La directrice de l'institut Ospif (26) |
Par Charlène O
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif" par Charlene O.
Episode 26: "Leçon de modestie" (1/2)
"Mesdames, mesdemoiselles, comme chaque trimestre je vous ai réunies non
seulement pour un goûter, mais aussi pour un moment de réflexion..." Presque
tous les professeurs de l'Institut Ospif étaient présents. Pour l'occasion on
avait ajouté des chaises autour de la table basse débordant d'assiettes, de
tasses, d'argenterie. Le café et les gâteaux étaient délicieux; l'ambiance
feutrée dans le petit salon de Madame la Directrice avait mis les professeurs à
l'aise. Un peu trop à l'aise, peut-être.
Madame la Directrice continua:
"De temps à autre il est bon d'un peu relativiser les choses et de faire un
examen de conscience. Je vous propose de vous recueillir quelques instants.
Pendant ce temps, nous allons procéder à ce que cet Institut appelle 'la leçon
de modestie'.
C'est une vieille tradition que je vais restaurer: chaque trimestre une de vous
sera désignée pour subir sa leçon de modestie." Elle se tut un instant.On
aurait pu entendre voler une mouche. Chacune se faisait si petite que possible.
"Après vous avoir toutes observées les dernières semaines, j'ai choisi
Mademoiselle Dominique pour ouvrir la marche."
La dénommée, une jeune femme au visage ouvert couronné d'une chevelure blonde,
avait blêmi. Tant les élèves que les professeurs savaient de quoi madame la
Directrice était capable. Avant qu'elle puisse ouvrir la bouche pour protester,
la Directrice poursuivit son discours:
"Je trouve, chère amie, que vous vous laissez un peu aller ces derniers temps.
Vous devez absolument vous reprendre en main. Cette leçon de modestie vous y
aidera." Mademoiselle Dominique baissa la tête. Elle avait compris.Il était clair que la Directrice prenait sa revanche pour son comportement lors
du 'dîner des profs' qui avait eu lieu la semaine dernière. Le jeune professeur
avait un peu trop bu, et, entraînée par sa bonne humeur naturelle et l'ambiance
joviale, s'était laissée aller à raconter des blagues un peu osées. Elle avait
acquis toute l'attention de ses confrères et enchaîné l'une blague à l'autre.
On lui avait resservi du vin et à la fin de la soirée, elle était ivre-morte.
Madame la Directrice n'avait pas apprécié qu'un de ses professeurs se donne en
spectacle. Mademoiselle Dominique allait payer l'addition.
La jeune femme s'était levée. Les bras croisés devant sa poitrine elle
attendait la suite. Elle se força à sourire, mais personne n'était dupe: elle était morte de peur. Les autres professeurs la regardaient en coin, trop
heureux d'échapper aux foudres de la Directrice. Personne ne pipait mot - il
fallait surtout ne pas attirer l'attention.
Madame Françoise, une quinquagénaire professeur de psychologie, regarda sa
jeune collègue avec un mélange de pitié et d'excitation. Non seulement
mademoiselle Dominique était appétissante - son tailleur strict n'arrivait pas à l'enlaidir -, mais les 'traitements' de Madame la Directrice contenaient très
souvent des éléments d'humiliation sexuelle, ce qui attirait beaucoup le
professeur de psychologie. Elle sentit une boule grandir au bas du ventre et
attendit avec impatience ce que la Directrice avait prévu pour remettre le
jeune prof à sa place.
Mademoiselle Dominique avait les larmes aux yeux. Elle essayait d'anticiper
tout ce que la Directrice pouvait lui faire subir devant ses collègues et se
mordit les lèvres. 'Quelle chance que la table est remplie de vaisselle, elle
aurait été capable de m'y écarteler!' se dit-elle. Elle ne craignait pas
tellement la douleur physique - comme sportive elle avait appris à mordre sur
sa chique -, mais elle craignait surtout la douleur à l'âme, et dans ce domaine
la Directrice était passé maître...
Elle sursauta à peine quand la Directrice lui adressa la parole:
"Veuillez vous dénuder, je vous prie, à partir de la taille. Vous pouvez rester
où vous êtes. Vos collègues pourront alors aisément s'imaginer être à votre
place, et bénéficier ainsi de votre leçon."
La Directrice regarda les autres enseignants:
"Vous n'êtes d'ailleurs pas la seule à qui un peu de modestie ferait le plus
grand bien..." La plupart des femmes baissèrent les yeux, essayant de prendre
l'air indifférent de celle qui ne se sent pas visée. Seule Mademoiselle
Françoise lança un sourire complice à sa supérieure. Elle avait déjà assisté
souvent la Directrice quand il y avait des cas graves à traiter et avait à
chaque fois ressenti une excitation sexuelle plus qu'agréable. En toute
objectivité elle s'était découvert des tendances qu'on pourrait qualifier de
légèrement sado-masochistes, les avait acceptées, et maintenant elle ne ratait
aucune occasion de montre à Madame la Directrice qu'elle appréciait beaucoup
ses méthodes parfois un peu perverses.
Comme un zombie, Mademoiselle Dominique avait enlevé ses chaussures et dégrafé
sa jupe. La peur l'avait retranchée dans un état second, lui permettant d'obéir à une requête pareille. Sans réfléchir elle avait fait glisser sa jupe, se
retrouvant en petite culotte blanche. Elle avait soigneusement enroulé son
panty puis, le cœur battant la chamade, elle avait agrippé l'élastique de sa
culotte. Un instant elle se rendit compte ce qu'elle était en train de faire et
manqua paniquer. La voix de la Directrice la rappela à l'ordre:
"Allez-y, ou faut-il vous aider?"
Elle s'ébroua et d'un mouvement coulant ôta son slip. Elle se redressa,
exposant sa toison à ses collègues. Son chemisier s'arrêtait juste au-dessus du
triangle. Mademoiselle Dominique était une vraie blonde. Pudiquement elle tint
sa culotte roulée en boule devant son intimité. Elle estimait que cette
exhibition était suffisamment humiliante pour servir de leçon de modestie et
s'apprêta à remettre le sous-vêtement, quand la voix de la Directrice la sortit
de son étourdissement:
"Penchez-vous en avant et prenez appui sur la table."
La jeune femme ne comprit pas et la Directrice dût l'aider à prendre cette
position peu élégante: les mains entre les tasses de thé et de café, s'appuyant
sur la table basse, le derrière en l'air.
"Je vous somme de relever la tête et de regarder vos collègues. Cette leçon
pourrait devenir extrêmement désagréable s'il vous venait la fantaisie de
fermer les yeux, m'avez-vous bien compris? Si je dois le répéter je vous mets
un instrument comme on emploie en ophtalmologie: il vous tient les yeux
largement ouverts. Rappelez-vous le film 'L'orange mécanique' de Stanley
Kubrick..." Mademoiselle Dominique se rappelait vivement cette horrible scène
où Malcolm McDowell, jouant le rôle du jeune délinquant Alex, fut obligé de
regarder des films atroces pour créer dans son cerveau une aversion contre la
violence; pour l'obliger de regarder on lui avait mis un instrument optique qui
maintenait les paupières grandes ouvertes.
La jeune femme redressa la tête et acquiesça. Elle rencontra le regard
impitoyable de madame Françoise, assise en face d'elle, et sut que cette
dernière se ferait un plaisir de signaler le moindre manquement.
La jeune femme avait la bouche sèche. La Directrice semblait avoir tout un
programme en tête. Ah, si elle avait su, elle se serait excusée pour ce goûter,
prétextant un quelconque malaise! Mais il était trop tard. Un malaise à cet
instant n'arrêterait pas la Directrice...
"Ecartez les pieds."
"Maintenant fléchissez les genoux. Mieux que ça!"
Mademoiselle Dominique ferma les yeux de honte, puis, se rappelant
l'avertissement, les rouvrit immédiatement, le regard affolé. "Pourvu que
l'autre ne dise pas que je les ai fermés!" Madame Françoise lui sourit d'un
sourire gourmand, guettant la moindre de ses grimaces, mais ne dit rien. Le
professeur de psychologie attendait impatiemment la suite et serra discrètement
les cuisses. Sa culotte lui comprimait agréablement le sexe et elle sentit la
chaleur s'étendre dans son ventre. Discrètement elle glissa sa main droite dans
la poche de sa robe. Le vêtement était ample et cachait ce qui se passait en
dessous. Un instant elle ferma les yeux d'aise. Quand elle les rouvrit, la vue
de Mademoiselle Dominique attendant sa punition à moitié nue, le dos à
l'horizontal, provoqua comme un éclair entre ses cuisses. Elle se caressa de
plus belle; surtout quand elle vit que Mademoiselle Dominique avait compris son
manège. eureusement, la jeune femme avait une telle frousse pour ce qu'elle
allait subir, qu'elle ne songea pas à trahir sa collègue de psychologie.
La Directrice, un tube de verre en main, s'approcha du derrière de la jeune
femme.
"Oh!" Mademoiselle Dominique n'avait pu réprimer un petit cri quand la
Directrice lui avait appliqué de la vaseline sur l'anus. Du bout du doigt la
femme enduit le renflement musculaire, puis lubrifia l'entrée du sphincter en y
forçant le doigt. Elle appliqua le tube qui ressemblait à un étui à cigares
contre l'anneau sombre et poussa. Mademoiselle Dominique gémit de honte.
"Détendez-vous, sinon cela risque d'être fort douloureux!" La pression devint
insupportable et soudain le tube s'enfonça de toute sa longueur dans le rectum
de la jeune femme.
"Aaaaah!"
"Ne criez pas, ce n'est pas douloureux!"
Morte de honte, les larmes coulent sur son visage défait, le jeune professeur
ne savait plus où se mettre. Ses collègues, muets comme des carpes, la
dévisageaient avec la curiosité d'un entomologiste pour un coléoptère rare.
Aucune aide, aucun soutien à attendre de ce côté-là.
La sensation que quelqu'un vous glisse un objet froid dans le rectum est
affreusement humiliante et la jeune femme ne put s'empêcher de gémir d'embarras
et de honte. Elle haletait, gémissait au moindre mouvement que le tube de verre
faisait dans son derrière. Son petit trou, dilaté, brûlait et elle sentit une
furieuse envie de se vider les intestins. La jeune femme dut se mordre les
lèvres pour ne pas crier. Sidérée, elle regarda sa collègue madame Françoise
dont le regard fixe dessinait les prémices d'une jouissance discrète.
Involontairement Mademoiselle Dominique plia les genoux et serait tombée si la
Directrice ne l'avait pas rappelée à l'ordre. Sans aucune gêne la femme avait
glissé la main entre les cuisses du jeune prof et l'avait relevée, en la
soulevant avec la paume de la main sur son sexe. Cet attouchement intime fut
trop pour la jeune femme et elle se mit à sangloter convulsivement, tandis que
la Directrice continuait à lui malaxer l'entre-jambes.
"Ooooh!" La Directrice avait actionné le piston du tube, projetant deux
suppositoires de glycérine au fond du rectum. Ce n'était nullement douloureux,
mais Mademoiselle Dominique avait l'impression que la Directrice avait les
doigts profondément dans son ventre et qu'elle lui massait l'intestin depuis
l'intérieur.
"Mais qu'est-ce que vous me faites?" parvenait-elle à balbutier.
"Je vous ai injecté deux suppos de glycérine."
Lentement, par petites secousses qui firent chaque fois se crisper les muscles
fessiers, la Directrice retira le tube de verre. Comme le sphincter avait été
dilaté pendant plusieurs minutes, l'anneau resta ouvert une fois le tube sorti.
La jeune femme sentit l'air frais s'engouffrer dans son fondement et faillit
une fois de plus crier de honte. Mais avant que le son strident ne sorte de son
gosier, une nouvelle manipulation de la Directrice lui coupa le souffle: voyant
l'anus béant, la femme avait inséré deux doigts dans le canal étroit et
explorait le début du rectum à la recherche d'hémorroïdes internes ou d'autres
lésions du sphincter ou de la muqueuse rectale. Mais les parois étaient
exemptes de toute malformation. Satisfaite elle retira ses doigts, non sans les écarter, pour mettre la jeune femme encore un peu plus mal à l'aise.
"Redressez-vous!"
Les genoux tremblants le jeune professeur se redressa, le visage ravagé par les
larmes. Les autres ne perdaient pas une miette du spectacle, intérieurement
troublées à l'idée que leur jeune collègue était maintenant 'amorcée': quoi
qu'il arrive, d'ici tout au plus une demie-heure les suppositoires de glycérine
auront fait leur travail laxatif. Elles étaient curieuses de savoir où
l'opération 'évacuation' aurait lieu: est-ce que la jeune collègue pourrait se
retirer à temps vers les toilettes, ou...? Elles furent vite fixées.
- fin de la premère partie -
Copyright: © Charlène O. (août 2001)