suviant
La directrice de l'institut Ospif (28)
précédant

Par Charlène O

 

Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.

 

Episode 28: "Alors, c'est comment, une fessée?" (1/2)

Je croyais avoir mal compris la question, mais Madame Miraud la répéta patiemment. D'abord elle avait pris l'air de quelqu'un qui pose une question plus pour meubler la conversation que pour obtenir une réponse; maintenant qu'elle avait dû la répéter, on sentait qu'il y avait plus qu'une simple curiosité.

"Alors, c'est comment les fessées que vous donnez aux élèves qu'on vous envoie?"

C'était une femme épanouie, la trentaine, et elle faisait chez nous un stage de pédagogie.

Je la regardai avec intérêt.

"Vous ne savez pas ce que c'est qu'une fessée?"

Elle me répondit du tac au tac, me regardant droit dans les yeux sans ciller.

"Vous pourriez peut-être me faire une démonstration?"

J'avoue que j'étais plutôt étonnée, ce n'est pas une question qu'on reçoit tous les jours. Bien entendu je ne lui montrais pas ma surprise.

J'hésitai.

"Il y a la main nue, la cravache, la ceinture de cuir, la canne, le martinet, le fouet, la palette de tennis de table, et j'en oublie… Voulez-vous vraiment une démonstration?"

Elle sourit d'un air sous-entendu et répondit calmement:

"Mon stage pédagogique à l'Institut Ospif ne serait pas complet sans une bonne correction de la part de sa Directrice, n'est-ce pas?"

Je sentis une boule chaude grandir dans mon ventre.

"Peut-être vous suffit-il que je vous explique ce qui s'y passe?"

"Oh non, ni une explication, ni une lecture ne peuvent remplacer une démonstration, c'est une des principes de base de la pédagogie moderne, et je sais que pour vous c'est un principe sacré!"

Là, elle avait marqué un point. Rien ne remplace les expériences vécues.

"Très bien, si vous insistez… Mais il va falloir vous dévétir…"

Elle sourit:

"Quand vous voulez!"

Son ton me déplut un peu, il y avait des traces d'impertinence. Je mis cela sur le compte d'une certaine provocation, pour me forcer à ne pas me montre de main faible, vu qu'il s'agissait d'une femme adulte et pas d'une jeune fille.

Je décidai de lui en donner pour son argent: elle l'aurait, sa démonstration pédagogique!

Je l'emmenai dans ma salle de bains. Comme elle connaissait la pièce l'ayant visitée lors de son tour guidé, elle ne s'effraya pas. Avec curiosité elle sembla faire l'inventaire des instruments qui s'y trouvaient.

"Déshabillez-vous. Vous pouvez garder vos sous-vêtements."

Mon ton volontairement cassant dut la surprendre, car le sourire qui me répondit fut plutôt figé.

Elle ôta ses chaussures, puis son chemisier, sa jupe et son jupon. Madame Miraud avait un soutien-gorge blanc signé Simone Pérèle et la culotte assortie.

"Bon, à partir de maintenant, vous mettez les mains dans la nuque."

Elle s'exécuta. Je vis qu'elle avait repris confiance vu que je lui avais épargné l'humiliation d'enlever ses sous-vêtements devant moi.

Elle avait un corps qui pouvait être vu sans pour cela être un mannequin. Ses hanches étaient un peu larges et je devinais que ses fesses l'étaient aussi - je les verrai assez tôt.

"Il y a plusieurs façons d'administrer une fessée. La pénitente peut être debout, penchée en avant ou en arrière, suspendue la tête en bas; on peut l'asseoir sur une chaise, la coucher sur le dos ou sur le ventre etc…"

Elle suivit mes explication avec l'air appliqué de l'élève qui sait qu'il devra tout réciter à la fin du cours.

"Vous allez vous mettre debout, contre la croix. Mais je vais d'abord vous mettre un baîllon."

Elle n'osa pas protester et ouvrit docilement la bouche pour que j'y mette une balle en caoutchouc. La balle, fixée derrière sa tête par une lanière de cuir,
ne remplissait pas entièrement sa bouche, mais suffisait à l'empêcher de parler; en plus cela la fit baver comme un escargot. En moins de deux minutes la salive coula sur son menton, depuis les coins de sa bouche. Quand elle s'aperçut que la bave coulait sur sa poitrine, elle se rendit compte qu'elleétait vraiment à ma merci. Je lui donnai une dernière chance.

"Si vous acceptez de continuer, il n'y aura plus aucun moyen d'arrêter cette séance; vous allez souffrir, vous allez avoir mal, vous allez être humiliée, vous allez pleurer… Etes-vous bien sûre de vouloir continuer?"

Elle n'hésita pas et hocha la tête - je crois qu'elle a répondu rapidement 'oui' pour ne pas être tentée de se rétracter au dernier moment et de perdre la face.

"Bon, très bien."

La 'croix' était une construction en lourdes planches de chêne formant un 'X' géant, fixée à une vingtaine de centimètres du mur. Les planches étaient munies de trous et de crochets d'alpinistes permettant de varier les attachesà l'infini.

Je lui mis des menottes larges, en cuir, puis je lui fis lever les bras et face à la croix, je lui accrochai les menottes aux crampons le plus élevé. Mon visage près de son aiselle je fus agréablement surprise qu'elle ne dégageait presque aucune odeur. D'habitude elles transpirent à ce stade-là. Madame Miraud donc pas. Bon signe. Je serrai les fesses un instant - geste absolument invisible mais o! combien agréable - puis continuai la préparation.

Je lui immobilisai le torse en lui attachant une large ceinture de cuir sur le dos, juste en-dessous de ses côtes; j'aime bien que le torse soit rigide, mais que le bassin à une certaine latitude de mouvement - ces mouvements incoercibles des fesses sont non seulement agréables à voir, mais aussi humiliants pour la pénitente qui a l'impression que les spectateurs ne voient
d'elle que ses fesses qui s'agitent. Quand en plus les cuisses sont écartées, la pénitente pense que tout le monde peut voir son anus et son sexe, ce qui n'est pas nécessairement le cas, cela dépend de son anatomie.

Entre la croix et le bas-ventre je mis une sorte de ballon. Je n'en connais pas le vrai nom, mais je l'avais acheté dans une vente d'articles médicaux d'occasion. On l'employait entr'autres quand on prenait des radiographies des reins; le ballon poussait fortement sur le bas-ventre, forçant les intestins vers l'extérieur du ventre, ce qui permettait de mieux voir les reins remplis de liquide contrastant.

Fixé à la croix, le ballon forçait Madame Miraud à pousser son fessier en arrière.

Je souris - elle ne pouvait pas me voir - je me délectais d'avance du traitement que j'allais lui infliger. La boule dans mon ventre avait encore grossi et son agréable chaleur me réclamait la suite.

J'admirais ce corps épanoui, encore légèrement bronzé. Cette femme était aussi grande que moi, mais elle était plus solide, plus costaude. Je pouvais m'imaginer que partout où elle venait, on la traitait avec respect et je suppose que c'était son apparence musclée - sans être masculine ou forte - qui lui avait à la fin donnée envie de recevoir une fessée, d'être traitée en
élève punie. Sa taille et sa force lui avaient donnée une envie de souffrir, de masochisme.

Elle allait être servie.

Je n'étais pas étonnée de sentir que ma culotte était plus qu'humide…

Le derrière de Madame Miraud était encore toujours emballé dans du Simone Pérèle. Joli, mais inutile pendant une punition. Je m'agenouillai donc derrière elle et fit glisser sa culotte. Ses fesses étaient solides, pleines, sans être flasques. Le visage tout près de ses fesses, je pus humer son intimité. Le parfum en était nettement plus fort qu'à ses aiselles. J'y regardai de plus près, et oui, bien caché entre ses cuisses serrées - sa culotte, aux genoux, ne tombait pas - une perle de bave brillait à l'orifice
de son sexe. Madame Miraud était excitée.

J'étais curieuse de voir si sa 'punition' allait augmenter ou diminuer son excitation.

"Savez-vous pourquoi j'ôte votre culotte?"

Sans attendre de réponse - elle avait un baîllon - je lui expliquais:

"Parce que sinon il y a beaucoup de chances que votre belle petite culotte de Simone Pérèle soit souillée à la fin de ma démonstration…"

Elle ne broncha pas, regardant fixément le mur devant elle. Je lui enlevai sa culotte puis allais chercher d'autres ustensils, lui laissant le temps d'assimiler l'idée que mon traitement allait être de tel sorte qu'elle 'souillerait sa culotte'.

Son inquiétude augmenta d'un cran quand je mis une large serviette imperméable sur le sol.

"Ecartez les pieds. Mieux que ça, voyons!"

Rapidement je lui attachai les chevilles à la croix. Maintenant elle formait elle-même un énorme 'X'.

Je vis avec plaisir que son sexe était rasé, du moins le partie que je pouvais voir par derrière. Des deux mains je lui écartai les fesses, dans un geste volontairement humiliant. Elle gémit, raidit ses muscles. Puis, après quelques secondes elle les relâcha et je puis inspecter son intimité. Son anus aussi était net: aucun poil ne le dépareillait. L'orifice vaginal était légèrement ouvert; la bave qui en sortait avait coulé le long de la fente et formait une grosse goutte que ne tarderait pas à tomber.

"Cette serviette entre vos pieds est aussi néccesaire, je vois. Chère Madame Miraud, vous avez le sexe qui ruisselle. Je n'ose pas croire que d'être attachée nue à une croix, attendant une fessée exemplaire, vous mette dans unétat d'excitation sexuelle!"

Elle demeura strictement immobile. C'est pour ces moments-là que je lui avais mis son baîllon: pourqu'elle ne puisse pas dire 'stop, ça suffit!'. Elle allait jouer son petit Socrate et boire sa ciguë jusqu'à la lie.

Je lui défis son soutien-gorge. Dans mon idée une fessée ne se limitait nullement aux fesses, mais tout le corps pouvait être 'traité'; je préconisait donc toujours un corps entièrement nu.

L'ennui avec la croix était que les seins étaient quasi inaccessibles. Dommage, car elle avait des seins intéressants. Ce serait pour une autre fois.

Pour qu'elle ne meutrisse pas les genoux par les mouvements désarçonnés qu'elle allait faire, je lui mis des coussinets entre la croix et ses genoux, puis j'attachais ses jambes, juste au-dessous des genoux, avec des lanières de cuir. Ces lanières qui empêchent les jambes de bouger sont assez désagréables, surtout quand elles aident à maintenir les jambes écartées - durant toute cette démonstration, elle allait avoir une furieuse envie de fermer les cuisses.

"Commençons par le début. Ceci est une palette de tennis de table. La balle, c'est votre fesse."

Je me mis a lui asséner quelques coups sur la fesse gauche, puis sur la fesse droite. Pas trop fort, non, pour qu'elle ne se crispe pas et pour qu'elle finisse par penser 'Ah, si ce n'est que cela…'.

Dès le premier coup, son corps se couvrit de chair de poule. Enfin elle la vivait, sa grande scène maso! Miraud-la-terreur allait enfin goûter aux punitions corporelles! Elle tenta de se frotter le sexe ou même simplement les cuisses, mais sans succès: elle était attachée dans une pose étudiée, qui empêchait tout initiative de sa part. Frustrée, elle attendait la douleur promise, qui à ses yeux, devait immuablement aboutir à une jouissance espérée.

Des que son fessier avait pris une teinte plus rosée, j'augmentais un peu la puissance, sans pour autant me fatiguer - je me réservais pour les choses sérieuses.

Pour les deux derniers coups - un par fesse, la taille d'une palette étant parfaite pour une fesse - j'y avais mis du cœur et je l'entendit pousser un petit gémissement. Comme si j'étais inquiète, je lui demandai doucement:

"Ca va? Ce n'est pas trop douloureux?"

Avec véhémence elle m'indiqua que tout allait pour le mieux.

Je regardais son sexe entre les fesses qui resemblaient maintenant à de belles tomates mures. Elle était trempée. Son odeur de femme se sentait à un mètre.

Doucement je lui demandai:

"Seriez-vous excitée?"

Bonne comédienne aussi, elle fit mine "Moi, mais non voyons, pour si peu…"

"Très bien. L'instrument que j'emploie ensuite, c'est la latte de l'informaticien. Regardez comme elle est souple!"

En effet, la latte longue d'environ quarante centimètres qui servait à lire des 'listings' de logiciel, était très souple.

"Heureusement que vous n'êtes pas excitée sexuellement, car l'exercice suivant pourrait sinon être très douloureux.

Sans lui laisser le temps de réagir, je me mis à sa gauche et glissai une main entre son corps et la croix, en-dessous du 'ballon'. Je mis ma main sur sa toison. De saisissement elle jeta le bassin en arrière mais je n'eus aucune peine à la suivre. Je tâtai ce sexe brûlant et trempé avec un plaisir à peine dissimulé, il me fallu assez bien de self-contrôle pour ne pas tâter le mien de mon autre main. Mais ce n'était pas le moment de fléchir.

Mes doigts ouvrirent les lèvres de son sexe, puis tirèrent vers l'avant. Je ne pouvais rien voir, mais je savais que j'avais mis son clitoris à nu en tirant de la sorte sur son sexe ouvert. Je pris soin de tenir ma main plus haut que son mont de Vénus.

De l'autre main, du côté de son derrière,  je tenais la latte  bien à l'horizontale entre ses cuisses. D'un mouvement de poignet je la projetai violemment contre la vulve ouverte. Cela fit un bruit écoeurant quand le plastique claqua contre les muqueuses dégoulinantes. Malgré son baîllon elle réussit à produire un son de volume assez élevé, confirmant que le coup avait été droit au but. La croix grinçait comme une vieille porte sous son sursaut.
Les larmes coulèrent sur ses joues, laissant de vilaines trainées noires.

Le 'coup de la latte' est un coup à deux effets: d'abord on a l'impression qu'une main gigantesque vous frappe le sexe, au point de vous soulever du sol; ensuite on se rend compte que c'est le clitoris qui a encaissé un coup direct - par la violence la douleur n'apparaît qu'après quelques instants, quand le sang renflue dans le minuscule organe. En plus la douleur est horriblement gênante: elle part dans le centre même de votre intimité.

Comme je l'avais prévu, elle se mit à uriner sans pouvoir se retenir.

Je me mis à lui masser le sexe où l'urine se méla aux sécrétions. Elle tenta en vain de se dérober, d'échapper à cette main fouineuse. Plusieurs fois je laissai le sexe s'échapper, mais ce n'était que pour pouvoir le frapper avec la latte, cette fois-ci sans exposer son petit bouton.

Quand elle fut plus ou moins calmée - je sentis les palpitations de son sexe diminuer petit à petit - je lui dis:

"Voilà pourquoi il y a une serviette entre vos pieds. Je pensais bien que vous feriez pipi sous vous."

Elle rougit et me regarda d'un air hébété.

"Non, ce n'est pas fini. Vous allez encore souffrir. Mais je vous promets une récompense à la fin du parcours…"

Ostensiblement je reniflai ma main. Elle détourna la tête. Je lui mis la main contre le nez, la forçant à respirer l'odeur de son entre-jambes.

"Mais si vous êtes excitée, ma chère, humez, vous ne pourrez plus le nier! Si vous n'aviez pas cet affreux baîllon je vous aurais fait lècher ma main!"


- fin de la première partie -

perverpeper@perverpeper.com

 

RETOUR A L'INDEX