La directrice de l'institut Ospif (25) |
Par Charlène O
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.
Episode 25: "Cancre-là!"
"Non, s'il vous plaît, non, je ne veux pas! Pitié!"
Martine hurlait comme une damnée pendant que les deux assistantes la
traînaient vers le bureau de Madame la Directrice. On venait de lui apprendre
que ses résultats trimestriels étaient si mauvais qu'elle allait devoir subir
la 'Cuca', la punition réservée aux cancres.
Selon les dires des anciennes de l'Institut Ospif, la 'Cuca' était un des
pires supplices de l'école. On disait même que certaines filles étaient
devenues folles à cause de ce traitement et que c'est pour cela qu'il n'était
presque plus jamais appliqué.
La jeune fille s'était laissée tomber par terre et les assistantes avaient dû
la traîner le long des corridors.
"Celle-ci est déjà folle d'avance!" avait ri la plus grande des deux, qui
s'appelait Jessica.
La Directrice dévisagea la fille qui pleurait, effondrée entre les deux
assistantes.
"Emmenez-la dans ma salle de bains et préparez-la."
"Madame, s'il vous plaît" sa plainte se perdit dans le bruit de la porte
insonorisée qu'on refermait.
Pendant que la Directrice terminait sa correspondance, les assistantes
préparèrent Martine pour le 'Cuca'.
Comme d'habitude elles en faisaient un jeu: au lieu de simplement la mettre à
nu, elles obligèrent l'adolescente de grimper sur la table et de se
déshabiller elle-même. Elles se faisaient offrir un strip-tease maison et si
la performance leur plaisait, d'autres petits jeux étaient inventés.
Martine dut donc se mettre debout sur la table et ôter ses vêtements. Cela ne
fit pas trop de problèmes jusqu'à ce qu'elle se trouve en soutien-gorge et
petite culotte. Après avoir fait quelques allers et retours sur la table,
exhibant ses fesses rondes dans la culotte moulante, elle se mit à sangloter
quand une des assistantes lui dit de se mettre à nu. Il fallut beaucoup de
persuasion et quelques claques bien senties pour qu'enfin elle dégrafe son
soutien-gorge. Pour la culotte se fut pire. La plus grande des assistantes dut
la lui arracher de force, et Martine y laissa une touffe de poils. Pour la
punir l'assistante la frappa du plat de la main sur le ventre, en dessous du
nombril, tandis que sa collègue immobilisait la jeune fille dans une prise de
judo, offrant son ventre sans défense aux coups de sa collègue. L'assistante
frappa posément, sans haine, juste pour faire mal. Après quelques coups elle
s'arrêta et, tandis que Martine tentait de reprendre son souffle, fit un signe
discret. L'autre assistante, petite mais musclée, souleva Martine comme si
c'était un sac de pommes de terres. Hébétée, les pieds ne touchant plus le
sol, l'adolescente ne savait pas ce qui se passait. Elle ne vit pas le coup
avec la paume de la main qui partit de bas en haut et qui la frappa entre les
jambes. La douleur fut fulgurante, comme si on avait heurté son sexe avec une
batte de baseball. L'assistante costaude la tenait par le cou, coupant net son
cri, puis la relâcha. Martine tomba parterre et vomit un jet de bile verdâtre.
"Ca t'apprendra à obéir plus vite, ma petite connasse. Maintenant lève-toi!"
A deux elles la couchèrent sur la table. Le plastique froid la fit
frissonner. Lentement la douleur entre ses jambes s'estompait. Elle sentit
entre ses cuisses, ramena des doigts humides, mais heureusement pas de sang.
Martine tenta de se débattre, mais les assistantes l'attachèrent, bras et
jambes écartés, aux quatre coins de la table.
Soudain Martine sentit une partie de la table se dérober sous elle. La table
médicale comportait plusieurs panneaux et une des assistantes avait enlevé
celui qui se trouvait sous les fesses de l'adolescente. De ce fait Martine
pendait dans le vide du milieu du dos jusqu'au genoux.
Elle se sentait vulnérable, sa nudité exposée ajoutant à son inquiétude. Les
assistantes se penchèrent sur son ventre comme si elle avait été un quelconque
morceau de viande dans l'étal d'un boucher. Puis la plus grande des deux se
présenta entre ses jambes écartées, et se mit à enduire son ventre et son sexe
d'une pâte rose odorante. Martine hurla de terreur, puis se rendit compte que
cette pâte ne provoquait aucune douleur, juste une sensation désagréable de
graisse visqueuse froide. La femme travaillait vite, avec des gestes précis.
Bientôt les poils disparurent sous une épaisse couche de pâte. Le sexe fut
soigneusement enduit; même le pourtour de son petit trou reçut une couche de
pâte. Martine avait fermé les yeux de honte. Elle n'avait encore jamais subi
des attouchements si intimes.
Ensuite l'assistante discuta de longues minutes avec sa collègue. Martine
n'arrivait pas à comprendre ce qu'elles disaient.
Quand elles revinrent vers Martine, la crème s'était réchauffée et formait
une sorte d'emplâtre odorant entre ses cuisses.
L'assistante costaude mit un bac émaillé sous ses fesses et rinça la pâte
rose avec une douche. L'eau froide fit sursauter Martine mais elle ne cria
pas, de peur de nouvelles représailles.
La femme s'aidait d'un petit grattoir vert pour gratter la pâte. Martine vit
avec effroi que là où la femme avait gratté, sa peau était étrangement nue,
vierge de tout poil. Elles étaient en train de lui dépiler le ventre!
Elle tenta de se dresser pour voir ce qu'elles faisaient, mais elle ne vit
que son mont de Vénus glabre comme une fesse de nouveau-né, et presque aussi
dodu. Elle ne s'était jamais rendu compte que sa touffe de poils cachait une
si grosse bosse.
Une des assistantes lui sécha le ventre, frottant brutalement entre ses
cuisses avec une serviette de bain. Son sexe était encore extrêmement sensible à cause du coup de poing. Puis la serviette passa entre ses fesses,
s'attardait sur son anus, où les poils avaient aussi disparus. Martine ne
s'était encore jamais sentie si viscéralement nue.
L'assistante costaude défit un pied, puis l'autre, puis lui enfila une étrange culotte en plastique: le vêtement, probablement conçu pour des
personnes fortement incontinentes, monta haut sur le ventre, presque jusqu'aux
seins de Martine; dans le bas les jambes du vêtement descendaient jusqu'aux
genoux!
En haut et en bas de larges élastiques blancs assuraient l'étanchéité; entre
ces élastiques la culotte ressemblait à un grand sac en plastique qui flottait
autour des fesses de l'adolescente. C'était ce qu'on appelle un 'blooper' en
anglais, une 'culotte à accidents'.
Martine ne comprenait pas pourquoi on l'affublait de cette culotte ridicule.
C'était une sensation étrange, ce plastique souple sur sa peau fraîchement
dépilée. Son ventre transpirait sous le plastique, elle se sentit toute drôle
entre ses cuisses.
Elle avait l'impression qu'on ne voyait d'elle que son ventre et son sexe.
La préparation devait être terminée, car une des assistantes quitta la pièce
et revint quelques instants plus tard avec Madame la Directrice.
La femme contrôla les liens puis souleva l'élastique de la culotte pour
regarder le ventre lisse.
"Bien, vous pouvez y aller."
L'assistante costaude prit ce qui semblait être une banale boîte en carton et
l'ouvrit. Elle lança un regard interrogateur à la Directrice.
"Cinq. Elle a cinq mentions 'insuffisant', donc" la phrase resta en suspens.
Martine se demande de quoi les femmes parlèrent et tenta en vain de se
redresser pour observer leur manège.
Une des assistantes se coucha à moitié sur sa poitrine, l'empêchant de voir
ce qui se passait sur son ventre. Elle sentit que la femme soulevait
l'élastique de la culotte en plastique. Puis sa collègue déposa quelque chose
sur la peau fragile de son bas-ventre, juste au-dessus de son mont de Vénus.
L'objet grattait.
Martine vit le regard perçant de la Directrice près de son visage puis tout
se brouilla: l'objet qu'on venait de déposer sur son ventre s'était mis à
bouger. Elle hurla de terreur quand elle sentit une deuxième puis une
troisième de ces choses grouiller sur son ventre. Il lui fallut quelques
secondes pour se réaliser que ce devaient être des insectes, des hannetons ou
quelque chose dans le genre. L'horreur la rendait muette.
Quand l'assistante avait déposé, avec une pince spéciale, le cinquième
cancrelat sur le ventre de l'adolescente, sa collègue remit l'élastique en
place, empêchant toute sortie des insectes.
Martine crut devenir folle: les insectes courraient dans tous les sens,
paniqués par la chaleur humide qui régnait dans la culotte de plastique,
cherchant aveuglément une sortie.
La jeune fille, en proie à une crise de nerfs, secouait son ventre et son
bassin pour échapper aux insectes qui griffaient la peau devenue
ultra-sensible par la peur.
Quelqu'un souleva le plastique qui collait au mont de Vénus glabre et
plusieurs cancrelats se précipitèrent dans cette direction, s'accrochant aux
chairs délicates du sexe, puis franchirent le périnée et le renflement de
l'anus, s'agrippant pour ne pas tomber.
Martine cria sa terreur à gorge déployée. On la laissait faire: la pièce était
insonorisée, et les trois personnes qui assistaient à son châtiment portaient
des protèges-oreilles. Demain elle n'aurait plus de voix. Ses yeux roulaient
dans ses orbites comme des billes multicolores, de la bave coulait de son
menton. Son corps s'était recouvert de chair de poule, mais elle transpirait à
grosses gouttes. A plusieurs endroits la culotte collait à la peau trempée de
sueur. Près du nombril un cancrelat avait été pris dans une gangue de
plastique: il était prisonnier dans une poche d'air et tenta en vain de
s'échapper, ses minuscules pattes griffant la peau comme si c'avait été des
aiguilles.
Martine se contorsionna d'une façon involontairement obscène, jettant son
bassin en avant pour échapper aux morsures, mais quand un des insectes parvint à entrer dans le vagin béant, elle perdit tout contrôle d'elle-même. Plus tard
elle ne se rappellerait rien à partir de ce moment-là.
Le cancrelat griffant l'entrée du vagin fit exploser les instincts les plus
primitifs de la jeune fille, la reléguant au stade d'animal terrorisé. Comme
le lapin qui sent qu'il va mourir sous les crocs des chiens, elle urina,
soudain tétanisée, incapable de réagir sinon par réflexe. L'urine gicla contre
le plastique, faisant un bruit chuintant contrastant étrangement avec ses cris à peine tus.
Le liquide brûlant éclaboussa son ventre et son sexe dépilés, coulait entre
ses fesses. Elle se mit à grelotter par réaction.
L'urine continua de couler et forma au point le plus bas une petite mare.
Petit à petit cette partie de la culotte s'étira vers le bas par le poids de
l'urine, entraînant quelques cancrelats.
Les yeux fermés, les lèvres retroussés en un rictus d'horreur, Martine rendit à peine compte que le grouillement infâme avait diminué.
Puis, par une ultime secousse nerveuse du bassin, le dernier cancrelat tomba
dans la mare d'urine qui pendait en-dessous des fesses de l'adolescente.
La jeune fille ne réagit pas quand on lui ôta sa culotte en plastique, un peu
comme si elle avait subi une série d'électrochocs; elle se laissa transporter
vers le lit-cage où une des assistantes lui mit une couche-culotte et une
culotte en caoutchouc. Son châtiment la 'Cuca' ou 'Culotte à cancrelats'
l'avait rendue incontinente pour plusieurs jours.
Elle s'endormit comme une souche, les mains attachés par des lanières à la
tête du lit, pour empêcher qu'elle se débarrasse de sa couche-culotte dans son
sommeil peuplé d'insectes géants qui la violaient.
- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (juillet 2001)