y avait beaucoup de chances qu'au contraire elle en redemandât, une fois que la douleur serait oubliée et que ne subsisterait que cette sensation d'être prise en main, de souffrir pour expier, d'être lavée de ses pêchés…
"Le fouet, je ne l'emploierai pas vraiment, car à pleine force il peut arracher des lambeaux de chair, il va donc tout juste vous caresser les côtes…"
Il était long d'au moins deux mètres et avait un manche rigide d'un mètre.
Prudemment je l'envoyais. L'avantage d'un fouet est qu'il peut s'enrouler
autour d'un bras ou d'une jambe, voir même d'un torse et qu'il peut frapper
'derrière le coin'. Je réussis joliment à lui faire carresser le nombril de ma
pénitente en l'envoyant sur sa hanche droite. Mais quand je voulus lui
carresser les seins, elle avait compris et se collait à la croix, je dus
renoncer. Pour jouer je lançai alors le fouet autour de sa cuisse gauche,
tirai fermement, puis recommença sur la cuisse droite. La spirale qui en
résultait sur chaque cuisse était du plus bel effet: on aurait dit un serpent
rouge qui grimpe autour de sa jambe.
"Assez pour le fouet. Plus quotidien que le fouet, voici la ceinture de cuir…"
C'était une belle ceinture, large comme trois doigts. Je ne m'en servais que
d'un tiers environ car sinon elle risquait de tourner et de frapper avec le
bord, ce qui pouvait faire horriblement mal. Je me mis à lui tapoter les
endroits qui n'avaient encore 'rien eu': le dos, les hanches. Je mis assez
bien de temps à lui rougir l'intérieur des cuisses. En partant des genoux je
frappais méthodiquement: cuisse gauche, cuisse, droite. La queue noire qui lui
sortait du derrière répondit aussi par gauche, droite. Puis un peu plus haut,
cuisse gauche, cuisse droite, jusqu'à ce qu'elle se mit à haleter et à
trembler convulsivement: elle anticipait déjà la morsure du cuir sur les
lèvres de son sexe. Mais je m'arrêtai à temps, c'est à dire à raz de son sexe:
elle sentit le déplacement d'air, mais c'est tout. Pourtant elle geignit comme
si elle avait été touchée de plein fouet: c'était son cerveau qui lui
racontait cela…
"Voilà, nous sommes à la dernière étappe… Deux instruments: le martinent, petit fouet à multiple queues, et l'appareil de massage médical…"
Lentement sa respiration se calma. Je profitais de ce répit pour glisser une main entre mes cuisses. J'étais vraiment au bord de la jouissance et cela me donna de l'énergie pour continuer le 'traitement' de Madame Miraud.
J'attendis qu'elle respire à nouveau normalement pour entamer la dernière partie de ma démonstration.
Me plaçant à côté d'elle je remis ma main sur son sexe. Cette fois-ci elle détourna la tête et se frotta le sexe contre ma main en gémissant. Elle était brûlante, et d'être au bord de l'orgasme devait la faire souffrir horriblement.
Quand je la sentis bien amorcée, je branchai l'appareil de massage et le promenais lentement le long de sa fente. Elle se mit à se contortionner comme une folle, pour pouvoir se frotter à la tête vibrante de l'appareil. Je le retirai à temps, puis, d'une main ferme, lui cingla l'entre-jambes avec le martinet, coupant net l'orgasme qu'elle croyait à sa portée. Elle gémit, tant de douleur que de frustration. Son sexe lui brûlait et déjà elle n'arrivait plus à bien évaluer si cette brûlure provenait du désir ou de la douleur. Je remis la tête vibrante, la glissant entre les lèvres. Elle se laissa brutalement pendre dans ses liens pour s'empaler sur l'engin et faillit m'avoir en vitesse; malheureusement pour elle j'avais anticipé son mouvement et retirai l'appareil juste avant qu'elle ne soit sur orbite. Je saluai son essai d'un nouveau coup de martinent entre ses cuisses. Je me concentrai entièrement sur son bassin afin de ne pas penser au mien qui réclamait tout autant d'être assouvi.
Ce petit jeu dura un bon moment: excitation avec l'appreil vibrant, puis retour à la case 'départ' à coups de martinet sur le sexe. Les multiples lanières du martinet étaient gluantes des secrétions de Madame Miraud.
Sentant à ses réactions qu'elle était en train de s'épuiser, je décidai de 'l'achever'.
Je m'agenouillai derrière elle et sans plus attendre me caressais à toute vitesse. De l'autre main je lui tapotais doucement le sexe avec la tête vibrante de l'appareil de massage. Quand j'étais au bord de la jouissance, je lui enfonçai la tête vibrante sur le clitoris pendant quelques instants, puis, sentant - et entendant - qu'elle avait atteint le point du non-retour, je retirai l'appareil et je mis mon avant-bras entre ses cuisses. Immédiatement elle se mit à se frotter, mon bras fut gluant en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire. Je pris appui sur la croix, lui offrant une rampe de lancement et elle faillit mettre le feu à mon bras. La cravache, toujours fichée dans son derrière me traduisit les différentes étappes. Quand enfin elle décolla, je regardais, fascinée, la cravache sortir lentement de sa gangue; mon bras se mit à dégouliner d'urine brûlantes et de sécrétions gluantes. Au moment où elle s'effondra dans ses liens, la cravache tomba à terre, laissant l'anus distendu ouvert comme un œil qui me regardait. Ce fut mon tour de perdre toute notion du monde autour de moi. La dernière chose à laquelle je pensai avant d'être complètement étourdie est que décidemment, ma démonstration avait été bien convaincante.