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Tatiana Carvella (08)
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Adaptation française par Perverpeper

 

 

Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’une auteure dont le pseudonyme est "Annie the slick".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans autorisation formelle.
Malheureusement, ce récit est incomplet.

PP



Syopsis : Une mère, sa fille et une mystérieuse voisine embarquent pour une merveilleuse aventure charnelle en haute fantaisie lesbienne. Tous les personnages sont imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements existants ou ayant existé est purment fortuite (et, il faut l’avouer, vraiment involontaire, même si ça serait vraiment formidable).

F/F (Euh… toutes les combinaison avec le grand F et le petit f que j’ai pu trouver, mais essentiellement F/f et F/F)

 

Nos stars :

Linda Moore – Fille mère, travaillant dur pour élever sa fille Sarah. Blonde aux yeux bleus avec un corps convenable malgré de légers affaissements dus aux efforts qu’elle produit dans son travail.

Sarah Moore – La fille de Linda, 18ans, Brune aux yeux marrons avec un corps joliment proportionné avec sa poitrine aux mensurations 35C. Toute pleine d’innocence et de potentiel.

Tatiana Carvella – Leur nouvelle voisine, Rousse de la tête aux pieds avec des yeux verts très pénétrants. Elle a des plans pour ses voisines… bons pour elle, mauvais pour elles.

Dania – Mannequin de Tatiana voir… plus ?

By annie_slick©

 

 

Carvella

 

Chapitre 8 : Nue au Night-club.

Rêve

Je suis le produit.

Attachée dans une caisse. Au fond de la cale d’un cargo.

Nous sommes des centaines, peut-être des milliers.

Enfermées dans des caisses, expédiées partout dans le monde vers des acheteurs friands de nos services.

Le murmure du vibrateur dans ma chatte me tiens occupé durant le long voyage vers l’Arabie où je dois devenir la quarante-neuvième femme d’un émir.

Mon code barre est scanné, le manutentionnaire charge la palette sur laquelle quatre autre filles et moi sommes dans un camion rempli d’autres palettes, chacune d’entre elle étant destinée aux quatre coins du monde.

Seulement la livraison de ce matin d’un réseau au carnet de commandes bien rempli.

J’ai mon premier orgasme, le premier d’une longue série qui jalonnera mon voyage.

****

L’examen que Tatiana venait de lui faire subir dans la limousine venait de se terminer. Linda n’aspirait qu’à une chose, rentrer chez elle et se coucher. Tout allait bien, il n’y avait pas eu d’éjaculation, pas de sperme. C’était un soulagement.

Elle était toujours enveloppée dans la veste de Tatiana. Sa superbe robe, saccagée, reposait sur l’autre siège du véhicule, roulée en boule et abandonnée.

Tatiana lui tendit un verre de champagne.

« Ça devrait t’aider à te calmer. »

Elle en but une petite gorgée, mais Tatiana exigea qu’elle le termine sur le champ.
Un deuxième verre remplaça le premier. À nouveau, elle dût le boire en entier.

Tatiana passa un appel, pendant qu’elle en buvait un troisième.

Elle attaquait le quatrième lorsque Tatiana raccrocha.

« Vitaly c’est occupé de ce bâtard ! » Lança-t-elle d’une voix glacée.

« Merci, Maîtresse. »

« Comment te sens tu, Madame Moore ? » Demanda Tatiana en venant s’asseoir à côté d’elle.

« Mieux. Je me sens un peu survoltée. »

« Parfait, parce que je ne veux pas que cette nuit se termine sur une aussi mauvaise note. J’aimerais bien que nous sortions dans un club que je connais afin que tu puisses prendre du bon temps. »

Elle se pencha et embrassa gentiment Linda sur la joue.

Puis, elle déboutonna la veste, exposant le corps nu en dessous.
Linda se laissa faire de bon gré, l’aidant à la débarrasser du vêtement.

« Merci de t’être rasée, Madame Moore. » Susurra Tatiana en détaillant sa nudité.

Elle l’embrassa et Linda le lui rendit avec ferveur.

« Tu te souviens de ce que je t’ai dit hier à propos de goûter ? » S’enquit-elle en lui embrassant le cou puis en donnant de petits coups de langues de plus en plus bas vers ses seins.

« Heu… Oui, Maîtresse. »

Linda bût une nouvelle gorgée, posa son verre dans le sceau à glace et ferma les yeux.

« Et qu’est-ce que j’ai dit, Madame Moore ? » Demanda-t-elle en titillant le téton de Linda du bout de la langue avant de le prendre entre ses incisives et le mordiller délicatement.

« Vous avez dit… Vous avez dit… Que vous comptiez me goûter, Maîtresse. »

Tatiana mordit légèrement le bout de chair, faisant pousser un petit cri à Linda.

« C’est ça. » Poursuivit Tatiana en laissant sa langue courir sur le corps de Linda.

Elle marqua une pause au niveau de son nombril, y décrivant des arabesques.

« Es-tu prête à te faire goûter, Madame Moore ? »

« Oui, Maîtresse ! »

Et la langue de Tatiana poursuivit son chemin vers la douceur du pubis lisse de Linda. La caresse était électrisante et lorsque la langue glissa vers sa fente, elle ne put retenir un long gémissement.

« Oooohhh, Maîtresse ! »

Tatiana embrassa son sexe.

« Aaaaah ! »

Elle se mit à titiller le clitoris de Linda et lui releva les jambes en les écartant largement.

Linda passa ses mains derrière ses genoux et, inconsciemment, agita ses orteils tandis que la langue de sa Maîtresse faisait des merveilles entre ses cuisses.

Elle embrassa, suça et lécha jusqu’à ce que Linda halète.

Celle-ci agrippa le cuir du canapé et cria suffisamment fort pour que le chauffeur qui attendait derrière son volant les entende.

« BORDEL… Maîtresse ! AAAHHH ! Unh-unh-unh ! »

« Tatiana poussa encore plus fort sur les jambes de Linda, faisant saillir ses ligaments et s’appliqua à faire jouir son esclave. Elle mordit son clitoris et le maintint entre ses dents, les faisant bouger imperceptiblement tandis que les yeux de Linda se révulsaient sous la jouissance.

« HhhhmmMMMM ! AAAAHHH ! OOOOOHHHH ! »

Le corps de Linda s’était tétanisé. Des gouttes de sueur perlaient sur son front, pendant que Tatiana continuait à la lécher, de plus en plus doucement, en attendant qu’elle reprenne ses esprits.

« Oh… Ooohhh… Aaaahhhhh. »

Alors, elle relâcha les jambes de Linda et se retira d’entre ses cuisses.
Linda avait les muscles en compote et elle peinait à reprendre sa respiration.
Tatiana s’assit à côté d’elle et lui taquina les tétons nonchalamment en sortant son téléphone et en composant un nouveau numéro.

Linda se redressa tant bien que mal, se calant au fond du divan. Tatiana passa son bras autour de son cou et l’attira vers elle, plaquant son corps nu contre elle, tandis qu’elle conversait au téléphone dans cette langue dont Linda ne comprenait pas un traître mot.
Se désintéressant de ce qui pouvait se dire, elle se coula encore plus contre sa Maîtresse et l’embrassa dans le cou, joua avec ses cheveux, frottant doucement son corps nu contre Tatiana. Elle aima le contact de ces vêtements qui coûtaient une fortune avec sa nudité lorsqu’elle frottait contre eux.

****

La limousine s’immobilisa.

« Nous y voilà, petite cochonne. »

« Où ça ? »

« À mon club favori : Le costume de la direction.

« Mais je ne peux pas sortir comme ça, Maîtresse, je suis nue. »

« Ça n’est pas vrai, Madame Moore. Tu as ma veste. Elle recouvre tout et suffisamment. En plus elle est vraiment… Heu… À la mode. »

« M… Mais… Mais elle… Je… Je suis toujours nue en dessous. »

« Ne me déçois pas, Madame Moore, pas après tout ce que j’ai fait pour toi. »

Tatiana se pencha vers un petit compartiment sur le côté du fauteuil et en retira ses lunettes de soleil ; celles qui étaient à la mode avec un verre miroir.

« Tu n’as qu’à mettre ça et faire semblant d’être quelqu’un d’autre, il n’y aura personne ici qui te reconnaîtra. »

Et sur ces mots, Tatiana ouvrit la porte et attira Linda hors du véhicule.
Les deux femmes s’avancèrent, bras-dessus bras-dessous, tandis que Linda s’escrimait à boutonner la veste. Malgré sa longueur, elle n’avait que deux boutons, ce qui compliquait le fait qu’elle puisse rester couverte si ce n’était en restant droite et immobile.

Il y avait une longue file d’attente à l’entrée du club. Tatiana la contourna et marcha directement vers le videur. L’homme, un grand costaud la reconnut aussitôt et les laissa passer au grand désarroi des personnes qui faisaient la queue.

Une file d’attente composée à cent pour cent de femmes

C’était un night-club lesbien. Linda fit de son mieux pour se cacher derrière ses lunettes, tout en préservant sa pudeur tandis qu’elles cheminaient à l’intérieur.

Tatiana se dirigea directement vers la piste de danse et elles se mirent toutes deux à danser.

C’était peut-être la combinaison du lieu, des lunettes, du champagne, de l’orgasme, de la veste, du viol et probablement du surréalisme total de la nuit qu’elle était en train de vivre, mais Linda dansa comme si elle avait à nouveau Dix-neuf ans. Se mettre dans la peau d’une lesbienne effrontée de Dix-neuf ans la libérait.

Je suis une lesbienne EFFRONTÉE de Dix-neuf ans.

Dans cette boite, à moitié nue pour son amoureuse, sa Maîtresse, elle ne s’était jamais sentie aussi bien de toute sa vie. Aussi, Linda dansa, sans se préoccuper de sa nudité, sans se demander si quelqu’un pouvait voir ses seins, ses fesses ou son sexe. Elle aurait même dansé entièrement nue si Tatiana le lui avait demandé.

Et comment Tatiana dansait ! Linda s’émerveilla de sa grâce. C’était la même souplesse implacable qu’elle avait montrée contre son violeur. Féline, dominante, puissante et sensuelle à la fois. Linda était stupéfaite. Elle se souviendrait éternellement de ce qu’elle avait ressenti lorsqu’elle avait été secourue. Ce qu’elle avait ressenti quand elle avait été sauvée de l’horrible bite de cette brute.

Par Tatiana.

Linda virevolta, dansa et s’afficha dans les bras de Tatiana. Elle jeta sa tête en arrière, quémandant un baiser de son amour. Tatiana accéda à ses désirs et s’empara de la bouche offerte. Linda se sentait apaisée, tandis qu’elle se fondait corps et âme dans l’énergie de la rousse.

Elles dansèrent pendant une bonne heure avant de prendre un peu de repos. Elles quittèrent la piste et vinrent s’adosser contre un mur. Toutes les tables étaient prises. Tatiana fit un signe à une serveuse et commanda deux Smirnoff. Puis elle se colla contre Sarah et l’embrassa, la plaquant contre le mur.

Linda sentit qu’elle détachait les boutons de sa veste. L’endroit où elles se trouvaient était très sombre, mais elle se sentit complètement nue.

J’ai Dix-neuf ans. Je suis une lesbienne. Je suis effrontée. Je veux tout ça. Je la veux, elle.

Elle laissa Tatiana ouvrir sa veste et glisser ses bras autour de sa taille. Elle pressa son corps nu contre les vêtements de Tatiana, contre son corps merveilleux. C’était si bon. Elles s’embrassèrent. Les mains de la rousse descendirent sur ses fesses et se mirent à les caresser.

Un toussotement les ramena à la réalité. La serveuse attendait en tenant leurs consommations sur un plateau. Tatiana s’écarta un peu d’elle et s’empara de la sienne. Un instant, Linda pensa recouvrir sa nudité, mais…

Je suis une lesbienne effrontée de Dix-neuf ans.

Et elle laissa la longue veste ouverte, se montrant à la serveuse lorsqu’elle prit la boisson qu’elle lui offrait.

La jeune fille leva un sourcil, laissa son regard vagabonder sur le corps de Linda, et repartit continuer son service. Tatiana but une grande gorgée, puis posa son verre et recommença à se consacrer à Linda. Elle l’embrassa à nouveau et ses mains retrouvèrent rapidement le chemin de ses fesses. Son majeur glissa le long de sa raie et se posa contre son anus ou il frotta doucement contre l’ouverture.

Puis elle interrompit le baiser et tendit son doigt devant les lèvres de Linda.

« Mouille-le, petite cochonne. Mouille-le un maximum. »

Linda la regarda à travers ses verres miroir.

Je suis une lesbienne EFFRONTÉE de Dix-neuf ans.

Et elle prit le doigt dans sa bouche en regardant autour d’elle, les femmes au fond du bar. Il y avait d’autres couples qui s’embrassaient dans les coins sombres. Deux des autres filles les regardaient, mais ne semblaient pas particulièrement choquées. Seulement un couple parmi tous les autres se tripotait en s’embrassant.

Elle lécha et saliva autant que possible sur le doigt de sa Maîtresse. Elle savait dans quel but. Elle n’avait jamais rien introduit entre ses fesses, à part un thermomètre lorsqu’elle était petite et peut-être quelques suppositoires. Mais son amour et sa lubricité prirent le dessus sur toute autre considération.

« Merci, petite cochonne. »

Tatiana s’amusa un instant à le promener à l’intérieur de sa bouche avant de le retirer pour le glisser à nouveau sous la veste.
Linda sentit la main progresser le long de son dos, descendant irrémédiablement vers ses fesses où elle trouva rapidement son anus. Elle étala la salive autour de l’ouverture et commença à pousser.

Son majeur pénétra lentement le muscle contracté.

« Est-ce que tu es vierge de ce côté, Madame Moore ? »

La première articulation franchit la barrière.
Tatiana étouffa presque sa réponse en l’embrassant goulument.

« O… Ouuuui, Maîtresse. »

« Parfait. » Répondit Tatiana en enfonçant sa deuxième phalange.

« Alors je vais prendre ton pucelage anal. » Et elle enfonça son doigt à fond. « Aimerais-tu que je mette mon gode-ceinture et que je prenne ta virginité anale pour te faire mienne, Madame Moore ? »

« Ooooooohhh… Oui, Maîtresse. »

« Tu me donnerais ton dernier pucelage, Madame Moore ? » Demanda Tatiana en agitant son doigt d’avant en arrière dans l’anus de Linda.

« Ahh… Ahhhhhh… Oooooohhh ! Oui, Maîtresse… Oui ! »

Linda glissa un peu vers le sol et dut se servir du mur pour supporter son poids, tant ses jambes menaçaient de céder.

« Je sais comment faire l’amour à une femme, Madame Moore. Mieux qu’un homme… Tu me supplieras de te prendre à la fois dans ton vagin et dans ton anus. Tu rêveras de faire l’amour avec moi de toutes les façons imaginables. »

Elle accéléra le mouvement de son doigt et se pencha à nouveau sur Linda pour l’embrasser.

Un autre orgasme se profilait. Toute la soirée l’y menait. Les taquineries à la galerie, le viol, le sauvetage, la limousine, la boite de nuit… Tatiana n’avait même pas touché son sexe, mais les femmes qui les entouraient, les baisers, l’alcool et le doigt qui s’agitait dans un endroit où il n’aurait jamais dût se trouver, sans compter que tout cela se déroulait en public. Ce fût trop. Son champ visuel commença à se voiler d’étoiles.

Je suis une lesbienne effrontée de Dix-neuf ans.

Non… Je suis seulement une lesbienne effrontée.

L’idée s’imposa dans son esprit. Elle était lesbienne, c’était sûr et il n’y aurait pas de marche-arrière. Sa rencontre avec Tatiana avait changé sa vie du tout au tout.

Je suis une lesbienne.

Et cette pensée déclencha sa jouissance.

Tatiana la maintint pendant que l’orgasme agitait furieusement tout son corps, la soutenant alors que ses jambes s’y refusaient.
Son doigt entièrement enfoncé dans son rectum, ses lèvres sr les siennes et son bras qui plaquait son corps nu contre ses vêtements, tellement près…

****

Elles dansèrent toute la nuit. Chaque fois qu’elles s’arrêtaient, Tatiana jouait avec son corps, ses seins, sa chatte, encore son anus. Linda jouit deux nouvelles fois.

Linda n’avait plus les idées claires. Elle se contentait de suivre Tatiana, partout ou elle la conduisait, jusqu'à ce que, finalement, elle se retrouve dans la limousine qui les ramenait chez elles.
Tatiana lui fit quitter la veste et elle resta nue pendant tout le trajet, blottie contre sa Maîtresse, exténuée et sexuellement épuisée.

Tatiana la caressa nonchalamment, sans chercher à lui donner du plaisir, mais entretenant un désir subtil mais lancinant.

« Je ne te dépucèlerai pas cette nuit, Madame Moore. Nous garderons ça pour une autre occasion, avec toute la cérémonie que ça nécessitera. Cette nuit, tu vas avoir l’honneur de goûter ta Maitresse. Cette nuit tu lui demanderas la permission de la savourer.

« Oui, Maîtresse. »

La limousine s’immobilisa devant la maison de Tatiana. Celle-ci autorisa Linda à remettre la veste et la conduisit directement vers la grande bâtisse, ne lui permettant même pas de faire un saut chez elle.

Aussitôt à l’intérieur, Linda se conforma à ses obligations et se débarrassa de la veste.

« Viens, petite cochonne, j’ai besoin d’un autre verre de vin. » Ordonna-t-elle en lui prenant la main pour la guider vers la cuisine.

Elle lui désigna l’endroit où elle rangeait le vin et les verres, puis retourna dans le salon mettre de la musique.

C’était un Slow. Linda la retrouva, l’attendant dans le salon. Elles prirent un verre, puis Tatiana les en débarrassa en les posant sur la table basse. Elle prit Linda dans ses bras et elles dansèrent, l’une entièrement nue et l’autre entièrement vêtue.

Tatiana l’embrassa, toujours avec la même autorité, et s’empara de l’un de ses tétons pour le faire rouler entre deux doigts.
Linda se mit à gémir. Ses mains ne cessaient de caresser le dos de sa Maîtresse sans s’enhardir.

« Maintenant, tu dois avoir une permission à me quémander, petite cochonne. »

« Maîtresse ? » Demanda Linda en réalisant ce qu’elle était sur le point de demander.

« Oui, Madame Moore ? »

« Maîtresse, puis-je goûter à votre saveur, s’il vous plaît ? »

« Est-ce que tu le désire vraiment, petite cochonne ? »

« Oui, Maîtresse, oui. »

« Est-ce que tu penses que tu t’es suffisamment consacrée à tous tes devoirs, Madame Moore ? »

« Je… Je… Je ne sais pas. Je sais seulement que j’aimerais goûter votre sexe, Maîtresse. »

« Je sais que tu aimerais ça, Madame Moore, mais il reste un dernier test qui t’attend. Tu complètement t’approprier ton rôle si tu veux que je t’autorise l’accès à mon sexe. »

Tatiana se dégagea de leur étreinte.

« Je… Maîtresse… Je ne veux que vous donner du plaisir… »

Tatiana fit silencieusement le tour de Linda en marchant lentement.

« Je sais, Madame Moore. Je sais ce que tu veux, mais je crois que tu es encore un peu… Heu… Confuse à propos du rôle en question… »

« M... Mais… Maîtresse, je ne comprends pas. »

Linda tentait vainement de suivre Tatiana des yeux tandis que celle-ci tournait autour d’elle.

« Tu m’as acceptée en tant que ta Maîtresse, n’est-ce-pas ? »

« Oui, Maîtresse. »

« Et bien, ça n’est qu’une partie de notre relation, Madame Moore. Je devrais dire la face visible de l’iceberg. Dis-moi… Quels sont tes liens avec ta Maîtresse ? »

Le rythme cardiaque de Linda s’accéléra.
Tatiana avait stoppé derrière elle.

« Je… Maîtresse… Je ne sais pas… Je vous appartiens… Je… »

Tatiana la coupa.

« Tu n’en es pas loin, Madame Moore. Tout près même, mais… Heu… Il me semble que vous dites "reconnaissance". Tu dois m’être reconnaissante de la position que je t’ai octroyée. »

« Heu… Je ne comprends pas, Maîtresse. Que voulez-vous que je vous dise ? Je le ferai, s’il vous plaît… »

Linda avait du mal à réfléchir.

Que suis-je ?

« Allez, Madame Moore… Je suis ta Maîtresse et tu es… »

« Je… S’il vous plaît… »

Linda sentit des larmes naître aux coins de ses paupières. Ses émotions avaient tellement été bouleversées, elle ne souhaitait que plaire à Tatiana.

« J’attendais un peu plus d’intuition de ta part, Madame Moore. Tu n’es pas une vulgaire conne, tu es une femme intelligente. Tu devrais être capable de comprendre ton rôle, maintenant. »

Tatiana fit le tour de Linda et vint se camper devant elle.

« Tu as signé un accord qui implique essentiellement que je te possède. Oui ou non ? »

Linda leva ses yeux embués par les larmes.

« Oui, Maîtresse. »

Son cerveau commença à réaliser.

« Quand une personne en possède une autre, cela signifie que cette autre personne est… »

Tatiana s’était emparée de l’un de ses tétons et le serrait entre son pouce et son index.

« Une esclave ? Maîtresse ? » Demanda Linda d’une toute petite voix.

« Da ! Une esclave. »

Une esclave ?... Son esclave ?...

« Alors, Madame Moore ? Est-ce que tu es mon esclave, oui ou non ? »

La pression sur le téton s’accentua. La douleur se substitua au plaisir.

« Je… Argh ! »

Une esclave ?

Son esprit était de plus en plus embrouillé après tous ces évènements.

« J’ai apprécié le temps que nous avons passé ensemble, Madame Moore, tout comme toi. Je te promets que ça n’est que le début, mais j’ai besoin de ton engagement. Je ne pourrais pas poursuivre notre relation sans cette loyauté entre nous.

« Es-tu réellement mon esclave, Madame Moore ? »

Une esclave ?... C’est ce que je suis ?... Oui.

« Oui, oui, Maîtresse. Je suis votre esclave. »

Tatiana l’attira à elle en la tirant par le téton et l’embrassa à pleine bouche.

« Est-ce que tu feras tout ton possible pour être la meilleure esclave, Madame Moore ? »

« Oui, Maîtresse. »

« Alors dis-le, Madame Moore. Dis-moi que tu feras tout ton possible pour être la meilleure des esclaves. »

« J’essayerai d’être une meilleure esclave, Maîtresse. J’essayerai. »

Je suis son esclave… Oui.

« Très bien, esclave. Tu peux me déshabiller et je t’autoriserai à me lécher. Je compte sur toi pour faire de ton mieux. »

« Oui, Maîtresse, Je ferai de mon mieux. »

« D’abord, enlève-moi mon chemisier. »

Linda obéit et commença à défaire les boutons. Ses mains tremblaient.

« Détend-toi, Madame Moore, ça sera ton travail, maintenant, tu ne feras que ce que je te demanderai de faire. Tu n’auras qu’un but : Satisfaire ta Maîtresse. »

Linda aspira une grande goulée d’air et se concentra sur sa tâche. Lorsqu’elle fut enfin venue à bout, elle fit délicatement glisser le chemisier sur les épaules de Tatiana, tandis que celle-ci se contentait de rester debout, immobile, sans lui offrir la plus petite aide.
Elle attendit, vêtue uniquement de son soutien-gorge en dentelle noire.
Linda ne cessait de fixer sa poitrine superbe, ses tétons pointaient à travers la dentelle.

« Maintenant le pantalon, Miss Moore. »

Tatiana appuya gentiment sur les épaules de Linda, la contraignant à s’agenouiller à ses pieds.
La jeune femme posa ses mains sur sa taille et dégrafa le bouton qui retenait le vêtement et en abaissa la braguette. Entrainé par son propre poids, le pantalon en soie glissa le long des jambes parfaites et se recroquevilla aussitôt sur le sol.

Le visage de Linda se trouvait à quelques centimètres du pubis de Tatiana. Elle passa sa langue sur ses lèvres. Sa culotte était adorable, assortie à son soutien-gorge, et on pouvait deviner la forme de son sexe se dessinait à travers le tissu léger.

« Tu vois le sexe de ta Maîtresse, esclave ? »

« Oui, Maîtresse. »

« Baisse-moi ma culotte, esclave. »

Linda obéit sans attendre et baissa le sous-vêtement en dentelles noires, dénudant devant ses yeux, pour la première fois, le sexe de sa Maîtresse.

Tatiana enjamba ses vêtements et écarta légèrement les jambes.

« Embrasse la chatte de ta Maîtresse, esclave. »

Linda se pencha en avant et l’embrassa délicatement, se courbant un peu pour se glisser sous l’entrecuisse de Tatiana.
Celle-ci pencha légèrement la tête en arrière et ferma les yeux.

« Ouiiiii, Madame Moore. Tu m’appartiens maintenant. »

Elle fit quelques pas en arrière et s’assit sur le divan en écartant les jambes.

« Approche-toi et vient servir ta Maîtresse, esclave. Montre-moi ton… Heu… Que tu adores ma chatte. »

Linda s’avança à quatre pattes et se glissa entre les jambes de Tatiana. Son visage était maintenant tout proche de son sexe.

« Uniquement le bout de ton nez. Sens d’abord mon odeur, esclave. »

La jeune femme posa son nez contre les lèvres intimes. Ça sentait la sueur, un peu le pipi et surtout une odeur plus forte, plus musquée.

« Embrasse-moi. »

Linda tendit ses lèvres et déposa de petits bisous sur le sexe de sa Maîtresse.

« Bien, esclave. Maintenant lèche-moi. Si tu fais un bon travail, je te rendrai la pareille plus tard. »

Elle se mit à lécher et à sucer le superbe sexe de Tatiana. Accordant toute l’attention nécessaire à son clitoris, mordillant, taquinant, mais aussi en faisant glisser sa langue de haut en bas le long de la fente. Tatiana avait un goût différent de celui de Dania.

Je me demande quel goût à celui de Madame Carter.

Se demanda-t-elle en repensant à sa dernière cliente.

Alors, une autre pensée se développa spontanément dans son esprit.

Et celui de Sarah ?

Elle refoula aussitôt cette idée au plus profond de son subconscient, tout en continuant à travailler le sexe de sa Maîtresse.

« Tu vas devenir une experte en léchage de chatte, Madame Moore. »

Elle plaça ses deux mains derrière la tête de Linda et s’employa à la guider.

« Hmmmm… Regarde-moi, Madame Mooooorrre ! J’y suis presque. »

Linda leva les yeux sur ceux de sa Maîtresse.

Le regard pénétrant de celle-ci se fixa sur elle.

Tatiana y lut la soumission, sa voisine était devenue l’esclave de sa chatte. Elle rejeta la tête en arrière et ferma les yeux, savourant le pouvoir grisant qui catalysait, tout en le décuplant, son plaisir, et se laissa aller à l’orgasme surpuissant qui la dévasta.

« Ouuuiiii ! Tu es à moi chienne ! Aaahhh ! Bordel ! Suce ma chatte ! »

Elle continua à abaisser Linda, à la dégrader, tout en jouissant, plaquant son visage contre son sexe, se servant de sa langue comme d’un objet pour assouvir son plaisir.

« Espèce de gouine ! Sale lécheuse de chatte ! Petite pute ! Brouteuse de minous ! » Son orgasme ne semblait pas finir. « Salope ! Je jouis ! AAhhh Merde ! Gougnotte ! BORDEL OUUUUUIIII !!! SALE PUTE !!! CONTINUE ESPÈCE DE COCHONNE !!! SURTOUT NE T’ARRÊTE PAS ESPÈCE DE CHIENNE !!! »

Tatiana donnait des coups de reins contre sa bouche. Et elle jouissait, jouissait à n’en plus finir. Il n’y avait rien que Linda puisse faire, mise à part se laisser faire et accompagner la jouissance de sa Maîtresse.

Enfin, les mouvements désordonnés de Tatiana se calmèrent progressivement. Ses coups de reins se transformèrent en frottements et elle continua à gémir encore quelques instants.

« AAaah… Ahhh… Bordel que c’est bon ! Tu es une bonne chienne ! Aah… Ah… Hmmmm. »

Ses cuisses se refermèrent, emprisonnant la tête de Linda entre elles. Sa jambe se crocheta derrière sa tête et maintint sa bouche fermement plaquée contre son sexe et elle se laissa aller en soupirant.

« Aaahhh super. Bien joué Madame Moore… Lèche bien mes sécrétions, maintenant, nettoie-moi à fond la chatte avec ta langue, je veux être aussi propre que si je venais de prendre ma douche.

Linda obtempéra.

« Maintenant, nous devons penser à satisfaire tes envies cochonnes, non ? »

Sur ces mots, Tatiana se releva. Elle observa un moment une Linda épuisée, déboussolée, toujours agenouillée à ses pieds.

« Reste comme ça, petite cochonne. »

Et elle sortit de la pièce.

Linda resta dans la même position et essuya sa bouche avec son avant bras.

Est-ce que je suis ce qu’elle dit ? Son esclave ?

Linda baissa les yeux sur ses seins nus et sût que la réponse était plus proche de oui que de non. Elle n’avait jamais ressenti quelque chose d’aussi intense que ça. La nuit entière avait été une expérience époustouflante.

Sa rêverie fut interrompue par un claquement de doigts.

« Madame Moore, peux tu m’aider avec ça s’il te plaît ? »

Linda se retourna et vit sa Maîtresse qui se tenait à l’entrée de la pièce. Elle avait passé une paire de bottes hautes, en cuir et un corset qui mettait ses seins parfaits en valeur, les offrant comme des objets précieux. Ses tétons dépassaient légèrement des bonnets. L’ensemble, tout noir, encadrait son sexe et ses seins en témoignage de sa supériorité sexuelle.

Elle tenait un godemiché fixé sur des courroies.

Les yeux de Linda s’écarquillèrent en réalisant ce que c’était. Elle n’en avait jamais vu de gode-ceinture auparavant. Et il était gros, largement plus gros que le sexe de son ex-mari.

« Mon dieu ! » S’exclama-t-elle involontairement.

« Debout, Madame Moore ! Lève-toi et viens ici m’aider à enfiler cette queue. »

Linda se leva en hésitant et marcha jusqu’à Tatiana. Son souffle s’était accéléré. Elle prit le gode-ceinture que lui tendait sa Maîtresse et l’observa en le faisant tourner dans ses mains. Il lui inspirait un respect mêlé de crainte et elle s’inquiéta de savoir si il n’était pas trop gros pour son sexe. La crainte que lui inspirait le monstre en caoutchouc commença à l’exciter.

« Agenouille-toi et tiens moi le harnais ouvert, esclave. »

Linda fit ce qu’on lui ordonnait et s’agenouilla devant sa Maîtresse. Celle-ci enjamba les sangles et Linda les fit glisser le long de ses jambes parfaites.

« Serre-le bien, Madame Moore. C’est avec lui que je vais baiser ta chatte, alors il faut que ça soit bien serré. Je ne baise jamais doucement. »

Linda avala sa salive avec une certaine appréhension en tirant sur les sangles, les bouclant entre les jambes et autour de la taille de Tatiana.

« Plus serré ! »

Linda tira d’un coup sec.

« Oui, c’est parfait comme ça, Madame Moore. »

Soudain, Linda réalisa qu’elle était agenouillée devant une grosse bite en plastique, étroitement attachée au bassin de sa Maîtresse. Elle pendillait devant son visage, noire et menaçante.

Sans un mot, Tatiana déplaça légèrement son bassin et aligna la tête du monstre sur la bouche de Linda. Elle l’empoigna dans sa main aux ongles soigneusement manucurés et pressa le gland contre ses lèvres.

Linda ouvrit la bouche, acceptant difficilement la taille de l’engin entre ses lèvres. Tatiana commença à faire de petits allers retours, ses doigts se perdirent dans ses cheveux et elle en attrapa fermement une touffe, suscitant un miaulement de douleur de la part de la femme nue agenouillée à ses pieds.

« C’est bien Madame Moore, suce ma bite comme la bonne esclave que tu es. »

Et Tatiana se mit à pousser dans la bouche de Linda.
Linda plaça ses mains sur les cuisses de sa Maîtresse et tenta de la repousser légèrement, mais Tatiana agissait trop violemment. C’était au-delà de ce qu’elle pouvait supporter à ce moment.

Tatiana se retira, son gode fit un petit bruit sec en sortant de la bouche de son esclave.

« Qu’est-ce que tu fais, salope ? »

Et elle lui décrocha une gifle magistrale qui projeta Linda sur le côté en se tenant la joue.

« Tu prétendais que tu serais une meilleure esclave ! Moi je pense plutôt qu’il faut te traiter comme une esclave désobéissante ! »

Tatiana la fit rouler sur le ventre, attrapa ses poignets dans une main, et avant qu’elle puisse réagir, Linda sentit le métal froid d’une paire de menottes cliquer dans son dos.

« Maintenant debout, Madame Moore ! » S’exclama Tatiana en attrapant Linda par les épaules pour la redresser. « Maintenant penche-toi en avant. »

Et elle poussa brusquement une Linda complètement déboussolée vers le dossier du divan, sur lequel elle tomba en avant. Aussitôt, Tatiana lui bloqua les jambes pour l’empêcher de basculer et se glissa entre elles sans cérémonie. Elle présenta son gode ceinture à l’orée de son sexe et, d’une claque sur les fesses, lui ordonna d’écarter les cuisses. Pendant que celle-ci s’exécutait tant bien que mal, elle frotta de bas en haut le gland en latex contre les lèvres humides de la jeune femme.

« Tu as été une vilaine esclave en refusant de sucer ma queue. »

Elle lui claqua l’autre fesse, y laissant une empreinte rouge similaire à celle qui ornait la précédente. La tête dans les coussins du canapé, les fesses en hauteur sur le dossier, la jeune femme ne pouvait rien faire pour échapper à la punition que lui réservait sa Maîtresse.
Puis, elle écarta les fesses de Linda et força son membre factice encore plus fort contre l’entrecuisse offert par la position inconfortable de Linda, séparant ses lèvres intimes.

« Maintenant voyons à quel point ta jolie petite chatte aime se faire baiser. »

Et elle s’enfonça dans le vagin de Linda.

« Aaaaahhaaa ! S’il vous plaît Maitresse, c’est tellemeeeent… Ungh… Tellement gros. »

Tatiana avait introduit une bonne dizaine de centimètres dès la première poussée. Elle attendit un instant sans bouger.

« Da ! C’est gros. »

TCHACK !

La claque sur sa fesse fit sursauter Linda, elle sentit ses muscles intimes se contracter autour du phallus artificiel.

« OOOOoouuuuiiie ! »

Tatiana se contenta d’exercer une pression plus forte avec son bassin.

« Hmmmmmffff. » Le gode appuyait sans merci, broyant ses chairs intimes.

« Da ! » Répondit Tatiana en ressortant tout doucement du vagin de Linda. « Da, c’est gros. » Et elle s’enfonça jusqu’à la garde dans le vagin de sa victime sans défense.

« Aaaahhhh… Maîtresse… Je vous en supplie, c’est trop gros ! »

Tatiana ignora ses suppliques et se mit à effectuer de longs allers retours.

« Détends-toi, Madame Moore. » Ordonna-t-elle en s’immobilisant avec le gode enfoncé à fond dans le ventre de Linda. « Je vais te baiser très souvent, alors il faut que tu apprennes à me prendre correctement. » Et elle frappa à nouveau ses fesses. « Avec le temps, tu me suppliera de te baiser dans tous tes trous. » Elle fit un aller-retour puis s’enfonça à nouveau complètement, s’immobilisant au fond du vagin de Linda. « Tu vas devenir une… Heu… Humm… Comment dites vous ça ?... Une experte de l’amour sous toutes ses formes. »

Avec ces mots, elle commença à aller et venir en augmentant son rythme progressivement.

Malgré elle, Linda commença à sentir qu’elle mouillait. Une réponse animale à cette queue la pénétrant, qui la trahit. La taille stupéfiante de l’engin que sa Maîtresse lui imposait touchait ses nerfs et pressait sur des zones érogènes qu’aucun homme n’avait atteintes auparavant.

Linda aurait pu jurer que le membre de Tatiana venait buter contre le col de son utérus. À chaque coup de rein, des décharges de douleur se mêlaient au plaisir qui commençait à naître dans son ventre.

« Ahh… Ah… Ohh… Oh… Ungh… Ungh… Ungh… »

Elle se mit à gémir au rythme des coups de boutoirs de Tatiana.

« Non… Ah… Ah… Ah… Ah-Ah-Ah… Oooooh. »

La douleur céda le pas au plaisir. Malgré sa réticence, elle sentait l’orgasme approcher.

« Je connais les femmes, Madame Moore. Je sais ce qu’elles aiment, ce dont elles ont besoin. » Elle augmenta son rythme. « Un bon léchage de chatte, quelques pénétrations avec les doigts, beaucoup de baisers. » Clap… Clap… Clap… Un bruit de clapotis accompagnait chacun de ses allers retours. « Mais quelques fois, Madame Moore… » Clap-Clap-Clap-Clap… « Quelques fois, une bonne baise bien brutale, il n’y a rien de mieux. »

« Tu peux jouir maintenant, Madame Moore, et n’oublies pas de remercier ta Maîtresse lorsque tu explosera sur sa queue. »

Et à la grande surprise de Linda, elle jouit. Elle jouit comme si Tatiana avait le pouvoir de contrôler son plaisir. Son orgasme fût tel que l’avait décrit sa Maîtresse. Mille fois plus intense que tous ceux qu’elle avait eu jusque là.

« AAAAhhhmmmm-Oooohhhh Mooooon Diiiiieeeeu ! » L’intensité de son plaisir ne redescendait pas. « AAAAAHHHH ! OOOOOHHHH ! BORDEL !!! AAAAHHH BAISEZ-MOI ENCORE S’IL VOUS PLAÎT !!! »

Elle sentait du jus gicler de sa chatte. Ça ne lui était jamais arrivé auparavant.

Pas une seule fois, Tatiana ne cessa de la pistonner.

« Pendant que tu jouis, Madame Moore, imagine cette queue dans ton cul. »

Le cerveau de Linda était en pilote automatique, elle suivit le conseil de sa Maîtresse et secoua la tête négativement.

« NOOOON ! NOOOOOON ! OUIIIIIIIIIIIII ! »

« Oh si, tu peux me croire quand je te dis que je peux te faire jouir de cette façon. »

Linda poussa un nouveau cri lorsqu’elle sentit un doigt de Tatiana s’introduire dans son anus et s’y enfoncer jusqu’à la garde. « Tu es la première esclave que je vois éjaculer à ce point, Madame Moore. » Le doigt se mit à aller et venir dans son rectum. « Oui, Madame Moore, tu me supplieras de bien vouloir m’occuper de ton cul. » Un deuxième doigt vint s’ajouter au premier. « C’est très élastique, tu sais, un trou du cul. » Tatiana se mit à synchroniser ses doigts et son gode. De longs et lents mouvements dans le vagin et de petits coups rapides dans l’anus.

Linda ne s’était pas encore entièrement remise de son premier orgasme lorsque les manipulations de sa Maîtresse firent renaître son plaisir.

« Supplie-moi de le faire. » Chuchota-t-elle en retirant son gode et en le repositionnant à l’entrée du rectum de Linda, contre ses doigts qui continuaient à s’agiter au même rythme qu’auparavant. « Supplie moi de le faire, Madame Moore. »

Elle s’interrompit net, suscitant un miaulement de frustration dans la gorge de son esclave.

« Allons Madame Moore, je vais me lasser. »

Le membre en caoutchouc reposait maintenant contre l’anus de Linda.

« Miss Moore… Supplie ta Maitresse de te baiser dans le cul. »

Linda était au delà de sa raison, perdue dans son plaisir qui venait brusquement de cesser son escalade.

« M… Maîtresse… » Bégaya-t-elle d’une toute petite voix.

Tatiana ne se pencha qu’à peine vers elle.

« Oui, petite cochonne ? »

Le gland en caoutchouc reposait toujours au même endroit.

« Maîtresse, s’il vous plaît… Baisez mon cul, s’il vous plaît. »

« Tu veux que je t’enfonça ma queue dans le cul ? »

« Oui, Maîtresse, je veux votre queue dans mon cul. »

Tatiana se redressa et se recula de sa victime abandonnée contre le dossier du canapé.

« Pas encore, même si tu supplies comme la folle du cul que tu es, je réserve ton dépucelage pour une meilleure occasion.

Elle attrapa délicatement Linda et l’aida à se relever. Puis elle l’enlaça et l’embrassa.

« Deux semaines. Ça pourrait être dans deux semaines. Nous devrions être au carnaval de Venise et c’est là bas, la nuit, pendant les festivités que je pense te prendre.

Elle lui fit monter les escaliers et entrer dans sa chambre pour se mettre au lit. Elle ne lui proposa pas d’ôter ses menottes et la garda entravée.

Elle exigea qu’elle lui lèche une nouvelle fois la chatte, assise sur son visage, tandis que la jeune femme était étendue dans une position désagréable à cause des menottes. Enfin, elles terminèrent la soirée en soixante-neuf, et se donnèrent mutuellement un plaisir partagé.

« Maintenant, Madame Moore, tu sais exactement ce que j’attends de toi en tant qu’esclave. » Tatiana serrait tendrement Linda dans ses bras. Elles étaient étendues l’une contre l’autre. Elle était enfin satisfaite et prête à dormir. « Maintenant, tu connais quelques aspects du plaisir que je peux te donner. »

Linda avait toujours les mains menottées dans le dos. Elle aurait quelques courbatures au réveil.

 

FIN

 

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